Il est assez difficile de donner une note globale au décalogue. Chaque tome à son propre dessinateur, les histoires sont censées être indépendantes les unes des autres, avec un lien entre elles : Nahik.
Il y a certains tomes que j'ai trouvés excellents, et d'autres que j'ai trouvés pas mal. Il y en a aussi un ou deux que j'ai été pressé de finir parce qu'au bout d'un moment j'ai eu ma dose de religion et de guerres éthiques ou religieuses : les musulmans, les juifs, les serbes, les arméniens, ..., bref un peu trop pour moi.
Mais même dans ces tomes là, il y a quand même un petit détail qui survient à quelques pages de la fin. Un petit détail en rapport avec ce décalogue, qui vient remettre en question un autre événement de la série. Un petit détail qui donne envie de lire le tome suivant. C'est pour ça que je trouve que Giroud est un super scénariste.
Dans l'ensemble le décalogue est donc une très bonne série. Je recommande de les lire dans l'ordre, et pourquoi pas de les relire un jour dans l'ordre inverse.
Si le contexte est assez classique, un polar dans le milieu de la mafia, le héros est lui plutôt très original. En effet celui qui se fait appeler John Tosca n'est pas le vrai John. C'est en fait un criminel condamné à la chaise électrique, et farouchement opposé à la drogue. Il a été récupéré par la DEA pour remplacer le fils d'un parrain de la mafia et infiltrer le milieu.
Le scénario de Desberg est très bien ficelé, on ne sait pas comment va se comporter le héros. Va t-il tenter de s'enfuir, se laisser entraîner par les mafieux, ou simplement les dénoncer à la DEA ?
Les dessins de Valles sont bien réussis, ils collent parfaitement à l'histoire. Les scènes d'action ne sont pas trop confuses comme c'est parfois le cas dans ce type de série.
Tosca est pour moi une très bonne surprise. J'ai passé un bon moment à lire ces albums.
Je trouve le scénario et la mise en scène de cette BD très prenante.
Une fois le 1er tome lu, j'ai été de suite acheté le second.
Le dessin est agréable et réaliste.
Seul reproche c'est que l'histoire avance trop lentement dans le tome 1, qui est plutôt un tome de présentation du contexte et de mise en place de l'intrigue.
J'ai hâte de voir les tomes suivants.
Vraiment très bon. Chaque case est une sorte de tableau. Le décor est assez minimaliste, mais le dessin et l'ambiance favorisent l'imagination du lecteur. J'ai pris vraiment beaucoup de plaisir à lire cette BD. D'autant que l'histoire m'a bien plu, même si il y a quelques moments de flottements et une fin un peu tirée par les cheveux. Dans l'ensemble c'est une bonne BD, à conseiller surtout depuis la sortie de l'intégrale.
J'ai aussitôt été charmé par le dessin de cette BD : il est tout simplement excellent. Sobre, précis, excellemment colorisé, il donne à la fois une impression de réalisme tout en gardant une certaine gaieté et une très grande lisibilité. Bref, c'est grâce au dessin que je me suis plongé dans cette Bd qui, autrement, m'aurait légèrement rebuté par crainte de lire un épisode moyen-âgeux trop réaliste (je n'aime pas trop le réalisme du Marquis d'Anaon par exemple).
Et il faut avouer que l'histoire aussi est très bonne pour ce premier tome. J'ai craint de voir du déjà-vu avec ces quelques planches qui me rappellaient les premières planches des Compagnons du Crépuscule (village rasé, adolescent qui erre parmi les décombres et chevalier errant qui recueille ce dernier). Mais l'histoire prend très vite une tournure bien à elle qui promet vraiment de grandes pour la suite de la série. Les personnages sont attachants et vivants. Bon, je trouve le jeune Messire Guillaume légèrement irritant par son sérieux et ses principes, mais j'aime vraiment beaucoup le chevalier de Brabançon, bourru, sympathique et tellement humain.
Bref, une très bonne série qui s'entame là portée par un bon scénario et un très bon dessin.
