Une BD qui traite du paranormal sous un aspect totalement inédit: celle de la découverte d'une nouvelle science offrant ainsi des possibilités jusqu'ici inconnu pour l'humanité. L'enjeu est de taille. Il y a des références historiques bien précises qui sonnent vrai.
Notre héros Alister Kayne, pragmatique et sceptique, cherche à démystifier les mystères de ce monde et va s'opposer au fameux auteur de Sherlock Holmes à savoir Sir Conan Doyle. Les deux hommes ont le même objectif mais les politiques d'action sont différentes.
Qu'est ce qui prêche alors ? :?) Ce récit est totalement décousu et le lecteur peut se perdre sur le fil de la compréhension du parcours d'Alister Kayne.
Lecteur en quête de spiritisme, cette BD est faite pour vous. Sinon, on peut toujours la lire pour se faire une idée.
Cela m'arrive rarement mais je l'ai fais. Vendre une bd que je possède. Un acte presque sacrilège ! :(
Ce n'est pas que cette bd soit foncièrement mauvaise sur le fond et la forme mais c'est qu'elle n'apporte plus rien dans un paysage de la bd bien remplie d'histoire et de scénario similaires.
Les personnages sans âmes et stéréotypés qui peuplent cette bd ont eu raison de ma patience. Un premier album de présentation suivi d'un second qui multiplie les rebondissements dans le milieu des diamantaires. Une intrigue très simpliste que souligne un récit sans épaisseur. Une histoire qui finit toujours très bien et des méchants qui disparaissent dans d'atroces souffrances... Bon, je vais arrêter là ! :(
Jusqu'à présent, quand je lisais des critiques qui fustigeaient les éditions Soleil, je ne comprenais pas... Universal War One ou encore Le Fléau des Dieux, plus récemment Sky Doll et le mythique Lanfeust De Troy font pourtant partie de mes lectures favorites.
Ici, la lecture est très agréable et le dessin n'est pas franchement laid mais cette caricature du prince qui sait tout et qui a assez d'argent pour s'acheter une armée, du petit moine magicien et de la guerrière dans son superbe costume noir (et avec le fouet !) m'indiffère totalement.
L'oncle félon massacre toute la famille mais répugne à avoir sur les mains le sang de son neveu, curieux ça et surtout très pratique ! Le neveu oubliera vite sa défunte épouse dans les bras d'une créature charnelle. En guise d'explication, il refuse de penser à sa défunte le jour. Mon Dieu, que c'est cul cul la praline...
La maison "Soleil", on y côtoie le meilleur mais également le pire !!! :(
Quand j'ai emprunté naïvement cette Bd au chiffre démoniaque 666 en 6 tomes, j'ai subi le regard un peu désapprobateur de la bibliothécaire de mon petit village. J'ai pas compris le pourquoi sur le coup.
Ayant entamé la lecture, j'arrive désormais à me faire un avis. C'est pire que basique avec le père Carmody qui tire sur tout ce qui bouge à l'image du soldat moyen.
Par ailleurs, la provocation y est tout à fait gratuite. Bien sûr, on peut dire qu'il ne faut pas la lire au premier degré mais ce n'est pas un argument. Dans Les Feux d'Askell ou plus récemment Les Aigles de Rome, par exemple, les scènes de sexe étaient amenés avec goût dans une mise en scène. Ici, c'est une débâcle d'effets pervers sans aucune justification. La scène du viol de la journaliste par un démon étant le summum d'une crétinerie jamais atteinte jusque là.
Pourtant, je ne donnerai pas la pire note. Est-ce dans un élan de générosité ? La lecture est plaisante, on s'amuse bien. Les dessins des scènes de guerre sont parfois grandioses. Cela détend !
Il manque beaucoup de mesure et d'intelligence à cette série: cela est certain !
Me concernant, je suis assez déçu de cette série, alors que plusieurs avis précédents me laissaient entrevoir un chef d’œuvre.
Est-ce le scénario ? Les dessins ? Il ne fait aucun doute que, comme pour d’autres posteurs, j’ai été déçu du dernier opus. Cette déception est grande car la qualité de la série prend un gros coup dur dans le troisième volet, tant ce dernier n’arrive pas à suivre la qualité du récit et l’excellence impressionnante de la qualité graphique des deux premiers albums.
