Les derniers avis (38752 avis)

Par smudge
Note: 4/5
Couverture de la série Les Ames d'Hélios
Les Ames d'Hélios

Le dessin rend très bien l'atmosphere pesante de ce monde (mme si au départ il peut sembler un peu confus...). L'histoire commence doucement pour petit à petit nous faire découvrir un scenario qui risque de devenir très intéressant... Ma note est susceptible d'évoluer (vers le haut ou le bas !!) selon la poursuite du premier tome, qui semble très prometteur.

15/02/2003 (modifier)
Par Yriel
Note: 4/5
Couverture de la série Rapaces
Rapaces

D'habitude j'ai du mal à apprécier le gothique, mais dans ce cas avec le merveilleux graphisme de Marini ça passe tout seul. De plus je trouve le scénario de Dufaux plutôt bien ammené, j'ai réellement hate de savoir comment cela va finir, j'ai néanmoins trouvé que le dernier tome était un léger ton en dessous des deux précédents, en effet j'ai trouvé que certaines des révélations (je n'en dirai pas plus) détonnaient un peu avec le ton général de la série. Si j'avais un seul reproche réel à faire à cette série, il concernerait les couvertures que je ne trouve décidément pas réussies et même si cela peut sembler idiot j'ai longtemps hésité à commencer la série à cause d'elles...

14/02/2003 (modifier)
Par Acheron4
Note: 4/5
Couverture de la série Hot Tails
Hot Tails

Attention c'est vraiment très hard! Mais pour ceux qui aiment c'est un des meileurs manga X avec "Cours Particuliers": situations très drôles et très excitantes.Pour certaines histoires l'auteur part complètement dans ses délires, je vous raconte pas les fantasmes de fou. A lire avec son/sa petit(e) ami(e), ça donne des idées sympas. A part ça, côté dessins c'est du Toshiki Yui c'est donc très beau et plutôt réaliste... En résumé, c'est un manga qu'on lit pas tout les jours mais qui est vraiment très drôle et excitant.

14/02/2003 (modifier)
Par ExJulien
Note: 4/5
Couverture de la série La Loi des Series
La Loi des Series

Holy shit, je n'ai pas les memes références télé-nostalgiques que le maitre! C'est bien dommage car si certains passages sont bien sympas, j'ai quand même l'impression, dans la majorité des cas, de passer à coté d'un franc fou rire! Bref, avant de lire ce sympathique album, repassez vous quelques épisodes de Colargol, l homme a l'étoile d argent, celui qui valait 3 milliards, starsky et hutch et les brigades du tigre... (et cosmos 1999)

14/02/2003 (modifier)
Par JBT900
Note: 4/5
Couverture de la série Requiem - Chevalier Vampire
Requiem - Chevalier Vampire

