Les Aventures de Tintin

Extrait du Livre de Benoît Peeters “Le monde d’Herge” chez Casterman : "Une fois de plus, c’est la même scène qui recommence: à plat ventre sur mon lit, un album entre les mains, je suis en train d’oublier, à mesure que je m’enfonce dans la lecture, cette histoire que je connais par coeur pour l’avoir lue plus de cent fois. C’est une après-midi de vacances ou un soir... ... Ai-je six ans?, en ai-je vingt? ou bien déjà cinquante ? Rien ne permet de le savoir tant se fondent à ce moment toutes ces heures de lecture, comme si jamais il ne m’était arrivé de lire les albums pour la première fois mais que toujours ils avaient fait partie de moi, chaque lecture convoquant nécessairement le souvenir de toutes celles qui l’on précédée. Et peut-être est ce là, l’origine du charme sans pareil de ces livres que nous avons aimés dès l’enfance. Livres dont le pouvoir envoûtement n’apparaîtra jamais de la même manière à ceux qui, adultes, les découvre pour la première fois. Peut-être, après tout ne peut on parler de Tintin qu’à ceux, heureusement innombrables, qui le connaissent depuis toujours."
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C'est vers la Russie soviétique que Tintin va diriger ces premiers pas, accompagné de son chien Milou. Tout au long des albums. Nous allons découvrir à travers de formidables aventures, des poursuites, des enlèvements, des recherches de trésors, des voyages au bout du monde et rencontrer de nouveaux personnages que nous apprendront à connaître au fil des albums. Un album inachevé termine les aventures de Tintin. Hergé disait sur "Tintin et l'Alph-art" - " je songe à mon prochain Tintin. J'ai une idée, ou plutôt, une fois encore, j'ai un lieu, un décor: j'aimerais que tout ce passe dans un aéroport, du début à la fin. L'aéroport est un centre riche de possibilités humaines, un point de convergence de diverses nationalités: le monde entier se retrouve en réduction dans un aéroport! Là, tout peut arriver, des tragédies, des gags, de l'exotisme, de l'aventure... "
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Date de parution | Janvier 1930 |
Statut histoire | Une histoire par tome 24 tomes parus |
Les avis


Bon, 72 avis 5 étoiles sur cette série, je pense que je ne vais pas m’attarder dessus. Il s’agit d’un classique de la bande dessinée, et contrairement à Astérix que je n’ai jamais réussi à apprécier malgré un dessin sympa et des fois un bon humour, j’aime Tintin ! Les BD ne se lisent pas en 15 minutes, il y a des fois beaucoup de lecture, les aventures se suivent avec grand plaisir. L’humour est présent, le professeur Tournesol ou le capitaine Haddock m’ont bien fait rire. Le dessin est bien sûr l’un des plus beaux de la bande dessinée, le tome que je préfère pour ma part restera Objectif lune et On a marché sur la lune, Hergé a un talent monstrueux. A recommander à tous, malgré certains tomes assez datés comme Tintin au Congo qui j’avoue a très mal vieilli.


