Game over. Drôle sans plus. Pas beaucoup de textes, les gags sont basés sur l’image uniquement. BD sur le jeu vidéo, pour les enfants. C’est plutôt sympa, malgré son coté minimaliste ! De la à faire la collection, je ne suis pas sur que cela vaille le coup. De loin je préfère Kid Paddle, beaucoup plus drôle et pus riche en texte !
Certes, avec le nom de “Jim” sur la couverture, je ne m’attendais évidemment pas à une BD super profonde ou originale, mais quand même, même préparé, ça m’a fait un choc. Le niveau des gags est la plupart du temps déplorable : pas original pour un sou, lourdingue, idiot…
Allez, j’ai quand même souri deux ou trois fois, et une page est quand même originale : le recto représente des personnages mal en point, et le verso la cause de leurs soucis (un sport différent à chaque fois). Et c’est par transparence (avec une source de lumière) que le lecteur peut réconcilier les deux. C’est la 1ère fois que je vois ça :) Vous pensez peut-être qu’il ne me faut pas grand-chose pour m’emballer, mais cette page est vraiment la seule « force » de cette triste BD.
Enfin voila, ajoutez à ça un dessin insipide, et cet album rejoint la longue liste des cadeaux à offrir quand on n’y connaît rien en BD.
La BD est axée sur le foot mais pas n’importe lequel : le foot de rue. Vous pouvez jouer avec tous les éléments qui entourent votre terrain et cela dans l’unique objectif de marquer un but. Vous être 5 contre 5, le hors-jeu n’existe pas et les temps de jeu sont très courts.
Je me suis carrément ennuyé à la lecture je dois dire. Le dessin est assez calqué sur le dessin animé originel. Cette BD s’adresse à un public jeune qui s’intéresse à toutes les formes de foot !
Bof bof… Voilà une histoire qui surf sur le thème récurant des mondes virtuels (un peu à la Matrix ou second life plutôt). Le scénario est une banalité incroyable et avant de tourner les pages, on a déjà deviné de façon très clair la suite.
En gros, deux bon copains et une seule fille dans un monde virtuel, c’est comme dans le réel c’est le cirque, la jalousie et y’a plus de copains qui tiennent! Ajouté à ça une multinationale qui ne recule devant rien pour obtenir les droits d’exploitation de ce monde virtuel et voilà l’histoire est résumé ! Cool.
Bon heureusement le dessin est là pour rattraper l’ensemble. Quoique les visages des personnages soient un peu dure. Bonne balance des couleurs sur l’ensemble de l’album.
J'ai découvert "Bob Slide" en même temps que Gil Jourdan dans le recueil 4 de l'intégrale des aventures de ce même héros. Ces courts gags présentent les aventures d'un inspecteur de police au temps de la Prohibition aux Etats-Unis.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que nous sommes bien loin des enquêtes "solides" d'un privé, dur comme on n'en fait plus, comme Gil Jourdan, qui est la grande création de Maurice Tillieux. Vers la fin des années 60, à une époque où les aventures de Gil Jourdan étaient déjà bien entamées, M.Tillieux semble souffler un peu, et "Bob Slide" paraît dans un genre strictement humoristique.
Les gags se rapprochent du registre de l'humour bon enfant, se font parallèlement très premier degré, bien que l'on retrouve quelques jeux de mots qu'affectionnent l'auteur. Rien de très bon là-dedans.
Le dessin lui-même s'adapte au propos, et se relâche, s'arrondit, se "cartoonise" en somme, et l'on serait étonné de voir des similitudes avec le graphisme de la première version d'un des héros de M.Tillieux, qui est Marc Jaguar.
En définitive, pour cette BD sans prétention aucune (pas assez sans doute?), l'impression prédomine que son unique mérite aura été de remplir quelques pages blanches du journal Spirou...
D'ordinaire, je fais plutôt bon accueil aux oeuvres collectives mais là, ça ne me parle pas. Il faut dire que le thème de Mai 68 en lui-même ne m'attire pas, choix politique me direz-vous peut-être mais je m'en fous. Alors en ouvrant cet album, ce que j'espérais, c'était en apprendre un peu plus sur le sujet, ou alors pouvoir ressentir les émotions de l'époque transposées jusqu'au lecteur d'aujourd'hui que je suis. Je n'ai quasiment rien eu de cela.
