Cette série sur Boba a été intégrée dans la collection « côté obscur » chez Delcourt.
On a ici un format plus classe et appréciable, pour ceux qui aiment le dessin (et les couleurs) proposé, malheureusement ce n’est absolument pas mon cas.
Impossible d’apprécier ma lecture et l’histoire ne relève pas le niveau.
Boba Fett reste un personnage iconique de l’univers mais ce n’est pas grâce à cette œuvre ni à sa récente version télévisuelle.
Ambiance cyberpunk japonisante, société du futur corrompue et combats de robots, pourquoi pas ? Ça peut être ma came. Mais là, non, ça n'a pas marché du tout.
Pour commencer, le graphisme est repoussant. Le trait lui-même est laid, sans maitrise, avec des visages souvent très moches. Alors pour cacher la misère, les dessinateurs noient toutes les planches sous une couche épaisse de colorisation informatique, d'onomatopées, de modélisations 3D, d'effets de lumière et de flous. Le résultat est non seulement hideux mais en plus à la moindre scène d'action, il est tout simplement illisible.
Quant à l'histoire, elle est plombée par une narration beaucoup trop verbeuse et trop présente. Même les dialogues sont à rallonge. On sent que l'auteur avait très envie de raconter son histoire et qu'il s'épanche en textes à rallonge qu'on lit sans plus regarder les images de toute façon trop moches. Et rapidement vient l'ennui, le rejet même pour ma part, car l'intrigue ne m'a absolument pas intéressé, pas plus que les personnages et l'ambiance du récit.
J'ai lâché l'affaire avant la moitié de l'album et j'ai survoler le reste pour voir si ça semblait s'arranger mais ça restait toujours aussi verbeux dans les scènes molles et incompréhensible et laid dans les scènes d'action. Il n'y a pas de suite donc j'aurai pas besoin de me forcer à la lire.
De la série cet album est peut être bien le pire, hâte de le ramener à la bibliothèque.
Une histoire de flibusterie qui ne renouvelle pas le genre. Une histoire "bateau" où les héros sont inintéressants et le scénario trop invraisemblable.
Des personnages quelconques et stéréotypés.
La présence en filigrane de Long John Silver et du Capitaine Flint n'apporte rien au récit
Une lecture au forceps.
Un dessin grossier tout aussi fade et une colorisation du même tonneau.
Dispensable.
Je partage l'essentiel des avis, sauf sur un point, mais je vais y venir.
J'ai lu uniquement le tome 2, qui nous place un duo de conservateurs face à un escroc potentiel, et deux meurtres censés permettre à l'escroquerie de suivre son cours.
Déjà le premier problème tient effectivement dans le scénario, incroyablement faible. L'intrigue nous est résolue dans les deux dernières pages, et les "indices" ont de quoi laisser pantois. Dans toute bonne enquête, on fait progressivement "monter la sauce" en saupoudrant les pages d'indices, ici rien de tel, on passe directement de l'un à l'autre.
Beaucoup d'invraisemblances ou de raccourcis, par exemple, une cache (très ingénieuse, je le reconnais) est trouvée en un regard (on se demande comment??), la fameuse escroquerie ayant entraîné deux meurtres est tout aussi fantasmagorique : sans rien dévoiler, un neveu d'une famille juive assassinée à Auschwitz tente de faire croire qu'une toile ayant appartenu à son oncle s'est retrouvée dans un musée français. Problème, il n'a aucune véritable preuve, et la toile qu'on retrouve bel et bien n'a aucune traçabilité... Sachant comment les musées français se font tirer l'oreille pour rendre une œuvre spoliée quand toute la chaîne de provenance est établie, on reste rêveur devant la fragilité extrême de leur plan, meurtre ou pas.
Ah oui, un "gag" fréquent consiste en ce que le commissaire est incapable de retenir le nom de son interlocuteur (alors qu'on lui a dit 3 ou 4 fois), et lui trouve un nouveau nom à chaque phrase....C'est ni drôle, ni original (il y avait le même genre de gags dans Gil et Jo en 1972, et cette BD se destinait aux enfants de 4 à 7 ans...) ni crédible (un policier qui se trompe toujours dans les noms ne fera pas carrière...).
Enfin sur le dessin : je ne suis pas d'accord, sans être mauvais, celui-ci est franchement impersonnel et froid au possible, chaque personnage ayant plus ou moins la même expression continuelle sur le visage (à croire qu'ils sont rarement surpris ou heureux..)
Au bout de 3 saisons, soit 21 albums, quelle déception cette collection, beaucoup de passable et peu de réussite. Pourtant le concept était accrocheur et promettait sur le champ des possibles, mais trop peu d’auteurs tirent leur épingle du jeu sur ce travail de commande.