Je reconnais que la poésie est présente dans l’ensemble de ce triptyque ; les textes sont raffinés, envoûtants et émouvants. Le premier et le deuxième opus sont contrastés dans leur rythme et dans les thèmes développés. C’est bien construit et le lecteur se prend de passion pour cette histoire d’amour impossible.
Le dernier opus prend un tout autre chemin et cela ne convient pas à ce qui avait été proposé. A la limite, je pense qu’il aurait été possible de poser le mot "FIN" très correctement avec un diptyque.
Dans le thème du conte, j’orienterais sans hésiter le lecteur vers L'Autre Monde, ouvrage qui relève du génie et tellement plus cohérent dans son ensemble.
Pour ce qui concerne l’achat conseillé, c'est au lecteur de voir s’il prend le pari de déjà se dire que le tiers de l’histoire est médiocre comparé au génie du début… Bof bof dans l'ensemble; à lire une fois, sans plus.
Une note assez salée pour une BD pourtant pas mauvaise du tout.
Le dessin, comme l'on peut si attendre avec B Tillier, est très beau avec une colorisation affirmée tout en couleur directe comme j'apprécie de plus en plus.
Le scénario nous livre une histoire avec deux personnes vivant avec un lourd passé.
A partir de là, se déclenche un scénario tournant autour du personnage du père noël qui apporte le positif dans l'histoire des 2 personnages.
Malheureusement, je n'ai pas ressenti grand chose malgré la gravité des situations.
Il n'y a pas la petite étincelle apportant le plus.
D'autres la trouveront peut être...
Au début sur les 2 premiers tomes, on est forcément intrigué. Rork reste très mystérieux et on cherche les clefs pour comprendre et assembler le puzzle de ses aventures. Mais finalement, très vite on sent la série à rallonge qui n'en finit jamais. Les aventures de Rork prennent des dimensions qui s'éloignent de toute réalité, toute limite, des invraisemblances commencent à se produire... bref, les défauts types des séries sans fin.
Et comme le dessin est d'un classicisme un peu vieillot, cette série porte peu d'intérêt pour moi.
Une BD lue totalement par hasard et qui ne se révèle pas terrible ni pour le scénario ni pour le dessin.
Le dessin est très inspiré de Bilal. Cela se voit partout, dans les décors urbains un peu sales, l'ambiance vaporeuse, les couleurs, les teintes cadavériques des peaux des personnages. Cela va même jusqu'à certains plans qui sont presque repris comme celui de la coupure dans la salle de bain.
Mais Pascal Somon n'a vraiment pas le niveau technique de Bilal. Les perspectives sont plates, les couleurs froides et lisses, les décors vides aussi souvent que possible, les personnages sont laids et figés. Ce sont surtout les nez parfois décharnés selon les angles qui affirment à mes yeux le défaut de maîtrise du dessinateur.
Le scénario non plus ne m'a pas vraiment plu. Commençant de manière assez classique, un gars qui sort de prison et qui raconte son passé, il met en scène un héros assez antipathique. Enfant gâté malgré la perte de son père, il se révèle un mari détestable et un homme égoïste et idiot. Jusqu'au drame qu'on voit venir des pages à l'avance.
Et l'auteur n'hésite pas à récupérer telle quelle la clé scénaristique de la nouvelle Le Chat Noir d'Edgar Poe pour amener la conclusion de son intrigue. J'ai bien du mal à considérer cet emprunt éhonté comme un hommage.
Bref, voilà une BD qui sortira bien vite de ma mémoire.
Décidément, les oeuvres de Blutch et moi ça fait deux.
Dans cette BD je n'ai pas trouvé grand chose de positif : le dessin ne me plait pas vraiment, c'est original, personnel mais ....
Le blocage se localise surtout sur le scénario, je n'ai pas vraiment compris où voulait en venir l'auteur. Certains passages sont limite malsains.
Ce one shot est inclassable et pourrait être classé dans une catégorie "BD concept", mais en l'occurrence un concept qui m'échappe.
J'ai lu toutes les aventures de ce viking dans le Journal de Mickey durant ma plus tendre enfance. Je n'ai pas gardé un souvenir mémorable de cette bd qui n'était pas véritablement drôle et qui jouait surtout d'une certaine consonance avec des éléments modernes. Que dire du dessin ? Pas grand chose également. Le style est assez minimaliste. Il est vrai que dans le genre, je préférais nettement Pim Pam Poum.
