"Flag" ou l'histoire de deux hommes totalement opposés…
Au niveau scénario, c'est très ressemblant de "Nuit Noire" de par les flash-back tout au long de la lecture… Ne connaissant pas Chauvel, je ne sais pas si c'est habituel pour lui de faire ses BDs de la sorte mais il y arrive très bien car il y a aucune confusion possible.
Pierre est un flic à la brigade anti-criminalité… Lucas, quant à lui, est un petit délinquant… Deux destinées qui vont les rapprocher au détour d'un commissariat.
La discussion s'engage, l'un affirmant que la société l'a rendu mauvais, l'autre assurant que chaque homme a le choix de sa ligne de conduite pour mener sa vie…
Ici, nous pouvons dire que les dessins ne sont pas le point fort… En effet, j'avoue que quelquefois j'ai eu du mal à différencier les personnages… Il faut également tenir compte du fait que tout cela est en noir et blanc… Mais dans ce cas là, les couleurs ne sont pas indispensables car malgré ça, je pense que le but principal était de nous faire passer un message à travers cette BD et non de nous faire voir de "jolis dessins"…
Une certaine originalité dans le scénario… Malgré des dessins pas tops, cette BD nous fait vraiment passer un bon moment de lecture que l'on referme non sans y réfléchir…
Une première lecture qui m'a beaucoup inspirée, une relecture classera surement cette série en culte.
Les relations entre les personnages sont bien vrais et le phénomène de paradoxe rtemporel est bein exploité dans cette histoire. Le scénario est de trés bonne facture et le dessin est en adéquation avec lui, cette BD est à découvriret vivement la suite :)
Beau petit album (une trentaine de pages) au style très typique de Chabouté, tant au niveau dessin qu'au niveau sujet et façon de le traiter. Simple et agréable à lire, on y retrouve certaines "préoccupations" de l'auteur; je ne le conseillerai cependant qu'aux fans de Chabouté; les autres le trouveront probablement un peu vide.
Tout est résumé dans le nombre d'étoiles de ce post. Eusébio a tout dit dans sa critique précédente, il en parle vraiment mieux que je ne le ferai. Obélix a apporté, quant à lui, une critique plus nuancée et cela ne m'étonne pas. Cette BD c'est ou on adore ou on déteste. C'est dû au propos et à un humour noir et parfois décalé qui ne s'accomode sans doute pas de la notion de grand public...
Dirty Henry c'est culte car drôlissime, car encore inconnu, car tout simplement bien trouvé, car bien dessiné et surtout car déroutant (un dessin franco-belge de la plus pure école Spirou avec des gags franchement acerbes et donc inhabituels avec ce type de dessin)...
A lire et à faire lire...
Les dessins de Marini sont magnifiques, cependant on observe une baisse du niveau des détails entre le premier et le deuxième tome. Rien de bien facheux mais il faut esperer que par la suite la qualité visuelle reste à l'image du tome 2.
L'histoire est distillé au compte goutte par Desberg, comme beaucoup j'ai préféré le deuxieme tome.
Tout laisse auguré une excellente série. Je met 4/5 puisque nous sommes qu'au deuxième tome et que la qualité visuelle du second n'est pas aussi exeptionnelle que le premier.
Si vous voulez vous en rendre compte comparez le masque du capitaine des moines guerrier.
Une BD qui pose de nombreuses questions sur la condition humaine, une histoire qui fait rire et sourire, à l'humour bien présent mais qui s'avère aussi triste par moment...on passe du rire à la tristesse avec cette aventure au dessin original et au scénario unique...
Gégé et son grand-père Léon représentent une aventure incontournable pour tous les amateurs de BD qui savent apprécier l'originalité et le talent de cette grande équipe d'auteurs!
Une grande réussite et un chef-d'oeuvre inoubliable...
Je n'ai rien d'autre à dire que ce qui a déjà été dit mainte fois.
Asterix est incontestablement une BD culte. Les dessins et les couleurs sont joyeux et on prend plaisir à lire ces histoire pleine d'humour et de clin d'oeil.
Comme beaucoup, j'ai moins apprécié les derniers qui sont en retrait par rapport aux autres, surtout du point de vu de l'humour.
De plus c'est une des rares BD qui puissent etre lu à tout age.