Un monde animal pas si bête que ça, ou un chat piqué au vif, veut la vérité nue dans une ville ou le brouillon de culture fausse toutes les convenances.
Un graphisme sculptural pour une mise en bulle remarquable.
Ayant apprécié Le Cycle, ayant été impressionné par Cercle vicieux, c'est aussi vite que j'ai pu que je me suis acheté ce nouvel album de Lecroart.
On y retrouve toujours le même dessin, pas fantastique mais pas désagréable du tout à lire, les mêmes personnages du professeur Fignoteau et de ses assistants Anne et Robert, toujours le même côté un peu exhubérant des dialogues, bref on est en territoire connu.
Le récit se lance rapidement avec le constat alarmé du Professeur : si leur BD n'atteint pas le succès, ils vont disparaitre dans l'oubli. S'ensuivent alors le premier moyen d'atteindre le succès selon lui : voler le style graphique et de narration d'autres BDs à succès : BD d'aventure ultra-classique, BD érotique, etc... ces passages sont assez amusants car les dialogues, quoiqu'un peu lourds, sont en parfait décalage avec les images. Lecroart joue la carte de l'humour, et j'ai véritablement ri. J'ai particulièrement adoré la double narration destinée à représenter la façon dont le lecteur doit ressentir l'histoire : "Allons bon ! Vas-y fous-lui la patée !".
Mais pour le moment, dans cette moitié de l'album, je n'ai pas tant été charmé que cela car même si je rigolais souvent, le résultat n'avait pas le côté impressionnant de travail sur le support BD et original des oeuvres précédentes de Lecroart...
Jusqu'à ce passage avec le maître Japonais, le maître du manga...
J'ai bien sûr du attendre la fin de ce passage pour comprendre ce qu'il en était exactement, ce qui me semblait bizarre dans les dialogues en première lecture... Et quand j'ai compris, quand j'ai vu ce que c'était... Je dis formidable ! Franchement, j'ai trouvé ce passage encore plus réussi que le Cercle vicieux !
Puis viennent ensuite encore d'autre trouvailles sur le support BD, et surtout beaucoup d'humour : j'ai vraiment été à la fois éclaté de rire et impressionné par les idées de Lecroart et leur réussite technique.
Sincèrement, même si le début de cette Bd m'a un peu lassé, je crois bien que c'est là le meilleur album d'Etienne Lecroart.
Cette BD ne m’intéressait pas vraiment... Ce sont surtout les dessins qui me rebutaient, sombres et un peu trop "bruts" à mon goût. Et puis Pierig m’a dit que ça valait la peine, alors je l’ai lu... et j’ai été agréablement surprise!
L’histoire est vraiment prenante. Une fois qu’on a commencé, on ne lache pas la BD! On se laisse entraîner aux côtés de Paul et on est touché par ce qu’il ressent: ses désirs, ses doutes, ses regrets... Il y a d’une part la vie de famille, avec les difficultés causées par l’absence; d’autre part celle de super-héros, avec la confrontation de la vie privée et de la vie publique, et surtout la difficulté de voir sa vie comme son corps échapper à toute maîtrise.
De plus, à la lecture, le dessin repoussant au départ m’a semblé pas si mal que ça, plutôt bien fait même si ce n’est pas un style que j’apprécie.
Bref, je ne peux que vous en conseiller la lecture! (Et pour ça je me remets à poster pour la première fois depuis des mois!) Ce serait dommage de passer à côté de cette BD.
Comme suite à l’enthousiasme débordant engendré par cette série, je me suis donc procuré ce récit qui pour ma part a tenu toutes ses promesses. L’histoire est à la fois originale, émouvante et remarquablement mise en images.
Bravo aux auteurs.
Voila une histoire de vampires qui sort de nos bons vieux classiques à la Dracula. Je trouve que le scénario est très original appuyé par des dessins sublimes. La mise en couleur est parfaite.
