Dommage que cette série ce soit arrêtée, son cadre avait de l'allure. J'ignore la raison de cette interuption, les deux auteurs ont pourtant travaillé ensemble par la suite (série "Le Saumon").
L'album n'est cependant pas une pure réussite. Un des problème essentiel provient du fait que les premières scénes oniriques sont très prenantes et que l'intérêt du lecteur faiblit petit à petit dans le reste de l'album. Je ne suis pas expert en dramaturgie mais tout ce que je sais c'est que l'inverse est préférable à cette situation.
Le dessin de Wachs est très bon lorsqu'il s'agit de scènes nocturnes, en revanche les couleurs des scènes diurnes me dégoûtent un peu.
Etant donné la situation de cette série (arrêtée purement et simplement après un tome), je ne peux que vous la déconseiller.
Bon, c'est bien parce que la technique des oiseaux pour le pilotage des pétaures m'a bien fait marrer que j'accorde deux étoiles à cette bd. Sinon ça reste bien pipi-caca-cucul et la notion d'humour semble très restreinte dans cette tentative de "rentabilisons-à-mort-les-bds-qui-marchent" de Soleil.
C'est effectivement drôle si on connait l'univers ADD et les jeux de rôle. Mais ça reste quand même bien lourdingue, même si c'est cet aspect de dérision totale qui plait.
Achat conseillé aux initiés.
L'exemple type d'un monde génial d'originalité et d'un scénario prometteur qui ont été sabotés par un dessin de m####. OK il y en a qui peuvent aimer, moi-même je n'étais pas trop dérangé au début, mais il n'allait clairement pas en s'arrangeant et le tome 6 marque la fin du serial-gribouilleur. J'ai entendu dire qu'Arleston et Glaudel s'étaient fâchés, il me semble évident qu'Arleston, avec le scenar pourrissime qu'il a pondu pour le tome 6, a volontairement coulé Glaudel.
Bon, je n'ai lu que le premier tome...
L'originalité du scénario est là, y'a des trucs pas mal mais j'ai trouvé ça trop...comment dire, nunuche... J'ai presque l'impression d'avoir lu une Bd pour petiot... Et ça, ça m'a un peu pas beaucoup plue...
Les dessins, quand à eux, sont clairs, nets et "oxygénants"... Il n'y a pas de surcharge au niveau des pages et ça aide beaucoup à la lecture... Les couleurs sont impeccables... Bref, rien à dire sur les illustrations...
Pour résumé, je demande à voir la suite avant de me faire une idée définitive..
Un conflit intérieur s'est déclaré en moi. En tant qu'amateur de bds j'ai relativement aprécié celle-ci (en un seul tome par contre, la réédition est vraiment trop laide). Même le dessin m'a plu. En tant que fan inconditionnel de Tolkien et de toute sa merveilleuse oeuvre, j'ai difficilement pu contenir un cri de révolte. Non pas que l'on n'ait pas le droit de toucher à Bilbo, mais si on le fait, alors il faut le faire entièrement et exactement. De tels chef d'oeuvres ne permettent pas de simples adaptations.
Difficile de noter une bd dont les tomes vont du très bon au pire du très mauvais. Le début est très intéressant et se laisse lire facilement. Même si j'ai eu un peu de mal avec le dessin qui, me semble t'il, fait la même tête à tout le monde, le scénario laisse supposer une intéressante quête de personnalité. Malheureusement, les rebondissements du genre "je suis ton père!" et quelques tomes plus loin "et en fait non, je suis plus ton père"... c'est nul à ch###. Je n'ai pas pour habitude d'abandonner une série (surtout aussi longue) mais après le tome 14, j'ai renoncé. Donc ça ne vaut pas 1/5, mais pas 3/5 non plus.
achat conseillé: les 5 premiers tomes.
Autant le dire tout de suite, j'adore Bernard Werber et ses romans sont autant d'objets de vénération à mes yeux.
Mais là, franchement, j'ai été très déçu par la BD. Pourtant, le thème de départ et l'accroche « Exit : vous avez raté votre vie, réussissez votre mort » étaient plutôt prometteurs et excitants. Et tout au long des 3 tomes, Werber propose certaines idées intéressantes, mais l'ensemble me paraît complètement incohérent, et chose à laquelle il ne nous a pas habitué dans ses précédents bouquins, Werber tombe vite dans la facilité.
