L’intrigue d’Hubert est originale dans son point de départ, il arrive facilement à nous faire accepter une incongruité. A savoir qu’une vieille dame (puis d’autres personnes) puissent continuer à vire, mortes parmi les vivants. Hubert développe ensuite son histoire autour de la vie de cette dame (que l’on découvre via des flash-backs), en introduisant peu à peu un côté polar un peu loufoque.
La narration est agréable et aérée, et, comme souvent, son compère Zanzim l’accompagne avec un dessin moderne et lui aussi agréable, simple.
La fin est un peu expédiée et sans doute trop « facile ». Petit hasard me concernant, j’ai lu ces deux albums juste après Bon voyage ?, et l’idée de finir sur une île déserte oubliée de tous semble avoir fait des émules…
Un diptyque sympathique (je l’ai lu dans l’intégrale). Sans doute pas ce qu’Hubert a fait de mieux, mais la lecture est plaisante.
Je précise que je ne suis pas adepte de ces réseaux (n’ayant été que sur What’s App, jamais sur les autres – même si je les connais un peu).
Même si je ne suis pas toujours d’accord avec l’auteur (je suis moins enthousiaste que lui par rapport à ces nouvelles technologies et préfère toujours avoir affaire à des êtres vivants et avoir un bouquin en mains), et si certains tics peuvent agacer (la narration est un peu « contaminée » par ces réseaux sociaux, avec un rythme un peu saccadé, et un « zapping » relatif), j’ai trouvé cette lecture intéressante, et recommandable.
L’auteur dialogue ici avec sa « fille » d’une vingtaine d’années (je ne sais pas si c’est un personnage fictif – peu importe d’ailleurs !) et nous présente l’historique du développement des réseaux sociaux, mais aussi les pièges qu’ils nous tendent, leurs « techniques commerciales » agressives. Et surtout ses recommandations pour s’en protéger sont plutôt sensées et à suivre. Et ces recommandations sont aussi bien exposées, c’est didactique et agréable à lire (le dessin, assez simple et centré sur les personnages – l’auteur et sa fille essentiellement – est lui aussi simple, agréable et efficace).
Un petit ouvrage à lire, alors que ces réseaux sociaux ont tendance à phagocyter nos vies. L’achat par des CDI ne serait pas inutile.
Ça se laisse lire facilement, le dessin est agréable, et la narration joue plutôt bien des flash-backs. Voilà donc un album qui peut convenir à pas mal de lecteurs. Surtout ceux cherchant une petite histoire feel good sans prétention.
Mais c’est un peu là que le bât blesse je trouve. C’est un peu trop sucré et plein de bonnes et belles intentions à mon goût. Et ça use d’un chouia trop de petites facilités. Même les « méchants » sont facilement amadoués, et le moment de tension dans l’avion est rapidement édulcoré. Tout ça m’empêche de mieux noter cette histoire.
Une histoire qui se laisse lire pourtant agréablement, comme je l’ai écrit, et qui nous présentent quelques pères Noël modernes souhaitant naïvement offrir un bonheur rare à quelques personnes choisies presque au hasard (même si habilement sélectionnées avec un questionnaires/jeu concours), au sortir de la guerre.
Une histoire qui manque d’aspérités donc, mais pas désagréable. Mais l’intérêt principal pour moi a été de découvrir ces gros hydravions, et les espoirs que la France avait placé en eux. Ainsi, le long dossier final est plutôt bien fait et intéressant. On finit donc cette lecture sur une très bonne note.
Une autre série de vengeance qui ne m'a pas intéressé.
Le scénario commence de manière très stéréotypé: le personnage principal marche sur les plates-bandes de gens influant et mystérieux qui vont détruire sa vie en tuant sa famille et l'accusant des meurtres et des années plus tard le type revient sur les lieux du crime. L'originalité est que la ville où se passent les événements est réputé pour ses démons et le héros finit par être possédé par l'un d'eux et redevient en plein forme après avoir été un légume pendant plus d'une décennie. Le coté surnaturel aurait pu me captiver et me faire admettre que le héros soit un super-badass qui peut tout faire vu qu'il y a du surnaturel, mais j'ai lu cette série sans passion.
On retrouve un peu les travers récurrent des mangas avec ses personnages qui surjouent leurs émotions et qui font des choses qui semblent un peu irrationnel pour un lecteur occidental. Rien dans l’histoire n’a retenu mon attention, même lorsqu'un méchant fait une grosse révélation à la fin du tome 1 et que celle-ci se confirme à la fin du tome 2. J'ai arrêté ma lecture au cours du tome 4, ayant marre de m'ennuyer un peu. Le dessin est correct, mais les scènes d'actions ne sont pas toujours faciles à comprendre.
