Le Chemin de Saint-Jean fait 27 x 37cm, cet album-ci (lu juste après le précédent !) est tout rikiki, 10 x 7,5cm, format à l'italienne.
Le dessin de De La Fuente est assez beau. Rond et caricatural, le trait est très très précis, témoignant d'une réelle maîtrise. Il faut dire qu'il a déjà un certain nombre d'albums à son actif (voir bdnet)... Je m'étonne d'ailleurs qu'aucun ne soit encore référencé ici ?
L'histoire est courte, mais surtout peu développée. Une petite aventure, largement inachevée, un court moment de détente certes, mais finalement un peu vain.
En fin d'album il est précisé qu'il s'agit d'une introduction à un autre album, dont je n'ai malheureusement pu trouver trace. A resituer dans ce contexte s'il paraît.
Après un tel avis, si détaillé et complet, il est difficile de rajouter quelque chose qui n'a été dit. En plus je vais me faire taper parce que je mets une note basse.
Mais tant pis, car il y a va de mon honnêteté et de mon intégrité ! :)
Je n'ai pas aimé cet album en général.
Certaines choses en particulier sont intéressantes : le fait qu'il n'y ait pas de case, par exemple, et que les chemins se croisent, est un concept intéressant et très sympathique, mais demande une certaine concentration si l'on veut suivre, ce que je n'avais pas au moment de le lire.
D'autre part, au niveau du dessin, si Garcia excelle à dessiner des animaux très mignons, il n'en va pas de même pour les personnages que je trouve plutôt ratés. Enfin, pas ratés, disons que c'est un style qui ne me plait pas.
Mais cet album reste un album jeunesse, alors peut-être que le dessin n'est pas si important. Du coup, je me demande si un enfant pourra apprécier pleinement le concept... et imaginer suivre l'histoire dans plusieurs sens.
Après lecture des deux premiers tomes...
Point positif : c'est beau. Très beau. C'est même superbe, graphiquement magnifique, original, fin, poétique... De ce côté là, donc, rien à dire.
Point négatif : il y a une histoire ? Vraiment ? Je veux dire... J'ai bien repéré une sorte de thème, de fil conducteur mais... Qu'est-ce qui se passe au juste ? Ca part dans tous les sens... C'est bizarre... Très bizarre... Mais pas suffisament construit pour entretenir chez moi un semblant de curiosité. Peut être que tout deviendra limpide à la fin... En attendant, c'est simplement très chiant.
Pour moi, Trèfle, ce n'est pas de la bd mais un pur exercice de style... Artistiquement réussi au demeurant mais sans intéret pour le public... A eux qui, aiment la beauté (seul intérêt selon moi de cette bd décousue), je conseillerai autre chose... Un beau tableau sur un mur par exemple.
C'est un 2 qui tend vers le 3. Disons que le style humour crade un peu con n'est pas pour me déplaire (cf le strip des chiottes) mais l'ensemble est vraiment trop léger et limite idiot (cf l'autre gag). Disons que c'était le genre de truc que j'aimais bien lire durant mon adolescence mais maintenant ça tombe un peu à plat. J'apprécie cependant le côté politiquement incorrect. A connaître, mais pas de quoi se rouler sous la table cependant.
J'ai essayé ! T'as vu Nuryko ? J'ai essayé ! ;)
Mais non... Vraiment pas possible !
Déjà, le sujet... OK, je pense que l'auteur est conscient du fait que c'est une histoire vraiment tarte, qui flirte avec le ridicule... Mais bon... J'ai beau me dire que c'est fait exprès, ça ne passe pas. Ca aurait pu être drôle, si le ton avait été celui de la dérision. Là, je trouve ça juste bête.
Un gros manque d'originalité aussi... Des personnages typiques de ce type de série : la nana pile électrique un peu gamine (et plate, et ne sachant pas cuisiner,...) qui dissimule un passé douloureux, le garçon qui semble doux et réservé mais déploie des talents incroyables dès qu'il s'agit de sauver sa belle.
De plus, et c'est le principal reproche que je ferai à cette série, c'est extrêmement confus. Ca part dans tous les sens. Le scénario semble se résumer à des anecdotes décousues. Bon, il était tard quand je l'ai lu... Mais quand même.
Bref, attendons la suite pour nous faire une opinion définitive. Pour l'instant, ce sera 2/5 parce que le dessin est original.