TOME 1 : RESURRECTION : 5/5 Résurrection… Le titre de l'album ne pourrait mieux résumer l'état d'esprit qui m'anime après la lecture du Tome 1 de la célèbre série "Requiem"… Immersion dans le monde infernal du génial Ledroit, c'est quelque chose de rare, à savourer, à faire durer comme une nuit avec la fille qu'on arrive enfin à attirer dans son lit après des mois de lutte acharnée, pendant lesquels on est passé par tous les stades : impatience, angoisse, tourments, désir immédiat et violent, produits de substitution plus ou moins érogènes (NDA : les BD moisies quoi, faut suivre un peu ! :)) Bref, le scénario est du Mills tout craché : temps qui passe à l'envers : on régresse vers l'enfance (physique mais non mentale), après la mort on revient sous forme de vampire quand on a été très très méchant… Oui on fait pas du tout dans la dentelle ni dans la BD intimiste d'auteur, ça c'est sûr! Mais attention, ce scénario, tout "grand spectacle" (et grandiloquent aussi) qu'il soit n'en demeure pas moins bien ficelé. Ces histoires de résurrections, de vampires et de faces cramoisies façon Eddie la mascotte d'Iron Maiden ;) nous rapprochent plus du très bon "Shadowslayer" que du plus que pathétique "ABC Warriors", autres BD du même scénariste… D'ailleurs le Nécropolis de Requiem rappelle en bien des points le Génésis de "Shadowslayer"… Mais pour le reste, la comparaison entre ces deux BD s'arrête là. Car avec Requiem, on pénètre dans les hallucinations collectives que nous offre Olivier Ledroit. Avec ce tome 1, la couleur est annoncée: ROUGE! Et elle brille si fort tout au long des planches de l'album, qu'elle risque fort de ne pas s'éteindre avant un bon moment! Outre ces couleurs littéralement infernales, Ledroit nous gratifie en plus d'un souci du détail que peu de dessinateurs peuvent se targuer de rechercher. Les tatouages du héros, argl, la vue double page sur la ville rouge comme l'enfer : argl! A ce propos, deux remarques sur cette double planche : - C'est un peu flou par endroits et c'est bien dommage :( - Ca n'a rien à voir mais ça m'a rappelé "L'homme des hautes plaines", quand Eastwood repeint la ville en rouge et la baptise "Hell" ;) Pour clore le chapitre du dessin, je ne vois pas grand chose à rajouter tant c'est beau, sanglant mais beau! Là encore, comme pour "Sha", Ledroit explose le découpage standard et naturel de la BD traditionnelle et s'appuie sur ses dépassements pour donner à son dessin une dimension plus forte encore. C'est franchement fabuleux, captivant, enivrant, bref : j'adore! Reparlons à présent du scénario : cette BD ne pourrait prétendre à être LE chef d'œuvre de la BD pour son scénario pour les raisons exposées au début de mon avis : c'est violent, c'est pathétiquement beau et dramatique mais c'est pas foncièrement révolutionnaire. Le schéma archi classique du scénario est là : on sort le héros de son univers habituel, il est confronté à une épreuve, il suit une formation avec son mentor, puis il traverse quelques épreuves avant d'affronter l'épreuve ultime, de gagner, de se sublimer puis de devenir un autre homme qui retombe dans un quotidien plus habituel par la suite, etc… à triturer dans tous les sens mais en gros c'est quand même toujours ça plus ou moins… Par contre là où ce tome 1 fait fort, c'est dans la création de l'univers. Par univers j'entend le monde qui nous est présenté bien sûr mais aussi (et surtout?) les personnages. Je reproche parfois à la SF (sur un support livre surtout, mais BD aussi) de créer des univers fabuleux mais manquant singulièrement de véritables caractères (Asimov en est un exemple flagrant : c'est un génie pour la création d'univers mais pour ce qui est de la profondeur de ses personnages, c'est pas ça). Mais là les personnages sont très bien amorcés, on y croit, on plonge vraiment dans leur vie, grâce aux petits flash back qui ancrent la 2° guerre dans l'histoire, grâce aux rappels de la vie du héros en tant que soldat nazi… Les ponts entre ces deux mondes sont donc créés et de manière limpide, sans chercher à passer par des considérations fumeuses de philosophe sur le retour : c'est simple et efficace. Les personnages principaux (et il y en a !) ont tous un rôle précis, un caractère bien marqué et ce foisonnement de destinées mêlées, soutenu par un dessin qui ne faiblit jamais, donne à ce 1er album de la série une force d'évocation incroyable. Les défauts ? Oui il y en a mais ils sont plus à attribuer à l'éditeur qu'aux auteurs… J'ai acheté Requiem en coffret il y a 15 jours, et j'ai peur qu'avec le temps, les collages foutent le camp, ça craque déjà de partout, alors que je fais super gaffe pour ne pas trop ouvrir la BD… :( Bref, quelques petits désagréments bien ridicules face à l'œuvre majeure que constitue pour moi "Résurrection"… Culte, ni plus ni moins. TOME 2 : DANSE MACABRE : 3/5 Avec ce deuxième tome de la série Requiem, Olivier Ledroit s'en donne à cœur joie dans la démesure graphique tant cet album est… rouge! C'est le premier adjectif qu'il me vient à l'esprit pour résumer la trame de ce tome 2 : rouge sanglant! On n'a pas le temps de prendre sa respiration que les auteurs nous entraînent dans un déluge de tuerie, de combats titanesques durant lesquels le feu et le sang s'unissent pour célébrer une boucherie apocalyptique. Sur leurs destriers étonnamment blancs, les chevaliers de l'apocalypse tombent depuis les vaisseaux