Bon, les dessins et couleurs sont vraiment spéciales mais ça rend le tout très attirant...
Cela crée un atmosphere propre à cette serie et c'est très bien.
Le scénarii est vraiment sympa, ce premier tome se laisse dévorer tant on a envie de connaître le fin mot de l'histoire.
Un album de la collection "Loge noire" bien loin de ses comparses et c'est tant mieux, un peu de changement ne fait pas de mal, ici pas question de Jésus, ni de son frère jumeau, ni de son linceul...mais un scénarii vraiment original !
Vivement la suite !
En plus un p'tit ex-libris au début de la bd...c'est toujours sympa !
Mariko parade c'est l'histoire de plusieurs rencontres :
- un français & une japonaise
- un artiste & son modèle
- un dessinateur de BD européenne & un mangaka japonais
- une inspiration française & un cadre japonais
- un vécu & une romance (au lecteur de lui attribuer sa part de vérité)
Il en résulte une atmosphère envoûtante et sensuelle. Peut-être un ovni aux regards des productions des deux cultures, qui sait ?
Par contre, sa lecture me laisse un arrière-goût un peu "malsain"... cela est certainement du à la personnalité du mangaka français (introspection de Boilet - relation vis à vis des japonnaises cf. boilet.net), ainsi qu'aux incursions de son oeuvre dans l'ouvrage (qui ont le mérite d'alterner le style de dessin, de nous faire pénétrer dans le travail de l'auteur et la relation de celui-ci avec son modèle... mais qui fait un peu "remplissage" par moment). De temps à autre, l'ego de l'auteur prend le dessus et fait passer au second plan sa romance, le personnage de Mariko et les dessins de Takahama...
Bref une lecture très agréable dans l'ensemble qui attise notre côté "voyeur" (au point de souhaiter approfondir l'expérience avec l'épinard de yukiko - genèse de la romance des deux protagonistes).
PS : Si vous êtes fasciné par la culture et le mode de vie des japonais, allez faire un tour sur karoshi.report.free.fr, une autre vision d'occidental amusante sur ce pays (site d'un jeune français expatrié au japon)
Comme d'autres, je trouve que les deux tomes ne sont pas de la même qualité : le premier est très inférieur au second. Le sujet est fort mais il a déjà été tellement choisi que finalement on n'apprend pas grand chose et on a une constante impression de déjà vu : après avoir lu les livres sur Auschwitz, vu les films on lit la bd... Oui c'est horrible, incompréhensible etc. mais bon voilà, c'est encore un ouvrage parmi d'autres sur le sujet. Le plus c'est de voir le malaise du fils, le fait de ne pas avoir vécu la Shoah, de voir ses relations difficiles avec son père et la scène un peu cliché de la rencontre avec le noir américain. Le premier tome est plus fouilli que l'autre. Mais confronter les deux Vladek est assez intéressant, et de tenter ainsi de remarquer les traces d'Auschwitz sur sa personnalité. Mais bon j'ai été moins enthousiasmé que d'autres car j'ai déjà beaucoup lu et entendu sur ce sujet, notamment un séminaire en grande partie dessus, donc on finit par saturer malgré le côté très personnel et psychologique de Maus.
Pour le dessin et bien je dois dire que je n'aime pas du tout. C'est très gras, lourd, le mouvement est à peu près rendu mais les expressions passent très mal et sont parfois exagérées. Ok l'idée des souris, cochons et chats est bonne. Mais bon je trouve ça assez laid, surtout qu'après avoir lu des textes énormes on aimerait admirer une jolie petite case... Mais là non, on se contente de gros pâtés noirs surchargés... Bref moi le dessin j'aime pas !!
Au final, je ne savais pas trop quelle note mettre à cette bd culte pour beaucoup. J'aurais mis 3 au premier tome et 4 au second alors j'ai été généreux et j'ai mis 4. Pourtant j'ai eu beaucoup de mal à finir, mais c'est une lecture nécessaire.
