Après le déjà excellent Phalanstère du bout du monde, Corbeyran et Bouillez nous livrent ici un premier tome absolument fabuleux qui ne ressemble à rien d'autre.
Bouillez abandonne le noir et blanc mais s'occupe lui-même des couleurs... Couleurs à l'ordi, mais elles sont très réussies, suffisament travaillés pour mettre en valeur son dessin qui n'a rien perdu de sa classe depuis le phalanstère :) On peut même voir qu'il y a plus que des clins d'oeil à sa BD précédente, tout le design en est proche, des décors aux perso.
A noter que le flash back en noir et blanc des pages 30 et 31 m'a soufflé tellement c'est beau tout en restant simple.
Corbeyran fait parti de ces scénaristes que je considère comme trop irrégulier dans la qualité des oeuvres, mais je me demande s'il ne vient pas de signer son meilleur album. Il y reigne un coté déjanté comme je les affectionne, un peu à la manière de la nef des fous ou d'abraxas C'est toujours bien barré, souvent drôle (sans que le comique soit lourd et omniprésent, c'est plutôt une ambiance), bref, c'est carrement jouissif à chaque page
Un des meilleurs albums 2004 selon moi. Si le 2e et dernier tome est du même acabit, je classerai cette BD dans mes (rares) BDs cultes.
Voilà une série que je viens à peine de découvrir alors qu'elle en est déjà à son tome 5 ! Et bien, je dois dire que je suis totalement conquis : les dessins de Malfin sont plaisants et l'histoire concoctée par Pecqueur réserve de bonnes surprises (parfois convenues, mais néanmoins plaisantes). A ce stade, et de façon à ce que cette série garde son intérêt, il me semble qu'une conclusion dans le prochain tome ne serait pas une mauvaise idée. Vivement la suite !
PS : Pour les esprits chagrins, il faut bien que le héros d'une série ait son trait distinctif. Superman arbore bien son "S", alors la houppette de Harrison, pourquoi pas ?
Acheté un peu par hasard, j'ai découvert sur certains forums que ce shonen était particulèrement apprécié en fait. Et je le comprends car j'ai vraiment accroché au point d'avaler régulièrement plusieurs tomes de rang jusqu'à rattraper la parution française actuelle qui en est au tome 31.
Plusieurs choses intéressantes dans cette sage commencée en 1987 et qui est toujours en cours au Japon (mais avec une nouvelle numérotation, enfin c'est pas très clair :)). L'histoire se passe sur plusieurs générations en commençant au 19ème siècle pour arriver à nos jours avec à chaque saison un personnage de la famille Joestar au centre de l'action. Ceux-ci doivent lutter contre un malfaisant ennemi nommé Dio, bon dit comme ça, on peut s'attendre à un truc très con mais non :). A partir du volume 13 qui amorce le début de la 3ème saison, des pouvoirs appelés stands apparaissent et c'est encore une très belle trouvaille illustrant les pouvoirs psychiques des individus. Ca peut paraître un peu chiant car ils traversent des pays - du Japon à l'Egypte, et par la même l'auteur nous apprend quelques petites choses sur chacun - pour aller vaincre leur ennemi et croisent sans cesse des ennemis à la solde du premier sur leur route pour les retarder. Bref à chaque fois ils sortent vainqueur mais ce n'est jamais très facile, c'est toujours original et le plus rusé sortira vainqueur.
La 4ème saison qui vient de commencer au tome 29 démarre doucement et pour l'instant ne me convainc pas plus que ça.
L'auteur est très inspiré par Dragon Ball et on le sent dans divers petits détails. Certains volumes sont un peu scatos notamment autour du tome 19 et l'humour n'est pas toujours des plus fins même s'il y en a très peu au début.
Un mot sur le dessin quand même qui choque pas mal avec son look "ken le survivant", les gars ont 17 ans et font 1m95 avec des gros muscles de culturistes. Personnellement le dessin ne me rebute jamais vraiment tant que l'histoire est intéressante, mais cet aspect ken s'atténue au fil des volumes.
On a quand même l'avantage d'avoir un éditeur comme J'ai lu qui sort ses mangas tous les mois, sinon on en verrait jamais la fin. L'édition souvent décriée est plutôt correcte pour le prix, pas de faute d'orthographe ou de syntaxe et un papier d'assez bonne qualité quand même.
ATTENTION : avis et note seulement pour les 5 premiers tomes.
