A mon avis le "chef-d'oeuvre" de Gibrat à qui il sera désormais difficile de faire mieux, même si il a réussi une "suite" qui est aussi excellente (Le vol du corbeau) sans atteindre la puissance scénaristique du "Sursis".
Cette BD en deux tomes est probablement la meilleure que j'ai lue ces quinze dernières années.
Tout y est ! Dessin magnifique, scénario irréprochable... Du grand art, quoi !
Mais pour arriver à un tel résultat Gibrat a pris son temps.
Je suis sans doute vieux jeu mais je pense que vite et bien font rarement bon ménage.
J-P Gibrat ne sort pas un bouquin tous les six mois, mais son dessin est nickel avec des scénarii qui veulent dire quelque chose.
Une très grande BD donc à laquelle on peut associer Le vol du corbeau un ton très légèrement en dessous, car ne bénéficiant pas de l'effet de nouveauté dans un sujet qui est très proche.
J'ajoute que, proche des milieux libraires, il m'a souvent été donné de conseiller l'achat ou la lecture de cette BD à des clients que j'ai revus et qui étaient "emballés" par la qualité de l'ouvrage. Je précise que je ne connais pas Gibrat et que je ne peux être suspecté de conflit d'intérêt en donnant cet avis.
Ayako, c'est l'histoire d'une petite fille sacrifiée pour le bien d'une famille égoïste. Une famille décadente qui passe leur temps à étouffer les affaires gênantes avec leur fric et leur pouvoir. Mais les temps changent et plusieurs de leurs terrains appartiennent maintenant à des fermiers à cause des réformes. On assiste à cette descente de pouvoir en même temps que la vie d'Ayako qui est enfermée à cause d'un secret de famille horrible.
C'est un excellent drame que nous livre Osamu Tezuka. Les personnages sont parfois gentils, parfois cruels et sans scrupule. Le meilleur exemple est sans aucun doute Jiro qui aime bien Ayako, mais sera responsable du secret de famille qui enfermera Ayako. Il n'est pas gentil ou méchant, il est humain comme tous les autres personnages. Des humains avec des doutes et des faiblesses, capables du meilleur et du pire.
La partie où on voit Ayako grandir dans sa 'cachette' est ma préférée. Malgré qu'elle soit emprisonnée, elle garde l'espoir et ça la rend encore plus attachante.
Je suis "tombé" récemment sur un Gaston Lagaffe accessible (car mon classement BD ressemble beaucoup aux archives de chez Dupuis tenues par Gaston !)
Et la magie du dessin de Franquin a opéré comme lorsque j'étais enfant !
Quelle rigolade ! Ca marche toujours ! C'est à peu près la seule bd qui me fasse rire aux éclats (avec les bandes de Gotlib) et cela, même si je les ai lues pour la cinquantième fois!
Hommage posthume indirect donc pour ce brave Franquin qui m'a apporté tant de bonheur lorsque j'étais enfant. Le plus fort, c'est que ma fille de treize ans se marre autant que moi en lisant les perles du géant de la gaffe.
Cela sera t il aussi vrai pour certaines bandes dessinées actuelles qui ont le vent en poupe ? J'en doute un peu...
Il n'y a rien à redire, Dragon Ball est le manga parfait, mêlant humour, aventure, technologies nouvelles et monde loufoque, déjanté, tout cela mêlé à une histoire aux bases ultra-solides et complètes, et dans les premiers volumes notamment, une pointe "d'humour-érotisme" tout aussi agréable car loin de tomber dans la vulgarité...
"Arigatô gozaimas', Toriyama-san!"
N'en déplaise aux 5 autres avis, j'ai été littéralement conquis par cette série d'Heroic Fantasy, qui se veut effectivement sans grande envergure au départ... Pourtant, il faut reconnaître que le style de Urushihara-san est réellement splendide, un coup de crayon qui ne sait laisser personne insensible, je pense.
Dès lors, il faut préciser que cette histoire est parue en 1990, ce qui "remonte" déjà un peu... bel exemple d'heroic fantasy-ecchi pour moi.
Il va sans dire, cependant, que ceux et celles qui s'offusquent de voir un bout de sein ou de fesses émerger d'un vêtement trop court seront certainement plus insensibles à Legend of Lemnear.
A contrario, les amateurs d'heroic fantasy plutôt cru, et de jolies filles qui se baladent nues la moitié de l'histoire durant, apprécieront.
Le seul reproche que je puisse faire, en fait, est pour la bataille finale, bien trop rapide et brève.
La sortie du tome 8 me donne l'occasion de poster mon avis sur cette série trop méconnue selon moi.
J'ai découvert FOG avec le premier diptyque qui m'a enchanté par le trait particulier de Cyril BONIN, ses couleurs étranges et le récit de Roger SEITER, faussement fantastique mais réellement haletant.
De l'avis de beaucoup (et du mien) les tomes 3 et 4 sont un peu en dessous des précédents et la série ne prend vraiment son envol qu'à partir des tomes 5 et 6 ("la mémoire volée" et "remember") qui voient l'arrivée d'un trait plus fin de Cyril BONIN (de plus en plus de hachures et de moins en mois d'aplats) et surtout de plus de couleurs (attention pas trop non plus, on n'est pas chez SOLEIL).