Avec Luna et Leila, Ulf K. nous propose d'embarquer pour un moment de tendresse et de douceur vraiment revigorant. En humanisant des éléments comme la nuit et la lune, on se rapproche ici beaucoup de certains thèmes classiques des contes et légendes universels. Et avec sa bichromie inspirée, Ulf K. converge par moments sur certains univers qu'il partage avec David B. En effet avec "La première étoile" Ulf K. se rapproche du côté romantique du "Cheval Blême", son côté clair de lune, sans tous les thèmes bien plus obscurs que l'auteur gardois nous a habitué à lire.
Ici les personnages sont un peu mélancoliques, et le ton doux qu'adopte Ulf K. est un véritable enchantement. Par un simple regard, il parvient à faire passer beaucoup de ressentis, beaucoup d'émotion et il trouve la formule pour nous rappeler toute la magie de notre enfance. Car pour des œuvres comme celle-là, le mot "magie" n'est pas galvaudé et demeure fort, vrai, profond.
A l'image de ces histoires sans véritables structures, qui se rapprochent plus d'ambiances "jean qui rit / jean qui pleure", la poésie en BD est riche, sachons en profiter et nous endormir sur ses étoiles de coton…
Ce que Corbeyran n'a pas réussi, Callede et Denys le font !!!!
Une série qui donne toute sa dimension à la collection Insomnie, l'histoire de cette fille est terrifiante et l'effet est garanti le soir très tard. Tout a l'air extremement réel, les pensée de l'héroïne, la folie du père....
Les dessins sont très efficace et les couleurs collent parfaitement à la noirceur de l'histoire.
Un tome 1 qui m'a donné la chair de poule !!!
Espérons que le 2 soit du même niveau.
Excellente série. Il faut relativiser les aspects militaires (premiers tomes concernés). Il s'agit avant tout d'une série d'aventures bien documentées et bien racontées. Le thèmes évoqués sont instructifs sur les sujets d'actualité des époques concernées (après-guerre, Corée, guerre froide, cartels de la drogue,...). Le couple Charlier (scénario) et Hubinon puis Bergèse (dessin) a fonctionné à merveille pendant près de 40 ans. Le dessin réaliste de Hubinon puis Bergèse est superbe. Peu de dessinateurs actuels les égalent. Bref une série à recommander à tous.
Délirant. Voilà le mot qui résume le mieux cette BD d'un Mattioli très en forme. Les gags n'arrêtent pas: ça gesticule, ça frémit, ça rigole, ça mange, ça se complait dans le stupre, ça fornique, bref ça vit !
Le dessin est parfois proche de celui de Woodring sur un "Frank", le côté métaphysique en moins pour laisser place à du gros gag désopilant, délirant et c'est vrai, parfois un peu lourdingue. Mais les personnages de Mattioli ont des expressions vraiment réussies, ce dessin est un régal à détailler, un comics parfois aux allures d'underground, parfois avec des relents d'un classicisme délicieusement suranné. Ca n'arrête jamais et Bam Boom est un chat désopilant à qui il arrive des aventures complètement loufoques mais qui ne perd jamais de vue ses priorités dans la vie : rester cool.
Les dialogues superbement traduits de l'italien sont parfaitement restitués dans cette édition et participent eux aussi grandement à cette ambiance de joyeux bordel qui est propice à tous les éclats de rire possibles du lecteur. Alors oui c'est un peu "bête et méchant" mais sincèrement, des fois ça fait vraiment du bien ! Sans compter que le dessin façon cartoon de Mattioli fait vraiment mouche.
Le tout grand classique d'Alain Auderset, déjà culte pour la plupart des jeunes suisses qui se l'arrachent afin de découvrir ce qui est peut-être la plus extraordinaire oeuvre d'humour "philosophico religieux".
De l'humour noir foudroyant qui, en plus de faire rire, pousse parfois (souvent) le lecteur à reconsidérer certains de ses principes ou de ses idées.
"Dieu ? Moi je crois seulement ce que je vois" dit l'aveugle avant de tomber dans un ravin.
