Cet album aurait bien pu se faire oublier au beau milieu d’une « montagne » de bds du même éditeur si un avis extrêmement positif d’un lecteur ne m’avait pas encouragé à le chercher !
« L’histoire d’une mère » est une adaptation d’un conte d’Andersen par un auteur… danois.
Ce qui frappe en premier lieu dans cet album, c’est la très grande beauté graphique et cette mise en ambiance particulièrement réussie !
Des séquences sont très touchantes et je pense qu’elles me resteront inoubliables, je me remémore notamment celle avec l’horloge. Pour ceux qui n’ont jamais lu ce conte d’Andersen, sachez que ce dernier raconte le combat d’une mère pour que son fils échappe à la mort… c’est très émouvant. La détermination, le courage, la colère de cette mère sont à l’image de l’amour qu’elle porte à son enfant : énorme !
« L’histoire d’une mère » est donc un super conte somptueusement mis en image par Madsen.
Voilà là une formidable BD, une merveille de précision et d'horlogerie (normal pour une histoire tournant autour d'une montre me direz-vous) qui m'a totalement séduit.
Gabella réussit dans les grandes largeurs là où une série comme Phenomenum échoue à mon sens. La comparaison n'est pas innocente, le canevas de départ est en effet assez similaire : notre héros entre en possession d'une montre gousset qui lui permet d'arrêter le temps à sa guise, de créer une stase dans laquelle il se déplace librement, le monde s'arrêtant autour de lui. Une première différence vient du fait que d'autres personnes, qui ne sont pas en possession de la montre, ont également le pouvoir de se déplacer et, naturellement, ils sont loin de faire tous un usage de bon aloi de cette stase, leur but ultime étant de s'emparer du précieux objet.
Autre différence, on est ici face à un one-shot se déroulant au XIXème siècle: le décalage entre ce siècle déjà bien lointain et cette technologie si improbable est des plus réussis. Enfin, le dessin d'Audibert est bien loin de celui très anguleux et peu séduisant de Phenomenum: virevoltant, léger et très poétique, il épouse à merveille cette histoire dont la poésie est justement un segment très important (lisez-le, vous comprendrez tout).
Au final, non content de conclure en 62 pages, les auteurs nous proposent une fin extrêmement réussie qui m'a fait refermer l'album avec un immense sentiment de satisfaction : quel bonheur de voir un scénariste proposant une aussi bonne histoire parfaitement exécuter la culbute finale ! Un des meilleurs albums que j'ai lus cette année, sans aucun doute.
Sans conteste, ce pavé de 600 pages est une réussite. Primé (avec raison) à Angoulème, ce comics nous conte l'histoire de vie de différents jeunes adultes à New York. La vie n'est pas simple bien entendu pour des jeunes sortant à peine de leur étude et devant faire leur trou dans un monde professionnel de plus en plus dur. Non la vie n'est pas rose dans ce récit. Elle se veut réaliste. De ce fait, on vit à plusieurs dans un appart avec tous les problèmes liés à la cohabitation. Il y l'amour bien entendu. Sujet tellement central dans la vie de tout individu. Qui dit amour dit moments de bonheur, de remise en question et de déceptions. A cela vous ajoutez un peu d'alcool, quelques petites fêtes accompagnées de dérapages inhérents à ce genre de chose, une société peu scrupuleuse qui exploite ses travailleurs et vous obtenez une image critique et réussie de notre société occidentale. Bref, vous l'aurez compris, le réalisme est au cœur de cette Bande dessinée. Toutefois le sujet est traité avec légèreté, humour et sensibilité. On rit, on est ému mais à aucun moment le poids du livre n'affecte la lecture. En somme, un très agréable moment de lecture.
Deux concepts très originaux ont été réunis dans cette bande dessinée.
*1er CONCEPT :
Comme toute bande dessinée : il y a des images, des bulles circulaires (comme dans toute BD), mais aussi :
-> des bulles carrées
-> des bulles reliés non pas à un personnage mais à un objet
-> ...
Ce système légèrement différent des codes habituels, permet aux entendants de VRAIMENT ressentir, comprendre, voir ce qu'AMBRE (héroïne principale - sourde) perçoit réellement!
* 2ème CONCEPT:
L'histoire est racontée en français, mais également en LSF.
Pourtant les images ne sont pas surchargées, l'action est bien rendue.
La maîtrise de ces deux concepts permet à cette BD :
-> d'être inoubliable
-> d'ouvrir les yeux aux entendants sur le monde de la surdité.
-> et de passer un très bon moment.