Je ne mets pas souvent ce genre de note, mais pour moi cette série, parfois déroutante, m'a beaucoup plu, et se met au côté de grandes séries comme" Lanfeust De Troy", Aquablue, De Cape et de Crocs, Kookaburra... C'est à dire cultes !!!
Les autres résument assez bien ce que je pense à propos du second cycle.
J'ai connu Hellboy il y a déjà un petit moment, en import US, avec "the wolves of StAugust" difficilement trouvable en France d'ailleurs (Messieurs dames de chez Delcourt , c'est quand vous voulez)
C'est pour moi LA meilleure BD que j'ai jamais lue.
Si vous êtes allergique au fantastique, voire aux comics, évitez cette BD. Pour les autres foncez et dégustez le graphisme unique de cette BD aux superbes contrastes de noir et de couleur, je reste en extase devant les dessins de Mignola, ça parait simple voire simpliste de temps en temps mais ça dégage une telle force.
De plus tous les personnages sont originaux, même les méchants nazis issus des pulps des années 40 (le sublissime Kronen par exemple si bien rendu dans le film, quoiqu'un peu trop proche de Voldo, le personnage de Soul Calibur sur PS2 à mon goût )
Le tout mêlé de légendes, d'horreur, d'action...
Bref, à lire de toute urgence !!!
"La Piste des Ombres" est un oeuvre qui pourra rebuter beaucoup d'adeptes du western par sa touche de fantastique, et pourtant je trouve cette histoire magnifique même si très sombre. Graphiquement, Monsieur Oger est à son apogée et certaines planches sont parmi les plus belles qu'il m'ait été donné d'apprécier. J'attends la suite avec impatience même si l'attente risque d'être longue car le Maître a relancé son oeuvre maîtresse "Gorn"
"Le monde d'Edena" est une série culte jusqu'au milieu du 4ème tome. Après j'ai assez sensiblement décroché ce qui explique ma note pas forcément à la hauteur du talent graphique de Moébius qui mériterait un culte de facto pour cette série, surtout au vu de sa rapidité - tout cela est expliqué dans le tome 1, commande publicitaire pour Citroen (!) -.
L'histoire, que je trouve simple et formidablement belle dans les premiers tomes (notamment "Les jardins d'Edena", chef d'oeuvre de poésie) a tendance à devenir trop obscure, entre fantasme et réalité, rêve et éveil. Et l'on voit que Moébius n'a pas forcément besoin de son compère Jodo pour planer un peu. A part cette fin un peu trop stratosphérique à mon goût, voilà une série remarquable en tous points.
Isabelle Dethan a décidément un don pour les histoires belles, simples et rafraichissantes.
Pas facile de traiter du passage de l'enfance à l'adolescence, de la pressante envie de "devenir femme", et pourtant elle y parvient dans les traits d'Eva. C'est fin, ça se lit d'une traite et sans ennui, et les dessins sont à l'image de l'ouvrage, beaux et paisibles.
Le tout est peut-être un peu trop poétique (nombreuses sont-elles les filles qui l'ont vécu aussi paisiblement?), mais la question de grandir y est bien traitée avec ce symbole énigmatique des mains bleues, d'où le 4/5 au lieu d'un 3/5...
Vraiment bien aimé, oui ! Lorsque je l’avais feuilleté à sa sortie, je n’imaginais pas ce type de récit. En fait, je pensais qu’il s’agissait d’un recueil d’histoires courtes (d’où mon inintérêt). Quelle erreur ! Cette bd d’anticipation est intelligemment construite. Pendant la lecture, j’avais pourtant une appréhension quant à la fin ... peur qu’elle me déçoive. Il n’en est rien, elle est au contraire très recherchée car la logique du récit est respectée tout en donnant plus de profondeur au personnage principal. Petit bémol : la présence de certaines longueurs viennent quelque peu tempérer mon enthousiasme. Concernant les dessins de Gazzotti et de Meyer, ils se passent de commentaires ... moi, j’adore et j’en redemande !
L'ensemble de cette collection est très dense. On y trouve de l'excellent, du bon, mais aussi du passable (rare, heureusement).
Tous les tomes ne se valent donc pas, mais l'ensemble reste malgré tout très agréable à lire, surtout les premiers épisodes (1 à 7), où le fantastique n'apparaît pas encore dans le scénario.