Voilà un exemple parmi tant d'autre de l'esprit de ce grand dessinateur empreint d'une profonde et authentique spiritualité.
Fabuleux !
Alors là c'est ce qui s'appelle un gros coup de cœur !
Et pourtant ce n'était pas gagné d'avance… Parce que moi, le style cyberpunk post-apocalyptique, a priori… Pas mon truc…
Ce qui m'a attiré d'abord, dans cette série, ce sont les superbes dessins de Guillaume Lapeyre et la délicate mise en couleur d'Elsa Brants… Il faut quand même que ça m'ait marqué parce que j'ai acheté la bd pour me la faire dédicacer sans l'avoir lue, ce qui est plutôt exceptionnel chez moi…
Le scénario ensuite… Excellent. Un univers glacé (au sens propre comme au figuré ;)), un côté baroque mais non dénué de finesse, des personnages auxquels on s'attache immédiatement…
Je viens de me rendre compte que ma critique comporte beaucoup d'adjectifs du type "super", "sublime", "merveilleux", et peu d'argumentation… Peut être que ça ne vous aiguillera pas trop dans votre décision d'achat… Mais la pauvreté de mon vocabulaire s'explique parce que cette bd a vraiment touché mon affectif… Chose rare… Je ne saurais trop développer les raisons techniques qui ont fait que je me suis laissée emporter par cette histoire… Disons qu'elle m'a touchée, tout simplement… Et là je me rends compte que peu importent ces fameuses raisons… Les Chroniques de Magon sont une excellente bande dessinée, voilà tout :)
Certaines des histoires de ce volume, sont vraiment bien senties. J'ai un faible pour celle par exemple, du voyageur perdu sur une planète et qui tourne en rond.... Celle qui ouvre l'album et qui voit le soldat conditionné flinguer ses responsables, n'est pas mal non plus. Le graphisme de bilal est trés soigné.
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Je suis morte
Bon, les dessins et couleurs sont vraiment spéciales mais ça rend le tout très attirant... Cela crée un atmosphere propre à cette serie et c'est très bien. Le scénarii est vraiment sympa, ce premier tome se laisse dévorer tant on a envie de connaître le fin mot de l'histoire. Un album de la collection "Loge noire" bien loin de ses comparses et c'est tant mieux, un peu de changement ne fait pas de mal, ici pas question de Jésus, ni de son frère jumeau, ni de son linceul...mais un scénarii vraiment original ! Vivement la suite ! En plus un p'tit ex-libris au début de la bd...c'est toujours sympa !
Mariko Parade
Mariko parade c'est l'histoire de plusieurs rencontres : - un français & une japonaise - un artiste & son modèle - un dessinateur de BD européenne & un mangaka japonais - une inspiration française & un cadre japonais - un vécu & une romance (au lecteur de lui attribuer sa part de vérité) Il en résulte une atmosphère envoûtante et sensuelle. Peut-être un ovni aux regards des productions des deux cultures, qui sait ? Par contre, sa lecture me laisse un arrière-goût un peu "malsain"... cela est certainement du à la personnalité du mangaka français (introspection de Boilet - relation vis à vis des japonnaises cf. boilet.net), ainsi qu'aux incursions de son oeuvre dans l'ouvrage (qui ont le mérite d'alterner le style de dessin, de nous faire pénétrer dans le travail de l'auteur et la relation de celui-ci avec son modèle... mais qui fait un peu "remplissage" par moment). De temps à autre, l'ego de l'auteur prend le dessus et fait passer au second plan sa romance, le personnage de Mariko et les dessins de Takahama... Bref une lecture très agréable dans l'ensemble qui attise notre côté "voyeur" (au point de souhaiter approfondir l'expérience avec l'épinard de yukiko - genèse de la romance des deux protagonistes). PS : Si vous êtes fasciné par la culture et le mode de vie des japonais, allez faire un tour sur karoshi.report.free.fr, une autre vision d'occidental amusante sur ce pays (site d'un jeune français expatrié au japon)
Maus
