Cette BD est peut-être bien celle d'Azpiri qui m'a le plus plu. Elle ne présente en effet aucun défaut majeur, rien qui puisse contrebalancer son superbe dessin.
Les quelques plages de blanc et le manque d'encrage persiste à donner au dessin d'Azpiri un aspect non complètement achevé à mes yeux, mais pour le reste, il est tout simplement excellent. Les couleurs sont moins pêtantes que dans d'autres de ses BDs et cela me convient parfaitement car cela donne plus de sérieux à ses planches. Bref, c'est un très beau dessin de SF qui n'est pas sans me rappeler celui de Gimenez en un peu moins réaliste, un peu plus "fun".
Au niveau du scénario, ce sont des petites nouvelles de SF sans réellement d'originalité. Elles se lisent plutôt bien, ne sont pas mauvaises dans l'ensemble, mais il ne faut pas y chercher une vraie trouvaille ou une histoire vraiment forte.
Ce sont juste des petites histoires de SF très classiques joliment dessinées.
J'ai longtemps été un grand amateur de X-Files mais franchement cette BD là ne m'a pas plu du tout. Je n'ai lu que le premier tome mais je m'arrêterai là. Pour moi c'est un mélange entre un mauvais épisode de X-Files et une mauvaise BD de Pif et Hercule. Le dessin est grossier et souvent tellement mal foutu que certaines images sont dures à déchiffrer. L'humour m'est passé à des lieues. Et le scénario, même s'il se finit sur une scène pas trop mauvaise du siège de la cabane par des "monstres sanguinaires", ne casse franchement pas des briques ni par son originalité ni par son interêt.
Je ne peux bien-sûr pas conseiller l’achat de cette série incomplète. La frustration serait certainement au rendez-vous vu la qualité des 2 premiers tomes.
Il faut saluer la qualité du scénario qui mélange avec assez de bonheur réalité historique et fiction romanesque.
Les auteurs n’ont pas souhaité pousser la précision au point des passagers du vent, peut-être par peur de ne pas parvenir à soutenir la comparaison, peut-être pour une autre raison, choix discutable. Mais ce qu’ils ont produit est tout de même très bon.
Le dessin est pas mal, mis ne m’emballe pas du tout.
Quoi qu’il en soit, on est emporté dans une de ces belles aventures maritimes du XVIIIème siècle. Contrat rempli pour les auteurs.
Très intéressant album auto-édité par Fred dans l'esprit Fred si caractéristique. Il s'agit d'un homme qui cherche en vain sa chambre d'hôtel parmi les millions de chambres et d'étages de cet immense labyrinthe. Il fera de surprenantes rencontres au détour des couloirs.
Dessin noir et blanc, la qualité du papier un peu jauni n'est pas super je trouve.
J’ai acheté cet album sur la base de ce qu’on en avait dit sur certains forums Internet et dans la description de l’album (qui qualifie l’auteur de Marcel Proust de la BD, rien de moins !). L’album est un recueil d’une centaine de séries de 8 cases, constituant une réflexion ironique, nostalgique, absurde sur une ville ressemblant à New-York.
Même si je peux comprendre l’attrait que l’album peut avoir pour certains, je n’ai pas du tout accroché. Premièrement, j’ai trouvé la double lecture des encadrés et des phylactères extrêmement lourde et soporifique. Deuxièmement, je n’ai jamais fort aimé les « strips » de quelques cases, et Julius Knipl ne fait pas exception à cette règle, malgré le fait qu’il ne s’agisse sûrement pas de strips conventionnels. Je ne suis arrivé à la moitié de l’album qu’avec beaucoup peine et j’ai abandonné le reste de la lecture, n’ayant pas le courage d’aller plus loin.
Quand Georges Bess ouvre son carnet de croquis et prend son rotring en main, le rotring se met à dessiner tout seul. Il en sort un personnage, Bobi, sorte de Pierrot universel qui se retrouve en chacun de nous. Que dire de plus sur cet album ? Que cet album ne dit rien de plus. J’ai trouvé la lecture longue et ennuyante, les superbes dessins n’arrivant pas à contrebalancer la vacuité du récit.
