Hum, je n'ai lu que le tome 3 de cette série, mais ça me paraît suffisant...
Les Dingodossiers, c'est un recueil de pages parues dans Pilote, entre 1965 et 1967 (à la louche); ça n'est donc pas tout récent.
Les Dingodossiers, c'est certes Gotlib, alors débutant et largement angoissé à l'idée de travailler seul, mais c'est aussi l'immmmmense Goscinny, alors en plein succès.
Les Dingodossiers, c'est enfin une partie de Pilote, un état d'esprit qui se ressent à la lecture.
A la lecture, on perçoit immédiatement les différences -- extrêmement marquées -- entre ces Dingodossiers, et la future Rubrique-à-brac. Différence principalement de ton et de dynamique, le dessin étant déjà d'un niveau très proche de ce qu'il sera ensuite. Le ton est très sage, posé; les "gags" n'en sont pas vraiment, et les différentes pages se résument surtout à des exposés de situation supposément comiques. Le dessin se limite alors plus à de l'illustration qu'à autre chose...
Le dynamique s'en ressent énormément : tout est terriblement statique...
Dans ce troisième tome, on a également quelques pages faites en solo par Gotlib pour Fluide.
Et là...
Comment dire ?
C'est le bonheeeuuur ! :)
D'une page à une autre, on bascule dans un univers com-plè-tement différent ! Le dessin s'anime d'une incroyable dynamique, il bouge, les visages sont caricaturaux, expressifs, animés, l'histoire est vivante, part dans tous les sens, l'humour fait une entrée en force, dans le dessin, dans les gags, les jeux de mots, bref partout.
Honnêtement, il n'y a aucune hésitation à avoir : là où les Dingodossiers laissent en partie présager de ce que fera Gotlib plus tard, c'est bien dans la Ràb que son talent glacial et sophistiqué prendra toute son ampleur.
Quant aux Dingodossiers, s'il peut être intéressant d'y jeter un oeil, leur lecture n'est en revanche pas exactement propice à une monstrueuse poilade.
C'est une BD sympa pour les petits alsaciens qui ont envie de découvrir l'histoire de ce château sans avoir à potasser un gros bouquin historique monotone....Illustration très très moyenne. A diffuser dans les CDI des écoles.
Tome 1 : 7/10
Histoire sans héros, c'est d'abord un one-shot paru dans les années 70. Un récit d'aventure classique, très basique mais bien calibré. Le genre d'album que l'on lit sans déplaisir. Un dessin agréable, un scénario qui démontre un certain savoir-faire, même si on pourrait déplorer un manque d'originalité.
Tome 2 : 3/10
20 ans plus tard, vient s'ajouter une suite, dont l'interêt est franchement discutable. Le dessin de Dany y est inégal, certaines planches sont réussies mais d'autres sont vraiment laides. On le sent hésitant entre différents styles, il se cherche mais ne se trouve pas. C'est dommage pour un vieux routier comme lui.
De son côté, le scénario ne fait pas franchement mieux, même s'il démarre sur les chapeaux de roue et sur une intrigue à la XIII qui s'annonce palpitante, l'album s'enlise très vite jusqu'à un final rempli de lourdeurs et d'invraisemblances.
Etrange que ces deux là ait voulu donner une suite à ce que certains considéraient comme une de leurs oeuvres majeures (pas moi). Car franchement, vingt ans après, on a l'impression que Dany et Van Hamme ont quelque peu perdu de leur superbe.
De l'action pure sur fond de science-fiction. C'est ce que propose ce one-shot qui se pare de toutes les vertus les plus outrancières : hyper violence, gore, passage porno... et une bonne dose de cynisme.
Malheureusement côté "provo", les éléments scénaristiques en jeu sont tellement attendus et banal, qu'au final, ce n'est pas très incisif.
Prenez les thèmes bien dans le vent : la mondialisation, les méchantes multinationales, l'écart nord-sud, les OGM, le clonage... et mélanger le tout et vous aurez une fable par moment divertissante mais sans aucune nuances ni finesses.
Stan et Vince sont loin d'être des manchots mais les planches sont fameusement gâchées par des effets colorés façon "photoshop" qui sont d'une faute de goût assez flagrante.
Même pour le côté : "ça pète et ça viande à tous les étages", je ne vous conseille pas cette bd, dans le genre, il y a bien plus jouissif et bien plus drôle Hard Boiled et Big Guy de Darrow et Miller, par exemple.
Même si l'univers graphique surprend agréablement l'amateur de science-fiction, le scénario n'accroche pas suffisamment le lecteur. De plus, certaines prises de vue me laisse perplexe...Certaines cases gachent parfois le formidable travail réalisé...L'architecture des décors est splendide mais certains cadrages sur les personnages gâchent la qualité d'ensemble de cette production. L'histoire souffre parfois aussi d'une incohérence dans la mise en scène...