Comme d'autres, je trouve que les deux tomes ne sont pas de la même qualité : le premier est très inférieur au second. Le sujet est fort mais il a déjà été tellement choisi que finalement on n'apprend pas grand chose et on a une constante impression de déjà vu : après avoir lu les livres sur Auschwitz, vu les films on lit la bd... Oui c'est horrible, incompréhensible etc. mais bon voilà, c'est encore un ouvrage parmi d'autres sur le sujet. Le plus c'est de voir le malaise du fils, le fait de ne pas avoir vécu la Shoah, de voir ses relations difficiles avec son père et la scène un peu cliché de la rencontre avec le noir américain. Le premier tome est plus fouilli que l'autre. Mais confronter les deux Vladek est assez intéressant, et de tenter ainsi de remarquer les traces d'Auschwitz sur sa personnalité. Mais bon j'ai été moins enthousiasmé que d'autres car j'ai déjà beaucoup lu et entendu sur ce sujet, notamment un séminaire en grande partie dessus, donc on finit par saturer malgré le côté très personnel et psychologique de Maus. Pour le dessin et bien je dois dire que je n'aime pas du tout. C'est très gras, lourd, le mouvement est à peu près rendu mais les expressions passent très mal et sont parfois exagérées. Ok l'idée des souris, cochons et chats est bonne. Mais bon je trouve ça assez laid, surtout qu'après avoir lu des textes énormes on aimerait admirer une jolie petite case... Mais là non, on se contente de gros pâtés noirs surchargés... Bref moi le dessin j'aime pas !! Au final, je ne savais pas trop quelle note mettre à cette bd culte pour beaucoup. J'aurais mis 3 au premier tome et 4 au second alors j'ai été généreux et j'ai mis 4. Pourtant j'ai eu beaucoup de mal à finir, mais c'est une lecture nécessaire.
La Première Étoile
Avec Luna et Leila, Ulf K. nous propose d'embarquer pour un moment de tendresse et de douceur vraiment revigorant. En humanisant des éléments comme la nuit et la lune, on se rapproche ici beaucoup de certains thèmes classiques des contes et légendes universels. Et avec sa bichromie inspirée, Ulf K. converge par moments sur certains univers qu'il partage avec David B. En effet avec "La première étoile" Ulf K. se rapproche du côté romantique du "Cheval Blême", son côté clair de lune, sans tous les thèmes bien plus obscurs que l'auteur gardois nous a habitué à lire. Ici les personnages sont un peu mélancoliques, et le ton doux qu'adopte Ulf K. est un véritable enchantement. Par un simple regard, il parvient à faire passer beaucoup de ressentis, beaucoup d'émotion et il trouve la formule pour nous rappeler toute la magie de notre enfance. Car pour des œuvres comme celle-là, le mot "magie" n'est pas galvaudé et demeure fort, vrai, profond. A l'image de ces histoires sans véritables structures, qui se rapprochent plus d'ambiances "jean qui rit / jean qui pleure", la poésie en BD est riche, sachons en profiter et nous endormir sur ses étoiles de coton…
Dans la nuit
Ce que Corbeyran n'a pas réussi, Callede et Denys le font !!!! Une série qui donne toute sa dimension à la collection Insomnie, l'histoire de cette fille est terrifiante et l'effet est garanti le soir très tard. Tout a l'air extremement réel, les pensée de l'héroïne, la folie du père.... Les dessins sont très efficace et les couleurs collent parfaitement à la noirceur de l'histoire. Un tome 1 qui m'a donné la chair de poule !!! Espérons que le 2 soit du même niveau.
Buck Danny
Excellente série. Il faut relativiser les aspects militaires (premiers tomes concernés). Il s'agit avant tout d'une série d'aventures bien documentées et bien racontées. Le thèmes évoqués sont instructifs sur les sujets d'actualité des époques concernées (après-guerre, Corée, guerre froide, cartels de la drogue,...). Le couple Charlier (scénario) et Hubinon puis Bergèse (dessin) a fonctionné à merveille pendant près de 40 ans. Le dessin réaliste de Hubinon puis Bergèse est superbe. Peu de dessinateurs actuels les égalent. Bref une série à recommander à tous.
