Je ne pense pas être le cœur de cible, d’une histoire que je trouve davantage tournée vers un lectorat adolescent, plutôt qu’adulte (ma notation tient compte de ça, spontanément j'aurais arrondi à deux étoiles).
En tout cas j’ai lu cet album sans vraiment accrocher, sans réellement m’attacher aux personnages. C’est dommage, car Phénix et sa sœur Sacha ont des côtés originaux et attachants. Mais le récit n’a pas su me captiver suffisamment.
L’idée de l’emprise, de la violence subie par les deux filles de la part du nouveau copain de leur mère (et accessoirement le prof de la plus âgée) peut être intéressante. Mais le scénario reste trop imprécis sur plusieurs sujets.
D’abord je n’ai pas compris la situation de départ (et la fin n’éclaircit rien) : le père des filles absent – il revient sur la fin – a-t-il quitté leur mère ? Est-il seulement en voyage de travail ? Cette mère justement est souvent aussi absente – dans tous les sens du terme, elle est toujours en retrait.
Quant à son nouveau copain (situation qui pose questions par rapport à mes interrogations précédentes), j’ai trouvé très brutal son passage de copain idéal à dictateur d’intérieur, violent et menaçant avec les filles, qu’il coupe du monde.
Trop de questions sans réponse pour me convenir. J’ai traversé cette histoire sans enthousiasme.
Note réelle 2,5/5.
Un récit inégal, pas prise de tête, mais globalement c’est une lecture plaisante.
La mise en place est peut-être un peu longue, il y a aussi sans doute quelques personnages trop caricaturaux, et certaines situations sont un peu artificielles – en tout cas donnent l’impression de facilités scénaristiques.
Mais malgré ces petits reproches, c’est une histoire qui se laisse lire agréablement. Une fois que les quatre marins-pêcheurs ont mis la main dans l’engrenage (ils ont repêché par hasard des ballots de drogue en mer), l’intrigue s’accélère. Tous les personnages que nous avons découverts précédemment se retrouvent tous rapidement liés, en tout cas tous embarqués dans un jeu de massacre qui leur échappe.
C’est parfois expédié, parfois grotesque, avec quelques touches d’humour un peu gras (les deux jumeaux malfrats – en particulier le plus débile des deux, analpha-bête et presque poète avec se lapsus et autres créations verbales).
Une petite lecture détente sympathique.
Une histoire correcte, mais sans plus et cela m'a déçu parce que j'avais bien aimé certains récits de Rabaté. Ici, je trouve qu'il a un peu manqué d'inspiration.
Je retrouve son dessin que je trouve élégant et qui est le point fort. Le scénario raconte les vacances d'un jeune bourgeois coincé qui a un père militaire et qui pour une fois se retrouve seul à la maison pour les vacances. Il en profite pour passer du bon temps avec ses copains et ils rencontrent une jeune femme rebelle qui va faire basculer leurs vies. Il y a de la romance et une dénonciation de la violence venant d'une certaine bourgeoisie, mais je trouve que tout est un peu cliché.
Déjà au sujet de la romance, il y a le même problème que dans plein de récits écrits par des hommes: si je comprends pourquoi le héros est amoureux de cette femme malgré qu'elle apporte des ennuis, j'ai pas trop compris pourquoi elle s'intéressait à cet ado-presque adulte un peu coincé. En plus, son histoire personnelle est intéressante, mais ce n'est qu'effleuré et en plus elle est racontée par un personnage masculin. Le seul personnage féminin important de l'histoire est juste un gros fantasme ambulant, sauf dans la scène où elle est victime de la violence des méchants hommes issus de la société patriarcat.
Sinon, je trouve aussi que le récit n'approfondit jamais ses thèmes, mais c'est peut-être parce que j'ai toujours ressenti une distance entre les personnages et moi. Je n'ai pas été touché par leur histoire. Je trouve aussi que tout se résout facilement. Tellement facile qu'au final on peut se dire que la société est pas trop mal. On passe un mauvais moment et puis c'est tout !
La biographie est bonne, relativement fidèle (des connaissances éloignées que je connaisse sur Nellie Bly) et, malheureusement, assez maigre j'ai trouvé.
