Que vois-je, une BD signée Corbeyran dans laquelle on ne voit ni monstre, ni meurtre en série, ni cauchemar. Bref, un Corbeyran bucolique ! Pourtant, ce changement de cap ne me convient guère. Je trouve que l'histoire est un peu laborieuse au démarrage (l'explication entre Huguette et Paul -pages 11 à 15- est trop longue). En outre quelques personnages et intrigues auraient mérité un meilleur développement dans l'histoire (Tels quels, ils n'apportent en effet rien au scénario, sauf à rajouter quelques pages), comme l'aventure du châtelain et de son trésor, la romance de Marc et Amélie, le language du fada, la mésaventure des deux touristes...
Quant à la chute de l'histoire, elle est en elle même superficielle. Cette conclusion deus ex machina n'apporte rien à l'ensemble.
Une BD bien décevante au regard d'une idée de base originale de scénario. Le dessin pourtant colle assez bien à l'ambiance champêtre de l'histoire.
Dommage....
Bizarre, vous avez dit bizarre, comme c'est bizarre ! Cette formule pourrait à elle seule résumer ce premier opus tant le sentiment d'étrange ou de loufoque domine ! Tout d'abord le personnage principal, Charles, qui lie connaissance, comme si rien n'était, avec des êtres surnaturels (à l'image de La fille du professeur et de la momie). Sa passion pour les mouches, en particulier Audrey, laisse rêveur. Et que dire du personnage d'Aimé, guest star de la BD : qui est-il ? d'où vient -il ? Je ne sais même pas si la réponse sera au rendez-vous dans le prochain volume ! Si parfois les dialogues sont crus (je ne les répéterai pas ici) l'ensemble du scénario, certes quelque peu mysogine - les femmes ne sont guère en valeur ici-, tient la route. Le dessin simpliste, voire maladroit parfois, est en parfaite adéquation avec le scénario. Dès les première pages, on rentre dans un univers complètement fou et décalé qui rend l'ensemble très sympathique. En plus les auteurs achèvent le premier volume sur une image angoissante et insoutenable !
C'est osé, c'est fou... c'est beau... à découvrir d'urgence !
Un point positif pour la collection de "La Loge Noire" de Glénat pour cet album, c'est qu'il s'agit d'un "one shot". Je ne connaissais pas l'existence (pourtant bien réelle - j'ai vérifié sur un site internet) de cette maison bâtie selon les désirs de la veuve du célèbre Winchester (oui, celui des fusils). A la fin de la lecture, j'ai un sentiment mitigé : d'une part, le scénario, en un volume tient la route, d'autre part on aimerait en savoir encore plus sur cette mystérieuse demeure. En résumé, l'idée de départ est superbe mais la suite, en particulier, les scènes interminables d'incantations viennent un peu ternir un récit halletant. Par contre, le dessin est en parfaite adéquation avec l'ambiance de l'album (excepté la page 17, où les visages me semblent ratés).
La nouvelle collection de Glénat a vu bien pire et cet album vient s'insérer avec Le legs de l'alchimiste, Le marteau des sorcières et Le Triangle Secret parmi les meilleurs.
Je n'avais pas aimé la série Poème Rouge, publiée chez Glénat, du dessinateur Wachs. Beaucoup de questions sans réponses dans ce one shot (d'où proviennent les pouvoirs de l'héroïne, que devient-elle ?).
L'idée de base du scénariste est intéressante : un entretien avec chaque protagoniste, qui fait songer à une enquête policière. Mais par la suite, on a du mal à réaliser le lien qui existe entre l'histoire de cette maudite gamine et cette légende du moyen âge (d'ailleurs expliquée de manière très succincte sur la page de garde). En outre, les pleines pages n'apportent, à mon sens, rien à l'histoire.
Enfin, j'ai vraiment du mal avec le dessin de Wachs : je ne tombe pas sous le charme de Mélusine. Album décevant qui est loin de me réconcilier avec ce dessinateur.
La collection "La Loge Noire" de Glénat me déçoit de plus en plus.
