Largo Winch

Sans famille ni attaches, contestataire, coureur, vagabond, iconoclaste et bagarreur, il se trouve à 26 ans à la tête d'un empire de 10 milliards de dollars... Decouvrez LARGO WINCH le milliardaire en blues jeans. Et attachez vos ceintures!
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Il s’appelle Winczlav. Largo Winczlav. Il est né en Yougoslavie. De père inconnu. Sa mère est morte de misère lorsqu’il avait deux ans. Et l’Assistance publique s’en est généreusement occupé, en le plaçant à l’orphelinat de Sarajevo. Avec un démarrage pareil, sa vie avait tout pour virer galère, non? Mais à des milliers de kilomètres de là, un homme va changer son destin. Un des hommes les plus riches du monde. Installé au sommet d’un gratte-ciel à New York, il porte le même nom que lui, mais il l’a transformé en WINCH - aux USA, c’était plus facile à faire passer - et il est à la recherche de ses racines. Nerio Winch veut trouver, dans sa lointaine famille, un héritier pour son empire. Et il adopte Largo. Le confie à un couple de braves gens. Puis l’envoie faire les meilleures études en Angleterre et en Allemagne. Et lorsque son père adoptif disparaît dans des conditions dramatiques, Largo hérite du Groupe W, le plus grand conglomérat d’entreprises multinationales jamais possédé et dirigé par un seul homme. A lui seul, il vaut désormais dix milliards de dollars. Ce qui n’est pas au goût de tout le monde, comme il ne va pas tarder à s'en apercevoir...
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Date de parution | Novembre 1990 |
Statut histoire | Série en cours - cycle(s) terminé(s) (Cycles de 2 albums) 23 tomes parus |
Les avis


Ah Largo Winch !! Je l’ai découverte à son tome 6. Une série qui aura bercé la fin de mon adolescence et qui m’aura tenu en grande haleine jusqu’à son tome 10, avant que je ne parte vers d’autres horizons. Je me suis fait une grosse mise à jour l’été dernier en empruntant la suite jusqu’au tome 22. Verdict … du bon blockbuster dans la catégorie franco belge « classique », bien fait et distrayant. La bonne idée est de proposer à chaque fois des histoires en diptyque. On aura ses préférences niveau cycle mais dans l’ensemble c’est plus qu’honorable, ça va du culte au pas mal. Des intrigues variées aux 4 coins du monde, mélangeant action et thriller financier. Le tout est servi par le dessin agréable et très lisible de Francq, ainsi que de chouettes couleurs, pour un bon moment de lecture. A la base c’est un roman(s ?)de Van Hamme (non lu) mais la version bd reste à mes yeux la référence. Je reste bien attaché à ce héros qui aura fait bien des petits (films, série tv et de nombreux ersatz sur le médium : IRS, Alpha …). Après il ne faut pas être allergique au côté boy-scout ou James Bond, au programme jolies filles et quelques facilités scénaristiques, mais qui ne ternissent en rien l’efficacité de lecture. Et je dois avouer que mes maigres connaissances financières (holding, OPA …) viennent de cette série. Dans le top des cycles on trouve les 3ers, les moins accrocheurs vont pour le 6eme et 10eme, pour le reste c’est plus que pas mal, même si les tous derniers tirent un peu sur la corde, on ne sait plus quoi inventer pour mettre en difficulté notre milliardaire en basket.


Oui, c’est une série commerciale aux personnages caricaturaux, et aux couleurs criardes mais voilà, j’aime bien Largo Winch que je viens de relire dans son intégralité. La construction en diptyques est pratique, ça donne assez de pages pour développer une histoire et le changement d’épisode tous les deux tomes permet de reprendre la lecture sans avoir à tout relire depuis le début. Même si la qualité des intrigues est irrégulière, l’ensemble est plutôt bien écrit, cohérent et bien construit. Les personnages, à la fois attachants et horripilants, nous font voyager à travers le monde et le dessin nous offre quelques vues splendides sur des paysages et des sites historiques hors du commun. A par ça, on n’échappe pas à certains clichés un peu classiques comme le rôle que les auteurs font jouer aux femmes (de vrais James Bond girls), le pouvoir illimité de l’argent et le monde merveilleux de la finance dans lequel évoluent nos héros beaux, riches, courageux, séducteurs et invincibles. Point intéressant qui distingue positivement cette série : le décryptage de la finance internationale, c’est fou, on comprend tout ! Bref, une série sympa, pas prise de tête, feel good et qui vous assure un bon moment de lecture. Attention à ne pas multiplier les albums, la série va vraiment finir par perdre de son énergie et ça serait dommage.