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Pest
Après le déjà excellent Phalanstère du bout du monde, Corbeyran et Bouillez nous livrent ici un premier tome absolument fabuleux qui ne ressemble à rien d'autre. Bouillez abandonne le noir et blanc mais s'occupe lui-même des couleurs... Couleurs à l'ordi, mais elles sont très réussies, suffisament travaillés pour mettre en valeur son dessin qui n'a rien perdu de sa classe depuis le phalanstère :) On peut même voir qu'il y a plus que des clins d'oeil à sa BD précédente, tout le design en est proche, des décors aux perso. A noter que le flash back en noir et blanc des pages 30 et 31 m'a soufflé tellement c'est beau tout en restant simple. Corbeyran fait parti de ces scénaristes que je considère comme trop irrégulier dans la qualité des oeuvres, mais je me demande s'il ne vient pas de signer son meilleur album. Il y reigne un coté déjanté comme je les affectionne, un peu à la manière de la nef des fous ou d'abraxas C'est toujours bien barré, souvent drôle (sans que le comique soit lourd et omniprésent, c'est plutôt une ambiance), bref, c'est carrement jouissif à chaque page Un des meilleurs albums 2004 selon moi. Si le 2e et dernier tome est du même acabit, je classerai cette BD dans mes (rares) BDs cultes.
Golden City
Voilà une série que je viens à peine de découvrir alors qu'elle en est déjà à son tome 5 ! Et bien, je dois dire que je suis totalement conquis : les dessins de Malfin sont plaisants et l'histoire concoctée par Pecqueur réserve de bonnes surprises (parfois convenues, mais néanmoins plaisantes). A ce stade, et de façon à ce que cette série garde son intérêt, il me semble qu'une conclusion dans le prochain tome ne serait pas une mauvaise idée. Vivement la suite ! PS : Pour les esprits chagrins, il faut bien que le héros d'une série ait son trait distinctif. Superman arbore bien son "S", alors la houppette de Harrison, pourquoi pas ?
Jojo's Bizarre Adventure
Acheté un peu par hasard, j'ai découvert sur certains forums que ce shonen était particulèrement apprécié en fait. Et je le comprends car j'ai vraiment accroché au point d'avaler régulièrement plusieurs tomes de rang jusqu'à rattraper la parution française actuelle qui en est au tome 31. Plusieurs choses intéressantes dans cette sage commencée en 1987 et qui est toujours en cours au Japon (mais avec une nouvelle numérotation, enfin c'est pas très clair :)). L'histoire se passe sur plusieurs générations en commençant au 19ème siècle pour arriver à nos jours avec à chaque saison un personnage de la famille Joestar au centre de l'action. Ceux-ci doivent lutter contre un malfaisant ennemi nommé Dio, bon dit comme ça, on peut s'attendre à un truc très con mais non :). A partir du volume 13 qui amorce le début de la 3ème saison, des pouvoirs appelés stands apparaissent et c'est encore une très belle trouvaille illustrant les pouvoirs psychiques des individus. Ca peut paraître un peu chiant car ils traversent des pays - du Japon à l'Egypte, et par la même l'auteur nous apprend quelques petites choses sur chacun - pour aller vaincre leur ennemi et croisent sans cesse des ennemis à la solde du premier sur leur route pour les retarder. Bref à chaque fois ils sortent vainqueur mais ce n'est jamais très facile, c'est toujours original et le plus rusé sortira vainqueur. La 4ème saison qui vient de commencer au tome 29 démarre doucement et pour l'instant ne me convainc pas plus que ça. L'auteur est très inspiré par Dragon Ball et on le sent dans divers petits détails. Certains volumes sont un peu scatos notamment autour du tome 19 et l'humour n'est pas toujours des plus fins même s'il y en a très peu au début. Un mot sur le dessin quand même qui choque pas mal avec son look "ken le survivant", les gars ont 17 ans et font 1m95 avec des gros muscles de culturistes. Personnellement le dessin ne me rebute jamais vraiment tant que l'histoire est intéressante, mais cet aspect ken s'atténue au fil des volumes. On a quand même l'avantage d'avoir un éditeur comme J'ai lu qui sort ses mangas tous les mois, sinon on en verrait jamais la fin. L'édition souvent décriée est plutôt correcte pour le prix, pas de faute d'orthographe ou de syntaxe et un papier d'assez bonne qualité quand même.