7 Naufragés - album de mi parcours de la collection, ne fera hélas pas remonter la moyenne.
Un début d’intrigue prometteur, lorgnant vers Lost, mais le scénario se prend assez vite les pieds dans le tapis.
Les personnages sont sans saveurs, tout comme le dessin - techniquement bon mais vraiment pas ma came, trop kawaii à mon goût.
Le tout est assez indigeste.
Bref je trouve pas grand chose à sauver à la fin de ma lecture.
A éviter
Je suis un grand fan du travail de Bruno Duhamel mais je suis perplexe quant à cet album.
En tant qu'adulte, je le trouve très bon, avec ses dessins ronds et agréables. Ses couleurs chaudes et chatoyantes invitent à la douceur.
Les gags sont vraiment drôles (je n'aime pas Le Village) si on prend de la distance et qu'on les reçoit au second degré.
La présence des animaux et le tour du monde sont dépaysants et originaux.
Mais désolé cela reste un regard et un esprit de jeune adulte transposé sur un enfant.
C'est là où le bât blesse pour moi. Le deuxième degré chez un enfant (comme en politique) est affaire dangereuse ! On croirait que Duhamel a listé les accidents domestiques les plus dangereux pour en faire les bêtises de Bibi.
Grille-pain électrique et doudou (électrocution et incendie), Javel (empoisonnement), bêtes sauvages (morsures et infections), riz pour bébé ou draps (étouffement), oups !!
Je rappelle que les dessins animés des Super héros volants proposaient une annonce pour avertir les enfants de ne pas vouloir imiter ce type d'action. Cela après un nombre d'accidents significatifs et parfois mortels !!
A mon sens, toute l'oeuvre de Duhamel, j'en ai lu beaucoup, montre qu'il n'est PAS un auteur pour jeunes enfants. Ses grands talents sont autres.
Si l'on cible les jeunes enfants, ont-ils le discernement nécessaire pour ne pas imiter ? Je n'en suis pas sûr à 100%.
Quand j'ai acheté ces deux ouvrages classés érotiques, j'ai cru à une histoire de couple mixte genre domino.
Oups, mauvaise pioche, à la place j'ai de la sodomie scato (chocolat) parfumée au sanguinolent (fraise). Coeurs sensibles s'abstenir.
Si j'ajoute le dessin très médiocre, minimaliste sans décor, sans ambiance et sans corps attirant, on se demande comment une telle parution a pu voir le jour.
Je plains les dizaines d'étudiantes aux beaux-arts qui dessinent bien mieux et qui peuvent raconter des vraies histoires.
Quoi de plus éculé que l'histoire de l'intimité sexuelle d'un couple. Cela n'a pas dû changer depuis des millénaires. Rien de neuf sous le soleil.
De plus je ne suis vraiment pas fan de l'exposition marchande ( beaucoup plus qu'artistique) de son intimité dans une société qui n'oublie rien.
Pour 3 euros par bouquin, on s'offre une sorte de sextape soldée. Avis aux amateurs dont je ne suis pas.
Au bout de 3 saisons, soit 21 albums, quelle déception cette collection, beaucoup de passable et peu de réussite. Pourtant le concept était accrocheur et promettait sur le champ des possibles, mais trop peu d’auteurs tirent leur épingle du jeu sur ce travail de commande.
7 guerrières, 5ème parution ... et une désillusion de plus, surtout après le très réussi 7 Missionnaires.
On est sur du bas de gamme, travail de commande vite fait mal fait.
Rien d’ingénieux dans ce tome, histoire archi basique et linéaire, un twist final qui fait l’effet d’un pétard mouillé, un dessin et une narration approximative ... rien ne marche.
Je ne connaissais pas les auteurs ... et je ne les connais toujours pas.
A éviter, on est dans le pur commercial.
Au bout de 3 saisons, soit 21 albums, quelle déception cette collection, beaucoup de passable et peu de réussite.
Pourtant le concept était accrocheur et promettait sur le champ des possibles, mais trop peu d’auteurs tirent leur épingle du jeu sur ce travail de commande.
7 pirates - 3ème parution de la collection.
Mon premier 1*
On est dans le loupé de chez loupé, c’est bien simple je n’aime rien dans cet album. Je trouve le dessin approximatif et confus, mais le pire reste le scénario qui m’a laissé de marbre. Moi qui attendait une chouette histoire pirate, tout est raté, pas de tension, pas de charisme, rien à se mettre sous la dent, je suis complètement resté à quai avec cette suite de l’île au trésor. On est bien loin de Long John Silver.
Lecture barbante et ennuyeuse de bout en bout. Je ne le relis jamais.