Une trame et des scénarios originaux qui s'essoufflent au fil des épisodes. Résultat : une série qui devient "alimentaire" (idem pour Largo Winch, Thorgal, "Spirou", Astérix, Blueberry, Lucky Luke, Blake et Mortimer, Boule et Bill, Gaston Lagaffe, Achille Talon, Léonard, Titeuf... j'en passe, et des meilleurs(*)).
A trop vouloir prolonger un succès et rentabiliser un auteur, on le vide de sa substance et de son talent.
Surtout que Van Hamme est capable de nous sortir en parallèle quelques scénarios à contre courant (SOS Bonheur, Le Grand Pouvoir du Chninkel, Les Maîtres de l'Orge).
Pour en revenir à XIII, "il faudrait être fou pour tuer la poule aux oeufs d'or" dixit l'éditeur, la fin n'est donc pas pour demain ! A ce propos, je "félicite" les balbutiements du marketing dans la BD...
Par conséquent, je conseille l'achat des 12 premiers uniquement (en occasion ou les intégrales en N&B, plus économiques), en attendant "l'aboutissement hypothétique" de cette série.
(*) le présent post n'a pas pour objet de critiquer ou de polémiquer stérilement sur cette BD en particulier... mais plutôt de dénoncer la politique de certains éditeurs/scénaristes/dessinateurs. En revanche je m'abstiendrais d'émettre la même ritournelle sur les BD pré-cités... et me dispense donc d’écrire des avis redondants.
(;€
Jijé a été l'un des modèles du grand Giraud. Considéré comme l'un des plus grands dessinateurs de sa génération, il est aujourd'hui une référence. Ceci dit et malgré le respect que cet auteur inspire, je dois dire que pour moi "Jerry spring" est une bd trop brute, trop simpliste, et terriblement datée.... J'ai eu du mal à finir les albums que j'ai ouverts. Mais que cela ne vous empêche pas de découvrir cette bd qui est un peu l'ancêtre de "Blueberry".
Cela aurait pu être une bonne bd, un bon polar à tendance psychologique. Mais ici, c'est plus psychologisant que psychologique. C'est dommage parce qu'il y avait vraiment de bons éléments dans cette intrigue. Mais l'abus de voix-off tue l'image, et on a vite la sensation de se retrouver devant un roman pâlement illustré, avec des images trop sombres et au graphisme tantôt beau, tantôt franchement hésitant. La narration aussi comporte sa part de maladresse, ce qui enlève encore du plaisir à la lecture de cet album qu'on oublie assez vite.
Et puis surtout...
....ne lisez pas la suite si vous ne voulez pas que la fin de l'album vous soit révélée...
... psychologiquement ca ne tient pas vraiment la route. Le gars qui tue son ancienne copine sur un malentendu de sa "maîtresse" puis tue sa maitresse dans la foulée... OK, je veux bien que dans la réalité, il arrive des choses aussi sombres, qu'il y a des gars assez tarés ou désespérés pour commettre ce genre d'actes mais ici... Le scénario et toutes ces voix-off ne m'ont pas amené jusque-là, ne m'ont pas convaincu que le personnage avait de vraies raisons pour en arriver là, ou même qu'il était fou... J'ai trouvé ça assez boiteux. Dans un genre annexe, on est loin de la puissance narrative d'une bd comme "Le Tueur".
J'étais curieux de voir comment l'un des persos secondaires les plus intéressants de "Gorn" serait traité dans une série dédiée...
Eh bien c'est assez décevant ; les trames scénaristiques sont râbachées, longues et se mordent la queue, le dessin de Christian Paty est plutôt léger (comparé à la maîtrise d'Oger) ; à sa décharge, il débutait alors dans la BD.
Bof...
Même si les convictions peuvent se renforcer avec l'age, ce duel au sommet m'a semblé peu crédible.
Certes, l'idée d'opposer des quinquagénaires ayant combattus durant la guerre d'Espagne était intéressante, mais les possibilités de nos papis ont été surestimées - ce qui nuit à l'ensemble de l'histoire
D'autre part, j'ai trouvé les dessins de Bilal moins beaux que d'habitude, mais je ne suis pas un spécialiste...
Allez plutôt voir "Land and Freedom" de Ken Loach, vous en apprendrez davantage sur les POUM... (scénario où une fille découvre la jeunesse de son grand-père volontaire irlandais durant la guerre d'Espagne).