Complètement excellent, décidément Bouzard me surprend en bien. Autant j'ai jamais trop accroché à Larcenet, autant j'aime bien l'humour de Bouzard. J'étais vraiment pété de rire sur certains trucs comme les histoires avec son chien, "ce con d'chien".
Très bon titre pour se marrer.
Très beau dessin, mais en même temps très statique. Le tome 2 est nominé au Festival d'Angoulême 2006.
Je n'ai pas lu Le Sursis mais ça fait longtemps que ça m'attire vues les critiques plutôt positives. Le vol du corbeau est assez bien mené même si on tire sur les ficelles classiques telles le faux-méchant, la scène de love inévitable et j'en passe.
Formellement bon
Superbe dessin d'abord comme tout le monde l'a remarqué.
Ensuite l'histoire est à la fois lente mais riche pleine de sous-entendus laissant au lecteur le soin de comprendre sans la nécessité d'un narrateur omniprésent. Le contexte historique et politique m'intéresse également même si j'aimerai avoir plus d'informations sur l'inspiration de Lepage ; peut-être en petit supplément du tome 2.
En tout cas ça m'a donné envie de voir les autres oeuvres de l'auteur.
Prix René Goscinny, nominé à Angoulême, cet album de Gipi a tous les honneurs. Pourtant assez peu visible en magasin, l'album édité par Actes Sud connait un petit succès par le bouche à oreille.
Je reconnais ici toutes ses qualités : très beau dessin, sens de la narration et manière de raconter son histoire assez sympathique. Cet ouvrage d'une centaine de pages, assez cher au demeurant, se lit facilement et agréablement. Dans un univers urbain contemporain d'une guerre fictive mais ayant son lot commun d'horreurs et d'injustice, nos petits jeunes dont le narrateur tentent de sortir leur épingle du jeu.
Belle histoire et malgré tout ce que j'ai pu en dire, il se trouve encore un goût de trop peu pour que je lui mette 5 étoiles : pas vraiment de finalité, ni de morale ou quelconque message affiché. C'est peut-être trop subtil pour moi qui n'ait pas gratté assez profondément.
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Les Colonisateurs
Cette BD est peut-être bien celle d'Azpiri qui m'a le plus plu. Elle ne présente en effet aucun défaut majeur, rien qui puisse contrebalancer son superbe dessin. Les quelques plages de blanc et le manque d'encrage persiste à donner au dessin d'Azpiri un aspect non complètement achevé à mes yeux, mais pour le reste, il est tout simplement excellent. Les couleurs sont moins pêtantes que dans d'autres de ses BDs et cela me convient parfaitement car cela donne plus de sérieux à ses planches. Bref, c'est un très beau dessin de SF qui n'est pas sans me rappeler celui de Gimenez en un peu moins réaliste, un peu plus "fun". Au niveau du scénario, ce sont des petites nouvelles de SF sans réellement d'originalité. Elles se lisent plutôt bien, ne sont pas mauvaises dans l'ensemble, mais il ne faut pas y chercher une vraie trouvaille ou une histoire vraiment forte. Ce sont juste des petites histoires de SF très classiques joliment dessinées.
Murder & Scoty
J'ai longtemps été un grand amateur de X-Files mais franchement cette BD là ne m'a pas plu du tout. Je n'ai lu que le premier tome mais je m'arrêterai là. Pour moi c'est un mélange entre un mauvais épisode de X-Files et une mauvaise BD de Pif et Hercule. Le dessin est grossier et souvent tellement mal foutu que certaines images sont dures à déchiffrer. L'humour m'est passé à des lieues. Et le scénario, même s'il se finit sur une scène pas trop mauvaise du siège de la cabane par des "monstres sanguinaires", ne casse franchement pas des briques ni par son originalité ni par son interêt.
Le passage de Vénus
Je ne peux bien-sûr pas conseiller l’achat de cette série incomplète. La frustration serait certainement au rendez-vous vu la qualité des 2 premiers tomes. Il faut saluer la qualité du scénario qui mélange avec assez de bonheur réalité historique et fiction romanesque. Les auteurs n’ont pas souhaité pousser la précision au point des passagers du vent, peut-être par peur de ne pas parvenir à soutenir la comparaison, peut-être pour une autre raison, choix discutable. Mais ce qu’ils ont produit est tout de même très bon. Le dessin est pas mal, mis ne m’emballe pas du tout. Quoi qu’il en soit, on est emporté dans une de ces belles aventures maritimes du XVIIIème siècle. Contrat rempli pour les auteurs.