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Alister Kayne
Une BD qui traite du paranormal sous un aspect totalement inédit: celle de la découverte d'une nouvelle science offrant ainsi des possibilités jusqu'ici inconnu pour l'humanité. L'enjeu est de taille. Il y a des références historiques bien précises qui sonnent vrai. Notre héros Alister Kayne, pragmatique et sceptique, cherche à démystifier les mystères de ce monde et va s'opposer au fameux auteur de Sherlock Holmes à savoir Sir Conan Doyle. Les deux hommes ont le même objectif mais les politiques d'action sont différentes. Qu'est ce qui prêche alors ? :?) Ce récit est totalement décousu et le lecteur peut se perdre sur le fil de la compréhension du parcours d'Alister Kayne. Lecteur en quête de spiritisme, cette BD est faite pour vous. Sinon, on peut toujours la lire pour se faire une idée.
Les Eternels
Cela m'arrive rarement mais je l'ai fais. Vendre une bd que je possède. Un acte presque sacrilège ! :( Ce n'est pas que cette bd soit foncièrement mauvaise sur le fond et la forme mais c'est qu'elle n'apporte plus rien dans un paysage de la bd bien remplie d'histoire et de scénario similaires. Les personnages sans âmes et stéréotypés qui peuplent cette bd ont eu raison de ma patience. Un premier album de présentation suivi d'un second qui multiplie les rebondissements dans le milieu des diamantaires. Une intrigue très simpliste que souligne un récit sans épaisseur. Une histoire qui finit toujours très bien et des méchants qui disparaissent dans d'atroces souffrances... Bon, je vais arrêter là ! :(
La Cicatrice du souvenir
Jusqu'à présent, quand je lisais des critiques qui fustigeaient les éditions Soleil, je ne comprenais pas... Universal War One ou encore Le Fléau des Dieux, plus récemment Sky Doll et le mythique Lanfeust De Troy font pourtant partie de mes lectures favorites. Ici, la lecture est très agréable et le dessin n'est pas franchement laid mais cette caricature du prince qui sait tout et qui a assez d'argent pour s'acheter une armée, du petit moine magicien et de la guerrière dans son superbe costume noir (et avec le fouet !) m'indiffère totalement. L'oncle félon massacre toute la famille mais répugne à avoir sur les mains le sang de son neveu, curieux ça et surtout très pratique ! Le neveu oubliera vite sa défunte épouse dans les bras d'une créature charnelle. En guise d'explication, il refuse de penser à sa défunte le jour. Mon Dieu, que c'est cul cul la praline... La maison "Soleil", on y côtoie le meilleur mais également le pire !!! :(
666
Quand j'ai emprunté naïvement cette Bd au chiffre démoniaque 666 en 6 tomes, j'ai subi le regard un peu désapprobateur de la bibliothécaire de mon petit village. J'ai pas compris le pourquoi sur le coup. Ayant entamé la lecture, j'arrive désormais à me faire un avis. C'est pire que basique avec le père Carmody qui tire sur tout ce qui bouge à l'image du soldat moyen. Par ailleurs, la provocation y est tout à fait gratuite. Bien sûr, on peut dire qu'il ne faut pas la lire au premier degré mais ce n'est pas un argument. Dans Les Feux d'Askell ou plus récemment Les Aigles de Rome, par exemple, les scènes de sexe étaient amenés avec goût dans une mise en scène. Ici, c'est une débâcle d'effets pervers sans aucune justification. La scène du viol de la journaliste par un démon étant le summum d'une crétinerie jamais atteinte jusque là. Pourtant, je ne donnerai pas la pire note. Est-ce dans un élan de générosité ? La lecture est plaisante, on s'amuse bien. Les dessins des scènes de guerre sont parfois grandioses. Cela détend ! Il manque beaucoup de mesure et d'intelligence à cette série: cela est certain !