On passe d'une scène à l'autre sans véritable lien, le "ciment narratif" semble réduit au strict minimum. Tout s'enchaîne vite, pour la plupart du temps de manière invraisemblable et on a cette désagréable impression que l'auteur veut faire du spectaculaire à tout prix, au détriment du rythme général et de la cohérence de son récit. Peut-être est-ce dû au fait de vouloir trop bien faire, mais le mieux est malheureusement souvent l'ennemi du bien.
C'est d'autant plus dommage qu'on sent un véritable potentiel dans le postulat de départ.
Côté dessin, Mounier, puis Puech dans le dernier tome, produisent un travail honnête, sans prétention mais sans réelle force. Sans être désagréable, le dessin moyen ne rattrape pas la mauvaise impression générale que dégage le scénario.
Et que dire de la révélation finale et du dénouement de l'intrigue ? Encore une fois un problème de rythme à mon avis. La fin semble bâclée et compressée pour tenir coûte que coûte à la fin du troisième et dernier opus.
À mon grand regret, il s'avère vraiment que les idées et les recettes scénaristiques de Werber ne sont pas compatibles en l'état avec le médium BD. Développé en roman de quelques centaines de pages, le résultat aurait certainement eu un autre cachet, mais le format 3 x 48 pages me paraît totalement inadéquat.
Quel dommage, j'aurais tant aimé dire du bien de Werber. :(
J'hésite entre deux et trois étoiles. La série m'est sympathique mais je suis pourtant déçu. Par le dessin surtout, entre le tome 1 et 2, le style évolue dans un sens peu heureux...(observez la différence, dans la galerie, entre la première planche issue du tome 1 et la seconde provenant du tome 2). Dans le tome 2, on sent le dessinateur incertain, peu sûr de ses effets; certains personnages, visages et attitudes sont complètement figés, dans un style hétérogène qui hésite en permanence entre la bonhommie et le réalisme.
Ce genre de tatonnements enlève beaucoup du plaisir de lecture qu'on pourrait prendre avec des scénarii qui témoignent d'une certaine sensibilité, malgré certaines maladresses.
C'était pas mal, un par un, dans le journal de mickey... mais de là à acheter l'album, ça ne m'a jamais traversé l'esprit, ça se répète beaucoup trop et c'est le genre de gags qu'on oublie très vite et qui refait sourire, bien plus tard.
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Les Chiens du bord du monde
Dommage que cette série ce soit arrêtée, son cadre avait de l'allure. J'ignore la raison de cette interuption, les deux auteurs ont pourtant travaillé ensemble par la suite (série "Le Saumon"). L'album n'est cependant pas une pure réussite. Un des problème essentiel provient du fait que les premières scénes oniriques sont très prenantes et que l'intérêt du lecteur faiblit petit à petit dans le reste de l'album. Je ne suis pas expert en dramaturgie mais tout ce que je sais c'est que l'inverse est préférable à cette situation. Le dessin de Wachs est très bon lorsqu'il s'agit de scènes nocturnes, en revanche les couleurs des scènes diurnes me dégoûtent un peu. Etant donné la situation de cette série (arrêtée purement et simplement après un tome), je ne peux que vous la déconseiller.
Gnomes de Troy
Bon, c'est bien parce que la technique des oiseaux pour le pilotage des pétaures m'a bien fait marrer que j'accorde deux étoiles à cette bd. Sinon ça reste bien pipi-caca-cucul et la notion d'humour semble très restreinte dans cette tentative de "rentabilisons-à-mort-les-bds-qui-marchent" de Soleil.
Kroc le Bô
C'est effectivement drôle si on connait l'univers ADD et les jeux de rôle. Mais ça reste quand même bien lourdingue, même si c'est cet aspect de dérision totale qui plait. Achat conseillé aux initiés.
Les Maîtres Cartographes
L'exemple type d'un monde génial d'originalité et d'un scénario prometteur qui ont été sabotés par un dessin de m####. OK il y en a qui peuvent aimer, moi-même je n'étais pas trop dérangé au début, mais il n'allait clairement pas en s'arrangeant et le tome 6 marque la fin du serial-gribouilleur. J'ai entendu dire qu'Arleston et Glaudel s'étaient fâchés, il me semble évident qu'Arleston, avec le scenar pourrissime qu'il a pondu pour le tome 6, a volontairement coulé Glaudel.
Sillage
Bon, je n'ai lu que le premier tome... L'originalité du scénario est là, y'a des trucs pas mal mais j'ai trouvé ça trop...comment dire, nunuche... J'ai presque l'impression d'avoir lu une Bd pour petiot... Et ça, ça m'a un peu pas beaucoup plue... Les dessins, quand à eux, sont clairs, nets et "oxygénants"... Il n'y a pas de surcharge au niveau des pages et ça aide beaucoup à la lecture... Les couleurs sont impeccables... Bref, rien à dire sur les illustrations... Pour résumé, je demande à voir la suite avant de me faire une idée définitive..