Dommage car les personnages et le scénario auraient pu être gérés autrement...
C'est vrai que le dessin et le style de Chaillet sont différents, et même meilleurs que ceux de Jacques Martin, avec lequel il a collaboré durant plus de 20 ans... Mais lorsque Chaillet se lance tout seul dans une BD historique, c'est vraiment pas bon ! Son dessin part dans tous les sens, la narration est très hachée, et malgré le sujet (la fin de l'Empire romain d'Occident), on n'a pas envie d'en lire plus...
Ah ah, j'ai bien ri ! Dommage, c'est une bd qui fait peur, c'est écrit sur le quatr'de couv', regarde mieux, petit.
Bon, Corbeyran dernièrement essaie de percer dans de nouveaux domaines, de nouveaux univers. Grand bien lui fasse ! Mais force est de constater qu'il n'est pas à l'aise dans tous les milieux, le génial auteur du Regulateur, du chant des stryges, d'Abraxas, j'en passe et des meilleurs.
En effet, après un Weëna plutot "rigolo", on va dire (n'est pas Tolkien qui veut, hein), l'auteur se lance ici dans la BD d'épouvante. Je vous raconte même pas... parceque vouloir terroriser un lecteur à l'aide d'une BD est un pari au moins aussi ambitieux que celui de l'émouvoir devant un épisode des Pokemons. V'la le topo.
Bon, maintenant, j'arrete d'écrire n'importe quoi et je parle un peu de la bédé. Ca vaut quoi ? Ca se lit bien, c'est clair, très bien, même, entre autre grace au découpage assez propre et à la mise en scène plus que correct de l'ensemble de l'intrigue. Mais l'intrigue, justement... M'est avis que Corbeyran ne s'est pas creusé bien longtemps sur les tenants et les aboutissants de l'album. Attention, je ne dénigre pas son travail dans le sens ou techniquement, rien à redire, vraiment. Le storyboard n'a pas été fait à l'arrache, et ça se sent.
Le problème, c'est que, me concernant, le charme n'agit pas. Et comme dans ce type de récits, c'est surtout le resenti qui prime, si tout nous passe 10 000 au dessus, il ne reste pas grand chose, vous en conviendrez.
Le dessin, sympa sans être extraordinaire, sent fort le Comics surtout dans la mise en couleur que je n'aime par contre pas du tout. Pierre Schelle à fait beaucoup mieux (Golden City), alors qu'ici... il en fait trop, tout simplement.
Vouloir ajouter du relief a tout, dans tous les sens, ça n'a pas que des avantages : le sang fait très confiture, bien pateuse, par exemple.
Bon, j'attends la suite et fin, pour voir ce que tout cela donne, bien sûr ! On verra ça, mais pour l'instant, c'est pas fameux...
J'ai acheté cette bd surtout pour la dédicace de Mainguy (très sympatique), qui est vraiment géniale (en couleur et en 3D); Les dessins sont sympas mais les différent gags de Road Movie sont plutôt lourds...
Le roi des méduses, c'est l'exemple type de bd que l'on achete parce que c'est Ségur... Après Légendes des Contrées Oubliées que j'ai vraiment aimé, j'ai voulu découvrir une autre bd de ce dessinateur à part, car c'est bien à part comme style, il n'y a rien de semblable dans la bd aujourd'hui...
Donc voilà, niveau graphique, c'est très très beau, rien à dire, c'est Ségur et moi j'aime ! Mais niveau histoire, ba désolé mais moi ca me saoule une bd où je comprends rien, où je suis obligé de revenir en arrière toutes les 2 cases... non sérieux, je n'aime pas être paumé comme ca quand je lis une bd...
Enfin bon, c'est pour moi pas une bd indispensable...
Ouais mais là non.
C'est vraiment épais... alors soit ça l'est pas assez pour que ce soit provoquant, soit ça l'est trop pour que ce soit recherché et intéressant, je sais pas... Ca me fait pas rire. Pas ça. Ca sent la blague potache, et ça gonfle rapidement. Y'a un truc qui m'énerve, c'est qu'une scène chaude de Skydoll mais franchement géniale va être censurée dans le mag, et un mec qui arrache la touffe de sa copine ça passe alors que c'est laid et pas drôle. (parceque les filles, c'est sûr qu'il en a pas vu assez, parce que pas foutu d'en dessiner une qui n'aie pas une gueule de monstre.)
Bon j'crois qu'il y a eu deux ou trois gags qui m'ont fait rire dans les pages du mag, alors je laisse deux étoiles.
