Une série "douce"... ça change, non ?...
C'est dans l'hebdo Spirou n° 2657 du 15 Mars 1989 que j'ai découvert cette petite plantation de cacao située au nord-est du Congo. Et je me suis plu à suivre la vie de Léopold, de sa cousine Alice, de leur copain noir Mafuta, de Joseph -un bien brave missionnaire... sans oublier Onésime, le grand-père.
Une série très attachante où l'on suit les joies, les peines aussi, la découverte d'une nature encore vierge.
Et toutes ces histoires, ces anecdotes plutôt, sont racontées à travers le journal que rédige Alice ; journal qui introduit ainsi une fort belle dimension narrative.
Ce que j'ai aimé, c'est surtout l'humanisme qui ressort des histoires ; et non ce paternalisme des "braves coloniaux blancs qui vont expliquer à petits nègres..."
Alice et Léopold ? Une chronique douce -pas amère- qui se passe dans les années 20 ; une histoire "ordinaire" de gens qui le sont aussi. Mais ça, il fallait le réussir et nous le faire ressentir "sur papier". Et c'est fait. Qui plus est : bien fait !
Cinq albums seront édités de 1991 à 1995. Plus rien depuis. Les reverrons-nous un jour ?... Rien n'est moins sûr. Et c'est dommage...
Une des séries les plus dingues des années 70.
Elle débute dans le "Pilote Mensuel", n° 25 du 17 JUin 1976. Elle s'y termine dans le n° 41 d'Octobre 1977.
Al Crane ?... C'est fou. Un Western vraiment désopilant ! Les Peaux-Rouges se font massacrer à grands coups d'hémoglobine, les "jolies-demoiselles-bien-comme-il-faut" s'y font violer et les pires bandits de l'Ouest, les plus basses crapules, éprouvent les uns envers les autres une attirance -disons- particulière...
Lauzier, ici scénariste, s'en donne à coeur joie ! Outrageusement "politiquement très incorrect" il nous balance à la figure un secouant humour de second degré. Pas en reste, Alexis explose les scénarios de sa dextérité et de son humour graphiques.
Je me suis marré -voici quelque 30 ans déjà- à la lecture de ces histoires qui m'entraînaient dans une sorte de joyeux bric-à-brac sans queue (!) ni tête.
Un bon gargarisme zygomatique qui -hélas- s'arrêtera suite au décès d'Alexis en 1977.
Ce sera le point final d'Al Crane, ce foutu cow-boy pas ordinaire du tout !..
Deux albums ponctueront cette série en 1977 et 1978 ; albums réédités ultérieurement avec nouvelle couverture.
Ouvrez-vite un "Al Crane", un heureux mélange des Monty Python et de Benny Hill. Loufoque. Vraiment.
Dépression, mélancolie, angoisse profonde …
Je ne suis qu’au douzième opus, mais déjà, j’envisage les futurs symptômes de manque.
Pourtant, comme l’enfant piochant frénétiquement dans le bocal de friandises qui finit inexorablement par se vider, je dévore les strips sans pouvoir me contrôler, chaque bouchée m’entraînant un peu plus loin vers la fin inéluctable de la série.
L’accoutumance est bien là ! Les pérégrinations du diabolique gamin et de son tigre en peluche sont devenus mon paradis – pas tout à fait – artificiel, ma dose quotidienne de bonheur.
À travers l’imaginaire, les péripéties et les interrogations artisticoscientificohumanistes de l’hyperactif et génial sale gosse, Bill Watterson distribue des délices. Prenant pour prétexte une vingtaine de thèmes récurrents (l’école, la télé, les monstres, la baby-sitter, la cantine, les alter ego de Calvin, les bonhommes de neige, les vertigineuses descentes en luge, …), il aborde une multitude de sujets contemporains, en explorant et stimulant au passage, l’infinie palette de nos sentiments. Il nous invite à la réflexion, puis nous transforme, à l’envie, en spectateur attendri, amusé ou franchement rigolard à de savoureux gags purement visuels.
C’est juste, dynamique, efficace et terriblement jubilatoire !
Pour faire simple : « Calvin et Hobbes » ça fait réfléchir la tête, ça fait rigoler la bouche, ça fait battre le p’tit coeur …et tout ça, ça fait très beaucoup énormément du bien !!
« La meilleure preuve qu’il existe des formes de vie intelligente quelque part dans l’Univers, c’est qu’aucune n’a essayé de nous contacter »
Calvin
Une fois n'est pas coutume, c'est sur le simple aperçu de la beauté de ses planches que j'ai acheté cette BD dont je ne savais rien auparavant.