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Ma vie posthume
L’intrigue d’Hubert est originale dans son point de départ, il arrive facilement à nous faire accepter une incongruité. A savoir qu’une vieille dame (puis d’autres personnes) puissent continuer à vire, mortes parmi les vivants. Hubert développe ensuite son histoire autour de la vie de cette dame (que l’on découvre via des flash-backs), en introduisant peu à peu un côté polar un peu loufoque. La narration est agréable et aérée, et, comme souvent, son compère Zanzim l’accompagne avec un dessin moderne et lui aussi agréable, simple. La fin est un peu expédiée et sans doute trop « facile ». Petit hasard me concernant, j’ai lu ces deux albums juste après Bon voyage ?, et l’idée de finir sur une île déserte oubliée de tous semble avoir fait des émules… Un diptyque sympathique (je l’ai lu dans l’intégrale). Sans doute pas ce qu’Hubert a fait de mieux, mais la lecture est plaisante.
Les réseaux sociaux et nos ados
Je précise que je ne suis pas adepte de ces réseaux (n’ayant été que sur What’s App, jamais sur les autres – même si je les connais un peu). Même si je ne suis pas toujours d’accord avec l’auteur (je suis moins enthousiaste que lui par rapport à ces nouvelles technologies et préfère toujours avoir affaire à des êtres vivants et avoir un bouquin en mains), et si certains tics peuvent agacer (la narration est un peu « contaminée » par ces réseaux sociaux, avec un rythme un peu saccadé, et un « zapping » relatif), j’ai trouvé cette lecture intéressante, et recommandable. L’auteur dialogue ici avec sa « fille » d’une vingtaine d’années (je ne sais pas si c’est un personnage fictif – peu importe d’ailleurs !) et nous présente l’historique du développement des réseaux sociaux, mais aussi les pièges qu’ils nous tendent, leurs « techniques commerciales » agressives. Et surtout ses recommandations pour s’en protéger sont plutôt sensées et à suivre. Et ces recommandations sont aussi bien exposées, c’est didactique et agréable à lire (le dessin, assez simple et centré sur les personnages – l’auteur et sa fille essentiellement – est lui aussi simple, agréable et efficace). Un petit ouvrage à lire, alors que ces réseaux sociaux ont tendance à phagocyter nos vies. L’achat par des CDI ne serait pas inutile.
Bon voyage ?
Ça se laisse lire facilement, le dessin est agréable, et la narration joue plutôt bien des flash-backs. Voilà donc un album qui peut convenir à pas mal de lecteurs. Surtout ceux cherchant une petite histoire feel good sans prétention. Mais c’est un peu là que le bât blesse je trouve. C’est un peu trop sucré et plein de bonnes et belles intentions à mon goût. Et ça use d’un chouia trop de petites facilités. Même les « méchants » sont facilement amadoués, et le moment de tension dans l’avion est rapidement édulcoré. Tout ça m’empêche de mieux noter cette histoire. Une histoire qui se laisse lire pourtant agréablement, comme je l’ai écrit, et qui nous présentent quelques pères Noël modernes souhaitant naïvement offrir un bonheur rare à quelques personnes choisies presque au hasard (même si habilement sélectionnées avec un questionnaires/jeu concours), au sortir de la guerre. Une histoire qui manque d’aspérités donc, mais pas désagréable. Mais l’intérêt principal pour moi a été de découvrir ces gros hydravions, et les espoirs que la France avait placé en eux. Ainsi, le long dossier final est plutôt bien fait et intéressant. On finit donc cette lecture sur une très bonne note.
Oni Goroshi
Une autre série de vengeance qui ne m'a pas intéressé. Le scénario commence de manière très stéréotypé: le personnage principal marche sur les plates-bandes de gens influant et mystérieux qui vont détruire sa vie en tuant sa famille et l'accusant des meurtres et des années plus tard le type revient sur les lieux du crime. L'originalité est que la ville où se passent les événements est réputé pour ses démons et le héros finit par être possédé par l'un d'eux et redevient en plein forme après avoir été un légume pendant plus d'une décennie. Le coté surnaturel aurait pu me captiver et me faire admettre que le héros soit un super-badass qui peut tout faire vu qu'il y a du surnaturel, mais j'ai lu cette série sans passion. On retrouve un peu les travers récurrent des mangas avec ses personnages qui surjouent leurs émotions et qui font des choses qui semblent un peu irrationnel pour un lecteur occidental. Rien dans l’histoire n’a retenu mon attention, même lorsqu'un méchant fait une grosse révélation à la fin du tome 1 et que celle-ci se confirme à la fin du tome 2. J'ai arrêté ma lecture au cours du tome 4, ayant marre de m'ennuyer un peu. Le dessin est correct, mais les scènes d'actions ne sont pas toujours faciles à comprendre.