vampires jusqu'au théâtre de leur folie meurtrière. Les goules s'en mêlent et comme si ça ne suffisait pas, les vierges pirates viennent mettre leur grain de sel dans un déferlement de violence que n'aurait pas renié un metteur en scène de film d'horreur Z. Et oui, c'est là que j'ai trouvé que ce tome 2 coinçait… On imagine sans mal que Ledroit s'est à coup sûr régalé en créant ces planches hallucinantes (le retour des vaisseaux vampires dans Nécropolis est grandiose) mais Pat Mills nous la joue petite forme. Car à trop vouloir jouer le jeu de l'action à tout prix, on tombe dans la thématique plus que discutable de la violence gratuite. Ça décapite, ça émascule, ça tranche et ça coupe à tout va avec une telle frénésie meurtrière que finalement l'effet escompté n'est pas réussi. Pire, c'est parfois l'inverse et la puissance descriptive introduite dans le tome 1 est ici complètement effacée au profit de cette action agressive et sans temps mort. Malgré tout ce tome 2 apporte quand même des éléments constructifs pour le récit. Heinrich tout d'abord, qu'on avait appris à connaître dans l'opus d'introduction, nous en dit un peu plus sur son passé sur Terre. Son côté tourmenté et ses interrogations lui confèrent une âme dont on le croyait dépourvu. Il en apparaît donc changé, avec une psychologie encore un peu plus creusée et un côté ambigu qui entretient juste ce qu'il faut de suspense et le tome 3… La belle Claudia entrevue pendant le tome 1 devient ici un personnage principal et apporte un nouvel élément à l'ampleur de cette fresque. On la redoute mais elle nous charme, elle nous intrigue mais elle nous attire, bref son personnage est vraiment réussi et Heinrich lui-même s'y perd… Otto perd un peu de prestance dans ce 2° tome puisque tout naturellement il n'a plus à jouer son rôle de mentor auprès de Heinrich. Mais il ne s'efface pas totalement et reste auprès de Requiem en lui prodiguant ses conseils et son aide. Au début du récit il est même au centre de l'histoire lorsque Heinrich se fait hanter par ses souvenirs et Rebecca. De fait il reste dans le récit en confirmant son statut de personnage clé de l'histoire. Les vierges pirates enfin apportent une touche d'humour assez douteux dans l'univers décrit et qui confère à certaines scènes une médiocrité "scénaristique" décevante. Elles participent en effet grandement au sentiment de "trop gros" qui donnent au scénario un arrière-goût de déjà-vu, et pire de parodie se voulant humoristique, déstabilisant ainsi les impressions très fortes liées à cet univers superbement décrit dans le tome 1. Il n'en demeure pas moins évident que le dessin de Ledroit est toujours aussi beau et prend toute l'ampleur de sa démesure sur les planches grandioses où il ne semble jamais limité par le moindre garde-fou. Hélas certaines planches sont d'une qualité toute relative, la faute à une texture qui ne met pas en valeur le dessin, sans parler des flous immondes qui gâchent notamment une double page, dans sa partie supérieure dans le premier quart de la BD. A ce niveau là c'est vraiment honteux de saccager à ce point un aussi beau dessin! Pour terminer sur une impression positive, je dirai donc que "Danse Macabre" est un cran en dessous de son prédécesseur. Il n'a ni la classe, ni l'ampleur du tome 1 mais entre deux cases sanguinolentes l'histoire avance et les personnages prennent du relief. TOME 3 : DRACULA : 3/5 Un peu à la façon du tome 2, "Dracula" m'a laissé un peu sur ma faim mais pas vraiment pour les mêmes raisons. Les planches tout d'abord : elles sont dans la droite lignée de ce que nous avons pu découvrir avec le tome 1, et continuer de savourer avec le tome 2 : très réussies. Franchement il n'y a rien à dire de ce côté là, il suffit de relire ce qu'en disais dans les avis précédents pour connaître mon opinion. Dessin : c'est toujours le 5/5. C'est beau, c'est puissant, tout cela semble sorti tout droit de l'enfer. Si on ne devait retenir qu'un seul dessin de BD, il n'est vraiment pas sûr que je retiendrai Ledroit sur Requiem mais dans la catégorie et ce style là, il remporte la palme d'après moi. Toutefois, encore certaines planches dont le rendu est tout simplement dégueulasse, floues ou granuleuses, un vrai scandale :( J'en viens donc tout naturellement au scénario puisque c'est là que ce tome 3 faiblit. Pour faire simple, je dirai que l'histoire part un peu dans tous les sens. Alors oui l'histoire avance, l'intrigue s'épaissit mais bon, c'est tout. C'en est même parfois à certains points que l'on peut s'y perdre. Non, sérieusement, on ne se perd pas mais on ne comprend pas où Pat Mills veut en venir, et pire, on se demande s'il le sait seulement lui-même. :( Heinrich et Otto sont toujours égaux à eux-mêmes, sur un mode narratif calqué sur le tome 2, le côté gore en moins et l'abondance de persos en plus. Car de nouveaux personnages apparaissent, d'autres se voient plus présent (Rebecca notamment) alors que d'autres se font plus discrets (Claudia et ses petits copains). Au lieu de recentrer les choses et d'ammorcer un dénouement, Mills repart gaiment avec ce tome 3 pour nous préparer une avalanche de suites et là je suis dans l'expectative : où alors Mills va vraiment me surprendre et se surpasser pour pondre de nouveaux albums (pas trop hein quand même) très bons ou alors cette série va partir en ***** et ne sera plus portée que par le seul dessin de Ledroit.