Le dessin est en effet de toute beauté.
Sur des tons à base de rouge et de blanc, Tenuta Saverio, artiste Italien, nous offre des fresques superbes. Son style, proche de l'illustration, use de couleurs parfaitement maîtrisées, d'un encrage très fin et d'un sens indubitable de l'esthétisme. C'est vraiment admirable. Quel dommage qu'il pêche un peu sur deux points : le sens de la perspective ainsi que les visages de ses personnages qui sont parfois moyens. Pour le reste, c'est le genre de BD qu'on peut acheter uniquement pour sa beauté graphique.
Mais le scénario n'est pas vraiment en reste.
Comme pour Okko, nous nous plaçons ici dans un Japon médiéval imaginaire teinté de fantasy. Créatures surnaturelles, magie, ville emprisonnée dans les glaces, tout un univers de fiction dans lequel évoluent geishas, shogun(aï) et samouraïs. Le récit n'apporte pas de grande surprise au genre et manque un peu d'humour, mais il est bien raconté et prenant.
Ce premier tome est dense, beau et suffisamment captivant pour annoncer une belle série dont il me tarde de voir la suite.
"Cryozone". C'est simple, efficace.
L'histoire n'as rien de révolutionnaire (on pense à Alien, par exemple) mais elle est particulièrement bien ficelée. J'ai lu l'intégrale des deux tomes d'une traite, captivé de bout en bout par le récit. Cette série m'a donné envie de relire de la science-fiction (rien que ça !).
Et puis cette série est mon premier contact avec un grand de la science-fiction : Bajram. Cette BD n'a pas l'ampleur d'Universal War One mais on décèle déjà toute la maîtrise de son auteur.
Une des premières bd que j'ai eus à lire.
C'est tout simplement génial.
Les dessins sont simples, l'histoire est magnifique et les personnages sont très attachants(Haddock, Tournesol, La Castafiore...)
Tellement de voyages, de découvertes, un véritable tour du monde pour petits et grands.
Merci Hergé pour les bons moments que j'ai passés à lire tes oeuvres, qui resteront a tout jamais gravées dans ma mémoire.
Mes préférés sont "Les Sept boules de cristal", "Le Trésor de Rackham le Rouge" et "Les Bijoux de la Castafiore".
J'ai découvert cette bd il n'y a pas longtemps, quand un ami me l'a offerte.
Je connaissais de nom, mais n'en ayant jamais lu, je pensais que c'était une bd un peu vieille et ennuyeuse, mais pas du tout. J'ai été agréablement surpris.
Bons dessins, scénario excellent mais petit point faible : la longueur des textes. Comme plusieurs internautes, je trouve cela un peu décourageant ; mais une fois que l'on se plonge dans l'histoire, ça ne pose pas vraiment de problème. Je préfère ceux de Jacobs aux autres, bien qu'ils ne soient pas mauvais.
Mes préférés sont : La Marque jaune et S.O.S. Météores.
Une de mes bd préférées.
Spirou et Fantasio sont des personnages cultes de la bande dessinée. Le scénario est très bon, tout comme l'humour.
Les personnages sont attachants (surtout Fantasio).
Les dessins sont simples mais sympas.
Mon album préféré est Spirou a New York.
Ca faisait longtemps que je voulais la lire, cette BD...
Et voilà, c'est fait, et c'est presque triste que ce soit fait.
Parce que c'est une BD absolument fantastique, de celles qui vous racontent des histoires tellement universelles que vous ne pouvez refermer l'album qu'avec un sentiment de "déjà ?".
En effet "Le Pantin", réalisé par le trop rare Michel Alzéal est une véritable perle, un album rare, qu'il faut déguster. L'histoire est parfaite, le personnage du pantin est confondant de simplicité, et, et...
Et puis lisez "Le Pantin", c'est tout ce que j'ai à dire.
Les Rochester est une série très british qui se déroule à Londres au 21e siècle. C'est un mélange d'humour anglais et d'aventure. Jack, le personnage principal, est assez attachant par son mauvais caractère et son goût pour le risque (et la bière).
Les dessins de Wurm sont très fins (style Blake et Mortimer) mais chaleureux quand même, le scénario est sympathique et très clair.
Selon moi une très bonne bd, qui se lit et se relit facilement et sans modération.