Awop Bop Aloobop Alop Bam Boom
Délirant. Voilà le mot qui résume le mieux cette BD d'un Mattioli très en forme. Les gags n'arrêtent pas: ça gesticule, ça frémit, ça rigole, ça mange, ça se complait dans le stupre, ça fornique, bref ça vit ! Le dessin est parfois proche de celui de Woodring sur un "Frank", le côté métaphysique en moins pour laisser place à du gros gag désopilant, délirant et c'est vrai, parfois un peu lourdingue. Mais les personnages de Mattioli ont des expressions vraiment réussies, ce dessin est un régal à détailler, un comics parfois aux allures d'underground, parfois avec des relents d'un classicisme délicieusement suranné. Ca n'arrête jamais et Bam Boom est un chat désopilant à qui il arrive des aventures complètement loufoques mais qui ne perd jamais de vue ses priorités dans la vie : rester cool. Les dialogues superbement traduits de l'italien sont parfaitement restitués dans cette édition et participent eux aussi grandement à cette ambiance de joyeux bordel qui est propice à tous les éclats de rire possibles du lecteur. Alors oui c'est un peu "bête et méchant" mais sincèrement, des fois ça fait vraiment du bien ! Sans compter que le dessin façon cartoon de Mattioli fait vraiment mouche.
Idées reçues
Le tout grand classique d'Alain Auderset, déjà culte pour la plupart des jeunes suisses qui se l'arrachent afin de découvrir ce qui est peut-être la plus extraordinaire oeuvre d'humour "philosophico religieux". De l'humour noir foudroyant qui, en plus de faire rire, pousse parfois (souvent) le lecteur à reconsidérer certains de ses principes ou de ses idées. "Dieu ? Moi je crois seulement ce que je vois" dit l'aveugle avant de tomber dans un ravin. Voilà un exemple parmi tant d'autre de l'esprit de ce grand dessinateur empreint d'une profonde et authentique spiritualité. Fabuleux !
Les Chroniques de Magon
Alors là c'est ce qui s'appelle un gros coup de cœur ! Et pourtant ce n'était pas gagné d'avance… Parce que moi, le style cyberpunk post-apocalyptique, a priori… Pas mon truc… Ce qui m'a attiré d'abord, dans cette série, ce sont les superbes dessins de Guillaume Lapeyre et la délicate mise en couleur d'Elsa Brants… Il faut quand même que ça m'ait marqué parce que j'ai acheté la bd pour me la faire dédicacer sans l'avoir lue, ce qui est plutôt exceptionnel chez moi… Le scénario ensuite… Excellent. Un univers glacé (au sens propre comme au figuré ;)), un côté baroque mais non dénué de finesse, des personnages auxquels on s'attache immédiatement… Je viens de me rendre compte que ma critique comporte beaucoup d'adjectifs du type "super", "sublime", "merveilleux", et peu d'argumentation… Peut être que ça ne vous aiguillera pas trop dans votre décision d'achat… Mais la pauvreté de mon vocabulaire s'explique parce que cette bd a vraiment touché mon affectif… Chose rare… Je ne saurais trop développer les raisons techniques qui ont fait que je me suis laissée emporter par cette histoire… Disons qu'elle m'a touchée, tout simplement… Et là je me rends compte que peu importent ces fameuses raisons… Les Chroniques de Magon sont une excellente bande dessinée, voilà tout :)
Mémoires d'outre-espace
Certaines des histoires de ce volume, sont vraiment bien senties. J'ai un faible pour celle par exemple, du voyageur perdu sur une planète et qui tourne en rond.... Celle qui ouvre l'album et qui voit le soldat conditionné flinguer ses responsables, n'est pas mal non plus. Le graphisme de bilal est trés soigné.