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Les Dingodossiers
Hum, je n'ai lu que le tome 3 de cette série, mais ça me paraît suffisant... Les Dingodossiers, c'est un recueil de pages parues dans Pilote, entre 1965 et 1967 (à la louche); ça n'est donc pas tout récent. Les Dingodossiers, c'est certes Gotlib, alors débutant et largement angoissé à l'idée de travailler seul, mais c'est aussi l'immmmmense Goscinny, alors en plein succès. Les Dingodossiers, c'est enfin une partie de Pilote, un état d'esprit qui se ressent à la lecture. A la lecture, on perçoit immédiatement les différences -- extrêmement marquées -- entre ces Dingodossiers, et la future Rubrique-à-brac. Différence principalement de ton et de dynamique, le dessin étant déjà d'un niveau très proche de ce qu'il sera ensuite. Le ton est très sage, posé; les "gags" n'en sont pas vraiment, et les différentes pages se résument surtout à des exposés de situation supposément comiques. Le dessin se limite alors plus à de l'illustration qu'à autre chose... Le dynamique s'en ressent énormément : tout est terriblement statique... Dans ce troisième tome, on a également quelques pages faites en solo par Gotlib pour Fluide. Et là... Comment dire ? C'est le bonheeeuuur ! :) D'une page à une autre, on bascule dans un univers com-plè-tement différent ! Le dessin s'anime d'une incroyable dynamique, il bouge, les visages sont caricaturaux, expressifs, animés, l'histoire est vivante, part dans tous les sens, l'humour fait une entrée en force, dans le dessin, dans les gags, les jeux de mots, bref partout. Honnêtement, il n'y a aucune hésitation à avoir : là où les Dingodossiers laissent en partie présager de ce que fera Gotlib plus tard, c'est bien dans la Ràb que son talent glacial et sophistiqué prendra toute son ampleur. Quant aux Dingodossiers, s'il peut être intéressant d'y jeter un oeil, leur lecture n'est en revanche pas exactement propice à une monstrueuse poilade.
Haut-Koenigsbourg - Le Siège de 1633
C'est une BD sympa pour les petits alsaciens qui ont envie de découvrir l'histoire de ce château sans avoir à potasser un gros bouquin historique monotone....Illustration très très moyenne. A diffuser dans les CDI des écoles.
Histoire sans Héros
Tome 1 : 7/10 Histoire sans héros, c'est d'abord un one-shot paru dans les années 70. Un récit d'aventure classique, très basique mais bien calibré. Le genre d'album que l'on lit sans déplaisir. Un dessin agréable, un scénario qui démontre un certain savoir-faire, même si on pourrait déplorer un manque d'originalité. Tome 2 : 3/10 20 ans plus tard, vient s'ajouter une suite, dont l'interêt est franchement discutable. Le dessin de Dany y est inégal, certaines planches sont réussies mais d'autres sont vraiment laides. On le sent hésitant entre différents styles, il se cherche mais ne se trouve pas. C'est dommage pour un vieux routier comme lui. De son côté, le scénario ne fait pas franchement mieux, même s'il démarre sur les chapeaux de roue et sur une intrigue à la XIII qui s'annonce palpitante, l'album s'enlise très vite jusqu'à un final rempli de lourdeurs et d'invraisemblances. Etrange que ces deux là ait voulu donner une suite à ce que certains considéraient comme une de leurs oeuvres majeures (pas moi). Car franchement, vingt ans après, on a l'impression que Dany et Van Hamme ont quelque peu perdu de leur superbe.
L'Imploseur (Now future)
De l'action pure sur fond de science-fiction. C'est ce que propose ce one-shot qui se pare de toutes les vertus les plus outrancières : hyper violence, gore, passage porno... et une bonne dose de cynisme. Malheureusement côté "provo", les éléments scénaristiques en jeu sont tellement attendus et banal, qu'au final, ce n'est pas très incisif. Prenez les thèmes bien dans le vent : la mondialisation, les méchantes multinationales, l'écart nord-sud, les OGM, le clonage... et mélanger le tout et vous aurez une fable par moment divertissante mais sans aucune nuances ni finesses. Stan et Vince sont loin d'être des manchots mais les planches sont fameusement gâchées par des effets colorés façon "photoshop" qui sont d'une faute de goût assez flagrante. Même pour le côté : "ça pète et ça viande à tous les étages", je ne vous conseille pas cette bd, dans le genre, il y a bien plus jouissif et bien plus drôle Hard Boiled et Big Guy de Darrow et Miller, par exemple.
Central Zéro
Même si l'univers graphique surprend agréablement l'amateur de science-fiction, le scénario n'accroche pas suffisamment le lecteur. De plus, certaines prises de vue me laisse perplexe...Certaines cases gachent parfois le formidable travail réalisé...L'architecture des décors est splendide mais certains cadrages sur les personnages gâchent la qualité d'ensemble de cette production. L'histoire souffre parfois aussi d'une incohérence dans la mise en scène... Dommage car les personnages et le scénario auraient pu être gérés autrement...