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Alice et Léopold
Une série "douce"... ça change, non ?... C'est dans l'hebdo Spirou n° 2657 du 15 Mars 1989 que j'ai découvert cette petite plantation de cacao située au nord-est du Congo. Et je me suis plu à suivre la vie de Léopold, de sa cousine Alice, de leur copain noir Mafuta, de Joseph -un bien brave missionnaire... sans oublier Onésime, le grand-père. Une série très attachante où l'on suit les joies, les peines aussi, la découverte d'une nature encore vierge. Et toutes ces histoires, ces anecdotes plutôt, sont racontées à travers le journal que rédige Alice ; journal qui introduit ainsi une fort belle dimension narrative. Ce que j'ai aimé, c'est surtout l'humanisme qui ressort des histoires ; et non ce paternalisme des "braves coloniaux blancs qui vont expliquer à petits nègres..." Alice et Léopold ? Une chronique douce -pas amère- qui se passe dans les années 20 ; une histoire "ordinaire" de gens qui le sont aussi. Mais ça, il fallait le réussir et nous le faire ressentir "sur papier". Et c'est fait. Qui plus est : bien fait ! Cinq albums seront édités de 1991 à 1995. Plus rien depuis. Les reverrons-nous un jour ?... Rien n'est moins sûr. Et c'est dommage...
Al Crane
Une des séries les plus dingues des années 70. Elle débute dans le "Pilote Mensuel", n° 25 du 17 JUin 1976. Elle s'y termine dans le n° 41 d'Octobre 1977. Al Crane ?... C'est fou. Un Western vraiment désopilant ! Les Peaux-Rouges se font massacrer à grands coups d'hémoglobine, les "jolies-demoiselles-bien-comme-il-faut" s'y font violer et les pires bandits de l'Ouest, les plus basses crapules, éprouvent les uns envers les autres une attirance -disons- particulière... Lauzier, ici scénariste, s'en donne à coeur joie ! Outrageusement "politiquement très incorrect" il nous balance à la figure un secouant humour de second degré. Pas en reste, Alexis explose les scénarios de sa dextérité et de son humour graphiques. Je me suis marré -voici quelque 30 ans déjà- à la lecture de ces histoires qui m'entraînaient dans une sorte de joyeux bric-à-brac sans queue (!) ni tête. Un bon gargarisme zygomatique qui -hélas- s'arrêtera suite au décès d'Alexis en 1977. Ce sera le point final d'Al Crane, ce foutu cow-boy pas ordinaire du tout !.. Deux albums ponctueront cette série en 1977 et 1978 ; albums réédités ultérieurement avec nouvelle couverture. Ouvrez-vite un "Al Crane", un heureux mélange des Monty Python et de Benny Hill. Loufoque. Vraiment.
Calvin et Hobbes
Dépression, mélancolie, angoisse profonde … Je ne suis qu’au douzième opus, mais déjà, j’envisage les futurs symptômes de manque. Pourtant, comme l’enfant piochant frénétiquement dans le bocal de friandises qui finit inexorablement par se vider, je dévore les strips sans pouvoir me contrôler, chaque bouchée m’entraînant un peu plus loin vers la fin inéluctable de la série. L’accoutumance est bien là ! Les pérégrinations du diabolique gamin et de son tigre en peluche sont devenus mon paradis – pas tout à fait – artificiel, ma dose quotidienne de bonheur. À travers l’imaginaire, les péripéties et les interrogations artisticoscientificohumanistes de l’hyperactif et génial sale gosse, Bill Watterson distribue des délices. Prenant pour prétexte une vingtaine de thèmes récurrents (l’école, la télé, les monstres, la baby-sitter, la cantine, les alter ego de Calvin, les bonhommes de neige, les vertigineuses descentes en luge, …), il aborde une multitude de sujets contemporains, en explorant et stimulant au passage, l’infinie palette de nos sentiments. Il nous invite à la réflexion, puis nous transforme, à l’envie, en spectateur attendri, amusé ou franchement rigolard à de savoureux gags purement visuels. C’est juste, dynamique, efficace et terriblement jubilatoire ! Pour faire simple : « Calvin et Hobbes » ça fait réfléchir la tête, ça fait rigoler la bouche, ça fait battre le p’tit coeur …et tout ça, ça fait très beaucoup énormément du bien !! « La meilleure preuve qu’il existe des formes de vie intelligente quelque part dans l’Univers, c’est qu’aucune n’a essayé de nous contacter » Calvin
La Légende des nuées écarlates
Une fois n'est pas coutume, c'est sur le simple aperçu de la beauté de ses planches que j'ai acheté cette BD dont je ne savais rien auparavant. Le dessin est en effet de toute beauté. Sur des tons à base de rouge et de blanc, Tenuta Saverio, artiste Italien, nous offre des fresques superbes. Son style, proche de l'illustration, use de couleurs parfaitement maîtrisées, d'un encrage très fin et d'un sens indubitable de l'esthétisme. C'est vraiment admirable. Quel dommage qu'il pêche un peu sur deux points : le sens de la perspective ainsi que les visages de ses personnages qui sont parfois moyens. Pour le reste, c'est le genre de BD qu'on peut acheter uniquement pour sa beauté graphique. Mais le scénario n'est pas vraiment en reste. Comme pour Okko, nous nous plaçons ici dans un Japon médiéval imaginaire teinté de fantasy. Créatures surnaturelles, magie, ville emprisonnée dans les glaces, tout un univers de fiction dans lequel évoluent geishas, shogun(aï) et samouraïs. Le récit n'apporte pas de grande surprise au genre et manque un peu d'humour, mais il est bien raconté et prenant. Ce premier tome est dense, beau et suffisamment captivant pour annoncer une belle série dont il me tarde de voir la suite.