C'est assez facile d'aviser la série des Tintin mais c'est beaucoup plus difficile de la noter. En effet Hergé nous la joue tellement "Double Face" entre "Tintin au Congo" et "Les Bijoux de la Castafiore" que je pourrais mettre 5 aussi bien que 1 sans sourciller. Alors je lance ma pièce et on verra... Enfant, la série commençait à "Tintin en Amérique" donc les épisodes maudits n'étaient pas disponibles. On en parlait avec les parents mais les deux numéros manquants étaient presque un sujet tabou. Cela excitait ma curiosité car j'aimais bien la série comme beaucoup d'enfants. Elle me faisait rêver d'un ailleurs surtout les forêts d'Amérique Centrale. Et je découvrais la Carmen de Bizet chanté par le gardien du musée. Je m'en souviendrai toujours. Les vilains Japonais (je ne connaissais pas encore le sac de Nankin), les pauvres Chinois, les débris de l'avion, le " no se", cette Europe de l'Est si proche et si mystérieuse derrière son rideau, tout cela a peuplé mon imaginaire comme aucune autre série. De plus pour moi c'était l'ami des enfants Miarka, Tchang, Zorrino et Abdallah le farceur. Mais on vieillit (trop) vite. On découvre que le monde n'est pas si beau et on lit des choses qui me font bondir. "Je vais vous parler aujourd'hui de votre patrie : La Belgique" enseigne Tintin aux petits Congolais. Ou "..., les Aniotas, organisée en vue de combattre l'influence civilisatrice des Blancs...". Plus colonialiste que ce discours c'est difficile. (Archives Hergé, Casterman 1977) Quant à l'épisode de l'accident de locomotive, il reste pour moi un sommet d'ignominie dans la littérature pour enfants (celle que je connais). Tout le monde le sait, Hergé a été interviewé maintes fois sur ce sujet mais il faut le redire encore et encore c'est insupportable. Pourtant 90 ans après Tintin passe en boucle sur les télés, des magazines font leurs unes sur Tintin, les produits dérivés sont partout. Enfin je pense que Tintin est le seul Européen à pouvoir regarder en face les Superman, Batman ou Spiderman sous le regard goguenard de la petite souris. Je n'ai pas appris à lire avec Tintin, c'était à l'école ! Mais j'ai appris à rêver avec lui. Oups ma pièce est tombée sur le 5 (juste sur le bord)


Comment débuter ma participation sinon par Tintin. J'ai appris à lire avec Tintin et même bien avant, aux dires de mes parents, car je ne m'en souviens forcément pas, j'ai appris à parler avec les personnages de Tintin. Ils étaient sur le calendrier du mur de la cuisine, il paraît qu'on me les montrait et je disais : « Tintin, Haddock, ... ». Après, je les ai tous lus, relus, re-relus quasiment à les connaître par cœur. À chaque fois c'était une aventure constamment renouvelée. Le plaisir de la découverte des premières lectures est vite remplacé par celui de l'attente impatiente des péripéties suivantes des prochaines pages, on s'en régale d'avance. Aujourd'hui encore, après quelques décennies, si je devais n'emmener qu'UNE série sur une île déserte... bref, on ne touche pas à Tintin ! Maintenant, si j'essaie de me détacher autant que je peux de l'affect pour appréhender l’œuvre d'Hergé, je trouve que, hormis les tout premiers, les récits sont sacrément bien construits. Les déroulements s'enchaînent, l'intensité dramatique se poursuit, entrecoupée de parenthèses d'humour en particulier avec les déboires du capitaine ou la surdité de Tournesol, mais le fil n'est jamais perdu et Hergé nous mène là où il veut. Un modèle du genre est le secret de la Licorne, aucun détail même d'arrière plan n'est laissé au hasard, c'est du grand art. Les bijoux de la Castafiore sont aussi ciselés à souhait. Et le dessin, clair, Essentiel avec un grand E, rien de superflu. Avec la simple ligne claire et les aplats de couleurs, on a la moiteur des forêts tropicales et le sublime des neiges himalayennes. Des personnages tous trop trognons accompagnent Tintin, que demander de plus ? Ah si, même si on pourrait reprocher le journal dans lequel travaillait Hergé, il n'empêche que Tintin est toujours du côté de l'opprimé, et l'affirme de plus en plus au fil des albums. Mes préférés, tous à partir du Lotus bleu, mais surtout, on va dire dans l'ordre : le secret de la Licorne, les bijoux de la Castafiore, Tintin au Tibet, l'affaire Tournesol, l'étoile mystérieuse, l'île noire, le diptyque au Pérou, celui sur la lune... bref tous. Rien que d'en parler, j'ai envie de me refaire la série, tiens, soirée cocooning Tintin aujourd'hui !