14/02/2003 (modifier)
Par Sonia
Note: 5/5
Couverture de la série Léon-la-Terreur (Léon Van Oukel)
Léon-la-Terreur (Léon Van Oukel)

Je ne peux pas vous en dire grand chose à part que c'est hilarant; c'est certain, c'est un humour bien crade et tout le monde n'aime pas. Mais allez donc lire les pages de la galerie et vous verrez tout de suite si vous adorez ou si vous detester. Pour moi c'est LA BD d'humour culte! La BD est composée de plusieurs histoires, la plupart sont des histoires de quelques pages mais certaines tiennent en 2 cases ! (cf galerie)

14/02/2003 (modifier)
Par Twinky
Note: 5/5
Couverture de la série Travis
Travis

Tout simplement l'une des meilleurs séries de S-F. Aucun temps mort, un découpage et une narration parfaite de l'histoire (le summum est atteint dans le tome 3). Le scénario n'est pas original, mais présenté de manière très habile. Complexe, il n'étouffe cependant pas l'histoire. Le dernier tome se paye même le luxe de laisser le lecteur se faire sa propre interprétation de l'enchainement des évènements. Chacun des protagonistes est crédible, et les auteurs parviennent à faire passer subtilement leur personnalité par quelques répliques bien senties, y compris pour la multitude de personnages secondaires (un comble pour une "vulgaire BD d'action"). Et surtout, on s'attache autant à Travis, qu'à Vlad ou Pacman, qui ne sont finalement pas que des "super-méchants" bien manichéens. Le final pourrait décevoir certains (notamment parce qu'il casse l'image originelle de la série, à savoir celle du brave gars pris dans les embrouilles jusqu'au cou), mais il permet de jeter un oeil nouveau sur l'ensemble de la série (c'est toujours agréable de relire une BD en faisant attention aux "détails anodins"). Bref, une série qui allie action, crédibilité, scénario et émotions. On en redemande.