Difficile de juger cet album qui semble faire partie d’un projet plus vaste dont on ne connaît encore rien des tenants et aboutissants, tout au plus devine-t-on une (pseudo ou réelle, c’est toute la question) portée philosophique. Non, cet album n’est pas mauvais, il repose sur une bonne idée à la base, ce qui fournit au moins une bonne chute. Mais le déroulement même de cette histoire n’est pas des plus distrayant. Les scènes se suivent mal, il existe des problèmes de temporalités, certains mots du héros restent énigmatiques et le dessin, certes sympathique, ne brille pas particulièrement. Pour l’instant : bof… mais je jetterai quand même un coup d’œil sur la suite pour voir où tout cela mène. Que cela ne vous empêche pas d’en faire autant avec ce premier tome. Car s’il est une chose qu’on ne peut lui enlever, c’est son originalité.
Heureusement qu'il y a le dessin de Moebius, parce qu'il y a encore un de ces scénarii de Jodorowski qu'il est de bon ton de considérer comme un grand (certainement à cause du nombre impressionnant de fois où il nous a raconté la même histoire). Moi, c'est vraiment pas ma tasse de thé.
Dès la couverture de l'album, tout est en place : un éternel trio : le mari, la femme, l'amant. Mais voilà, les deux hommes sont flics. Servi sur un scénario implacable et intéressant de Laurent Frédéric Bollée (scénariste du très remarqué Hauteclaire récemment; et du plus connu Apocalypse Mania), le trait de Roger Mason est admirable : les fusillades sont bien dessinées, la soirée fatale (voir pages 55,56 et 57) est parfaitement illustrée, avec une mention spéciale pour la danse de Valérie sur la table. Un petit bémol, tout de même... j'avais deviné la fin... mais je dois avoir sans doute l'esprit tordu.
Un bon polar en noir et blanc, que je conseille vivement.
Première oeuvre en solo de Cyril Pedrosa, « Les cœurs solitaires » est une sympathique histoire qui traite du célibat et de la solitude affective avec une bonne dose d’humour et de tendresse. Le dessin est virtuose, très cartoon, avec un style imparable. Pedrosa prouve aussi sa grande faculté à adapter son graphisme aux nécessités de l’intrigue. Les scènes où son héros est saoul ou drogué sont traitées de manière magistrale. Il faut néanmoins l’avouer, si d’un point de vue visuel, on est comblé, on referme l’album avec le sentiment que d’un point de vue scénaristique, il y avait moyen d’aller plus loin. Mais un bon album, vraiment.
De l'action, encore de l'action, toujours de l'action. Sam Bracken est à l'image de la couverture du tome 1 : il déménage ! Le scénario est très bien bâti (même s'il subsiste quelques invraissemblances : le FBI s'intéressant à un obscur avocat, ou encore des coïncidences hasardeuses entre la maffia et la petite amie disparue de notre avocat de choc) mais cela se laisse lire avec plaisir. En outre, cette BD ne se lit pas en 5 minutes ! Le scénario (y compris les dialogues) est très riche et permet de mettre en valeur beaucoup de seconds rôles ( les associés de Bracken), le passé du héros... Bref une très bonne BD où Philippe Jarbinet (auteur de Mémoire de cendres) renouvelle avec brio le thème du crime organisé international. Pour ceux qui ont aimé cet ouvrage, n'oubliez pas de vous reporter au numéro 39 du magazine Vécu où l'auteur se dévoile.
"Les naufragés d'Ythaq" est typiquement le genre de BD que je n'aurais jamais lue si un pote ne me l'avais pas conseillée et prétée. Normallement le style héroic-fantasy, c'est très peu pour moi. Mais là j'ai beaucoup aimé. Alors pourquoi celle là et pas les autres ? je ne saurais pas le dire.
Cette série est elle très différente des autres ? Ou peut etre que je suis un peu en train d'élargir mes gouts en matière de BD ?
Au niveau du dessin, on dirait les humais sortis d'un manga, surtout Narvath, et les filles sont plutot jolies. Les planches sont très colorés et ça donne un certain style auquel j'ai bien accroché. J'ai bien aimé aussi les banfoos, avec leur façon de parler. C'est pas ultra drole, certes, mais ça m'a fait sourrire à plusieurs reprises.
Au niveau du scenario, l'histoire est sans doute on ne peut plus classique, ma culture dans ce domaine là est assez limité. Mais c'était sympa, j'ai bien aimé l'histoire avec Calista et Ophyde notament.
Pour se faire un avis définitif, il faudra juger sur la durée. En général je décroche quand il y a d'innombrables rebondissements qui me donnent l'impression que l'histoire est à rallonge et qu'elle ne finira jamais. En tout cas ces 2 premiers tomes me semblent plutot prometteur.