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Star Wars - Boba Fett
Cette série sur Boba a été intégrée dans la collection « côté obscur » chez Delcourt. On a ici un format plus classe et appréciable, pour ceux qui aiment le dessin (et les couleurs) proposé, malheureusement ce n’est absolument pas mon cas. Impossible d’apprécier ma lecture et l’histoire ne relève pas le niveau. Boba Fett reste un personnage iconique de l’univers mais ce n’est pas grâce à cette œuvre ni à sa récente version télévisuelle.
Golgoth Aqua Tek
Ambiance cyberpunk japonisante, société du futur corrompue et combats de robots, pourquoi pas ? Ça peut être ma came. Mais là, non, ça n'a pas marché du tout. Pour commencer, le graphisme est repoussant. Le trait lui-même est laid, sans maitrise, avec des visages souvent très moches. Alors pour cacher la misère, les dessinateurs noient toutes les planches sous une couche épaisse de colorisation informatique, d'onomatopées, de modélisations 3D, d'effets de lumière et de flous. Le résultat est non seulement hideux mais en plus à la moindre scène d'action, il est tout simplement illisible. Quant à l'histoire, elle est plombée par une narration beaucoup trop verbeuse et trop présente. Même les dialogues sont à rallonge. On sent que l'auteur avait très envie de raconter son histoire et qu'il s'épanche en textes à rallonge qu'on lit sans plus regarder les images de toute façon trop moches. Et rapidement vient l'ennui, le rejet même pour ma part, car l'intrigue ne m'a absolument pas intéressé, pas plus que les personnages et l'ambiance du récit. J'ai lâché l'affaire avant la moitié de l'album et j'ai survoler le reste pour voir si ça semblait s'arranger mais ça restait toujours aussi verbeux dans les scènes molles et incompréhensible et laid dans les scènes d'action. Il n'y a pas de suite donc j'aurai pas besoin de me forcer à la lire.
Sept pirates
De la série cet album est peut être bien le pire, hâte de le ramener à la bibliothèque. Une histoire de flibusterie qui ne renouvelle pas le genre. Une histoire "bateau" où les héros sont inintéressants et le scénario trop invraisemblable. Des personnages quelconques et stéréotypés. La présence en filigrane de Long John Silver et du Capitaine Flint n'apporte rien au récit Une lecture au forceps. Un dessin grossier tout aussi fade et une colorisation du même tonneau. Dispensable.
Seraphin Cantarel
Je partage l'essentiel des avis, sauf sur un point, mais je vais y venir. J'ai lu uniquement le tome 2, qui nous place un duo de conservateurs face à un escroc potentiel, et deux meurtres censés permettre à l'escroquerie de suivre son cours. Déjà le premier problème tient effectivement dans le scénario, incroyablement faible. L'intrigue nous est résolue dans les deux dernières pages, et les "indices" ont de quoi laisser pantois. Dans toute bonne enquête, on fait progressivement "monter la sauce" en saupoudrant les pages d'indices, ici rien de tel, on passe directement de l'un à l'autre. Beaucoup d'invraisemblances ou de raccourcis, par exemple, une cache (très ingénieuse, je le reconnais) est trouvée en un regard (on se demande comment??), la fameuse escroquerie ayant entraîné deux meurtres est tout aussi fantasmagorique : sans rien dévoiler, un neveu d'une famille juive assassinée à Auschwitz tente de faire croire qu'une toile ayant appartenu à son oncle s'est retrouvée dans un musée français. Problème, il n'a aucune véritable preuve, et la toile qu'on retrouve bel et bien n'a aucune traçabilité... Sachant comment les musées français se font tirer l'oreille pour rendre une œuvre spoliée quand toute la chaîne de provenance est établie, on reste rêveur devant la fragilité extrême de leur plan, meurtre ou pas. Ah oui, un "gag" fréquent consiste en ce que le commissaire est incapable de retenir le nom de son interlocuteur (alors qu'on lui a dit 3 ou 4 fois), et lui trouve un nouveau nom à chaque phrase....C'est ni drôle, ni original (il y avait le même genre de gags dans Gil et Jo en 1972, et cette BD se destinait aux enfants de 4 à 7 ans...) ni crédible (un policier qui se trompe toujours dans les noms ne fera pas carrière...). Enfin sur le dessin : je ne suis pas d'accord, sans être mauvais, celui-ci est franchement impersonnel et froid au possible, chaque personnage ayant plus ou moins la même expression continuelle sur le visage (à croire qu'ils sont rarement surpris ou heureux..)
Sept naufragés
Au bout de 3 saisons, soit 21 albums, quelle déception cette collection, beaucoup de passable et peu de réussite. Pourtant le concept était accrocheur et promettait sur le champ des possibles, mais trop peu d’auteurs tirent leur épingle du jeu sur ce travail de commande. 7 Naufragés - album de mi parcours de la collection, ne fera hélas pas remonter la moyenne. Un début d’intrigue prometteur, lorgnant vers Lost, mais le scénario se prend assez vite les pieds dans le tapis. Les personnages sont sans saveurs, tout comme le dessin - techniquement bon mais vraiment pas ma came, trop kawaii à mon goût. Le tout est assez indigeste. Bref je trouve pas grand chose à sauver à la fin de ma lecture. A éviter
Je suis pas petite !!!