Beaucoup de récits de cet album font trop dans le convenu, l'habituel "Mai 68 = pavés contre méchants CRS", barricades, tous unis, révolution. Pas d'explication et quasiment rien qui permette de ressentir pour de bon l'émotion d'alors. Trop de caricatures, trop de bien entendus.
Et presque toutes affirment l'amer constat que tous les rêves d'il y a quarante ans n'ont pas porté leurs fruits et que la situation est morose aujourd'hui voire catastrophique. Je ne suis pas d'accord alors ça me broute un peu de le voir déclaré avec tant d'assurance.
Alors parmi les quelques histoires qui ne me parlent pas, celles qui ne m'ont pas fait rire quand elles se voulaient drôles voire celles qui m'ont un peu agacés, il y en a d'autres que j'ai bien aimées, notamment celles de Lidwine, Morvan et Bessadi.
Mais dans l'ensemble, ce n'est pas un collectif qui m'a vraiment plu.
J'ai moins aimé cette BD par rapport au "Dessinateur, la colline et le cosmos", du même dessinateur.
En effet, même si on retrouve le même esprit qui détourne les références, les touille pour les digérer de façon originale, cette fois-ci la construction me semble totalement incontrôlée. Faire de Chrétien de Troyes, principal compilateur (mais aussi fossoyeur) des légendes arthuriennes, le héros d'un récit mettant également en scène ses inspirations et ses personnages, était très original. Mais les deux auteurs semblent perdre de vue en cours de route leur sujet principal, pour le retrouver in extremis par la suite, en une longue métaphore certes osée, mais surtout capillo-tractée.
Original, mais trop brouillon pour être vraiment novateur.
Que dire ?
Bon déjà, je me sens très éloigné de l'esprit bistro et brèves de comptoir. Ce genre de remarque, ce n'est pas la peine d'aller dans un débit de boissons pour l'entendre. Globalement ces vannes ne m'ont pas fait rire. C'est probablement le but recherché, mais je trouve qu'en plus d'être vulgaires (bien que probablement authentiques), elles ne sont pas très recherchées.
Graphiquement Larcenet utilise sa veine "torturée" pour illustrer ces brèves. Un style qui leur colle bien, pour montrer l'aspect "brut" des situations.
Mais je n'ai pas aimé, c'est en gros ce que je pourrais dire.
Pourtant il y avait une couverture qui faisait vraiment très envie...
C'est très bien de vouloir faire une histoire dans les années soixante, maillée dans le thème de la guerre froide (notes de bas de page vraiment au point), mais le dessin n'était pas obligé d'être des années soixante aussi... bon je suis sévère, mais c'est à la hauteur de ma déception.
La couleur, même topo : si je rouvre les premières bd que j'ai lues (il y a 20 ans), la couleur était meilleure.
Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas eu le droit à des morceaux de dialogues aussi mièvres, et ça ne me manquait pas.
Le gros point positif, c'est l'histoire : bien vue, bien faite, bien construite mais... pas bien étayée du tout à mon goût.
Je propose : on efface tout et on recommence...
Avec "Diosamante", nous retrouvons effectivement les thèmes favoris de Jodorowky mais dans un autre cadre que la science-fiction : la quête mystique pour enfin renaître de ses cendres.
Le problème est que le personnage central (pour une fois une héroïne) n'a aucune consistance. C'est trop artificiel pour convaincre. L'explication donnée à la fin du premier tome est presque risible.
Comment une reine aussi belle et ténébreuse peut-elle se transformer en mendiante aveugle tout en prônant un discours spirituel et philosophique totalement dénué de sens ?
J'ai bien aimé le dessin de Gal mais beaucoup moins celui de Kordey. On passe de couleurs éteintes au premier tome à une colorisation à outrance dans le second. 10 ans se sont écoulés entre les deux volets et cela se ressent énormément au niveau de l'esprit initial de cette série.
C'est trop tarabiscoté. Ou bien, il faut accepter que ce n'est qu'en se vidant de nous-mêmes et d'accepter les pires humiliations que le désir puisse nous emplir. Des amateurs ? ;)
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Game Over
Game over. Drôle sans plus. Pas beaucoup de textes, les gags sont basés sur l’image uniquement. BD sur le jeu vidéo, pour les enfants. C’est plutôt sympa, malgré son coté minimaliste ! De la à faire la collection, je ne suis pas sur que cela vaille le coup. De loin je préfère Kid Paddle, beaucoup plus drôle et pus riche en texte !