- Mes chers amis internautes, au nom de tout l'équipage, je vous remercie... - Oh, ne vous fatiguez pas Capitaine. Nous ne figurons même pas parmi les immanquables de Bdthèque. - Mille milliards de mille sabords ! Que dites-vous là, Tintin ! Quels sont donc ces sapajous, ces moules à gaufres, ces bachi-bouzouks... - Ne vous énervez pas Capitaine. Peut-être est-ce tellement évident qu'ils n'y pensent même pas. Peut-être aussi sommes-nous un peu trop datés pour les nouvelles générations. - C'est sûr que s'ils commencent par vos premières aventures, ils ne doivent pas être très enthousiastes pour lire la suite. - Il est vrai qu'avant « Les cigares du Pharaon », je n'ai pas de quoi me vanter, Capitaine. - Les cigares, humm...Pour citer le président Clinton, je dirais que le meilleur des cigares ne vaudra jamais une bonne vieille pipe. Après tout, c'est lorsque j'arrive, que vos aventures confinent aux chefs d'oeuvre du 9e Art. Ce grand réalisateur américain ne s'y est pas trompé. D'ailleurs je pense qu'on devrait dire « les aventures de Tintin et du capitaine Haddock ». N'en déplaise à Milou. - Ho Capitaine ! Vous savez comme ça me rend triste de penser à ce pauvre Milou depuis que je l'ai fait piquer... - Ah Tintin...je ne voulais pas vous blesser. Je l'aimais bien aussi ce sac à puces. Et vous n'aviez pas le choix, il était impossible que son état s'améliore... - Ha non ! Pas la Castafiore ! Saperlipopette ! Elle nous les a assez brisés menues avec ses bijoux ! - Je dirais même plus : elle nous a assez bruger les minous avec ses bises ! - Professeur ! Dupond ! Vous êtes réveillés...Nestor, allez chercher leurs médications s'il vous plaît. Et ne vous trompez pas cette fois ! Vous vous rappelez Capitaine lorsqu'il leur a donné par erreur vos pilules bleues...vous savez celles pour la toux. - La toux, humm...du diable si je m'en souviens ! Après ça, pour faire les zouaves, ils ont fait les zoua...Heu, Nestor ! Amenez les calmants pour Tryphon aussi ! Non, voyez-vous mon vieux Tintin, ce qu'il nous faudrait, ce sont de nouvelles aventures pour nous relancer. - Ooh, je ne sais pas Capitaine. Quand je vois le résultat avec nos amis Astérix, Luke, Blake et Mortimer... - Humm, vous n'avez pas tort mon vieil ami, vous n'avez pas tort...allons, tout ceci m'a donné soif...je vous sers un verre ?


Tintin était une de mes séries préférés lorsque j'étais jeune, mais lorsque j'ai grandi j'ai trouvé Tintin moins intéressant même si je trouvais que c'était toujours une bonne série. Elle ne faisait juste plus partie de mes séries cultes. Puis récemment je me suis mis à relire, après plusieurs années, les albums de cette série et j'ai même relu plusieurs fois certains albums car je me suis aperçu que j'aime autant Tintin que lorsque j'étais petit. Certes, la qualité des albums est inégale, surtout dans les premières années, mais globalement j'adore les albums. Les scénarios se lisent très bien et j'ai autant de plaisir à les relire même après des dizaines de fois. Le dessin est riche en détails, mais le point fort selon moi vient de la galerie des personnages qui est une des meilleures de la bande dessinée. J'adore les personnages de Tintin, des personnages principaux aux personnages qui n'apparaissent que lors d'une scène. Et puis si le personnage titre est le moins intéressant des personnages, je lui trouve maintenant un côté sympathique alors qu'avant il m'ennuyait un peu. Un autre truc que j'aime bien dans cette série c'est qu'à travers les albums on peut voir un peu l'évolution du 20ème siècle. Tintin est un univers riche et c'est dommage que Hergé n'ait pas fait plus d'albums. J'aurais aimé avoir plus d'album avec Rastapopoulos et Abdallah par exemple ou revoir des personnages utilisés qu'une seule fois. C'est dommage d'ailleurs qu'il ne réutilisait pas trop ses personnages dans ses premiers albums. Mais bon la qualité prime sur la quantité.