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Le Décalogue
Il est assez difficile de donner une note globale au décalogue. Chaque tome à son propre dessinateur, les histoires sont censées être indépendantes les unes des autres, avec un lien entre elles : Nahik. Il y a certains tomes que j'ai trouvés excellents, et d'autres que j'ai trouvés pas mal. Il y en a aussi un ou deux que j'ai été pressé de finir parce qu'au bout d'un moment j'ai eu ma dose de religion et de guerres éthiques ou religieuses : les musulmans, les juifs, les serbes, les arméniens, ..., bref un peu trop pour moi. Mais même dans ces tomes là, il y a quand même un petit détail qui survient à quelques pages de la fin. Un petit détail en rapport avec ce décalogue, qui vient remettre en question un autre événement de la série. Un petit détail qui donne envie de lire le tome suivant. C'est pour ça que je trouve que Giroud est un super scénariste. Dans l'ensemble le décalogue est donc une très bonne série. Je recommande de les lire dans l'ordre, et pourquoi pas de les relire un jour dans l'ordre inverse.
Tosca
Si le contexte est assez classique, un polar dans le milieu de la mafia, le héros est lui plutôt très original. En effet celui qui se fait appeler John Tosca n'est pas le vrai John. C'est en fait un criminel condamné à la chaise électrique, et farouchement opposé à la drogue. Il a été récupéré par la DEA pour remplacer le fils d'un parrain de la mafia et infiltrer le milieu. Le scénario de Desberg est très bien ficelé, on ne sait pas comment va se comporter le héros. Va t-il tenter de s'enfuir, se laisser entraîner par les mafieux, ou simplement les dénoncer à la DEA ? Les dessins de Valles sont bien réussis, ils collent parfaitement à l'histoire. Les scènes d'action ne sont pas trop confuses comme c'est parfois le cas dans ce type de série. Tosca est pour moi une très bonne surprise. J'ai passé un bon moment à lire ces albums.
London
Je trouve le scénario et la mise en scène de cette BD très prenante. Une fois le 1er tome lu, j'ai été de suite acheté le second. Le dessin est agréable et réaliste. Seul reproche c'est que l'histoire avance trop lentement dans le tome 1, qui est plutôt un tome de présentation du contexte et de mise en place de l'intrigue. J'ai hâte de voir les tomes suivants.
Ibicus
Vraiment très bon. Chaque case est une sorte de tableau. Le décor est assez minimaliste, mais le dessin et l'ambiance favorisent l'imagination du lecteur. J'ai pris vraiment beaucoup de plaisir à lire cette BD. D'autant que l'histoire m'a bien plu, même si il y a quelques moments de flottements et une fin un peu tirée par les cheveux. Dans l'ensemble c'est une bonne BD, à conseiller surtout depuis la sortie de l'intégrale.
Messire Guillaume
J'ai aussitôt été charmé par le dessin de cette BD : il est tout simplement excellent. Sobre, précis, excellemment colorisé, il donne à la fois une impression de réalisme tout en gardant une certaine gaieté et une très grande lisibilité. Bref, c'est grâce au dessin que je me suis plongé dans cette Bd qui, autrement, m'aurait légèrement rebuté par crainte de lire un épisode moyen-âgeux trop réaliste (je n'aime pas trop le réalisme du Marquis d'Anaon par exemple). Et il faut avouer que l'histoire aussi est très bonne pour ce premier tome. J'ai craint de voir du déjà-vu avec ces quelques planches qui me rappellaient les premières planches des Compagnons du Crépuscule (village rasé, adolescent qui erre parmi les décombres et chevalier errant qui recueille ce dernier). Mais l'histoire prend très vite une tournure bien à elle qui promet vraiment de grandes pour la suite de la série. Les personnages sont attachants et vivants. Bon, je trouve le jeune Messire Guillaume légèrement irritant par son sérieux et ses principes, mais j'aime vraiment beaucoup le chevalier de Brabançon, bourru, sympathique et tellement humain. Bref, une très bonne série qui s'entame là portée par un bon scénario et un très bon dessin.
