Les derniers avis (39150 avis)

Par corsica69
Note: 5/5
Couverture de la série De Cape et de Crocs
De Cape et de Crocs

J'adooooooooore "De Cape et de Crocs"! Pour moi,cette bd est le fleuron de ma bédéthèque. Elle est comique, bien dessinée et colorée. Les personnages sont drôles et bien recherchés. Mon personnage préféré est le petit lapin Eusèbe. Il est courageux et mignon tout plein. Cette bd est aussi pleine de références théâtrales. Si Molière et Racine avaient fait une bd, elle n'aurait pas été mieux.

19/10/2003 (modifier)
Par corsica69
Note: 5/5
Couverture de la série Garulfo
Garulfo

COAH? QU'EST-CE? Cette bd est dans la lignée de "De Cape et De Crocs", c'est-à-dire drôle et originale, avec Ayrolles au scénario. Tous les personnages sont attachants, et beaucoup de petits messages sont cachés (voir les formules magiques de la sorcière). Bref, cette bd est un des fleurons de ma bédéthèque. Achetez cette bd et vous ne pourrez la regretter!

19/10/2003 (modifier)
Couverture de la série Quarterback
Quarterback

Bonne série policière. Chauvel signe de nouveau un très bon scénario, servi par un dessin pas exceptionnel mais très correct de Kerfriden (quelques fois les personnages changent sensiblement de gueule entre chaque tome : par exemple, voir Wadco dans le premier tome et dans le 4ème), et des couleurs qui sont quant à elles remarquables. Les différents flashbacks tout au long de la série nous en apprennent toujours un peu plus sur les différents personnages au centre de l'intrigue, et l'on ne découvre la vérité sur cette affaire que dans la dernière partie du dernier tome : jouissif!!! Pour qui aime les bons polars, n'hésitez pas une seconde : c'est du bon!

19/10/2003 (modifier)
Par Nemesis
Note: 4/5
Couverture de la série The Red Star
The Red Star

Une magnifique série qui m'a fait découvrir les comics. Un must pour tous les fans de science-fiction ! Un univers cohérent, un dessin très expressif, appuyé par de belles images de synthése pour les véhicules militaires, bref, une très bonne série bien loin des super-héros des comics.

19/10/2003 (modifier)
Par Nemesis
Note: 4/5
Couverture de la série I
I"s

Je ne lis pas beaucoup de mangas, mais celui-là m'a sauté à l'oeil ! L'histoire de ce pauvre Seto, tellement réelle, est très attachante. Ici pas de combats, d'univers irréel. Tout est vrai, on s'identifie très facilement à Seto, et son problème qui est arrivé ou arrivera à la plupart d'entre nous. Un très beau manga !

19/10/2003 (modifier)
Par Ro
Note: 4/5
Couverture de la série La Malédiction des sept boules vertes
La Malédiction des sept boules vertes

Voilà une série BD vraiment particulière et assez méconnue. De prime abord, elle parait destinée à la jeunesse. Son dessin est simple, l'histoire paraît sans profondeur, et même le héros est un gamin. Et pourtant en la lisant, on sent dès le départ que les choses sont un peu étranges. Le héros "gamin" agit bien souvent comme un adulte, l'imaginaire se mélange souvent avec la réalité de l'histoire, des références apparaissent périodiquement comme cette bouteille au goulot en forme de diable qui semble suivre le héros sans qu'on sache pourquoi… Le scénario des premiers tomes rappelle Bilbo le Hobbit puis ensuite Le Seigneur des Anneaux, mais au bout de 3 ou 4 tomes, les choses deviennent totalement originales, parfois presque oniriques. Le héros devient immortel, ce qui explique son comportement adulte dans un corps d'enfant, comme si dès le départ, une boucle temporelle l'avait fait entamer son histoire du tome 1 avec la connaissance qu'il a acquise au moins à partir du tome 4... Et pourtant rien n'est expliqué là-dessus et seul le lecteur doit s'expliquer ces étrangetés. Puis on suit Giulio dans ses aventures de plus en plus originales et étranges tandis qu'il cherche à perdre son immortalité, ou à découvrir un animal mythique imaginaire… En résumé, le scénario de cette série est surprenant et on ne s'attend pas du tout à ça quand on voit la couverture de ces BD. A lire car il s'agit là d'une vraie curiosité.