Le défaut inhérent à toute biographie : comment résumer en si peu de mots, d'images, de temps l'ensemble d'une vie ? Comment rendre le tout digeste et intéressant pour les lecteur-ice-s/spectateur-ice-s ? Question mine de rien pas si simple qu'elle en a l'air. En tout cas, bien souvent, les biographies décident de se centrer sur un aspect de la vie de la personne, de prendre une ligne directrice afin de ne pas trop s'éparpiller dans les milliards de "sous-intrigues" qui composent nos existences (je dis sous-intrigues dans le cas où l'on considèrerait une vie sous un angle précis, qui serait alors "l'intrigue principale").
Ici, on se centre sur la profession de Nellie Bly : le journalisme. On retrace ses débuts, ses motivations, son parcours et sa fin. Pas inintéressant, mais peut-être un peu trop large, en tout cas avec si peu de pages. Parce que là, j'ai vraiment eu l'impression d'avoir survolé un résumé sur la vie de Nellie Bly plutôt que d'avoir lu (et surtout vécu) son histoire. Pas le temps de s'attarder sur un épisode précis, on enchaîne deux pages après sur le suivant. Cela peut passer dans des documentaires retraçant des périodes historiques dont les grandes lignes sont au moins vaguement connues du grand public, mais quand il s'agit d'une personne en particulier je pense qu'il est préférable d'éviter d'être trop mince dans les explications et les développements d'idées.
Et l'intrigue annexe amenant Nellie à raconter son passé n'aide pas. Elle est intéressante et importante sur le papier, il faut montrer l'importance et l'impact qu'à eu Nellie Bly sur l'avancée des droits des femmes et les successeuses qu'elle a inspirée, mais ces passages sont tout aussi expéditifs, on ne s'intéresse pas vraiment au personnage qui nous y est présenté. Normal, vous me direz, nous sommes-là pour Nellie. Oui, mais si on ne s'attarde ni sur l'histoire de Nellie ni sur l'histoire romancée d'une jeune femme qu'elle a inspirée, qu'est-ce que l'album nous raconte ?
L'album n'est pas mauvais pour autant, mais je l'ai vraiment trouvé oubliable, la faute à la narration anecdotique et au caractère trop mince des explications. Les informations sur les actions et la vie de cette femme restent intéressantes à lire, je déplore juste la forme.
La petite présentation des journalistes féminines qui ont succédé à Nellie Bly à la fin de l'album était lui très intéressante.
Comme l'a dit l'un de mes prédécesseurs, Angor est une petite série d'héroic-fantasy agréable à lire.
Ce n'est pas une grand histoire, mais c'est distrayant et fait le job.
On a donc un trio de héros, deux ados et un gamin, qui se retrouvent en possession d'un objet magique leur permettant d'atteindre l'âge adulte, et qui vont se retrouver mêlés à une quête type "McGuffin".
Les personnages sont assez sympathiques, l'univers décrit crédible, mais l'histoire est cependant un peu simpliste et "facile". Surtout vers la fin, qui laisse une étrange impression d'avoir été précipitée, alors qu'elle annonce clairement un nouveau cycle dont on a jamais vu la couleur.
Donc une petite chose sans prétention pour faire passer le temps.
A la manière de la BD La Bête, il s'agit ici d'une BD hommage au génial Marsupilami.
La BD joue avec l'horizon d'attente du lecteur, les codes du genre, pour varier son approche, entre le sage hommage et celui insidieusement plus renversant.
Ainsi surviennent aussi bien les mêmes codes du récit d'aventure, le même décor verdoyant, la belle légèreté ironique de l'humour, que Franquin avaient génialement mis en place, mais cette vision du mythe est maintes fois bousculée : par ces éléments inauguraux de piraterie, l'insidieuse violence des rapports sociaux ou ce Marsupilami aux couleurs parfaitement reconnaissables mais à la bouille enfantine, joviale, semblable à un étrange mais familier doudou.
Le projet est très intéressant, à destination d'un public jeune, mais l'intrigue dévoile fort peu de surprise une fois la forêt amazonienne plantée et les peuples indiens ajoutés. C'est agréable à lire, très coloré, amusant ou dynamique, mais trop attendu et sans perfidie scénaristique venant enrichir un sage récit d'aventure.
