Très contente de savoir que je vais pouvoir connaître la suite de la BD Le Cycle d'Inari, avec la BD "les sanctuaires", mais je suis consternée de constater que ce dernier ouvrage regroupe les 2 BDs ! Quelle arnaque, pour connaître la suite, je dois acheter un ouvrage qui contient déjà le tome 1... en fait, je l'ai payé 2 fois !
Je fais partie de ceux qui ne regrettent pas l'abandon probable de cette série. Pour une fois je commence avec le graphisme de Dodson qui est une terrible déception. L'auteur nous propose un tracer de comics commercial bas de gamme avec des personnages rudimentaires, des extérieurs bâclés et une mise en couleur sans recherche. Même son héroïne possède autant d'attrait qu'une vieille poupée gonflable en latex. Je reviens aussi sur l'hypocrisie mercantile d'une couverture aguicheuse en contradiction totale avec le contenu. Je me suis retrouvé très loin de l'univers steampunk délicieusement érotique et si finement travaillé de la série Songes.
En produisant un travail de si médiocre qualité à mes yeux, cela me donne l'impression d'un auteur qui scie la branche sur laquelle il a bâti sa carrière. C'est étonnant.
Toutefois ces réserves ne sont rien par rapport à la consternation que j'ai éprouvé à la lecture du scénario. Un scénario foutraque bourré de clichés, d'incohérences, d'anachronisme et qui ne m'a pas fait sourire une seconde tellement cela utilise une facilité puérile.
J'ai vite lâché l'affaire après la construction des pages 8 et 9 qui renvoient en vis à vis la violence d'un psychopathe au discours d'illuminé mystique chrétien à la douceur juvénile de gentils soldats soviétiques en extases devant les attraits de la miss KGB. j'ai pourtant cru que ces mêmes soldats allaient ravager l'Afghanistan faisant un million de morts puis la Tchétchénie d'une façon tout aussi brutale. J'avoue avoir du mal à saisir le message des auteurs.
Pas du tout à mon goût.
Je n'ai pas accroché du tout à ces quatre histoires courtes . Je les ai trouvé toutes aussi ennuyeuses les unes que les autres. C'est presque toujours le même schéma qui se répète avec quelques variations insignifiantes. Un ou des mecs sexuellement immature voire pervers
qui croise le chemin de jeunes filles (16-20 ans) assez réceptives dans un imbroglio d'états d'âme superficiels, puérils et chiants.
Le graphisme est fin et précis mais donne un rendu figé et froid qui donne l'impression d'être en face de pantins télécommandés.
A mes yeux une perte de temps.
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Les Sanctuaires (Le Cycle d'Inari)
Très contente de savoir que je vais pouvoir connaître la suite de la BD Le Cycle d'Inari, avec la BD "les sanctuaires", mais je suis consternée de constater que ce dernier ouvrage regroupe les 2 BDs ! Quelle arnaque, pour connaître la suite, je dois acheter un ouvrage qui contient déjà le tome 1... en fait, je l'ai payé 2 fois !
Red Skin
Je fais partie de ceux qui ne regrettent pas l'abandon probable de cette série. Pour une fois je commence avec le graphisme de Dodson qui est une terrible déception. L'auteur nous propose un tracer de comics commercial bas de gamme avec des personnages rudimentaires, des extérieurs bâclés et une mise en couleur sans recherche. Même son héroïne possède autant d'attrait qu'une vieille poupée gonflable en latex. Je reviens aussi sur l'hypocrisie mercantile d'une couverture aguicheuse en contradiction totale avec le contenu. Je me suis retrouvé très loin de l'univers steampunk délicieusement érotique et si finement travaillé de la série Songes. En produisant un travail de si médiocre qualité à mes yeux, cela me donne l'impression d'un auteur qui scie la branche sur laquelle il a bâti sa carrière. C'est étonnant. Toutefois ces réserves ne sont rien par rapport à la consternation que j'ai éprouvé à la lecture du scénario. Un scénario foutraque bourré de clichés, d'incohérences, d'anachronisme et qui ne m'a pas fait sourire une seconde tellement cela utilise une facilité puérile. J'ai vite lâché l'affaire après la construction des pages 8 et 9 qui renvoient en vis à vis la violence d'un psychopathe au discours d'illuminé mystique chrétien à la douceur juvénile de gentils soldats soviétiques en extases devant les attraits de la miss KGB. j'ai pourtant cru que ces mêmes soldats allaient ravager l'Afghanistan faisant un million de morts puis la Tchétchénie d'une façon tout aussi brutale. J'avoue avoir du mal à saisir le message des auteurs. Pas du tout à mon goût.
Blonde platine
Je n'ai pas accroché du tout à ces quatre histoires courtes . Je les ai trouvé toutes aussi ennuyeuses les unes que les autres. C'est presque toujours le même schéma qui se répète avec quelques variations insignifiantes. Un ou des mecs sexuellement immature voire pervers qui croise le chemin de jeunes filles (16-20 ans) assez réceptives dans un imbroglio d'états d'âme superficiels, puérils et chiants. Le graphisme est fin et précis mais donne un rendu figé et froid qui donne l'impression d'être en face de pantins télécommandés. A mes yeux une perte de temps.