Les Très très bonnes raisons de ne jamais faire de sport
Certes, avec le nom de “Jim” sur la couverture, je ne m’attendais évidemment pas à une BD super profonde ou originale, mais quand même, même préparé, ça m’a fait un choc. Le niveau des gags est la plupart du temps déplorable : pas original pour un sou, lourdingue, idiot… Allez, j’ai quand même souri deux ou trois fois, et une page est quand même originale : le recto représente des personnages mal en point, et le verso la cause de leurs soucis (un sport différent à chaque fois). Et c’est par transparence (avec une source de lumière) que le lecteur peut réconcilier les deux. C’est la 1ère fois que je vois ça :) Vous pensez peut-être qu’il ne me faut pas grand-chose pour m’emballer, mais cette page est vraiment la seule « force » de cette triste BD. Enfin voila, ajoutez à ça un dessin insipide, et cet album rejoint la longue liste des cadeaux à offrir quand on n’y connaît rien en BD.
Foot 2 rue
La BD est axée sur le foot mais pas n’importe lequel : le foot de rue. Vous pouvez jouer avec tous les éléments qui entourent votre terrain et cela dans l’unique objectif de marquer un but. Vous être 5 contre 5, le hors-jeu n’existe pas et les temps de jeu sont très courts. Je me suis carrément ennuyé à la lecture je dois dire. Le dessin est assez calqué sur le dessin animé originel. Cette BD s’adresse à un public jeune qui s’intéresse à toutes les formes de foot !
Fléau.world
Bof bof… Voilà une histoire qui surf sur le thème récurant des mondes virtuels (un peu à la Matrix ou second life plutôt). Le scénario est une banalité incroyable et avant de tourner les pages, on a déjà deviné de façon très clair la suite. En gros, deux bon copains et une seule fille dans un monde virtuel, c’est comme dans le réel c’est le cirque, la jalousie et y’a plus de copains qui tiennent! Ajouté à ça une multinationale qui ne recule devant rien pour obtenir les droits d’exploitation de ce monde virtuel et voilà l’histoire est résumé ! Cool. Bon heureusement le dessin est là pour rattraper l’ensemble. Quoique les visages des personnages soient un peu dure. Bonne balance des couleurs sur l’ensemble de l’album.
Bob Slide
J'ai découvert "Bob Slide" en même temps que Gil Jourdan dans le recueil 4 de l'intégrale des aventures de ce même héros. Ces courts gags présentent les aventures d'un inspecteur de police au temps de la Prohibition aux Etats-Unis. Le moins que l'on puisse dire, c'est que nous sommes bien loin des enquêtes "solides" d'un privé, dur comme on n'en fait plus, comme Gil Jourdan, qui est la grande création de Maurice Tillieux. Vers la fin des années 60, à une époque où les aventures de Gil Jourdan étaient déjà bien entamées, M.Tillieux semble souffler un peu, et "Bob Slide" paraît dans un genre strictement humoristique. Les gags se rapprochent du registre de l'humour bon enfant, se font parallèlement très premier degré, bien que l'on retrouve quelques jeux de mots qu'affectionnent l'auteur. Rien de très bon là-dedans. Le dessin lui-même s'adapte au propos, et se relâche, s'arrondit, se "cartoonise" en somme, et l'on serait étonné de voir des similitudes avec le graphisme de la première version d'un des héros de M.Tillieux, qui est Marc Jaguar. En définitive, pour cette BD sans prétention aucune (pas assez sans doute?), l'impression prédomine que son unique mérite aura été de remplir quelques pages blanches du journal Spirou...
