2.5
Cet album contient trois histoires d'amours et cela ne m'a pas trop marqué.
Il y a des qualités: le dessin est pas mal, il y a de bonnes scènes , chaque histoire a sa propre personnalité (par exemple, une d'elle a des éléments de science-fiction) et ça se laisse lire sans difficulté. Toutefois, je trouve qu'il y a des défauts. Si la première histoire ne m'a pas causé de problème, ce n'est pas le cas avec les deux histoires suivantes. Elles ne sont pas mauvaises, mais après avoir commencé ses deux récits avec enthousiasme, j'ai fini par me lasser un peu. Ces deux récits sont trop longs et l'autrice aurait gagné en fluidité en raccourcissant certains passages, surtout pour la seconde histoire qui ne semblait pas finir.
Au final, c'est pas trop mal si on veut une lecture feel good, mais l'album ne se débarque pas des centaines de productions qui sortent chaque année.
J’ai découvert à l’époque ce récit dans Lanfeust Mag, j’en gardais un bon souvenir ce qui a justifié mon emprunt.
Mon ressenti sur cette nouvelle lecture n’est ni bon ni mauvais. Il y a des choses que j’ai bien aimées, le nom du dessinateur déjà (même si c'est loin d’être sa meilleure prestation), le raccrochement au monde de Troy même si ça peut paraître un peu artificiel, le récit fonctionne aussi bien sans (ici, il y a juste un mage qui y fait référence) et l’exploration d’une terre que je ne connaissais pas et au fonctionnement encore différent d’Eckmul, les Baronnies ou le Darshan.
Malgré ça et si l’idée de base est sympa, une revisite du joueur de flûte d’Hamelin, le récit s’avère sans réelles surprises, pas d’attachement particulier de créé avec les protagonistes et l’humour déployé s’avère peu subtile (mais bon, conforme à la franchise).
Ça reste honnête et divertissant mais peu mémorable. Le résultat est quand même au dessus d’autres déclinaisons autour de l’univers.
C'est une série de strips comiques en quatre cases mettant en scène un couple de quadragénaires et leur grand adolescent. Les gags reposent tantôt sur les clichés liés à l'ado traînard et je-m'en-foutiste, tantôt sur la crise de la quarantaine que traversent les parents en instance de divorce, et parfois aussi sur leurs visites à la grand-mère en maison médicalisée, peu tendre avec sa famille.
Le dessin de Madaule est fluide et efficace, à mi-chemin entre la tradition franco-belge et le comic strip. La mise en scène, directe et lisible, fonctionne bien pour représenter un ado apathique face à des parents désabusés et perplexes. Le rythme humoristique est dans l'ensemble maîtrisé.
Les gags sont assez variables. Certains tombent un peu à plat, mais d'autres sont vraiment réussis et m'ont fait éclater de rire, surtout ceux centrés sur l'adolescent ou la grand-mère. Les scènes liées au couple m'ont moins marqué. Dommage que l'ensemble ne soit pas plus homogène, car la série aurait pu être une vraie recommandation. En l'état, j'ai passé un bon moment, avec plusieurs bons éclats de rire, mais je ne suis pas certain que l'humour parlera à tout le monde.
Une BD picaresque ! Le héros est un malin qu'on veut voir gagner car il est louable de ne pas accepter la misère. En même temps, on s'en moque un peu. Et de tous les personnages d'ailleurs : pas un pour racheter l'autre. Le dessin est bon et les couleurs aussi, sans qu'il ait de quoi s'enthousiasmer. Le final est surprenant, le reste moins. A lire, pas forcément à relire.
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2.5 Cet album contient trois histoires d'amours et cela ne m'a pas trop marqué. Il y a des qualités: le dessin est pas mal, il y a de bonnes scènes , chaque histoire a sa propre personnalité (par exemple, une d'elle a des éléments de science-fiction) et ça se laisse lire sans difficulté. Toutefois, je trouve qu'il y a des défauts. Si la première histoire ne m'a pas causé de problème, ce n'est pas le cas avec les deux histoires suivantes. Elles ne sont pas mauvaises, mais après avoir commencé ses deux récits avec enthousiasme, j'ai fini par me lasser un peu. Ces deux récits sont trop longs et l'autrice aurait gagné en fluidité en raccourcissant certains passages, surtout pour la seconde histoire qui ne semblait pas finir. Au final, c'est pas trop mal si on veut une lecture feel good, mais l'album ne se débarque pas des centaines de productions qui sortent chaque année.
Légendes de Troy - L'Heure de la Gargouille
J’ai découvert à l’époque ce récit dans Lanfeust Mag, j’en gardais un bon souvenir ce qui a justifié mon emprunt. Mon ressenti sur cette nouvelle lecture n’est ni bon ni mauvais. Il y a des choses que j’ai bien aimées, le nom du dessinateur déjà (même si c'est loin d’être sa meilleure prestation), le raccrochement au monde de Troy même si ça peut paraître un peu artificiel, le récit fonctionne aussi bien sans (ici, il y a juste un mage qui y fait référence) et l’exploration d’une terre que je ne connaissais pas et au fonctionnement encore différent d’Eckmul, les Baronnies ou le Darshan. Malgré ça et si l’idée de base est sympa, une revisite du joueur de flûte d’Hamelin, le récit s’avère sans réelles surprises, pas d’attachement particulier de créé avec les protagonistes et l’humour déployé s’avère peu subtile (mais bon, conforme à la franchise). Ça reste honnête et divertissant mais peu mémorable. Le résultat est quand même au dessus d’autres déclinaisons autour de l’univers.
Horace, ô désespoir
C'est une série de strips comiques en quatre cases mettant en scène un couple de quadragénaires et leur grand adolescent. Les gags reposent tantôt sur les clichés liés à l'ado traînard et je-m'en-foutiste, tantôt sur la crise de la quarantaine que traversent les parents en instance de divorce, et parfois aussi sur leurs visites à la grand-mère en maison médicalisée, peu tendre avec sa famille. Le dessin de Madaule est fluide et efficace, à mi-chemin entre la tradition franco-belge et le comic strip. La mise en scène, directe et lisible, fonctionne bien pour représenter un ado apathique face à des parents désabusés et perplexes. Le rythme humoristique est dans l'ensemble maîtrisé. Les gags sont assez variables. Certains tombent un peu à plat, mais d'autres sont vraiment réussis et m'ont fait éclater de rire, surtout ceux centrés sur l'adolescent ou la grand-mère. Les scènes liées au couple m'ont moins marqué. Dommage que l'ensemble ne soit pas plus homogène, car la série aurait pu être une vraie recommandation. En l'état, j'ai passé un bon moment, avec plusieurs bons éclats de rire, mais je ne suis pas certain que l'humour parlera à tout le monde.
Les Indes fourbes
Une BD picaresque ! Le héros est un malin qu'on veut voir gagner car il est louable de ne pas accepter la misère. En même temps, on s'en moque un peu. Et de tous les personnages d'ailleurs : pas un pour racheter l'autre. Le dessin est bon et les couleurs aussi, sans qu'il ait de quoi s'enthousiasmer. Le final est surprenant, le reste moins. A lire, pas forcément à relire.