La dernière Prophétie
C'est vrai que le dessin et le style de Chaillet sont différents, et même meilleurs que ceux de Jacques Martin, avec lequel il a collaboré durant plus de 20 ans... Mais lorsque Chaillet se lance tout seul dans une BD historique, c'est vraiment pas bon ! Son dessin part dans tous les sens, la narration est très hachée, et malgré le sujet (la fin de l'Empire romain d'Occident), on n'a pas envie d'en lire plus...
Asphodèle
Ah ah, j'ai bien ri ! Dommage, c'est une bd qui fait peur, c'est écrit sur le quatr'de couv', regarde mieux, petit. Bon, Corbeyran dernièrement essaie de percer dans de nouveaux domaines, de nouveaux univers. Grand bien lui fasse ! Mais force est de constater qu'il n'est pas à l'aise dans tous les milieux, le génial auteur du Regulateur, du chant des stryges, d'Abraxas, j'en passe et des meilleurs. En effet, après un Weëna plutot "rigolo", on va dire (n'est pas Tolkien qui veut, hein), l'auteur se lance ici dans la BD d'épouvante. Je vous raconte même pas... parceque vouloir terroriser un lecteur à l'aide d'une BD est un pari au moins aussi ambitieux que celui de l'émouvoir devant un épisode des Pokemons. V'la le topo. Bon, maintenant, j'arrete d'écrire n'importe quoi et je parle un peu de la bédé. Ca vaut quoi ? Ca se lit bien, c'est clair, très bien, même, entre autre grace au découpage assez propre et à la mise en scène plus que correct de l'ensemble de l'intrigue. Mais l'intrigue, justement... M'est avis que Corbeyran ne s'est pas creusé bien longtemps sur les tenants et les aboutissants de l'album. Attention, je ne dénigre pas son travail dans le sens ou techniquement, rien à redire, vraiment. Le storyboard n'a pas été fait à l'arrache, et ça se sent. Le problème, c'est que, me concernant, le charme n'agit pas. Et comme dans ce type de récits, c'est surtout le resenti qui prime, si tout nous passe 10 000 au dessus, il ne reste pas grand chose, vous en conviendrez. Le dessin, sympa sans être extraordinaire, sent fort le Comics surtout dans la mise en couleur que je n'aime par contre pas du tout. Pierre Schelle à fait beaucoup mieux (Golden City), alors qu'ici... il en fait trop, tout simplement. Vouloir ajouter du relief a tout, dans tous les sens, ça n'a pas que des avantages : le sang fait très confiture, bien pateuse, par exemple. Bon, j'attends la suite et fin, pour voir ce que tout cela donne, bien sûr ! On verra ça, mais pour l'instant, c'est pas fameux...
Road Movie
J'ai acheté cette bd surtout pour la dédicace de Mainguy (très sympatique), qui est vraiment géniale (en couleur et en 3D); Les dessins sont sympas mais les différent gags de Road Movie sont plutôt lourds...
Le Roi des Méduses
Le roi des méduses, c'est l'exemple type de bd que l'on achete parce que c'est Ségur... Après Légendes des Contrées Oubliées que j'ai vraiment aimé, j'ai voulu découvrir une autre bd de ce dessinateur à part, car c'est bien à part comme style, il n'y a rien de semblable dans la bd aujourd'hui... Donc voilà, niveau graphique, c'est très très beau, rien à dire, c'est Ségur et moi j'aime ! Mais niveau histoire, ba désolé mais moi ca me saoule une bd où je comprends rien, où je suis obligé de revenir en arrière toutes les 2 cases... non sérieux, je n'aime pas être paumé comme ca quand je lis une bd... Enfin bon, c'est pour moi pas une bd indispensable...
Will
Ouais mais là non. C'est vraiment épais... alors soit ça l'est pas assez pour que ce soit provoquant, soit ça l'est trop pour que ce soit recherché et intéressant, je sais pas... Ca me fait pas rire. Pas ça. Ca sent la blague potache, et ça gonfle rapidement. Y'a un truc qui m'énerve, c'est qu'une scène chaude de Skydoll mais franchement géniale va être censurée dans le mag, et un mec qui arrache la touffe de sa copine ça passe alors que c'est laid et pas drôle. (parceque les filles, c'est sûr qu'il en a pas vu assez, parce que pas foutu d'en dessiner une qui n'aie pas une gueule de monstre.) Bon j'crois qu'il y a eu deux ou trois gags qui m'ont fait rire dans les pages du mag, alors je laisse deux étoiles.