Blockbuster de la BD franco-belge, Largo Winch fait partie de ce genre d’œuvres foutrement efficaces et tout de même addictives... Si les diptyques, puisque les tomes vont par deux (ce qui est d'ailleurs frustrant au niveau de l'attente entre deux parutions, assez longue tout de même), ne sont pas tous au même niveau, tous se laissent lire facilement et les scenarii de Van Hamme, très fouillés sur la finance de haute-voltige et les trafics en tout genre, sont assez prenants, comme je l'ai déjà laissé entendre plus haut. Le dessin est efficace, rien de transcendant mais honnête. J'en conseille l'achat car c'est bien foutu et une fois que l'on rentre dedans, on a envie de continuer de suivre les aventures de ce bon Largo, même s'il est quelque peu caricatural. Toutefois, les histoires (2 tomes donc) peuvent se lire indépendamment les unes des autres car, même si l'ensemble des tomes est lié et raconte l'évolution du héros et de sa compagnie, les aventures de LW sont à chaque fois différentes et ne demandent pas forcément une connaissance obtus de l'univers.


J'ai lu les premiers tomes de la série en peu de temps (car je devais les rendre rapidement avec tous les autres que j'avais empruntés à un ami fan de Van Hamme). Contrairement à XIII le dessin simple, fluide et coloré m'a plu mais comme pour XIII, Van Hamme aurait dû arrêter la série plus tôt, au lieu de la prolonger par des intrigues inutiles qui font de "Largo Winch" (qui possède déjà quelques côtés horripilants) le centre de la galaxie. Comme il est supposé être l'homme le plus riche du monde, il est celui sur qui se focalisent tous les méchants. Et comme il est jeune et dynamique, il résout tout par lui même au point de faire perdre le peu de crédibilité qu'il restait au postulat de départ.


Je découvre ce « block buster » de la BD franco-belge sur le tard, et je ressors satisfait de ma lecture. Je ne suis pourtant pas friand du monde de la finance, mais si mon intérêt a fluctué au fil des 22 tomes parus à ce jour, je ne me suis jamais ennuyé. Les intrigues sont bien construites, parfois un peu compliquées (j’ai trouvé le cycle 21-22 un peu alambiqué par exemple), mais le petit résumé en début de seconde partie clarifie souvent bien des choses. J’ai d’ailleurs beaucoup apprécié ces cycles courts de deux tomes, il est ainsi facile de lire une histoire de temps en temps, sans avoir à se souvenir des évènements précédents. Les personnages sont certes un peu clichés, mais ils sont variés et attachants, et la personnalité humaine et généreuse de Largo se développe bien au cours des tomes. Pour le reste, toute la panoplie de James Bond est présente : les scènes d’actions aussi spectaculaires qu’improbables, l’humour omniprésent, les retournements de situations capillotractés, les voyages dépaysants aux 4 coins du monde, les belles femmes aux rôles souvent forts et importants, les coups fourrés… le tout superbement illustré par le dessin très détaillé de Philippe Francq. Une série selon moi immanquable pour les amateurs de thrillers et de grand spectacle.


Bien évidemment je lis et je relis très régulièrement les aventures de Largo Winch. Depuis 30 années pour être précis. Et je dois vous le dire, haut et fort, cette saga financière avec de multiples rebondissements est bien ma tasse thé ! Je dévore chaque album avec délectation et avec un plaisir incommensurable. L’univers du duo Jean Van Hamme et Philippe Francq m'a mis en appétit dès les premiers albums. Le scénario est bien ficelé, pas besoin de se cramponner. Tout est fluide et bien construit. Quant au dessin, le trait est magnifique, et les cases fourmillent de petits détails. Cette série est une valeur sûre de la BD de ces dernières années. On ne peut être déçu. Le rythme est bon et les histoires s’enchainent sans temps mort. Bien évidemment, il est fréquent de faire le parallèle avec la série XIII, série tout aussi passionnante avec aux manettes sieur Jean Van Hamme. Pas de redondance. Vous pouvez foncer tête baissée sur ces deux séries. C’est qui le patron ??? Jean Van Hamme bien sûr !