Je suis un grand fan du travail de Bruno Duhamel mais je suis perplexe quant à cet album. En tant qu'adulte, je le trouve très bon, avec ses dessins ronds et agréables. Ses couleurs chaudes et chatoyantes invitent à la douceur. Les gags sont vraiment drôles (je n'aime pas Le Village) si on prend de la distance et qu'on les reçoit au second degré. La présence des animaux et le tour du monde sont dépaysants et originaux. Mais désolé cela reste un regard et un esprit de jeune adulte transposé sur un enfant. C'est là où le bât blesse pour moi. Le deuxième degré chez un enfant (comme en politique) est affaire dangereuse ! On croirait que Duhamel a listé les accidents domestiques les plus dangereux pour en faire les bêtises de Bibi. Grille-pain électrique et doudou (électrocution et incendie), Javel (empoisonnement), bêtes sauvages (morsures et infections), riz pour bébé ou draps (étouffement), oups !! Je rappelle que les dessins animés des Super héros volants proposaient une annonce pour avertir les enfants de ne pas vouloir imiter ce type d'action. Cela après un nombre d'accidents significatifs et parfois mortels !! A mon sens, toute l'oeuvre de Duhamel, j'en ai lu beaucoup, montre qu'il n'est PAS un auteur pour jeunes enfants. Ses grands talents sont autres. Si l'on cible les jeunes enfants, ont-ils le discernement nécessaire pour ne pas imiter ? Je n'en suis pas sûr à 100%.
Fraise et Chocolat
Quand j'ai acheté ces deux ouvrages classés érotiques, j'ai cru à une histoire de couple mixte genre domino. Oups, mauvaise pioche, à la place j'ai de la sodomie scato (chocolat) parfumée au sanguinolent (fraise). Coeurs sensibles s'abstenir. Si j'ajoute le dessin très médiocre, minimaliste sans décor, sans ambiance et sans corps attirant, on se demande comment une telle parution a pu voir le jour. Je plains les dizaines d'étudiantes aux beaux-arts qui dessinent bien mieux et qui peuvent raconter des vraies histoires. Quoi de plus éculé que l'histoire de l'intimité sexuelle d'un couple. Cela n'a pas dû changer depuis des millénaires. Rien de neuf sous le soleil. De plus je ne suis vraiment pas fan de l'exposition marchande ( beaucoup plus qu'artistique) de son intimité dans une société qui n'oublie rien. Pour 3 euros par bouquin, on s'offre une sorte de sextape soldée. Avis aux amateurs dont je ne suis pas.
La Nouvelle pornographie
Expérimental dans le fond comme dans la forme. Je suis passé complètement à côté du truc ... Pas convaincu du tout de ma lecture, à éviter.
Sept guerrières
Au bout de 3 saisons, soit 21 albums, quelle déception cette collection, beaucoup de passable et peu de réussite. Pourtant le concept était accrocheur et promettait sur le champ des possibles, mais trop peu d’auteurs tirent leur épingle du jeu sur ce travail de commande. 7 guerrières, 5ème parution ... et une désillusion de plus, surtout après le très réussi 7 Missionnaires. On est sur du bas de gamme, travail de commande vite fait mal fait. Rien d’ingénieux dans ce tome, histoire archi basique et linéaire, un twist final qui fait l’effet d’un pétard mouillé, un dessin et une narration approximative ... rien ne marche. Je ne connaissais pas les auteurs ... et je ne les connais toujours pas. A éviter, on est dans le pur commercial.
Sept pirates
Au bout de 3 saisons, soit 21 albums, quelle déception cette collection, beaucoup de passable et peu de réussite. Pourtant le concept était accrocheur et promettait sur le champ des possibles, mais trop peu d’auteurs tirent leur épingle du jeu sur ce travail de commande. 7 pirates - 3ème parution de la collection. Mon premier 1* On est dans le loupé de chez loupé, c’est bien simple je n’aime rien dans cet album. Je trouve le dessin approximatif et confus, mais le pire reste le scénario qui m’a laissé de marbre. Moi qui attendait une chouette histoire pirate, tout est raté, pas de tension, pas de charisme, rien à se mettre sous la dent, je suis complètement resté à quai avec cette suite de l’île au trésor. On est bien loin de Long John Silver. Lecture barbante et ennuyeuse de bout en bout. Je ne le relis jamais. 1er signe d’alerte sur la qualité.