Les derniers avis (20190 avis)

Par Pierig
Note: 2/5
Couverture de la série Les Caïds de la gaudriole
Les Caïds de la gaudriole

J’ai acheté cet album les yeux fermés, appréciant l’auteur et espérant y trouver de nouvelles élucubrations oubapiennes. Malheureusement, j’ai bien vite déchanté. Les ressorts narratifs oubapiens usités ne sont pas neufs pour celui qui a lu les albums de Lécroart parus chez L’Association. De plus, les récits centrés sur le "gène de l’humour" ne m’ont pas fait rire, un comble ! Je les trouve artificiels et sans saveur aucune. Reste la dernière histoire pas trop mal (quoique) qui est une allégorie de la bataille que se livrent bd européenne et nippone. Un conseil, préférez Cercle vicieux, Le Cycle, L'Elite à la portée de tous ou encore Pervenche & Victor du même auteur. Ces albums sont meilleurs et bien moins chers !

25/08/2008 (modifier)
Par Spooky
Note: 2/5
Couverture de la série Les Golfeurs
Les Golfeurs

Tiens, je pensais que les golfeurs faisaient déjà l'objet d'une série d'humour... Quoiqu'il en soit, c'est fait avec cette nouvelle série, réalisée par un duo de débutants... et de passionnés visiblement. Ils nous permettent d'entrer dans le "quotidien" des golfeurs, des fous du putt et des fondus du gazon. Mais comme la plupart des séries de ce type, les gags tombent un peu à plat, ils ne dérideront pas les fanatiques de la petite balle blanche, j'en ai peur. Personnellement je n'ai pas trouvé ça hilarant, tout juste ai-je esquissé un sourire à deux ou trois reprises. Pire, je trouve qu'il n'y a pas vraiment de pédagogie dans cette série, alors qu'elle aurait pu être - à l'instar de la série Les Zathlètes- un vecteur pour donner envie aux jeunes lecteurs... Le dessin est sympathique, typique de ce genre, et les couleurs sont pas mal. Mais ça s'arrête là...

23/08/2008 (modifier)
Par pol
Note: 2/5
Couverture de la série Dieu n'a pas réponse à tout
Dieu n'a pas réponse à tout

C’est rarement mon style de me jeter sur une nouveauté de ce genre et de l’acheter sans y avoir mûrement réfléchi, sans avoir pris un maximum d’avis à son sujet. Mais là je la sentais vraiment bien celle là. Le concept ouvrait la porte à tous les délires imaginables et laissait espérer de bons fous rires. Alors j’ai cédé à l’achat compulsif. Et je dois dire que je suis assez déçu. Ce n’est pas mauvais, non, mais les histoires sont très plates et je n’ai pas du tout eu les fous rires escomptés. L’auteur ne met pas à profit les possibilités que lui offrait son idée de départ. Pas de situations rocambolesques dues à des anachronismes par exemple. Non c’est plat, et dans le meilleur des cas j’ai un peu souris. Seul l’histoire avec Al Capone m’a vraiment fait rire, et sauve un peu l'ensemble. Au final c’est une BD moyenne dont je regrette l’achat aujourd’hui. Tiens un tome 2 ? sans moi...

20/01/2007 (MAJ le 22/08/2008) (modifier)
Par Tetsuo
Note: 2/5
Couverture de la série Übel Blatt
Übel Blatt