Magic Palace Hotel
Très intéressant album auto-édité par Fred dans l'esprit Fred si caractéristique. Il s'agit d'un homme qui cherche en vain sa chambre d'hôtel parmi les millions de chambres et d'étages de cet immense labyrinthe. Il fera de surprenantes rencontres au détour des couloirs. Dessin noir et blanc, la qualité du papier un peu jauni n'est pas super je trouve.
Histoires urbaines de Julius Knipl, photographe
J’ai acheté cet album sur la base de ce qu’on en avait dit sur certains forums Internet et dans la description de l’album (qui qualifie l’auteur de Marcel Proust de la BD, rien de moins !). L’album est un recueil d’une centaine de séries de 8 cases, constituant une réflexion ironique, nostalgique, absurde sur une ville ressemblant à New-York. Même si je peux comprendre l’attrait que l’album peut avoir pour certains, je n’ai pas du tout accroché. Premièrement, j’ai trouvé la double lecture des encadrés et des phylactères extrêmement lourde et soporifique. Deuxièmement, je n’ai jamais fort aimé les « strips » de quelques cases, et Julius Knipl ne fait pas exception à cette règle, malgré le fait qu’il ne s’agisse sûrement pas de strips conventionnels. Je ne suis arrivé à la moitié de l’album qu’avec beaucoup peine et j’ai abandonné le reste de la lecture, n’ayant pas le courage d’aller plus loin.
Bobi
Quand Georges Bess ouvre son carnet de croquis et prend son rotring en main, le rotring se met à dessiner tout seul. Il en sort un personnage, Bobi, sorte de Pierrot universel qui se retrouve en chacun de nous. Que dire de plus sur cet album ? Que cet album ne dit rien de plus. J’ai trouvé la lecture longue et ennuyante, les superbes dessins n’arrivant pas à contrebalancer la vacuité du récit.
The autobiography of me too
Complètement excellent, décidément Bouzard me surprend en bien. Autant j'ai jamais trop accroché à Larcenet, autant j'aime bien l'humour de Bouzard. J'étais vraiment pété de rire sur certains trucs comme les histoires avec son chien, "ce con d'chien". Très bon titre pour se marrer.
Le Vol du Corbeau
Très beau dessin, mais en même temps très statique. Le tome 2 est nominé au Festival d'Angoulême 2006. Je n'ai pas lu Le Sursis mais ça fait longtemps que ça m'attire vues les critiques plutôt positives. Le vol du corbeau est assez bien mené même si on tire sur les ficelles classiques telles le faux-méchant, la scène de love inévitable et j'en passe. Formellement bon
Muchacho
Superbe dessin d'abord comme tout le monde l'a remarqué. Ensuite l'histoire est à la fois lente mais riche pleine de sous-entendus laissant au lecteur le soin de comprendre sans la nécessité d'un narrateur omniprésent. Le contexte historique et politique m'intéresse également même si j'aimerai avoir plus d'informations sur l'inspiration de Lepage ; peut-être en petit supplément du tome 2. En tout cas ça m'a donné envie de voir les autres oeuvres de l'auteur.
Notes pour une histoire de guerre
Prix René Goscinny, nominé à Angoulême, cet album de Gipi a tous les honneurs. Pourtant assez peu visible en magasin, l'album édité par Actes Sud connait un petit succès par le bouche à oreille. Je reconnais ici toutes ses qualités : très beau dessin, sens de la narration et manière de raconter son histoire assez sympathique. Cet ouvrage d'une centaine de pages, assez cher au demeurant, se lit facilement et agréablement. Dans un univers urbain contemporain d'une guerre fictive mais ayant son lot commun d'horreurs et d'injustice, nos petits jeunes dont le narrateur tentent de sortir leur épingle du jeu. Belle histoire et malgré tout ce que j'ai pu en dire, il se trouve encore un goût de trop peu pour que je lui mette 5 étoiles : pas vraiment de finalité, ni de morale ou quelconque message affiché. C'est peut-être trop subtil pour moi qui n'ait pas gratté assez profondément.