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Le village qui s'amenuise
Que vois-je, une BD signée Corbeyran dans laquelle on ne voit ni monstre, ni meurtre en série, ni cauchemar. Bref, un Corbeyran bucolique ! Pourtant, ce changement de cap ne me convient guère. Je trouve que l'histoire est un peu laborieuse au démarrage (l'explication entre Huguette et Paul -pages 11 à 15- est trop longue). En outre quelques personnages et intrigues auraient mérité un meilleur développement dans l'histoire (Tels quels, ils n'apportent en effet rien au scénario, sauf à rajouter quelques pages), comme l'aventure du châtelain et de son trésor, la romance de Marc et Amélie, le language du fada, la mésaventure des deux touristes... Quant à la chute de l'histoire, elle est en elle même superficielle. Cette conclusion deus ex machina n'apporte rien à l'ensemble. Une BD bien décevante au regard d'une idée de base originale de scénario. Le dessin pourtant colle assez bien à l'ambiance champêtre de l'histoire. Dommage....
Démons
Bizarre, vous avez dit bizarre, comme c'est bizarre ! Cette formule pourrait à elle seule résumer ce premier opus tant le sentiment d'étrange ou de loufoque domine ! Tout d'abord le personnage principal, Charles, qui lie connaissance, comme si rien n'était, avec des êtres surnaturels (à l'image de La fille du professeur et de la momie). Sa passion pour les mouches, en particulier Audrey, laisse rêveur. Et que dire du personnage d'Aimé, guest star de la BD : qui est-il ? d'où vient -il ? Je ne sais même pas si la réponse sera au rendez-vous dans le prochain volume ! Si parfois les dialogues sont crus (je ne les répéterai pas ici) l'ensemble du scénario, certes quelque peu mysogine - les femmes ne sont guère en valeur ici-, tient la route. Le dessin simpliste, voire maladroit parfois, est en parfaite adéquation avec le scénario. Dès les première pages, on rentre dans un univers complètement fou et décalé qui rend l'ensemble très sympathique. En plus les auteurs achèvent le premier volume sur une image angoissante et insoutenable ! C'est osé, c'est fou... c'est beau... à découvrir d'urgence !
La Maison Winchester
Un point positif pour la collection de "La Loge Noire" de Glénat pour cet album, c'est qu'il s'agit d'un "one shot". Je ne connaissais pas l'existence (pourtant bien réelle - j'ai vérifié sur un site internet) de cette maison bâtie selon les désirs de la veuve du célèbre Winchester (oui, celui des fusils). A la fin de la lecture, j'ai un sentiment mitigé : d'une part, le scénario, en un volume tient la route, d'autre part on aimerait en savoir encore plus sur cette mystérieuse demeure. En résumé, l'idée de départ est superbe mais la suite, en particulier, les scènes interminables d'incantations viennent un peu ternir un récit halletant. Par contre, le dessin est en parfaite adéquation avec l'ambiance de l'album (excepté la page 17, où les visages me semblent ratés). La nouvelle collection de Glénat a vu bien pire et cet album vient s'insérer avec Le legs de l'alchimiste, Le marteau des sorcières et Le Triangle Secret parmi les meilleurs.
Sous la peau, le serpent
Je n'avais pas aimé la série Poème Rouge, publiée chez Glénat, du dessinateur Wachs. Beaucoup de questions sans réponses dans ce one shot (d'où proviennent les pouvoirs de l'héroïne, que devient-elle ?). L'idée de base du scénariste est intéressante : un entretien avec chaque protagoniste, qui fait songer à une enquête policière. Mais par la suite, on a du mal à réaliser le lien qui existe entre l'histoire de cette maudite gamine et cette légende du moyen âge (d'ailleurs expliquée de manière très succincte sur la page de garde). En outre, les pleines pages n'apportent, à mon sens, rien à l'histoire. Enfin, j'ai vraiment du mal avec le dessin de Wachs : je ne tombe pas sous le charme de Mélusine. Album décevant qui est loin de me réconcilier avec ce dessinateur. La collection "La Loge Noire" de Glénat me déçoit de plus en plus.