Bilbo le Hobbit
Un conflit intérieur s'est déclaré en moi. En tant qu'amateur de bds j'ai relativement aprécié celle-ci (en un seul tome par contre, la réédition est vraiment trop laide). Même le dessin m'a plu. En tant que fan inconditionnel de Tolkien et de toute sa merveilleuse oeuvre, j'ai difficilement pu contenir un cri de révolte. Non pas que l'on n'ait pas le droit de toucher à Bilbo, mais si on le fait, alors il faut le faire entièrement et exactement. De tels chef d'oeuvres ne permettent pas de simples adaptations.
XIII
Difficile de noter une bd dont les tomes vont du très bon au pire du très mauvais. Le début est très intéressant et se laisse lire facilement. Même si j'ai eu un peu de mal avec le dessin qui, me semble t'il, fait la même tête à tout le monde, le scénario laisse supposer une intéressante quête de personnalité. Malheureusement, les rebondissements du genre "je suis ton père!" et quelques tomes plus loin "et en fait non, je suis plus ton père"... c'est nul à ch###. Je n'ai pas pour habitude d'abandonner une série (surtout aussi longue) mais après le tome 14, j'ai renoncé. Donc ça ne vaut pas 1/5, mais pas 3/5 non plus. achat conseillé: les 5 premiers tomes.
Exit
Autant le dire tout de suite, j'adore Bernard Werber et ses romans sont autant d'objets de vénération à mes yeux. Mais là, franchement, j'ai été très déçu par la BD. Pourtant, le thème de départ et l'accroche « Exit : vous avez raté votre vie, réussissez votre mort » étaient plutôt prometteurs et excitants. Et tout au long des 3 tomes, Werber propose certaines idées intéressantes, mais l'ensemble me paraît complètement incohérent, et chose à laquelle il ne nous a pas habitué dans ses précédents bouquins, Werber tombe vite dans la facilité. On passe d'une scène à l'autre sans véritable lien, le "ciment narratif" semble réduit au strict minimum. Tout s'enchaîne vite, pour la plupart du temps de manière invraisemblable et on a cette désagréable impression que l'auteur veut faire du spectaculaire à tout prix, au détriment du rythme général et de la cohérence de son récit. Peut-être est-ce dû au fait de vouloir trop bien faire, mais le mieux est malheureusement souvent l'ennemi du bien. C'est d'autant plus dommage qu'on sent un véritable potentiel dans le postulat de départ. Côté dessin, Mounier, puis Puech dans le dernier tome, produisent un travail honnête, sans prétention mais sans réelle force. Sans être désagréable, le dessin moyen ne rattrape pas la mauvaise impression générale que dégage le scénario. Et que dire de la révélation finale et du dénouement de l'intrigue ? Encore une fois un problème de rythme à mon avis. La fin semble bâclée et compressée pour tenir coûte que coûte à la fin du troisième et dernier opus. À mon grand regret, il s'avère vraiment que les idées et les recettes scénaristiques de Werber ne sont pas compatibles en l'état avec le médium BD. Développé en roman de quelques centaines de pages, le résultat aurait certainement eu un autre cachet, mais le format 3 x 48 pages me paraît totalement inadéquat. Quel dommage, j'aurais tant aimé dire du bien de Werber. :(
Le Blaireau
J'hésite entre deux et trois étoiles. La série m'est sympathique mais je suis pourtant déçu. Par le dessin surtout, entre le tome 1 et 2, le style évolue dans un sens peu heureux...(observez la différence, dans la galerie, entre la première planche issue du tome 1 et la seconde provenant du tome 2). Dans le tome 2, on sent le dessinateur incertain, peu sûr de ses effets; certains personnages, visages et attitudes sont complètement figés, dans un style hétérogène qui hésite en permanence entre la bonhommie et le réalisme. Ce genre de tatonnements enlève beaucoup du plaisir de lecture qu'on pourrait prendre avec des scénarii qui témoignent d'une certaine sensibilité, malgré certaines maladresses.
Les déblok
C'était pas mal, un par un, dans le journal de mickey... mais de là à acheter l'album, ça ne m'a jamais traversé l'esprit, ça se répète beaucoup trop et c'est le genre de gags qu'on oublie très vite et qui refait sourire, bien plus tard.