Largo Winch, je peux dire que ça a été la première bd "adulte" que j'ai commencé à lire. Alors forcément, ca m'a marqué. Le héros est un héros : beau, riche, intelligent, raisonnable, tombeur de ces dames avec une facilite déconcertante... bref sympa, impressionnant, "badass" mais pas franchement attachant. Mais comme dans beaucoup de bd (Tintin pour ne citer qu'elle), ce sont les personnages secondaires qui apportent de la dimension aux aventures de Largo. Simon le meilleur ami cambrioleur et potache, Freddy le pilote baroudeur, Cochrane le comptable procédurier, Penny la secrétaire stricte et désabusée devant le côté à la cool de son patron ou encore Gus Fenimore le millionnaire excentrique.. Rajoutons à ça un dessin très agréable, des intrigues bien ficelées sur fond de magouilles économiques ainsi que quelques touches d'humour et on obtient une série agréable à suivre. Néanmoins, je trouve que la série a décliné au fur et à mesure des albums. J'ai personnellement décroché a partir du tome 15, mais les 13 et 14 sont déjà un ton en dessous des autres. Je continue à lire les nouveaux albums à chaque sortie, plus par habitude qu'autre chose. Je ne sais pas si le changement de scénariste (Giacometti a remplacé Van Hamme a l'issue du tome 20 qui était le moins réussi selon moi) redonnera un second souffle à la série. J'en doute. En tout cas je recommande à tout le monde les premiers albums. Les aventures s'étendent à chaque fois sur deux albums, les meilleurs étant pour moi les albums 1 à 6 et 11 et 12

S'agit-il de James Bond ? Ou bien alors serait-ce Jason Bourne ? Non non c'est Largo Winch, le milliardaire en blue jeans ! 28 ans après la publication du premier tome par les éditions Dupuis, la saga business-thriller de Jean Van Hamme s'est mue en oeuvre culte vendue à plusieurs millions d'exemplaires. Mais de quoi ça parle exactement ? Eh bien lire Largo Winch c'est plonger la tête la première dans les méandres obscurs de la haute finance internationale, où règne la spéculation malhonnête et la loi du plus fort. A vingt-six balais, un ancien orphelin yougoslave se retrouve catapulté à la tête d'un empire de dix milliards de dollars suite à l'assassinat de son père adoptif. Voilà Largo héritier du Winch Group, cependant il va vite se rendre compte que ses nouvelles acquisitions attisent envie et malveillance de la part de rivaux mal intentionnés. Appréhender toute la terminologie politico-financière n'est pas une sinécure et le vocabulaire technique copieusement utilisé pourra rebuter le néophyte, personnellement je trouve qu'elle accentue la crédibilité et l'immersion, Van Hamme puise dans ses connaissances encyclopédiques pour rendre familier un milieu qui parait toujours un peu abscons et ésotérique, presque impénétrable pour le commun des mortels. Businessmen mafieux, banquiers influents, capitaines d'industrie, oligarques et cheikhs multimilliardaires, c'est tout le gratin mondial que l'on côtoie aux côtés de Largo Winch dans des aventures où l'on retrouve pèle-mêle coups montés, magouilles, OPA, érotisme et donzelles plantureuses, tractations et détournements en tous genres. Chaque tome se lit d'une traite, même s'il est vrai que la série traîne un peu en longueur après le diptyque "Voir Venise/ Et mourir". En tous les cas c'est une bande dessinée captivante à lire et très maîtrisée, illuminée par un dessin droit et anguleux qui épouse merveilleusement la froideur et le sérieux du monde financier qu'il illustre. Elle m'a fait penser par certains aspects aux S.A.S de Gérard de Villiers, et le personnage de Largo Winch rappelle inévitablement James Bond : une dégaine de playboy, du bagout et de la testostérone. N'en jetez plus !