Fée et tendres Automates
Me concernant, je suis assez déçu de cette série, alors que plusieurs avis précédents me laissaient entrevoir un chef d’œuvre. Est-ce le scénario ? Les dessins ? Il ne fait aucun doute que, comme pour d’autres posteurs, j’ai été déçu du dernier opus. Cette déception est grande car la qualité de la série prend un gros coup dur dans le troisième volet, tant ce dernier n’arrive pas à suivre la qualité du récit et l’excellence impressionnante de la qualité graphique des deux premiers albums. Je reconnais que la poésie est présente dans l’ensemble de ce triptyque ; les textes sont raffinés, envoûtants et émouvants. Le premier et le deuxième opus sont contrastés dans leur rythme et dans les thèmes développés. C’est bien construit et le lecteur se prend de passion pour cette histoire d’amour impossible. Le dernier opus prend un tout autre chemin et cela ne convient pas à ce qui avait été proposé. A la limite, je pense qu’il aurait été possible de poser le mot "FIN" très correctement avec un diptyque. Dans le thème du conte, j’orienterais sans hésiter le lecteur vers L'Autre Monde, ouvrage qui relève du génie et tellement plus cohérent dans son ensemble. Pour ce qui concerne l’achat conseillé, c'est au lecteur de voir s’il prend le pari de déjà se dire que le tiers de l’histoire est médiocre comparé au génie du début… Bof bof dans l'ensemble; à lire une fois, sans plus.
Mon voisin le Père Noël
Une note assez salée pour une BD pourtant pas mauvaise du tout. Le dessin, comme l'on peut si attendre avec B Tillier, est très beau avec une colorisation affirmée tout en couleur directe comme j'apprécie de plus en plus. Le scénario nous livre une histoire avec deux personnes vivant avec un lourd passé. A partir de là, se déclenche un scénario tournant autour du personnage du père noël qui apporte le positif dans l'histoire des 2 personnages. Malheureusement, je n'ai pas ressenti grand chose malgré la gravité des situations. Il n'y a pas la petite étincelle apportant le plus. D'autres la trouveront peut être...
Rork
Au début sur les 2 premiers tomes, on est forcément intrigué. Rork reste très mystérieux et on cherche les clefs pour comprendre et assembler le puzzle de ses aventures. Mais finalement, très vite on sent la série à rallonge qui n'en finit jamais. Les aventures de Rork prennent des dimensions qui s'éloignent de toute réalité, toute limite, des invraisemblances commencent à se produire... bref, les défauts types des séries sans fin. Et comme le dessin est d'un classicisme un peu vieillot, cette série porte peu d'intérêt pour moi.
Gin Row
Une BD lue totalement par hasard et qui ne se révèle pas terrible ni pour le scénario ni pour le dessin. Le dessin est très inspiré de Bilal. Cela se voit partout, dans les décors urbains un peu sales, l'ambiance vaporeuse, les couleurs, les teintes cadavériques des peaux des personnages. Cela va même jusqu'à certains plans qui sont presque repris comme celui de la coupure dans la salle de bain. Mais Pascal Somon n'a vraiment pas le niveau technique de Bilal. Les perspectives sont plates, les couleurs froides et lisses, les décors vides aussi souvent que possible, les personnages sont laids et figés. Ce sont surtout les nez parfois décharnés selon les angles qui affirment à mes yeux le défaut de maîtrise du dessinateur. Le scénario non plus ne m'a pas vraiment plu. Commençant de manière assez classique, un gars qui sort de prison et qui raconte son passé, il met en scène un héros assez antipathique. Enfant gâté malgré la perte de son père, il se révèle un mari détestable et un homme égoïste et idiot. Jusqu'au drame qu'on voit venir des pages à l'avance. Et l'auteur n'hésite pas à récupérer telle quelle la clé scénaristique de la nouvelle Le Chat Noir d'Edgar Poe pour amener la conclusion de son intrigue. J'ai bien du mal à considérer cet emprunt éhonté comme un hommage. Bref, voilà une BD qui sortira bien vite de ma mémoire.
La Volupté
Décidément, les oeuvres de Blutch et moi ça fait deux. Dans cette BD je n'ai pas trouvé grand chose de positif : le dessin ne me plait pas vraiment, c'est original, personnel mais .... Le blocage se localise surtout sur le scénario, je n'ai pas vraiment compris où voulait en venir l'auteur. Certains passages sont limite malsains. Ce one shot est inclassable et pourrait être classé dans une catégorie "BD concept", mais en l'occurrence un concept qui m'échappe.
Hägar Dünor le Viking
J'ai lu toutes les aventures de ce viking dans le Journal de Mickey durant ma plus tendre enfance. Je n'ai pas gardé un souvenir mémorable de cette bd qui n'était pas véritablement drôle et qui jouait surtout d'une certaine consonance avec des éléments modernes. Que dire du dessin ? Pas grand chose également. Le style est assez minimaliste. Il est vrai que dans le genre, je préférais nettement Pim Pam Poum.