18/10/2003 (modifier)
Par LoOg
Note: 5/5
Couverture de la série Angus Powderhill
Angus Powderhill

Le scénario est fantastique et le dessin a une très forte personnalité tout en servant à merveille le récit... La trame principale est accompagnée de multiples sous-récits pour obtenir à la fin un récit très riche et intelligent... Bref, la seule série d'heroïc fantasy actuelle qui a sa dynamique propre et qui n'est pas une resucée d'autres bouquins... Bravo!

18/10/2003 (modifier)
Couverture de la série Live war heroes
Live war heroes

Quelle belle surprise ! Le dessin me repoussait un peu à cause de la première planche où j’ai vu une tête mal faite, mais en feuilletant l’album, je me suis aperçu que c’était le seul défaut de ce côté là. Ensuite les couleurs sont très bien réalisées, nous avons l’utilisation de la peinture (gouache ?), c’est joli. Mais moi j’aime bien quand il y a plein de couleurs dans l’album, or ici on a beaucoup l’utilisation de la couleur marron, peut-être est-ce une symbolique visant à accentuer l’impression d’un monde futur de merde. Enfin, le scénario est très bien fait, je le trouve original, démontrant déclins de la TV réalité, magouilles, et pouvoirs d’influence de la télévision sur les gens. Pour finir, je dirai que c’est un bon album agréable à lire qui mérite bien sa note. Cet album coûte 12€90, mais il faut dire qu’il fait 54 pages. A lire.

18/10/2003 (modifier)
Par garath
Note: 4/5
Couverture de la série Live war heroes
Live war heroes

Oui, vraiment une bonne surprise! Le mélange des deux époques est savamment distillé par les deux tons de couleurs, empêchant le lecteur de s'embrouiller. De plus, le scénario est, sans être des plus novateurs (la télé-réalité apparaissant de plus en plus dans la BD) est bien contruit. Seule question restant en suspens : quel est le rôle de la dernière planche (celle après l'épilogue)?

18/10/2003 (modifier)
Par JBT900
Note: 4/5
Couverture de la série Une Aventure de Jeanne Picquigny
Une Aventure de Jeanne Picquigny

L'afrique, ou plutôt l'Afrique, avec un grand A… Ses grands fauves, sa brousse, ses baobabs, ses rivières dangereuses et leurs traversées périlleuses. L'Afrique… Sa chaleur, ses guides, son immensité, ses mystères, ses croyances… Avec La tendresse des crocodiles, Bernard nous offre une invitation au voyage qui s'ouvre sur un moment d'évasion et de rêve, une parenthèse d'oxygène dépaysante. Pourtant les héros n'ont rien de révolutionnaire, avec une Jeanne Picquigny lancée à la recherche de son père dans un pays qui la fascine et qui l'effraye, et Eugène Love Peacock, un guide arrogant, machiste et porté sur la bouteille. Cette confrontation présente des airs de maintes fois vu et revu. Pourtant, Bernard ne cherche pas à aller dans la surenchère, il se laisse porter par son histoire et à défaut d'originalité, les personnages sont vrais et crédibles. En revanche, Bernard parvient à installer une ambiance superbe grâce à des parfums d'Afrique qu'il distille à bon escient. Pas trop de clichés, mais juste un peu pour que les béotiens (moi le premier) se sentent ailleurs, pas trop de mystères et d'allusions aux croyances locales pour ne pas obscurcir le récit, mais suffisamment pour entretenir le mystère, pas trop de planches de paysages pour ne pas verser dans le dépliant touristique, mais juste assez pour faire rêver. Jusqu'au bout, on ignore bien ce qu'il va se passer et surtout on ignore ce qui explique la disparition du professeur Modeste Picquigny. Quant aux dessins, ils sont vivants et jamais figés, ils m'ont donné l'impression de varier selon les situations, ce qui donne vraiment une âme à ces personnages. Certaines planches pleine page sont en plus carrément splendides, avec un contraste noir et blanc simple mais qui permet bien des effets (la traversée d'une mare dans laquelle se reflètent les troncs d'arbres m'a enchanté). Bon, il y a toutefois une ombre au tableau (oui, quand même). C'est très long à se mettre à place, très long à venir, et une fois le nœud de l'histoire atteint, tout se désagrège un peu trop rapidement à mon goût. On arrive alors sur un tableau final qui laisse une impression mitigée, comme si on venait de passer à côté d'une très grande bande dessinée, juste pour quelques détails parmi lesquels un déséquilibre narratif. Trop lent au début, magnifiquement conduit sur la suite et trop désuni sur la fin. Mais que cela ne vienne pas nous faire bouder notre plaisir car La tendresse des crocodiles n'est pas simplement un titre inspiré, c'est un excellent album !

17/10/2003 (modifier)