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Un clair de lune
Le Chemin de Saint-Jean fait 27 x 37cm, cet album-ci (lu juste après le précédent !) est tout rikiki, 10 x 7,5cm, format à l'italienne. Le dessin de De La Fuente est assez beau. Rond et caricatural, le trait est très très précis, témoignant d'une réelle maîtrise. Il faut dire qu'il a déjà un certain nombre d'albums à son actif (voir bdnet)... Je m'étonne d'ailleurs qu'aucun ne soit encore référencé ici ? L'histoire est courte, mais surtout peu développée. Une petite aventure, largement inachevée, un court moment de détente certes, mais finalement un peu vain. En fin d'album il est précisé qu'il s'agit d'une introduction à un autre album, dont je n'ai malheureusement pu trouver trace. A resituer dans ce contexte s'il paraît.
Les Trois Chemins
Après un tel avis, si détaillé et complet, il est difficile de rajouter quelque chose qui n'a été dit. En plus je vais me faire taper parce que je mets une note basse. Mais tant pis, car il y a va de mon honnêteté et de mon intégrité ! :) Je n'ai pas aimé cet album en général. Certaines choses en particulier sont intéressantes : le fait qu'il n'y ait pas de case, par exemple, et que les chemins se croisent, est un concept intéressant et très sympathique, mais demande une certaine concentration si l'on veut suivre, ce que je n'avais pas au moment de le lire. D'autre part, au niveau du dessin, si Garcia excelle à dessiner des animaux très mignons, il n'en va pas de même pour les personnages que je trouve plutôt ratés. Enfin, pas ratés, disons que c'est un style qui ne me plait pas. Mais cet album reste un album jeunesse, alors peut-être que le dessin n'est pas si important. Du coup, je me demande si un enfant pourra apprécier pleinement le concept... et imaginer suivre l'histoire dans plusieurs sens.
Trèfle
Après lecture des deux premiers tomes... Point positif : c'est beau. Très beau. C'est même superbe, graphiquement magnifique, original, fin, poétique... De ce côté là, donc, rien à dire. Point négatif : il y a une histoire ? Vraiment ? Je veux dire... J'ai bien repéré une sorte de thème, de fil conducteur mais... Qu'est-ce qui se passe au juste ? Ca part dans tous les sens... C'est bizarre... Très bizarre... Mais pas suffisament construit pour entretenir chez moi un semblant de curiosité. Peut être que tout deviendra limpide à la fin... En attendant, c'est simplement très chiant. Pour moi, Trèfle, ce n'est pas de la bd mais un pur exercice de style... Artistiquement réussi au demeurant mais sans intéret pour le public... A eux qui, aiment la beauté (seul intérêt selon moi de cette bd décousue), je conseillerai autre chose... Un beau tableau sur un mur par exemple.
Léon-la-Terreur (Léon Van Oukel)
C'est un 2 qui tend vers le 3. Disons que le style humour crade un peu con n'est pas pour me déplaire (cf le strip des chiottes) mais l'ensemble est vraiment trop léger et limite idiot (cf l'autre gag). Disons que c'était le genre de truc que j'aimais bien lire durant mon adolescence mais maintenant ça tombe un peu à plat. J'apprécie cependant le côté politiquement incorrect. A connaître, mais pas de quoi se rouler sous la table cependant.
Cat's World
J'ai essayé ! T'as vu Nuryko ? J'ai essayé ! ;) Mais non... Vraiment pas possible ! Déjà, le sujet... OK, je pense que l'auteur est conscient du fait que c'est une histoire vraiment tarte, qui flirte avec le ridicule... Mais bon... J'ai beau me dire que c'est fait exprès, ça ne passe pas. Ca aurait pu être drôle, si le ton avait été celui de la dérision. Là, je trouve ça juste bête. Un gros manque d'originalité aussi... Des personnages typiques de ce type de série : la nana pile électrique un peu gamine (et plate, et ne sachant pas cuisiner,...) qui dissimule un passé douloureux, le garçon qui semble doux et réservé mais déploie des talents incroyables dès qu'il s'agit de sauver sa belle. De plus, et c'est le principal reproche que je ferai à cette série, c'est extrêmement confus. Ca part dans tous les sens. Le scénario semble se résumer à des anecdotes décousues. Bon, il était tard quand je l'ai lu... Mais quand même. Bref, attendons la suite pour nous faire une opinion définitive. Pour l'instant, ce sera 2/5 parce que le dessin est original.