Pour ceux qui connaissent un peu la LSF, seront admiratifs devant cette manière de dessiner la LSF dans des images en seulement DEUX DIMENSIONS et NON-ANIMEES tout en restant clair et compréhensible.
Excellent !
Voilà la première chose à laquelle j'ai pensé à la fin de ma lecture de cette saga.
Un Peter Pan sombre, dur mais tellement bien mis en scène.
En plus, Loisel ne nous réexplique pas une ènième fois les aventures de Peter Pan que tout le monde connaît, non, il nous offre une prélogie ou il met tout en place pour arriver à l'histoire que l'on connaît.
Mais qui n'a rien à voir, je pense qu'il vaut mieux éviter de mettre les jeunes spectateurs du Peter Pan de Walt Disney devant la BD de Loisel ^^
Et cet étrange parallèle avec Jack l'éventreur... ça m'a beaucoup intrigué au point de relire toute la série pour pouvoir faire une meilleure comparaison.
Incontestablement, cette série est un sommet de la bande dessinée. J'aurais tant à dire sur les qualités graphiques, sur l'aspect original et totalement surréaliste des histoires que je ne sais véritablement par où commencer. Je voudrais juste communiquer la jubilation que j'ai ressentie durant toute ma lecture. Voila un auteur qui vous prend, qui vous installe dans un univers incroyable et qui ne vous lâche, qu'après avoir joué au sens le plus noble du terme avec votre imagination et vos confortables repères habituels.
En lisant les aventures de Julius, on prend une claque. Si on croit savoir ce qu'est la bd, si on considère qu'elle se résume à des dessins et des bulles de texte, on est contraint de changer d'avis. Les règles d'un art qu'on croit connaître, volent vite en éclat, et quand parfois elles paraissent rentrer dans le rang au hasard d'une planche, elles sont vites transcendées par les idées incroyables d'un auteur à l'audace tout simplement géniale.
Géniale, c'est le mot ! Cette bd est géniale en le disant j'ai tout dit et ce n'est certainement pas un qualificatif que j'utilise à la légère.
La collection Poisson pilote nous offre ici deux opus magnifiques. David B fait une fois de plus la preuve de son talent. Déjà avec l’excellentissime « Ascension du haut mal », il nous avait emmené dans un univers graphique et intimiste extraordinairement riche. Les chercheurs de trésor montrent l’étendue de son talent et nous ouvrent un monde d’aventure rempli de saveur orientale. La richesse graphique est une fois de plus présente avec sa dose d’originalité. Qui plus est, le scénario suit ! A la fois complexe, emprunt de nuance. Vraiment une réussite. Bref, merci à David B et autres acolytes (Sfarr, et al…) d’apporter cette petite touche novatrice au petit monde de la BD.
Haaaaa Monster, depuis le temps que j’en entendais parler !
Voila il a fallu que je commence, que j’achète les 4 premier tomes (comme un con !) au lieu que quelqu’un me les prête. Parce que après si t’as pas la suite sous la main, un bin t’as des envie de meurtre !
Alors après il a fallut que je vende mes charmes à la porte de Clichy pour les payer tous ces autres tomes !
L’enthousiasme m’égare, donc oui Monster et bien c’est très bien, j’ai été vraiment très agréablement surpris par la qualité des dessins, l’histoire roule toute seule (il y a bien quelques lenteurs mais sur 18 tomes c’est ridicule), et pis il y a la fin ! Hé oui ! Enfin faut pas trop en dire non plus.
Malgré l’investissement que ça représente je pense qu’il faut l’acheter !
En ce moment je prête tome par tome la série à un de mes collègues, désormais je le tiens, c’est tout simplement mon esclave tant qu’il n’aura pas le dernier tome.
Avoir au moins lu Drago une fois dans sa vie.
Oui, ça a vieilli, oui, c'est plein de clichés, mais c'est diablement efficace, aussi bien pour le dessin que la narration. Certains "auteurs" dit modernes auraient mieux fait de lire cette BD avant d'asséner leurs "oeuvres" au public...
Pour amateurs de l'âge d'or.
Pour un premier album, un coup de maître !
Mise en couleurs splendide, jeux de lumières tout à fait surprenants et décors vraiment bluffants. Un petit bémol pour l'intensité des couleurs qui laisse deviner la technique informatique, mais rien de rédhibitoire.
Le scénario et les dialogues sont très travaillés, distillant une ambiance oppressante qui ne cesse de s'alourdir en cours de tome. Un style très lovecraftien modernisé.
Vivement la suite !