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Tous les héros s'appellent Phénix
Je ne pense pas être le cœur de cible, d’une histoire que je trouve davantage tournée vers un lectorat adolescent, plutôt qu’adulte (ma notation tient compte de ça, spontanément j'aurais arrondi à deux étoiles). En tout cas j’ai lu cet album sans vraiment accrocher, sans réellement m’attacher aux personnages. C’est dommage, car Phénix et sa sœur Sacha ont des côtés originaux et attachants. Mais le récit n’a pas su me captiver suffisamment. L’idée de l’emprise, de la violence subie par les deux filles de la part du nouveau copain de leur mère (et accessoirement le prof de la plus âgée) peut être intéressante. Mais le scénario reste trop imprécis sur plusieurs sujets. D’abord je n’ai pas compris la situation de départ (et la fin n’éclaircit rien) : le père des filles absent – il revient sur la fin – a-t-il quitté leur mère ? Est-il seulement en voyage de travail ? Cette mère justement est souvent aussi absente – dans tous les sens du terme, elle est toujours en retrait. Quant à son nouveau copain (situation qui pose questions par rapport à mes interrogations précédentes), j’ai trouvé très brutal son passage de copain idéal à dictateur d’intérieur, violent et menaçant avec les filles, qu’il coupe du monde. Trop de questions sans réponse pour me convenir. J’ai traversé cette histoire sans enthousiasme. Note réelle 2,5/5.
Marée Blanche
Un récit inégal, pas prise de tête, mais globalement c’est une lecture plaisante. La mise en place est peut-être un peu longue, il y a aussi sans doute quelques personnages trop caricaturaux, et certaines situations sont un peu artificielles – en tout cas donnent l’impression de facilités scénaristiques. Mais malgré ces petits reproches, c’est une histoire qui se laisse lire agréablement. Une fois que les quatre marins-pêcheurs ont mis la main dans l’engrenage (ils ont repêché par hasard des ballots de drogue en mer), l’intrigue s’accélère. Tous les personnages que nous avons découverts précédemment se retrouvent tous rapidement liés, en tout cas tous embarqués dans un jeu de massacre qui leur échappe. C’est parfois expédié, parfois grotesque, avec quelques touches d’humour un peu gras (les deux jumeaux malfrats – en particulier le plus débile des deux, analpha-bête et presque poète avec se lapsus et autres créations verbales). Une petite lecture détente sympathique.
Sous les galets la plage
Une histoire correcte, mais sans plus et cela m'a déçu parce que j'avais bien aimé certains récits de Rabaté. Ici, je trouve qu'il a un peu manqué d'inspiration. Je retrouve son dessin que je trouve élégant et qui est le point fort. Le scénario raconte les vacances d'un jeune bourgeois coincé qui a un père militaire et qui pour une fois se retrouve seul à la maison pour les vacances. Il en profite pour passer du bon temps avec ses copains et ils rencontrent une jeune femme rebelle qui va faire basculer leurs vies. Il y a de la romance et une dénonciation de la violence venant d'une certaine bourgeoisie, mais je trouve que tout est un peu cliché. Déjà au sujet de la romance, il y a le même problème que dans plein de récits écrits par des hommes: si je comprends pourquoi le héros est amoureux de cette femme malgré qu'elle apporte des ennuis, j'ai pas trop compris pourquoi elle s'intéressait à cet ado-presque adulte un peu coincé. En plus, son histoire personnelle est intéressante, mais ce n'est qu'effleuré et en plus elle est racontée par un personnage masculin. Le seul personnage féminin important de l'histoire est juste un gros fantasme ambulant, sauf dans la scène où elle est victime de la violence des méchants hommes issus de la société patriarcat. Sinon, je trouve aussi que le récit n'approfondit jamais ses thèmes, mais c'est peut-être parce que j'ai toujours ressenti une distance entre les personnages et moi. Je n'ai pas été touché par leur histoire. Je trouve aussi que tout se résout facilement. Tellement facile qu'au final on peut se dire que la société est pas trop mal. On passe un mauvais moment et puis c'est tout !