Blacksad
Un monde animal pas si bête que ça, ou un chat piqué au vif, veut la vérité nue dans une ville ou le brouillon de culture fausse toutes les convenances. Un graphisme sculptural pour une mise en bulle remarquable.
L'Elite à la portée de tous
Ayant apprécié Le Cycle, ayant été impressionné par Cercle vicieux, c'est aussi vite que j'ai pu que je me suis acheté ce nouvel album de Lecroart. On y retrouve toujours le même dessin, pas fantastique mais pas désagréable du tout à lire, les mêmes personnages du professeur Fignoteau et de ses assistants Anne et Robert, toujours le même côté un peu exhubérant des dialogues, bref on est en territoire connu. Le récit se lance rapidement avec le constat alarmé du Professeur : si leur BD n'atteint pas le succès, ils vont disparaitre dans l'oubli. S'ensuivent alors le premier moyen d'atteindre le succès selon lui : voler le style graphique et de narration d'autres BDs à succès : BD d'aventure ultra-classique, BD érotique, etc... ces passages sont assez amusants car les dialogues, quoiqu'un peu lourds, sont en parfait décalage avec les images. Lecroart joue la carte de l'humour, et j'ai véritablement ri. J'ai particulièrement adoré la double narration destinée à représenter la façon dont le lecteur doit ressentir l'histoire : "Allons bon ! Vas-y fous-lui la patée !". Mais pour le moment, dans cette moitié de l'album, je n'ai pas tant été charmé que cela car même si je rigolais souvent, le résultat n'avait pas le côté impressionnant de travail sur le support BD et original des oeuvres précédentes de Lecroart... Jusqu'à ce passage avec le maître Japonais, le maître du manga... J'ai bien sûr du attendre la fin de ce passage pour comprendre ce qu'il en était exactement, ce qui me semblait bizarre dans les dialogues en première lecture... Et quand j'ai compris, quand j'ai vu ce que c'était... Je dis formidable ! Franchement, j'ai trouvé ce passage encore plus réussi que le Cercle vicieux ! Puis viennent ensuite encore d'autre trouvailles sur le support BD, et surtout beaucoup d'humour : j'ai vraiment été à la fois éclaté de rire et impressionné par les idées de Lecroart et leur réussite technique. Sincèrement, même si le début de cette Bd m'a un peu lassé, je crois bien que c'est là le meilleur album d'Etienne Lecroart.
Prestige de l'uniforme
Cette BD ne m’intéressait pas vraiment... Ce sont surtout les dessins qui me rebutaient, sombres et un peu trop "bruts" à mon goût. Et puis Pierig m’a dit que ça valait la peine, alors je l’ai lu... et j’ai été agréablement surprise! L’histoire est vraiment prenante. Une fois qu’on a commencé, on ne lache pas la BD! On se laisse entraîner aux côtés de Paul et on est touché par ce qu’il ressent: ses désirs, ses doutes, ses regrets... Il y a d’une part la vie de famille, avec les difficultés causées par l’absence; d’autre part celle de super-héros, avec la confrontation de la vie privée et de la vie publique, et surtout la difficulté de voir sa vie comme son corps échapper à toute maîtrise. De plus, à la lecture, le dessin repoussant au départ m’a semblé pas si mal que ça, plutôt bien fait même si ce n’est pas un style que j’apprécie. Bref, je ne peux que vous en conseiller la lecture! (Et pour ça je me remets à poster pour la première fois depuis des mois!) Ce serait dommage de passer à côté de cette BD.
Où le regard ne porte pas...
Comme suite à l’enthousiasme débordant engendré par cette série, je me suis donc procuré ce récit qui pour ma part a tenu toutes ses promesses. L’histoire est à la fois originale, émouvante et remarquablement mise en images. Bravo aux auteurs.
Rapaces
Voila une histoire de vampires qui sort de nos bons vieux classiques à la Dracula. Je trouve que le scénario est très original appuyé par des dessins sublimes. La mise en couleur est parfaite.