Cryozone
"Cryozone". C'est simple, efficace. L'histoire n'as rien de révolutionnaire (on pense à Alien, par exemple) mais elle est particulièrement bien ficelée. J'ai lu l'intégrale des deux tomes d'une traite, captivé de bout en bout par le récit. Cette série m'a donné envie de relire de la science-fiction (rien que ça !). Et puis cette série est mon premier contact avec un grand de la science-fiction : Bajram. Cette BD n'a pas l'ampleur d'Universal War One mais on décèle déjà toute la maîtrise de son auteur.
Les Aventures de Tintin
Une des premières bd que j'ai eus à lire. C'est tout simplement génial. Les dessins sont simples, l'histoire est magnifique et les personnages sont très attachants(Haddock, Tournesol, La Castafiore...) Tellement de voyages, de découvertes, un véritable tour du monde pour petits et grands. Merci Hergé pour les bons moments que j'ai passés à lire tes oeuvres, qui resteront a tout jamais gravées dans ma mémoire. Mes préférés sont "Les Sept boules de cristal", "Le Trésor de Rackham le Rouge" et "Les Bijoux de la Castafiore".
Blake et Mortimer
J'ai découvert cette bd il n'y a pas longtemps, quand un ami me l'a offerte. Je connaissais de nom, mais n'en ayant jamais lu, je pensais que c'était une bd un peu vieille et ennuyeuse, mais pas du tout. J'ai été agréablement surpris. Bons dessins, scénario excellent mais petit point faible : la longueur des textes. Comme plusieurs internautes, je trouve cela un peu décourageant ; mais une fois que l'on se plonge dans l'histoire, ça ne pose pas vraiment de problème. Je préfère ceux de Jacobs aux autres, bien qu'ils ne soient pas mauvais. Mes préférés sont : La Marque jaune et S.O.S. Météores.
Spirou et Fantasio
Une de mes bd préférées. Spirou et Fantasio sont des personnages cultes de la bande dessinée. Le scénario est très bon, tout comme l'humour. Les personnages sont attachants (surtout Fantasio). Les dessins sont simples mais sympas. Mon album préféré est Spirou a New York.
Le Pantin
Ca faisait longtemps que je voulais la lire, cette BD... Et voilà, c'est fait, et c'est presque triste que ce soit fait. Parce que c'est une BD absolument fantastique, de celles qui vous racontent des histoires tellement universelles que vous ne pouvez refermer l'album qu'avec un sentiment de "déjà ?". En effet "Le Pantin", réalisé par le trop rare Michel Alzéal est une véritable perle, un album rare, qu'il faut déguster. L'histoire est parfaite, le personnage du pantin est confondant de simplicité, et, et... Et puis lisez "Le Pantin", c'est tout ce que j'ai à dire.
Les Rochester
Les Rochester est une série très british qui se déroule à Londres au 21e siècle. C'est un mélange d'humour anglais et d'aventure. Jack, le personnage principal, est assez attachant par son mauvais caractère et son goût pour le risque (et la bière). Les dessins de Wurm sont très fins (style Blake et Mortimer) mais chaleureux quand même, le scénario est sympathique et très clair. Selon moi une très bonne bd, qui se lit et se relit facilement et sans modération.