Nellie Bly
La biographie est bonne, relativement fidèle (des connaissances éloignées que je connaisse sur Nellie Bly) et, malheureusement, assez maigre j'ai trouvé. Le défaut inhérent à toute biographie : comment résumer en si peu de mots, d'images, de temps l'ensemble d'une vie ? Comment rendre le tout digeste et intéressant pour les lecteur-ice-s/spectateur-ice-s ? Question mine de rien pas si simple qu'elle en a l'air. En tout cas, bien souvent, les biographies décident de se centrer sur un aspect de la vie de la personne, de prendre une ligne directrice afin de ne pas trop s'éparpiller dans les milliards de "sous-intrigues" qui composent nos existences (je dis sous-intrigues dans le cas où l'on considèrerait une vie sous un angle précis, qui serait alors "l'intrigue principale"). Ici, on se centre sur la profession de Nellie Bly : le journalisme. On retrace ses débuts, ses motivations, son parcours et sa fin. Pas inintéressant, mais peut-être un peu trop large, en tout cas avec si peu de pages. Parce que là, j'ai vraiment eu l'impression d'avoir survolé un résumé sur la vie de Nellie Bly plutôt que d'avoir lu (et surtout vécu) son histoire. Pas le temps de s'attarder sur un épisode précis, on enchaîne deux pages après sur le suivant. Cela peut passer dans des documentaires retraçant des périodes historiques dont les grandes lignes sont au moins vaguement connues du grand public, mais quand il s'agit d'une personne en particulier je pense qu'il est préférable d'éviter d'être trop mince dans les explications et les développements d'idées. Et l'intrigue annexe amenant Nellie à raconter son passé n'aide pas. Elle est intéressante et importante sur le papier, il faut montrer l'importance et l'impact qu'à eu Nellie Bly sur l'avancée des droits des femmes et les successeuses qu'elle a inspirée, mais ces passages sont tout aussi expéditifs, on ne s'intéresse pas vraiment au personnage qui nous y est présenté. Normal, vous me direz, nous sommes-là pour Nellie. Oui, mais si on ne s'attarde ni sur l'histoire de Nellie ni sur l'histoire romancée d'une jeune femme qu'elle a inspirée, qu'est-ce que l'album nous raconte ? L'album n'est pas mauvais pour autant, mais je l'ai vraiment trouvé oubliable, la faute à la narration anecdotique et au caractère trop mince des explications. Les informations sur les actions et la vie de cette femme restent intéressantes à lire, je déplore juste la forme. La petite présentation des journalistes féminines qui ont succédé à Nellie Bly à la fin de l'album était lui très intéressante.
Angor
Comme l'a dit l'un de mes prédécesseurs, Angor est une petite série d'héroic-fantasy agréable à lire. Ce n'est pas une grand histoire, mais c'est distrayant et fait le job. On a donc un trio de héros, deux ados et un gamin, qui se retrouvent en possession d'un objet magique leur permettant d'atteindre l'âge adulte, et qui vont se retrouver mêlés à une quête type "McGuffin". Les personnages sont assez sympathiques, l'univers décrit crédible, mais l'histoire est cependant un peu simpliste et "facile". Surtout vers la fin, qui laisse une étrange impression d'avoir été précipitée, alors qu'elle annonce clairement un nouveau cycle dont on a jamais vu la couleur. Donc une petite chose sans prétention pour faire passer le temps.
El Diablo
A la manière de la BD La Bête, il s'agit ici d'une BD hommage au génial Marsupilami. La BD joue avec l'horizon d'attente du lecteur, les codes du genre, pour varier son approche, entre le sage hommage et celui insidieusement plus renversant. Ainsi surviennent aussi bien les mêmes codes du récit d'aventure, le même décor verdoyant, la belle légèreté ironique de l'humour, que Franquin avaient génialement mis en place, mais cette vision du mythe est maintes fois bousculée : par ces éléments inauguraux de piraterie, l'insidieuse violence des rapports sociaux ou ce Marsupilami aux couleurs parfaitement reconnaissables mais à la bouille enfantine, joviale, semblable à un étrange mais familier doudou. Le projet est très intéressant, à destination d'un public jeune, mais l'intrigue dévoile fort peu de surprise une fois la forêt amazonienne plantée et les peuples indiens ajoutés. C'est agréable à lire, très coloré, amusant ou dynamique, mais trop attendu et sans perfidie scénaristique venant enrichir un sage récit d'aventure.