Âpre, violent, sombre, tranchant.
Voici une version beaucoup moins lisse que la plupart des adaptations de la série Conan le Cimmérien chez Glénat.
Si on n’est pas trop allergique aux lames et à la violence, c’est une très belle interprétation du mythe de Conan.
Un récit qui prend sa source dans plusieurs histoires originelles de Robert E. Howard, surtout « Au-delà de la rivière noire » avec les tribus pictes, et se situant pendant la période ou Conan est roi d’Aquilonie et dont le fils commence à tracer son propre chemin, ce qui permettra aux auteurs de développer une intéressante relation père-fils / roi-prince.
Un graphisme similaire à de la Dark Fantasy.
On sent les auteurs passionnés et très savants de la saga Conan.
C’est effectivement un très bel hommage.
Fascinant. Sur un navire, des parties d'échecs, ce qui fait qu'on a deux ruptures avec le reste du monde : géographique et symbolique. Je n'ai pas lu l'écrivain, mais à ce que j'ai relevé de mes collègues commentateurs, le dessinateur a fait preuve d'une créativité éblouissante en inventant la manière de montrer ce qu'il ne fait que suggérer. Donc, pour une fois, je ne vais pas sous-noter une adaptation ! Je trouve bien que tout ne soit pas aussi intense. Les échecs sont un monde dans le monde, il faut montrer comment le jeu prend place dans le monde, un peu comme on ne voit pas tout de suite le mystère dans les œuvres fantastiques dont cette bd a le climat. Les échecs ? Un monde dans le monde. La folie ? Aussi, et la folie des échecs comme résistance à un monde en folie, le joueur autodidacte s'étant raccroché au damier pour ne pas céder aux nazis. Le dessin et les couleurs ont quelque chose de l'époque, et semblent, en même temps, intemporels. Quelle perfection !
Le contraste entre la fascination qu'on a pour les vikings et la quotidienneté qu'on en voit fait la moitié du comique. J'aime aussi les dialogues et les dessins. On peut si on veut y voir une satire de l'Amérique mais je trouve le comique plus large que ça. En plus, j'aime bien tous les personnages qui n'ont rien de terrifiant. Un comique entre caustique et tendre. En plus, on n'oublie pas cette série.
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Une BD sur le ping-pong pleine d'humour avec de très bons gags. J'adore le dessin de Last. Cultissisme ! On en veut encore !!
Sang Barbare
Âpre, violent, sombre, tranchant. Voici une version beaucoup moins lisse que la plupart des adaptations de la série Conan le Cimmérien chez Glénat. Si on n’est pas trop allergique aux lames et à la violence, c’est une très belle interprétation du mythe de Conan. Un récit qui prend sa source dans plusieurs histoires originelles de Robert E. Howard, surtout « Au-delà de la rivière noire » avec les tribus pictes, et se situant pendant la période ou Conan est roi d’Aquilonie et dont le fils commence à tracer son propre chemin, ce qui permettra aux auteurs de développer une intéressante relation père-fils / roi-prince. Un graphisme similaire à de la Dark Fantasy. On sent les auteurs passionnés et très savants de la saga Conan. C’est effectivement un très bel hommage.
Le Joueur d'échecs (David Sala)
Fascinant. Sur un navire, des parties d'échecs, ce qui fait qu'on a deux ruptures avec le reste du monde : géographique et symbolique. Je n'ai pas lu l'écrivain, mais à ce que j'ai relevé de mes collègues commentateurs, le dessinateur a fait preuve d'une créativité éblouissante en inventant la manière de montrer ce qu'il ne fait que suggérer. Donc, pour une fois, je ne vais pas sous-noter une adaptation ! Je trouve bien que tout ne soit pas aussi intense. Les échecs sont un monde dans le monde, il faut montrer comment le jeu prend place dans le monde, un peu comme on ne voit pas tout de suite le mystère dans les œuvres fantastiques dont cette bd a le climat. Les échecs ? Un monde dans le monde. La folie ? Aussi, et la folie des échecs comme résistance à un monde en folie, le joueur autodidacte s'étant raccroché au damier pour ne pas céder aux nazis. Le dessin et les couleurs ont quelque chose de l'époque, et semblent, en même temps, intemporels. Quelle perfection !
Hägar Dünor le Viking
Le contraste entre la fascination qu'on a pour les vikings et la quotidienneté qu'on en voit fait la moitié du comique. J'aime aussi les dialogues et les dessins. On peut si on veut y voir une satire de l'Amérique mais je trouve le comique plus large que ça. En plus, j'aime bien tous les personnages qui n'ont rien de terrifiant. Un comique entre caustique et tendre. En plus, on n'oublie pas cette série.