Mai 68 - Le pavé de bande dessinée
D'ordinaire, je fais plutôt bon accueil aux oeuvres collectives mais là, ça ne me parle pas. Il faut dire que le thème de Mai 68 en lui-même ne m'attire pas, choix politique me direz-vous peut-être mais je m'en fous. Alors en ouvrant cet album, ce que j'espérais, c'était en apprendre un peu plus sur le sujet, ou alors pouvoir ressentir les émotions de l'époque transposées jusqu'au lecteur d'aujourd'hui que je suis. Je n'ai quasiment rien eu de cela. Beaucoup de récits de cet album font trop dans le convenu, l'habituel "Mai 68 = pavés contre méchants CRS", barricades, tous unis, révolution. Pas d'explication et quasiment rien qui permette de ressentir pour de bon l'émotion d'alors. Trop de caricatures, trop de bien entendus. Et presque toutes affirment l'amer constat que tous les rêves d'il y a quarante ans n'ont pas porté leurs fruits et que la situation est morose aujourd'hui voire catastrophique. Je ne suis pas d'accord alors ça me broute un peu de le voir déclaré avec tant d'assurance. Alors parmi les quelques histoires qui ne me parlent pas, celles qui ne m'ont pas fait rire quand elles se voulaient drôles voire celles qui m'ont un peu agacés, il y en a d'autres que j'ai bien aimées, notamment celles de Lidwine, Morvan et Bessadi. Mais dans l'ensemble, ce n'est pas un collectif qui m'a vraiment plu.
Du Graal plein la bouche
J'ai moins aimé cette BD par rapport au "Dessinateur, la colline et le cosmos", du même dessinateur. En effet, même si on retrouve le même esprit qui détourne les références, les touille pour les digérer de façon originale, cette fois-ci la construction me semble totalement incontrôlée. Faire de Chrétien de Troyes, principal compilateur (mais aussi fossoyeur) des légendes arthuriennes, le héros d'un récit mettant également en scène ses inspirations et ses personnages, était très original. Mais les deux auteurs semblent perdre de vue en cours de route leur sujet principal, pour le retrouver in extremis par la suite, en une longue métaphore certes osée, mais surtout capillo-tractée. Original, mais trop brouillon pour être vraiment novateur.
Chez Francisque
Que dire ? Bon déjà, je me sens très éloigné de l'esprit bistro et brèves de comptoir. Ce genre de remarque, ce n'est pas la peine d'aller dans un débit de boissons pour l'entendre. Globalement ces vannes ne m'ont pas fait rire. C'est probablement le but recherché, mais je trouve qu'en plus d'être vulgaires (bien que probablement authentiques), elles ne sont pas très recherchées. Graphiquement Larcenet utilise sa veine "torturée" pour illustrer ces brèves. Un style qui leur colle bien, pour montrer l'aspect "brut" des situations. Mais je n'ai pas aimé, c'est en gros ce que je pourrais dire.
La Liste 66
Pourtant il y avait une couverture qui faisait vraiment très envie... C'est très bien de vouloir faire une histoire dans les années soixante, maillée dans le thème de la guerre froide (notes de bas de page vraiment au point), mais le dessin n'était pas obligé d'être des années soixante aussi... bon je suis sévère, mais c'est à la hauteur de ma déception. La couleur, même topo : si je rouvre les premières bd que j'ai lues (il y a 20 ans), la couleur était meilleure. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas eu le droit à des morceaux de dialogues aussi mièvres, et ça ne me manquait pas. Le gros point positif, c'est l'histoire : bien vue, bien faite, bien construite mais... pas bien étayée du tout à mon goût. Je propose : on efface tout et on recommence...
Diosamante
Avec "Diosamante", nous retrouvons effectivement les thèmes favoris de Jodorowky mais dans un autre cadre que la science-fiction : la quête mystique pour enfin renaître de ses cendres. Le problème est que le personnage central (pour une fois une héroïne) n'a aucune consistance. C'est trop artificiel pour convaincre. L'explication donnée à la fin du premier tome est presque risible. Comment une reine aussi belle et ténébreuse peut-elle se transformer en mendiante aveugle tout en prônant un discours spirituel et philosophique totalement dénué de sens ? J'ai bien aimé le dessin de Gal mais beaucoup moins celui de Kordey. On passe de couleurs éteintes au premier tome à une colorisation à outrance dans le second. 10 ans se sont écoulés entre les deux volets et cela se ressent énormément au niveau de l'esprit initial de cette série. C'est trop tarabiscoté. Ou bien, il faut accepter que ce n'est qu'en se vidant de nous-mêmes et d'accepter les pires humiliations que le désir puisse nous emplir. Des amateurs ? ;)