SOS, série en voie de disparition. Cette série totalement méconnue parue entre 1988 et 1993 est en train de sortir du catalogue de Casterman. Quel dommage, elle n'a pas eu le succès qu'elle méritait, c'est un petit bijou! Je n'ai même aucune idée de ce qu'est devenu son talentueux auteur, Laurent Parcelier. Son style graphique vaguement rétro mais très maîtrisé se situe quelque part entre Hergé et Peyo. Ses scénarii marient avec un savoir-faire devenu rare : l'aventure, le fantastique, le conte et une véritable tendresse pour ses personnages. La série s'adresse avant tout à un public enfant, je pense, mais cela n'empêche nullement aux plus grands de s'en régaler. Si vous cherchez à donner à votre collection de bd un valeur intrinsèque (je ne parle pas de la valeur marchande des collectionneurs-moneyeurs qui ne donnent de prix qu'aux choses les plus vendues), cette série qui risque bientôt de n'être disponible qu'aux vaillants fouineurs de bouquineries est un bon placement. Une oeuvre rare, au sens le plus noble du terme (et je ne parle toujours pas d'argent, n'étant pas connue, elle n'est pas côtée). Je crois que Parcelier a eu la malchance d'arriver à une époque où les gamins se passionnaient plus pour Mario Bros et Dragon Ball que pour le fantastique médiéval. Je suis certain que si cette série débutait maintenant, en pleine furie "Harry Potter", elle pourrait rencontrer un franc succès. Quoi qu'il en soit, il est triste de voir une oeuvre d'une telle qualité tomber dans les oubliettes (déjà très profondes) de l'histoire de la bd.
Petit album découvert un peu par hasard...
C'est une collection des Humanos que je ne connaissais pas du tout, mais je pense que suite à la lecture de cet album, je vais m'y pencher plus sérieusement !
C'est très beau. On suit toute la vie d'un gars, de l'avant seconde guerre, alors qu'il était encore jeune et plein d'illusions, à sa mort.
C'est très beau, raconté avec beaucoup de retenue et presque de poésie.
Le dessin peut paraître assez moyen quand on feuillette, mais on l'oublie complètement lorsqu'on lit, tant on est pris par l'histoire.
Vraiment une belle histoire que voilà. Je l'ai devorée d'une traite.
Le dessin comme toujours magnifique d’Hermann sert un scénario assez étrange et pas si « classique » que ça, je trouve.
Le titre est étrange : « on a tué Wild Bill » vous ne trouverez pourtant dans cet album ni Wild Wild Bill, ni son cadavre, tout ce que l’on sait c’est que la légende a été tuée le jour ou débute l’histoire. Mais le même jour, en dehors de la petite ville de Deadwood, sur les collines, une famille de chercheurs d’or est massacrée. Melvin, un jeune garçon, assiste, caché, au meurtre. Il descend au village mais là personne ne l’écoute, tous trop préoccupés par le mort du grand Wild Bill. Hermann confronte d’emblée la grande histoire mythique du western et la petite histoire … La suite de l’album raconte la suite de l’itinéraire du jeune Melvin, son évolution dans un monde violent dans lequel seul la loi du plus fort permet de survivre. Melvin tue, à trois reprise, et ces meurtres sont présentés comme des rituels, rituel de passage à l’âge adulte dans un monde régi par la violence.
Ce qui déstabilise un peu à la première lecture, c’est que l’on ne voit pas tout de suite où Hermann veut en venir. Les événements s’enchaînent mais on a un peu du mal au début à comprendre l’utilité de chaque scène pour l’ensemble du récit. C’est cela même qui me fait dire que ce récit n’est pas si classique que cela. A la deuxième lecture, on se rend vite compte à quel point toute cette histoire n’est pas si simple qu’elle en a l’air. L’album est parsemé de symboles, interprétables à différents niveaux, une scène répond à une autre, un personnage est le négatif d’un autre…
Au final, on a l’impression qu’il s’en dégage une morale, une morale qui met mal à l’aise, à la manière d’un film comme Taxi Driver de Scorsese ou l’Etranger de Camus. Une morale basée sur la stricte observation lucide et réaliste de faits mais que l’on a du mal à accepter.