Les Eaux de Mortelune
ATTENTION : avis et note seulement pour les 5 premiers tomes. Je ne mets pas souvent ce genre de note, mais pour moi cette série, parfois déroutante, m'a beaucoup plu, et se met au côté de grandes séries comme" Lanfeust De Troy", Aquablue, De Cape et de Crocs, Kookaburra... C'est à dire cultes !!! Les autres résument assez bien ce que je pense à propos du second cycle.
Hellboy
J'ai connu Hellboy il y a déjà un petit moment, en import US, avec "the wolves of StAugust" difficilement trouvable en France d'ailleurs (Messieurs dames de chez Delcourt , c'est quand vous voulez) C'est pour moi LA meilleure BD que j'ai jamais lue. Si vous êtes allergique au fantastique, voire aux comics, évitez cette BD. Pour les autres foncez et dégustez le graphisme unique de cette BD aux superbes contrastes de noir et de couleur, je reste en extase devant les dessins de Mignola, ça parait simple voire simpliste de temps en temps mais ça dégage une telle force. De plus tous les personnages sont originaux, même les méchants nazis issus des pulps des années 40 (le sublissime Kronen par exemple si bien rendu dans le film, quoiqu'un peu trop proche de Voldo, le personnage de Soul Calibur sur PS2 à mon goût ) Le tout mêlé de légendes, d'horreur, d'action... Bref, à lire de toute urgence !!!
La Piste des Ombres
"La Piste des Ombres" est un oeuvre qui pourra rebuter beaucoup d'adeptes du western par sa touche de fantastique, et pourtant je trouve cette histoire magnifique même si très sombre. Graphiquement, Monsieur Oger est à son apogée et certaines planches sont parmi les plus belles qu'il m'ait été donné d'apprécier. J'attends la suite avec impatience même si l'attente risque d'être longue car le Maître a relancé son oeuvre maîtresse "Gorn"
Le Monde d'Edena
"Le monde d'Edena" est une série culte jusqu'au milieu du 4ème tome. Après j'ai assez sensiblement décroché ce qui explique ma note pas forcément à la hauteur du talent graphique de Moébius qui mériterait un culte de facto pour cette série, surtout au vu de sa rapidité - tout cela est expliqué dans le tome 1, commande publicitaire pour Citroen (!) -. L'histoire, que je trouve simple et formidablement belle dans les premiers tomes (notamment "Les jardins d'Edena", chef d'oeuvre de poésie) a tendance à devenir trop obscure, entre fantasme et réalité, rêve et éveil. Et l'on voit que Moébius n'a pas forcément besoin de son compère Jodo pour planer un peu. A part cette fin un peu trop stratosphérique à mon goût, voilà une série remarquable en tous points.
Eva aux Mains Bleues
Isabelle Dethan a décidément un don pour les histoires belles, simples et rafraichissantes. Pas facile de traiter du passage de l'enfance à l'adolescence, de la pressante envie de "devenir femme", et pourtant elle y parvient dans les traits d'Eva. C'est fin, ça se lit d'une traite et sans ennui, et les dessins sont à l'image de l'ouvrage, beaux et paisibles. Le tout est peut-être un peu trop poétique (nombreuses sont-elles les filles qui l'ont vécu aussi paisiblement?), mais la question de grandir y est bien traitée avec ce symbole énigmatique des mains bleues, d'où le 4/5 au lieu d'un 3/5...
Des lendemains sans nuage
Vraiment bien aimé, oui ! Lorsque je l’avais feuilleté à sa sortie, je n’imaginais pas ce type de récit. En fait, je pensais qu’il s’agissait d’un recueil d’histoires courtes (d’où mon inintérêt). Quelle erreur ! Cette bd d’anticipation est intelligemment construite. Pendant la lecture, j’avais pourtant une appréhension quant à la fin ... peur qu’elle me déçoive. Il n’en est rien, elle est au contraire très recherchée car la logique du récit est respectée tout en donnant plus de profondeur au personnage principal. Petit bémol : la présence de certaines longueurs viennent quelque peu tempérer mon enthousiasme. Concernant les dessins de Gazzotti et de Meyer, ils se passent de commentaires ... moi, j’adore et j’en redemande !
Jessica Blandy
L'ensemble de cette collection est très dense. On y trouve de l'excellent, du bon, mais aussi du passable (rare, heureusement). Tous les tomes ne se valent donc pas, mais l'ensemble reste malgré tout très agréable à lire, surtout les premiers épisodes (1 à 7), où le fantastique n'apparaît pas encore dans le scénario.