Le tome 0 ne correspond à rien, c'est quoi cette manie de lancer des séries où on teste histoire de savoir si les lecteurs vont accrocher. Je fais la même réflexion pour Berserk dont le premier tome fait tâche, on a l’impression de lire autre chose avec les tomes suivants. Et bien ici pareil, on a des bouts d’infos, très peu de compréhension, juste un style et une atmosphère. En parlant de Berserk, la comparaison avec Ubel Blatt se fait naturellement, du fait de leur genre, la Dark fantasy, (que je maitrise ma foi assez mal) et par leur traitement de l’histoire à grands renforts de monstres, de surprises et de flashback. A proprement parlé, ce manga n’est pas plus mauvais qu’un autre, mais j’avoue ne pas être parvenu à m’intéresser à la vie de Köinzell, le héros dont on suit les aventures. Pourtant, je dois dire que l’histoire est plutôt originale et intéressante, basée sur la vengeance et la manipulation. Mais la réalisation laisse à désirer, ce n’est pas parce qu’on obtient une bonne ébauche de scénario qu’on arrive à créer un récit cohérent et attractif. Le tout pêche par beaucoup d’invraisemblances et de petites touches de facilités qui à la fin finissent par être agaçante : le héros est bien brave, on a l’impression de retrouver souvent les mêmes éléments, les compagnons au grand cœur, les méchants vraiment cruels limite psychopathes sur les bords et tout se résout par des combats. Köinzell, le héros a trois attitudes : surpris, en colère ou le visage fermé. Il est surpuissant (forcément) avec ses quatre épées (oui oui 4) qui lui sortent du bras (de l'avant-bras plus précisément), parvient à ce sortir de toutes les situations, bref, LE héros dont paradoxalement je me suis détaché au fur et à mesure car je ne l’ai pas trouvé du tout charismatique et ses réactions ennuyeuses. Et dernière chose, le sexe qui survient de façon totalement inopinée et mal à propos… en plus faut voir les scènes présentées : tortures, viols, soumissions… que du bon goût ! Ah non encore une réflexion qui m’a bien fait marré, les litres de sang chaque fois qu’un gars est blessé, même lorsque l’entaille n’est pas plus gros que le pouce, le sang coule à flot, tellement qu’on peut remplir facile 2 tonneaux…

22/08/2008 (modifier)
Par Gaston
Note: 2/5
Couverture de la série Fagin le Juif
Fagin le Juif

Quelle déception ! Je m'attendais à un bon roman graphique de Eisner, mais ce ne fut pas le cas. La première partie racontant la vie de Fagin avant sa rencontre avec Oliver Twist ne m'a pas vraiment intéressé. Je trouvais les situations où Fagin se fait discriminer parce qu'il est juif très répétitives même si cela semble malheureusement proche de la réalité des juifs de cette époque. Ensuite, nous avons droit à un résumé du roman qui ne m'a pas captivé car j'ai déjà lu le livre original. Je ne voyais donc pas l'intérêt là-dedans étant donné que je savais ce qui allait se passer. La fin avec Fagin qui sermonne Dickins est très bonne, mais c'est trop peu pour sauver l'album.

22/08/2008 (modifier)
Par Pierig
Note: 2/5
Couverture de la série Dieu n'a pas réponse à tout
Dieu n'a pas réponse à tout

Une petite déception que cette série qui avait tout pour m’intéresser. Mais ces courts récits ne m’ont guère passionné, la faute à une trame répétitive et un contenu assez creux. J’attendais davantage d’humour, de situations cocasses ou burlesques mais rien de tout cela. Pourtant, il y avait "matière à" il me semble, en jouant sur le décalage temporel entre l’époque du vivant des personnages engagés par Dieu (datant parfois de plusieurs siècles) et l’époque contemporaine. Seule la toute fin avec la faveur accordée par Dieu à son "assistant" est parfois bien trouvée. Mais c’est bien peu de choses . . . Le dessin est quant à lui caractéristique des productions de Nicolas Barral. Le trait est sympathique bien que les proportions entre la tête et le corps des personnages sont parfois bizarres.

22/08/2008 (modifier)
Par pol
Note: 2/5
Couverture de la série Sir Arthur Benton
Sir Arthur Benton

Cette BD aurait pu (aurait dû) me plaire. J'apprécie généralement beaucoup les histoires d'espionnage et on est en plein dedans. Mais hélas, vraiment hélas, je ne suis pas arrivé à accrocher à cette série. Malgré deux tentatives, je n'ai pas dépassé le tome 1. La faute à un dessin qui n'est pas du tout ma tasse de thé. Je n'y arrive pas... Lorsque j'ai un doute sur l'identité du personnage qui prononce une phrase clé ou accomplit un acte de la plus haute importance pour l'intrigue, je lâche prise. C'est hélas ce qui se passe avec "Sir Arthur Benton". Et c'est d'autant plus gênant avec une histoire d'espionnage. Surtout quand l'histoire est rythmée et avance rapidement et qu'il faut faire passer un message au lecteur en quelques cases seulement.