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Flag
"Flag" ou l'histoire de deux hommes totalement opposés… Au niveau scénario, c'est très ressemblant de "Nuit Noire" de par les flash-back tout au long de la lecture… Ne connaissant pas Chauvel, je ne sais pas si c'est habituel pour lui de faire ses BDs de la sorte mais il y arrive très bien car il y a aucune confusion possible. Pierre est un flic à la brigade anti-criminalité… Lucas, quant à lui, est un petit délinquant… Deux destinées qui vont les rapprocher au détour d'un commissariat. La discussion s'engage, l'un affirmant que la société l'a rendu mauvais, l'autre assurant que chaque homme a le choix de sa ligne de conduite pour mener sa vie… Ici, nous pouvons dire que les dessins ne sont pas le point fort… En effet, j'avoue que quelquefois j'ai eu du mal à différencier les personnages… Il faut également tenir compte du fait que tout cela est en noir et blanc… Mais dans ce cas là, les couleurs ne sont pas indispensables car malgré ça, je pense que le but principal était de nous faire passer un message à travers cette BD et non de nous faire voir de "jolis dessins"… Une certaine originalité dans le scénario… Malgré des dessins pas tops, cette BD nous fait vraiment passer un bon moment de lecture que l'on referme non sans y réfléchir…
Universal War One
Une première lecture qui m'a beaucoup inspirée, une relecture classera surement cette série en culte. Les relations entre les personnages sont bien vrais et le phénomène de paradoxe rtemporel est bein exploité dans cette histoire. Le scénario est de trés bonne facture et le dessin est en adéquation avec lui, cette BD est à découvriret vivement la suite :)
Quelques Jours d'été
Beau petit album (une trentaine de pages) au style très typique de Chabouté, tant au niveau dessin qu'au niveau sujet et façon de le traiter. Simple et agréable à lire, on y retrouve certaines "préoccupations" de l'auteur; je ne le conseillerai cependant qu'aux fans de Chabouté; les autres le trouveront probablement un peu vide.
Inspecteur Dirty (Dirty Henry)
Tout est résumé dans le nombre d'étoiles de ce post. Eusébio a tout dit dans sa critique précédente, il en parle vraiment mieux que je ne le ferai. Obélix a apporté, quant à lui, une critique plus nuancée et cela ne m'étonne pas. Cette BD c'est ou on adore ou on déteste. C'est dû au propos et à un humour noir et parfois décalé qui ne s'accomode sans doute pas de la notion de grand public... Dirty Henry c'est culte car drôlissime, car encore inconnu, car tout simplement bien trouvé, car bien dessiné et surtout car déroutant (un dessin franco-belge de la plus pure école Spirou avec des gags franchement acerbes et donc inhabituels avec ce type de dessin)... A lire et à faire lire...
Le Scorpion
Les dessins de Marini sont magnifiques, cependant on observe une baisse du niveau des détails entre le premier et le deuxième tome. Rien de bien facheux mais il faut esperer que par la suite la qualité visuelle reste à l'image du tome 2. L'histoire est distillé au compte goutte par Desberg, comme beaucoup j'ai préféré le deuxieme tome. Tout laisse auguré une excellente série. Je met 4/5 puisque nous sommes qu'au deuxième tome et que la qualité visuelle du second n'est pas aussi exeptionnelle que le premier. Si vous voulez vous en rendre compte comparez le masque du capitaine des moines guerrier.
Léon La Came
Une BD qui pose de nombreuses questions sur la condition humaine, une histoire qui fait rire et sourire, à l'humour bien présent mais qui s'avère aussi triste par moment...on passe du rire à la tristesse avec cette aventure au dessin original et au scénario unique... Gégé et son grand-père Léon représentent une aventure incontournable pour tous les amateurs de BD qui savent apprécier l'originalité et le talent de cette grande équipe d'auteurs! Une grande réussite et un chef-d'oeuvre inoubliable...
Astérix
Je n'ai rien d'autre à dire que ce qui a déjà été dit mainte fois. Asterix est incontestablement une BD culte. Les dessins et les couleurs sont joyeux et on prend plaisir à lire ces histoire pleine d'humour et de clin d'oeil. Comme beaucoup, j'ai moins apprécié les derniers qui sont en retrait par rapport aux autres, surtout du point de vu de l'humour. De plus c'est une des rares BD qui puissent etre lu à tout age.
