On a tant dit qu'il fallait donner dans un mélange d'enseignement et de prêche pour empêcher le retour des génocides, de l'antisémitisme et des guerres, et cela bien sûr sans en empêcher l'éternel retour ! Alors le chantage à replongez dans cette époque ou du moins faites semblant, sinon, vous êtes en quelque sorte responsable du pire, ça ne marche pas sur moi, merci. Non plus que l'affirmation que qui laisse faire est plus responsable que les assassins, non mais, vive la révolte des porteurs de charentaises !
Mais la série a su m'attirer par la couverture, me séduire par le dessin, le découpage et l'absence de chantage moral porté par une histoire si originale. Le héros, si on peut parler d'un héros, ne fait qu'essayer de survivre, comme la plupart des gens, il se trouve simplement qu'il se révèle en mesure de s'enrichir en plus, il est victime car Juif, et complice des bourreaux , lui qui en profite largement, comme si une souris de Mauss avait partagé le repas des méchants chats nazis ! Cela ne fait pas de cette BD l'égale de Mauss, mais une sorte de prolongement, d'exception à la règle qui fait des chats et des souris des rôles sans ambiguïté. Il y a le bien et le mal, mais les êtres sont rarement de purs représentants des ténèbres ou de la lumière, ce que de rares circonstances peuvent mettre en exergue dans le cas de génocidaires face à leurs victimes.
Je pense que si l'enseignement, et non la matraquage, du passé est utile, des œuvres de fiction aussi prenantes que possible actualisent les connaissances par le déclanchement de l'empathie provoquée par la lecture de fiction. Bien sûr, cette empathie va en priorité aux personnages, mais aussi à tous les êtres : on lit par curiosité, on en sort un peu plus humain. Face à des héros, on prend quelque chose de leur ardeur vers l'excelllence, face à des non héros, on se rappelle de l'ambiguïté des êtres.
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Il était une fois en France
On a tant dit qu'il fallait donner dans un mélange d'enseignement et de prêche pour empêcher le retour des génocides, de l'antisémitisme et des guerres, et cela bien sûr sans en empêcher l'éternel retour ! Alors le chantage à replongez dans cette époque ou du moins faites semblant, sinon, vous êtes en quelque sorte responsable du pire, ça ne marche pas sur moi, merci. Non plus que l'affirmation que qui laisse faire est plus responsable que les assassins, non mais, vive la révolte des porteurs de charentaises ! Mais la série a su m'attirer par la couverture, me séduire par le dessin, le découpage et l'absence de chantage moral porté par une histoire si originale. Le héros, si on peut parler d'un héros, ne fait qu'essayer de survivre, comme la plupart des gens, il se trouve simplement qu'il se révèle en mesure de s'enrichir en plus, il est victime car Juif, et complice des bourreaux , lui qui en profite largement, comme si une souris de Mauss avait partagé le repas des méchants chats nazis ! Cela ne fait pas de cette BD l'égale de Mauss, mais une sorte de prolongement, d'exception à la règle qui fait des chats et des souris des rôles sans ambiguïté. Il y a le bien et le mal, mais les êtres sont rarement de purs représentants des ténèbres ou de la lumière, ce que de rares circonstances peuvent mettre en exergue dans le cas de génocidaires face à leurs victimes. Je pense que si l'enseignement, et non la matraquage, du passé est utile, des œuvres de fiction aussi prenantes que possible actualisent les connaissances par le déclanchement de l'empathie provoquée par la lecture de fiction. Bien sûr, cette empathie va en priorité aux personnages, mais aussi à tous les êtres : on lit par curiosité, on en sort un peu plus humain. Face à des héros, on prend quelque chose de leur ardeur vers l'excelllence, face à des non héros, on se rappelle de l'ambiguïté des êtres.