21/08/2008 (modifier)
Par Spooky
Note: 2/5
Couverture de la série Zone d'ombre
Zone d'ombre

Je m'attendais à quelque chose d'assez médiocre en ouvrant cet album, d'après l'avis de Cassidy. Et finalement, eh bien c'est vraiment médiocre. Passons sur les incohérences relevées par mon camarade, elles sont indéniables et plombent déjà l'histoire. Ce qui m'a frappé, en plus, c'est la mollesse de l'histoire. Il n'y a aucune dynamique, on ne sent pas vraiment le scénariste impliqué dans ce qu'il écrit. On dirait qu'il n'y croit même pas. Aux deux tiers de l'histoire, j'ai carrément décroché. On se retrouve avec cette Garde grise de retour sur Terre, réincarnée temporairement dans des corps -mais pas n'importe lesquels-. D'un coup, ça m'est tombé des mains. Le dessin de John Romita Jr n'est vraiment pas extraordinaire, même s'il ne comporte pas de défauts insurmontables. C'est du travail de commande, sans âme (hihi), et c'est tout.

21/08/2008 (modifier)
Par Alix
Note: 2/5
Couverture de la série Death Note
Death Note

J’avais pourtant accroché au principe de base : cette partie d’échec psychologique que se livrent les deux « héros », jouant habilement avec les règles du « Death note », un peu à la manière d’Asimov et ses 3 règles de la robotique (voir le roman culte Les Robots, et non le film qui en est tiré !) J’avais même réussi à jouer le jeu et passer outre le côté pourtant très ado de l’ensemble (notamment le fait que les personnages principaux soient tous des lycéens surdoués, et l’apparition d’une héroïne super sexy et niaise au bout de quelques tomes) Et puis... je me suis tout simplement fatigué. Fatigué de ces tonnes de textes, qui sont peut-être nécessaires mais épuisants sur la longueur. Fatigué des retournements de situations incessants, de la complexité sans cesse renouvelée de l’intrigue... j’ai décroché en milieu de tome 5... et je ne lirai pas la suite, prévue pour bientôt, sauf peut-être si on me dit que cette dernière est géniale. Je reconnais des qualités au scénario (il est original, intelligent, cohérent…) mais pourquoi faut-il que tant de mangas tirent autant sur la longueur ?! (Monster, 20th Century Boys…)

19/08/2008 (modifier)
Par Tetsuo
Note: 2/5
Couverture de la série Cutie B
Cutie B

Bon je ne suis clairement pas la tranche d'âge ni le profil visés je pense. Cette histoire m'est passée carrément au-dessus de la tête. J'ai trouvé cela sans intérêt et creux, en gros on suit une ado atypique mais pas trop quand même, qui ressemble à l'ado femelle lambda qu'on peut rencontrer : dans la mode mais pas trop, indépendante mais pas trop, rebelle mais pas trop, jolie mais pas trop, intelligente mais pas trop, dans le mouv mais pas trop,... enfin tout mais pas trop. Justement trop conventionnel comme récit si bien qu'à la fin de ce premier tome je me demande encore le pourquoi d'une telle histoire. Quel intérêt ? Je n'en vois pas. Il n'y a rien, beaucoup de vide et du papier gâché. Même le mystérieux correspondant qui lui envoie des messages par msn, on s'en fout un peu de savoir qui c'est. Notre Cutie pour l'instant elle est malheureuse (on s'en fout aussi) et tout cela va sûrement déboucher sur une histoire d'amour avec Pierre, Paul ou Jacques ou p'têt les trois parce que notre Cutie elle est pas comme tout le monde. Ah si quand même, la première page semble présager d'un bon scénario, je me suis dit : "Tiens, une petite introduction sympathique et différente". Mais passée cette première étape, on tombe dans du classique pur. Reste le dessin dans l'ensemble maîtrisé et réussi. On aurait pu s'attendre à des couleurs flashies mais il n'en est rien, la colorisation adoucit le ton mielleux de la série. Bref, mention bien pour ce graphisme qui lorgne fortement vers le style manga, en particularité cette mauvaise manie de mettre des grands yeux aux héroïnes. Du shojo à la française.

19/08/2008 (modifier)