Comme disent les conseils du site, la note 5 doit être reservée pours les BDs absolument cultes, hors du commun, qui marquent de leur empreinte la culture BD. Je ne connais pas une meilleure description. Cela sert comme un gant a Tintin d'Hergé. Plus que ça, seulement le Spirou de Franquin! C'est le XXéme siécle tout entier que vous y trouverez: ce qu'il a eu de bon et de mauvais... Ce que j'aime bien faire: comparer les différentes versions au fil du temps. Toute une leçon en histoire, politique et BD. Et puis c'est le meilleur de la ligne claire européenne, c'est pas peu...


J'arrive donc pour poser le 136ème avis. Les gouttes de sueur perlent à mon front! Tintin est un monument. Bien sûr qu'il est culte mais pour des raisons qui diffèrent selon le posteur. Dit comme ça, cela ne veut rien dire et pourtant! Le lecteur de Tintin pourrait à mon sens se distinguer en deux catégories principales, ne vous fâchez pas! Les premiers: Ceux qui, comme ils le disent, ont appris à lire avec lui, ceux qui sont nés et ont eu la possibilité de lire les albums au moment de leur sortie ou du moins de n'être pas trop vieux pour les découvrir dans leur presque époque. Ceux là resteront à jamais des inconditionnels et Messieurs Dames, oh combien je vous comprends. Soyons clair, vous découvriez la BD : des cases savamment ordonnées, des personnages sympathiques et rigolos et de l'aventure. Un auteur vous emmenait au pays des Soviets, en Amérique, au Congo et même sur la Lune. J'avoue que comme diraient des jeunes d'aujourd'hui dont je ne suis plus: "Ca déchirais grave". Les seconds: Ils ont découvert Tintin à une époque ou la plupart des albums historiques, indispensables, étaient déjà parus. Leur sens critique, et n'y voyez rien de désobligeant de ma part, n'était plus le même que le vôtre. Le monde avait évolué, l'histoire du monde avait changé et quelques événements majeurs avaient eu lieu. Alors oui, Tintin est culte car il a apporté à la BD un souffle, une dimension que l'on n'avait jamais vu auparavant. Il n'a rien renouvelé, il à crée un style dont on sait qu'il à fait quelques émules. Avouons objectivement qu'il y a des albums moins bons que d'autres, que l'humour n'est pas la qualité première de notre héros et j'en passe point n'est besoin de trop insister sur tout ça. Juste un petit point concernant un commentaire précédent qui nous dit concernant "Tintin au Congo", que le racisme de Hergé est parfaitement excusable car il vivait " à son époque". Spécieux l'argument! je vous laisse mouliner du neurone. Au final, ben j'ai pris du plaisir à lire Tintin , mais comme dit plus haut pas tout. Aujourd'hui, vraiment à l'occasion je relis : les mêmes. Pis bon rien à voir, mais comme il y a eu la guerre des Stones Vs les Beatles, je préfère Astérix. Merci Tintin!

Gamin j'aimais bien. Maintenant ça m'indifère. Un album comme Tintin au congo ne peut que mettre mal à l'aise. Je trouve le dessin sans intérêt et le personnage principal des plus fadasses. Reste que ça a bercé mon enfance et que les personnages secondaires (le capitaine Haddock et Tryphon Tournesol en particulier) sont savoureux. L'humour est parfois assez lourd et répétitif: les Dupondt et Séraphin Lampion par exemple. 2 étoiles pour la nostalgie et les jurons d'Haddock.