La Malédiction des sept boules vertes
SOS, série en voie de disparition. Cette série totalement méconnue parue entre 1988 et 1993 est en train de sortir du catalogue de Casterman. Quel dommage, elle n'a pas eu le succès qu'elle méritait, c'est un petit bijou! Je n'ai même aucune idée de ce qu'est devenu son talentueux auteur, Laurent Parcelier. Son style graphique vaguement rétro mais très maîtrisé se situe quelque part entre Hergé et Peyo. Ses scénarii marient avec un savoir-faire devenu rare : l'aventure, le fantastique, le conte et une véritable tendresse pour ses personnages. La série s'adresse avant tout à un public enfant, je pense, mais cela n'empêche nullement aux plus grands de s'en régaler. Si vous cherchez à donner à votre collection de bd un valeur intrinsèque (je ne parle pas de la valeur marchande des collectionneurs-moneyeurs qui ne donnent de prix qu'aux choses les plus vendues), cette série qui risque bientôt de n'être disponible qu'aux vaillants fouineurs de bouquineries est un bon placement. Une oeuvre rare, au sens le plus noble du terme (et je ne parle toujours pas d'argent, n'étant pas connue, elle n'est pas côtée). Je crois que Parcelier a eu la malchance d'arriver à une époque où les gamins se passionnaient plus pour Mario Bros et Dragon Ball que pour le fantastique médiéval. Je suis certain que si cette série débutait maintenant, en pleine furie "Harry Potter", elle pourrait rencontrer un franc succès. Quoi qu'il en soit, il est triste de voir une oeuvre d'une telle qualité tomber dans les oubliettes (déjà très profondes) de l'histoire de la bd.
Vagues à l'âme
Petit album découvert un peu par hasard... C'est une collection des Humanos que je ne connaissais pas du tout, mais je pense que suite à la lecture de cet album, je vais m'y pencher plus sérieusement ! C'est très beau. On suit toute la vie d'un gars, de l'avant seconde guerre, alors qu'il était encore jeune et plein d'illusions, à sa mort. C'est très beau, raconté avec beaucoup de retenue et presque de poésie. Le dessin peut paraître assez moyen quand on feuillette, mais on l'oublie complètement lorsqu'on lit, tant on est pris par l'histoire. Vraiment une belle histoire que voilà. Je l'ai devorée d'une traite.
On a tué Wild Bill
Le dessin comme toujours magnifique d’Hermann sert un scénario assez étrange et pas si « classique » que ça, je trouve. Le titre est étrange : « on a tué Wild Bill » vous ne trouverez pourtant dans cet album ni Wild Wild Bill, ni son cadavre, tout ce que l’on sait c’est que la légende a été tuée le jour ou débute l’histoire. Mais le même jour, en dehors de la petite ville de Deadwood, sur les collines, une famille de chercheurs d’or est massacrée. Melvin, un jeune garçon, assiste, caché, au meurtre. Il descend au village mais là personne ne l’écoute, tous trop préoccupés par le mort du grand Wild Bill. Hermann confronte d’emblée la grande histoire mythique du western et la petite histoire … La suite de l’album raconte la suite de l’itinéraire du jeune Melvin, son évolution dans un monde violent dans lequel seul la loi du plus fort permet de survivre. Melvin tue, à trois reprise, et ces meurtres sont présentés comme des rituels, rituel de passage à l’âge adulte dans un monde régi par la violence. Ce qui déstabilise un peu à la première lecture, c’est que l’on ne voit pas tout de suite où Hermann veut en venir. Les événements s’enchaînent mais on a un peu du mal au début à comprendre l’utilité de chaque scène pour l’ensemble du récit. C’est cela même qui me fait dire que ce récit n’est pas si classique que cela. A la deuxième lecture, on se rend vite compte à quel point toute cette histoire n’est pas si simple qu’elle en a l’air. L’album est parsemé de symboles, interprétables à différents niveaux, une scène répond à une autre, un personnage est le négatif d’un autre… Au final, on a l’impression qu’il s’en dégage une morale, une morale qui met mal à l’aise, à la manière d’un film comme Taxi Driver de Scorsese ou l’Etranger de Camus. Une morale basée sur la stricte observation lucide et réaliste de faits mais que l’on a du mal à accepter.