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L'Histoire d'une mère
Cet album aurait bien pu se faire oublier au beau milieu d’une « montagne » de bds du même éditeur si un avis extrêmement positif d’un lecteur ne m’avait pas encouragé à le chercher ! « L’histoire d’une mère » est une adaptation d’un conte d’Andersen par un auteur… danois. Ce qui frappe en premier lieu dans cet album, c’est la très grande beauté graphique et cette mise en ambiance particulièrement réussie ! Des séquences sont très touchantes et je pense qu’elles me resteront inoubliables, je me remémore notamment celle avec l’horloge. Pour ceux qui n’ont jamais lu ce conte d’Andersen, sachez que ce dernier raconte le combat d’une mère pour que son fils échappe à la mort… c’est très émouvant. La détermination, le courage, la colère de cette mère sont à l’image de l’amour qu’elle porte à son enfant : énorme ! « L’histoire d’une mère » est donc un super conte somptueusement mis en image par Madsen.
Les mesures du temps
Voilà là une formidable BD, une merveille de précision et d'horlogerie (normal pour une histoire tournant autour d'une montre me direz-vous) qui m'a totalement séduit. Gabella réussit dans les grandes largeurs là où une série comme Phenomenum échoue à mon sens. La comparaison n'est pas innocente, le canevas de départ est en effet assez similaire : notre héros entre en possession d'une montre gousset qui lui permet d'arrêter le temps à sa guise, de créer une stase dans laquelle il se déplace librement, le monde s'arrêtant autour de lui. Une première différence vient du fait que d'autres personnes, qui ne sont pas en possession de la montre, ont également le pouvoir de se déplacer et, naturellement, ils sont loin de faire tous un usage de bon aloi de cette stase, leur but ultime étant de s'emparer du précieux objet. Autre différence, on est ici face à un one-shot se déroulant au XIXème siècle: le décalage entre ce siècle déjà bien lointain et cette technologie si improbable est des plus réussis. Enfin, le dessin d'Audibert est bien loin de celui très anguleux et peu séduisant de Phenomenum: virevoltant, léger et très poétique, il épouse à merveille cette histoire dont la poésie est justement un segment très important (lisez-le, vous comprendrez tout). Au final, non content de conclure en 62 pages, les auteurs nous proposent une fin extrêmement réussie qui m'a fait refermer l'album avec un immense sentiment de satisfaction : quel bonheur de voir un scénariste proposant une aussi bonne histoire parfaitement exécuter la culbute finale ! Un des meilleurs albums que j'ai lus cette année, sans aucun doute.
De mal en pis
Sans conteste, ce pavé de 600 pages est une réussite. Primé (avec raison) à Angoulème, ce comics nous conte l'histoire de vie de différents jeunes adultes à New York. La vie n'est pas simple bien entendu pour des jeunes sortant à peine de leur étude et devant faire leur trou dans un monde professionnel de plus en plus dur. Non la vie n'est pas rose dans ce récit. Elle se veut réaliste. De ce fait, on vit à plusieurs dans un appart avec tous les problèmes liés à la cohabitation. Il y l'amour bien entendu. Sujet tellement central dans la vie de tout individu. Qui dit amour dit moments de bonheur, de remise en question et de déceptions. A cela vous ajoutez un peu d'alcool, quelques petites fêtes accompagnées de dérapages inhérents à ce genre de chose, une société peu scrupuleuse qui exploite ses travailleurs et vous obtenez une image critique et réussie de notre société occidentale. Bref, vous l'aurez compris, le réalisme est au cœur de cette Bande dessinée. Toutefois le sujet est traité avec légèreté, humour et sensibilité. On rit, on est ému mais à aucun moment le poids du livre n'affecte la lecture. En somme, un très agréable moment de lecture.
PI - Enquêtes au pays des Sourds (Ambre & Arno)
Deux concepts très originaux ont été réunis dans cette bande dessinée. *1er CONCEPT : Comme toute bande dessinée : il y a des images, des bulles circulaires (comme dans toute BD), mais aussi : -> des bulles carrées -> des bulles reliés non pas à un personnage mais à un objet -> ... Ce système légèrement différent des codes habituels, permet aux entendants de VRAIMENT ressentir, comprendre, voir ce qu'AMBRE (héroïne principale - sourde) perçoit réellement! * 2ème CONCEPT: L'histoire est racontée en français, mais également en LSF. Pourtant les images ne sont pas surchargées, l'action est bien rendue. La maîtrise de ces deux concepts permet à cette BD : -> d'être inoubliable -> d'ouvrir les yeux aux entendants sur le monde de la surdité. -> et de passer un très bon moment. Pour ceux qui connaissent un peu la LSF, seront admiratifs devant cette manière de dessiner la LSF dans des images en seulement DEUX DIMENSIONS et NON-ANIMEES tout en restant clair et compréhensible.