14/02/2003 (modifier)
Par Thierry
Note: 4/5
Couverture de la série La Nef des fous
La Nef des fous

Ce qui me marque, c'est le découpage des vignettes, c'est l'interaction entre les vignettes, c'est le découpage architectonique des planches, entremêlé tantôt de rêve tantôt de réalité turfidienne. Enfin un univers qui n’enfouit pas la première naïveté que beaucoup d'adultes ont perdue. Le roi est mort et vive le roi !

14/02/2003 (modifier)
Par Cassidy
Note: 4/5
Couverture de la série L'Esprit, le Corps et la Graine
L'Esprit, le Corps et la Graine

C'est un des premiers recueils de Goossens et, si ce n'est pas le meilleur, disons que c'est le premier à être franchement très drôle, et que c'est à partir de celui-la que s'établissent vraiment son style, ses tics, ses ressorts comiques favoris, ses thèmes de prédilection, après deux albums qui allaient un peu dans tous les sens (Le Messie est revenu et Le Romantisme est absolu). Tout ce qu'on retrouvera par la suite de Laisse autant le vent emporter tout à Adieu mélancolie en passant par L'Homme à la Valise est déjà dans cette oeuvre de jeunesse (Goossens n'avait pas 30 ans quand il a signé ces histoires) : faux docus un peu à la manière de ce que faisaient Goscinny et Gotlib dans Les Dingodossiers et la Rubrique-à-Brac, chutes volontairement foireuses après un développement long et complexe (le meilleur exemple étant ici "L'Affaire", 14 pages avec projet scientifique top-secret, meurtre, menaces, personnages inquiétants, tout ça rien que pour aboutir à un calembour à deux francs à la fin... Moi, je trouve ça génial ; maintenant, je conçois que certains restent sceptiques face à ce procédé bizarre, qu'il réutilisera à l'échelle d'albums complets comme Voyage au bout de la Lune ou Route vers l'Enfer par exemple), personnages guindés et solennels dans des situations ridicules, personnages s'exprimant de façon totalement incongrue (ici, Galilée papotant de ses découvertes avec sa femme à la manière des époux Bidochon ou Calbuth ou encore des Deschiens)... Je le répète : par la suite, l'auteur sera encore plus drôle que dans cet album. Et comme dans presque tous mes autres avis sur ses BD, je redis également que Goossens pratique une forme d'humour qui laisse totalement indifférents pas mal de gens. C'est pas le genre de BD face à laquelle on dira "Ah, ouais, amusant, ça" : soit on trouve ça excellent, soit on reste de marbre, mais c'est rarement entre les deux. En tout cas, moi qui suis allé avec beaucoup de réticences au dernier festival BD de Creil (j'avais peur de m'y faire chier), maintenant j'attends le prochain avec impatience pour pouvoir y rencontrer à nouveau mon dieu à moi, le grand Daniel Goossens, puisque généralement, il y est en dédicace (vu qu'il habite pas loin).

13/02/2003 (modifier)
Par Ilghorg
Note: 4/5
Couverture de la série Le Chant d'Excalibur
Le Chant d'Excalibur

je trouve le personnage de Merlin génial ! cette idée de faire du fameux merlin un ivrogne obsédé fallait la trouver ! Les dessins de Hubsh sont superbe, avec une touche d' humour et des persos caricaturé, la fresque de merlin revue et corrigé par Arleston !

13/02/2003 (modifier)