Matière fantôme
Difficile de juger cet album qui semble faire partie d’un projet plus vaste dont on ne connaît encore rien des tenants et aboutissants, tout au plus devine-t-on une (pseudo ou réelle, c’est toute la question) portée philosophique. Non, cet album n’est pas mauvais, il repose sur une bonne idée à la base, ce qui fournit au moins une bonne chute. Mais le déroulement même de cette histoire n’est pas des plus distrayant. Les scènes se suivent mal, il existe des problèmes de temporalités, certains mots du héros restent énigmatiques et le dessin, certes sympathique, ne brille pas particulièrement. Pour l’instant : bof… mais je jetterai quand même un coup d’œil sur la suite pour voir où tout cela mène. Que cela ne vous empêche pas d’en faire autant avec ce premier tome. Car s’il est une chose qu’on ne peut lui enlever, c’est son originalité.
l'Incal
Heureusement qu'il y a le dessin de Moebius, parce qu'il y a encore un de ces scénarii de Jodorowski qu'il est de bon ton de considérer comme un grand (certainement à cause du nombre impressionnant de fois où il nous a raconté la même histoire). Moi, c'est vraiment pas ma tasse de thé.
London Inferno
Dès la couverture de l'album, tout est en place : un éternel trio : le mari, la femme, l'amant. Mais voilà, les deux hommes sont flics. Servi sur un scénario implacable et intéressant de Laurent Frédéric Bollée (scénariste du très remarqué Hauteclaire récemment; et du plus connu Apocalypse Mania), le trait de Roger Mason est admirable : les fusillades sont bien dessinées, la soirée fatale (voir pages 55,56 et 57) est parfaitement illustrée, avec une mention spéciale pour la danse de Valérie sur la table. Un petit bémol, tout de même... j'avais deviné la fin... mais je dois avoir sans doute l'esprit tordu. Un bon polar en noir et blanc, que je conseille vivement.
Les Coeurs solitaires
Première oeuvre en solo de Cyril Pedrosa, « Les cœurs solitaires » est une sympathique histoire qui traite du célibat et de la solitude affective avec une bonne dose d’humour et de tendresse. Le dessin est virtuose, très cartoon, avec un style imparable. Pedrosa prouve aussi sa grande faculté à adapter son graphisme aux nécessités de l’intrigue. Les scènes où son héros est saoul ou drogué sont traitées de manière magistrale. Il faut néanmoins l’avouer, si d’un point de vue visuel, on est comblé, on referme l’album avec le sentiment que d’un point de vue scénaristique, il y avait moyen d’aller plus loin. Mais un bon album, vraiment.
Sam Bracken
De l'action, encore de l'action, toujours de l'action. Sam Bracken est à l'image de la couverture du tome 1 : il déménage ! Le scénario est très bien bâti (même s'il subsiste quelques invraissemblances : le FBI s'intéressant à un obscur avocat, ou encore des coïncidences hasardeuses entre la maffia et la petite amie disparue de notre avocat de choc) mais cela se laisse lire avec plaisir. En outre, cette BD ne se lit pas en 5 minutes ! Le scénario (y compris les dialogues) est très riche et permet de mettre en valeur beaucoup de seconds rôles ( les associés de Bracken), le passé du héros... Bref une très bonne BD où Philippe Jarbinet (auteur de Mémoire de cendres) renouvelle avec brio le thème du crime organisé international. Pour ceux qui ont aimé cet ouvrage, n'oubliez pas de vous reporter au numéro 39 du magazine Vécu où l'auteur se dévoile.
Les Naufragés d'Ythaq
"Les naufragés d'Ythaq" est typiquement le genre de BD que je n'aurais jamais lue si un pote ne me l'avais pas conseillée et prétée. Normallement le style héroic-fantasy, c'est très peu pour moi. Mais là j'ai beaucoup aimé. Alors pourquoi celle là et pas les autres ? je ne saurais pas le dire. Cette série est elle très différente des autres ? Ou peut etre que je suis un peu en train d'élargir mes gouts en matière de BD ? Au niveau du dessin, on dirait les humais sortis d'un manga, surtout Narvath, et les filles sont plutot jolies. Les planches sont très colorés et ça donne un certain style auquel j'ai bien accroché. J'ai bien aimé aussi les banfoos, avec leur façon de parler. C'est pas ultra drole, certes, mais ça m'a fait sourrire à plusieurs reprises. Au niveau du scenario, l'histoire est sans doute on ne peut plus classique, ma culture dans ce domaine là est assez limité. Mais c'était sympa, j'ai bien aimé l'histoire avec Calista et Ophyde notament. Pour se faire un avis définitif, il faudra juger sur la durée. En général je décroche quand il y a d'innombrables rebondissements qui me donnent l'impression que l'histoire est à rallonge et qu'elle ne finira jamais. En tout cas ces 2 premiers tomes me semblent plutot prometteur.