Cette célèbre BD typiquement commerciale explore le monde financier au travers un héritier hors du commun: jeune, beau et à qui tout réussit. Sa générosité et son humanisme vont être confrontés aux requins de la finance.
Jusqu’au 6ème tome, c’est réellement passionnant car on explore le monde financier dans tous ses états avec une intrigue qui allie business et action. Après, c’est un cran en dessous bien que les deux derniers volumes remontent un peu dans mon estime. En effet, le 7ème tome à savoir "la Forteresse de Makiling" paru en 1996 marquait une nouvelle direction pour la BD, laissant l'univers de la finance et de ses complots pour lui préférer des récits d'aventures exotiques.
Le scénariste Van Hamme s’essouffle ces dernières années dans l’exploitation commerciale à tout va. Le héros s’en tire toujours à la fin, cela devient presque énervant car archi conventionnelle. Il n'y a guère de psychologie propre à ce personnage très stéréotypé. C’est réellement dommage.
Cependant, bonne nouvelle : Van Hamme a très vite compris le message de ses lecteurs et il s'applique à nouveau à trouver des scénarios originaux. Il cisèle son découpage avec efficacité et dynamisme. Il n'y a aucun temps mort ou de scènes superflues. Peu de scénariste sont capables de produire un récit avec autant d'efficacité. C'est bien là l'ultime marque d'un auteur qui était d'emblée mon préféré.
Le fait qu’une BD soit commerciale ne me déplaît pas pour autant. Quand je lis un Largo Winch, je passe un bon moment de détente même s’il y a les ingrédients habituels du genre. Le plaisir de la lecture compte beaucoup dans mon appréciation personnelle.
Par ailleurs, ce "milliardaire en blue jeans" ne se contente pas d'être beau, riche et doué pour l'action: il est aussi décidé à se servir de sa fortune pour mettre en pratique ses convictions humanistes. Respect pour Mister Winch! Que dire également des personnages secondaires qui sont devenus un atout majeur pour la série: on suit avec une certaine délectation les frasques de Simon Ovronaz et on rigole toujours de l'attitude très conservatrice de Dwight E. Cochrane, le numéro 2 du groupe W.
Je dois avouer que cette série est de l'une qui m'a fait apprécier la bande dessinée en général. C'était pour moi une grande révélation à l'époque de sa découverte. J'ai quand même hésité à mettre la note Culte sur cette série tant décriée. Je franchis le pas afin d'être en accord avec moi-même. Bon, je réalise qu’avec une telle note pour une telle série, je vais basculer dans la catégorie des lecteurs « grand public » du genre populaire. Cependant, j’assume totalement mes choix étant prêt même à les revendiquer !
Le succès du film tiré de la bd prouve que cette série est bien au-dessus du lot, qu'elle a marqué toute une génération. Il faut dire que depuis sa création il y a plus de 20 ans, Largo Winch est devenu une série culte, un véritable phénomène éditorial appuyé par un solide accompagnement marketing à la sortie d’une nouveauté ou d’une adaptation audiovisuelle. Onze millions d'albums se sont vendus dans le monde. Les adaptations cinématographiques s'enchaînent entraînant une nouvelle notoriété à ce personnage à travers un public qui ne lira jamais une bd.
A noter que le scénariste Van Hamme a passé le relai totalement à partir du tome 21. Cela se ressent bien évidemment mais bon. Il est vrai que cela donne n'importe quoi au niveau du scénario puisque ce bon Largo compte faire revenir son siège fiscal aux USA afin de payer ses impôts comme tout bon citoyen. La crédibilité en prendra un sacré coût.
Pour le fun, je vais détailler mes notes album par album :
Tome 1: L'héritier
Tome 2: Le groupe W
Tome 3: OPA
Tome 4: Business Blues
Tome 5: H
Tome 6: Dutch Connection
Tome 7: La forteresse de Maikiling
Tome 8: L'heure du tigre
Tome 9: Voir Venise...
Tome 10: ... et mourir
Tome 11: Golden Gate
Tome 12: Shadow
Tome 13: Le prix de l'argent
Tome 14: La loi du dollar
Tome 15: Les trois yeux du gardien du Tao
Tome 16: La Voie et la Vertu
Tome 17: Mer noire
Tome 18: Colère rouge
Tome 19: Chassé-croisé
Tome 20: 20 secondes
Tome 21: L'étoile du matin
Tome 22: Les voiles écarlates
Note Dessin : 4.25/5 – Note Scénario : 4.75/5 – Note Globale : 4.5/5


Plusieurs avantages à cette excellente série. Le fait qu'elle fonctionne par diptyques Elle nous fait voyager Elle est hautement distrayante Des intrigues qui impliquent le monde de la haute finance, même si nous sommes des néophytes cela passe bien, nous ne sommes pas noyés. Un peu de rêve, notre héros évoluant dans des sphères inatteignables peuplées de sublimes créatures! L'humour n'est jamais lourdingue Un dessin très plaisant et plus complexe qu'il pourrait y paraître. Au final quelque chose de très plaisant sans "prise de tête", personnellement je ne trouve pas que la série s'essouffle, en attente de la suite sans impatience mais j'achèterai.
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