Peter Pan
Excellent ! Voilà la première chose à laquelle j'ai pensé à la fin de ma lecture de cette saga. Un Peter Pan sombre, dur mais tellement bien mis en scène. En plus, Loisel ne nous réexplique pas une ènième fois les aventures de Peter Pan que tout le monde connaît, non, il nous offre une prélogie ou il met tout en place pour arriver à l'histoire que l'on connaît. Mais qui n'a rien à voir, je pense qu'il vaut mieux éviter de mettre les jeunes spectateurs du Peter Pan de Walt Disney devant la BD de Loisel ^^ Et cet étrange parallèle avec Jack l'éventreur... ça m'a beaucoup intrigué au point de relire toute la série pour pouvoir faire une meilleure comparaison.
Julius Corentin Acquefacques
Incontestablement, cette série est un sommet de la bande dessinée. J'aurais tant à dire sur les qualités graphiques, sur l'aspect original et totalement surréaliste des histoires que je ne sais véritablement par où commencer. Je voudrais juste communiquer la jubilation que j'ai ressentie durant toute ma lecture. Voila un auteur qui vous prend, qui vous installe dans un univers incroyable et qui ne vous lâche, qu'après avoir joué au sens le plus noble du terme avec votre imagination et vos confortables repères habituels. En lisant les aventures de Julius, on prend une claque. Si on croit savoir ce qu'est la bd, si on considère qu'elle se résume à des dessins et des bulles de texte, on est contraint de changer d'avis. Les règles d'un art qu'on croit connaître, volent vite en éclat, et quand parfois elles paraissent rentrer dans le rang au hasard d'une planche, elles sont vites transcendées par les idées incroyables d'un auteur à l'audace tout simplement géniale. Géniale, c'est le mot ! Cette bd est géniale en le disant j'ai tout dit et ce n'est certainement pas un qualificatif que j'utilise à la légère.
Les Chercheurs de trésor
La collection Poisson pilote nous offre ici deux opus magnifiques. David B fait une fois de plus la preuve de son talent. Déjà avec l’excellentissime « Ascension du haut mal », il nous avait emmené dans un univers graphique et intimiste extraordinairement riche. Les chercheurs de trésor montrent l’étendue de son talent et nous ouvrent un monde d’aventure rempli de saveur orientale. La richesse graphique est une fois de plus présente avec sa dose d’originalité. Qui plus est, le scénario suit ! A la fois complexe, emprunt de nuance. Vraiment une réussite. Bref, merci à David B et autres acolytes (Sfarr, et al…) d’apporter cette petite touche novatrice au petit monde de la BD.
Monster
Haaaaa Monster, depuis le temps que j’en entendais parler ! Voila il a fallu que je commence, que j’achète les 4 premier tomes (comme un con !) au lieu que quelqu’un me les prête. Parce que après si t’as pas la suite sous la main, un bin t’as des envie de meurtre ! Alors après il a fallut que je vende mes charmes à la porte de Clichy pour les payer tous ces autres tomes ! L’enthousiasme m’égare, donc oui Monster et bien c’est très bien, j’ai été vraiment très agréablement surpris par la qualité des dessins, l’histoire roule toute seule (il y a bien quelques lenteurs mais sur 18 tomes c’est ridicule), et pis il y a la fin ! Hé oui ! Enfin faut pas trop en dire non plus. Malgré l’investissement que ça représente je pense qu’il faut l’acheter ! En ce moment je prête tome par tome la série à un de mes collègues, désormais je le tiens, c’est tout simplement mon esclave tant qu’il n’aura pas le dernier tome.
Drago
Avoir au moins lu Drago une fois dans sa vie. Oui, ça a vieilli, oui, c'est plein de clichés, mais c'est diablement efficace, aussi bien pour le dessin que la narration. Certains "auteurs" dit modernes auraient mieux fait de lire cette BD avant d'asséner leurs "oeuvres" au public... Pour amateurs de l'âge d'or.
Freaks Agency
Pour un premier album, un coup de maître ! Mise en couleurs splendide, jeux de lumières tout à fait surprenants et décors vraiment bluffants. Un petit bémol pour l'intensité des couleurs qui laisse deviner la technique informatique, mais rien de rédhibitoire. Le scénario et les dialogues sont très travaillés, distillant une ambiance oppressante qui ne cesse de s'alourdir en cours de tome. Un style très lovecraftien modernisé. Vivement la suite !