XIII
Une trame et des scénarios originaux qui s'essoufflent au fil des épisodes. Résultat : une série qui devient "alimentaire" (idem pour Largo Winch, Thorgal, "Spirou", Astérix, Blueberry, Lucky Luke, Blake et Mortimer, Boule et Bill, Gaston Lagaffe, Achille Talon, Léonard, Titeuf... j'en passe, et des meilleurs(*)). A trop vouloir prolonger un succès et rentabiliser un auteur, on le vide de sa substance et de son talent. Surtout que Van Hamme est capable de nous sortir en parallèle quelques scénarios à contre courant (SOS Bonheur, Le Grand Pouvoir du Chninkel, Les Maîtres de l'Orge). Pour en revenir à XIII, "il faudrait être fou pour tuer la poule aux oeufs d'or" dixit l'éditeur, la fin n'est donc pas pour demain ! A ce propos, je "félicite" les balbutiements du marketing dans la BD... Par conséquent, je conseille l'achat des 12 premiers uniquement (en occasion ou les intégrales en N&B, plus économiques), en attendant "l'aboutissement hypothétique" de cette série. (*) le présent post n'a pas pour objet de critiquer ou de polémiquer stérilement sur cette BD en particulier... mais plutôt de dénoncer la politique de certains éditeurs/scénaristes/dessinateurs. En revanche je m'abstiendrais d'émettre la même ritournelle sur les BD pré-cités... et me dispense donc d’écrire des avis redondants. (;€
Jerry Spring
Jijé a été l'un des modèles du grand Giraud. Considéré comme l'un des plus grands dessinateurs de sa génération, il est aujourd'hui une référence. Ceci dit et malgré le respect que cet auteur inspire, je dois dire que pour moi "Jerry spring" est une bd trop brute, trop simpliste, et terriblement datée.... J'ai eu du mal à finir les albums que j'ai ouverts. Mais que cela ne vous empêche pas de découvrir cette bd qui est un peu l'ancêtre de "Blueberry".
A quoi tu penses ?
Cela aurait pu être une bonne bd, un bon polar à tendance psychologique. Mais ici, c'est plus psychologisant que psychologique. C'est dommage parce qu'il y avait vraiment de bons éléments dans cette intrigue. Mais l'abus de voix-off tue l'image, et on a vite la sensation de se retrouver devant un roman pâlement illustré, avec des images trop sombres et au graphisme tantôt beau, tantôt franchement hésitant. La narration aussi comporte sa part de maladresse, ce qui enlève encore du plaisir à la lecture de cet album qu'on oublie assez vite. Et puis surtout... ....ne lisez pas la suite si vous ne voulez pas que la fin de l'album vous soit révélée... ... psychologiquement ca ne tient pas vraiment la route. Le gars qui tue son ancienne copine sur un malentendu de sa "maîtresse" puis tue sa maitresse dans la foulée... OK, je veux bien que dans la réalité, il arrive des choses aussi sombres, qu'il y a des gars assez tarés ou désespérés pour commettre ce genre d'actes mais ici... Le scénario et toutes ces voix-off ne m'ont pas amené jusque-là, ne m'ont pas convaincu que le personnage avait de vraies raisons pour en arriver là, ou même qu'il était fou... J'ai trouvé ça assez boiteux. Dans un genre annexe, on est loin de la puissance narrative d'une bd comme "Le Tueur".
Damoiselle Gorge
J'étais curieux de voir comment l'un des persos secondaires les plus intéressants de "Gorn" serait traité dans une série dédiée... Eh bien c'est assez décevant ; les trames scénaristiques sont râbachées, longues et se mordent la queue, le dessin de Christian Paty est plutôt léger (comparé à la maîtrise d'Oger) ; à sa décharge, il débutait alors dans la BD. Bof...
Les Phalanges de l'ordre noir
Même si les convictions peuvent se renforcer avec l'age, ce duel au sommet m'a semblé peu crédible. Certes, l'idée d'opposer des quinquagénaires ayant combattus durant la guerre d'Espagne était intéressante, mais les possibilités de nos papis ont été surestimées - ce qui nuit à l'ensemble de l'histoire D'autre part, j'ai trouvé les dessins de Bilal moins beaux que d'habitude, mais je ne suis pas un spécialiste... Allez plutôt voir "Land and Freedom" de Ken Loach, vous en apprendrez davantage sur les POUM... (scénario où une fille découvre la jeunesse de son grand-père volontaire irlandais durant la guerre d'Espagne).