Tout dans cette série relève du culte. Qui n'a jamais entendu les insultes du capitaine Haddock ? Les "Bachibouzouks", "Moules à gaufres", "Ectoplasme" et autres mériteraient leur place dans bien des dictionnaires quand on voit ce que l'on peut y entrer dernièrement... Qui n'a jamais ri à cause des Dupont(d)... Je dirais même plus, qui n'a jamais ri à cause des Dupond(t)... N'oublions pas ce vieux fou de Tournesol qui ne comprend jamais rien et emmène bien malgré lui ses compagnons d'aventure....justement dans toutes sortes d'aventures! Bon et il y a aussi Tintin...et Milou. ...Bref, c'est bien et c'est bien là l'essentiel, pas besoin d'en dire plus, la série parle d'elle même.


Voilà, pour mon trois-centième avis sur le site, c’est un des « incontournables « de la bande dessinée que je me décide enfin à aviser. En allant un peu à contre courant de la majorité de mes prédécesseurs. C’est que je ne sais pas trop quoi en dire. C’est une série historique, qui a eu, avec le magazine éponyme, une importance non négligeable dans le développement du neuvième art, c’est évident. Lorsque j’étais enfant, mon frère et moi avions l’intégrale des « Astérix » et des « Tintin ». J’ai hérité des premiers, mon frère des seconds, et c’est tant mieux ! En effet, je trouve les premiers tomes quasi illisibles aujourd’hui, emplis qu’ils sont des préjugés d’Hergé et des milieux droitistes qu’il fréquentait à l’époque. L’anti-communiste primaire du pays des Soviets, les préjugés racistes de Tintin en Amérique, du Lotus bleu et de Tintin au Congo ne passent plus, heureusement (mention spéciale pour ce dernier album : voir l’épisode du train qui a déraillé opposants les « blancs » Tintin et Milou aux « sauvages » à l’accoutrement et au langage enfantins). Tintin lui-même est pétri des valeurs boy scout de ses débuts (dans la lignée de Totor). Mais Hergé a évolué, et fait évoluer sa série. Le personnage plutôt terne de Tintin s’est vu entouré d’indispensables seconds rôles (comme Spirou, Lucky Luke ou Astérix l’ont fait, et souvent mieux d’ailleurs). Les Dupon(d ou t), Tournesol insufflent un peu d’humour et de folie, par une certaine inadaptation au principe de réalité. Mais c’est surtout le personnage du capitaine Haddock qui est la bonne trouvaille. En effet, cet esthète du juron, alcoolique à ses heures, est le parfait pendant de Tintin, surtout quand des troisièmes couteaux comme la Castafiore, Habdallah ou Séraphin Lampion, voire ce faux dur de Rastapopoulos ou son sbire Alan interviennent pour lui faire perdre le peu de sang froid qu’il possède. Bref, la deuxième partie de la série est clairement plus présentable (il m’arrive encore parfois d’en relire certains), mais je ne peux dans son ensemble pas du tout la considérer comme culte, loin de là. Je lui aurais probablement attribué spontanément deux étoiles, un gros Bof à l’arrache si je m’en tiens à la série dans sa globalité. Tintin appartient à l’imaginaire collectif, certes. Mais n’a-t-on pas là une certaine survivance du signe à la chose signifiée ? Lit-on autant Tintin que ça ? En tout cas je ne fais plus partie depuis très longtemps des accrocs de la série ! Mais voilà, par faiblesse, je lui reconnais une importance historique, et la nostalgie de mes lectures d’enfance me fait lui attribuer trois étoiles. PS: la gestion très mercantile de l"héritage par les héritiers de chez Moulinsart, criant au crime de lèse-majesté à tout propos (surtout il est vrai lorsque les intérêts financiers sont en jeu, mais aussi lorsque quelqu'un s'écarte de la doxa officielle) ne rend pas l'univers plus attractif, et sclérose l'imaginaire qui en découle, tout en déversant des tonnes de produits dérivés ad nauseam...
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