Et si la chute de ce troisième diptyque m'a laissé un peu sur ma faim (sans doute en raison de l'explication surnaturelle), c'est avec plaisir que je me suis plongé dans les deux derniers épisodes (à cette date - j'espère bien qu'il y en aura beaucoup d'autres).
Première impression : l'histoire est dense. De nombreux personnages font leur apparition. D'autres, déjà croisés dans les albums précédents, prennent de l'épaisseur. Roger SEITER est bien dans son sujet : un polar pur et dur dans l'Angleterre victorienne. Le suspens est là.
Le tome 8 "Au nom du fils" arrive en apothéose, mettant fin magistralement à l'intrigue, tout en laissant quelques questions sur la suite.
C'est pour moi le meilleur album de la série... la couverture justifie à elle seule son achat !
Quant au dessin de BONIN, il est vraiment original et colle parfaitement à l'ambiance. A noter, le rouge vif du cycle précédent a disparu et l'on retrouve les ambiances grises et ocres des premiers tomes. Moi, j'adore. Mention particulière aux cadrages (Allez faire un tour sur le site du dessinateur, vous comprendrez mieux son travail sur ce point...).
Vous l'aurez compris, j'attends vivement le prochain album. Messieurs les auteurs, ne me faites pas trop languir...
Au début, le dessin de cette bd ne m'attirait pas. On me l'a un jour prêtée et après avoir lu le premier tome, j'ai de suite acheté les autres.
Si le dessin n'est pas la qualité première de cette bd, Manu Larcenet est un maître quant à l'art de faire passer des émotions!
En effet, j'ai rarement ressenti des sensations pareilles en lisant une Bande Dessinée. A certains moments, on aurait même presque la larme à l'oeil !
J'ai eu des sensations similaires en lisant Alim le tanneur (surtout dans le premier tome si je me souviens bien).
Ces émotions m'ont donc poussé à mettre à cette BD la note maximale sans hésitation!
Merci Maître Larcenet.
Rem: J'ai davantage aimé le "Combat Ordinaire" que Le Retour à la terre.
Probablement ma Bd préférée.
Le duo Rosinski et Van Hamme à son meilleur niveau.
Dessins très beaux et scénario incroyable.
Jamais une fin de bd ne m'a autant plu.
Possédant au départ le volume unique en noir et blanc, j'ai poussé le bouchon jusqu'à acheter les trois tomes en couleurs à leur sortie !
Que dire de plus...
Que les malheureux qui ne connaissent pas encore ce chef-d'oeuvre ou qui hésitent filent à leur magasin le chercher !
C'est un ordre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Du tout grand art.
Je suis un inconditionnel de Loisel. Et oui, même Magasin général, qui ne fait pas l'unanimité, m'a beaucoup plu.
Pour en revenir à "Peter Pan", il s'agit d'une version "trash" du conte que tout le monde connaît.
Les dessins sont particuliers et ont même parfois un petit côté glauque, ce qui fait que je comprends tout à fait qu'on n'aime pas Loisel.
Mais moi j'adore !!!
5/5 et c'est amplement mérité.
Que rajouter de plus que ce que contiennent déjà les autres critiques ?
C'est beau, ultra travaillé, aussi bien au niveau du dessin que du scénario.
Un vrai voyage où tous nos repères sont déstabilisés, où mots et couleurs sont utilisés avec maîtrise et finesse !!!
A posséder absolument.
Je ne peux pas imaginer qu'un collectionneur passe à côté de cela.
Félicitations Maîtres Ayroles et Masbou !
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Le Sursis
A mon avis le "chef-d'oeuvre" de Gibrat à qui il sera désormais difficile de faire mieux, même si il a réussi une "suite" qui est aussi excellente (Le vol du corbeau) sans atteindre la puissance scénaristique du "Sursis". Cette BD en deux tomes est probablement la meilleure que j'ai lue ces quinze dernières années. Tout y est ! Dessin magnifique, scénario irréprochable... Du grand art, quoi ! Mais pour arriver à un tel résultat Gibrat a pris son temps. Je suis sans doute vieux jeu mais je pense que vite et bien font rarement bon ménage. J-P Gibrat ne sort pas un bouquin tous les six mois, mais son dessin est nickel avec des scénarii qui veulent dire quelque chose. Une très grande BD donc à laquelle on peut associer Le vol du corbeau un ton très légèrement en dessous, car ne bénéficiant pas de l'effet de nouveauté dans un sujet qui est très proche. J'ajoute que, proche des milieux libraires, il m'a souvent été donné de conseiller l'achat ou la lecture de cette BD à des clients que j'ai revus et qui étaient "emballés" par la qualité de l'ouvrage. Je précise que je ne connais pas Gibrat et que je ne peux être suspecté de conflit d'intérêt en donnant cet avis.
Ayako
Ayako, c'est l'histoire d'une petite fille sacrifiée pour le bien d'une famille égoïste. Une famille décadente qui passe leur temps à étouffer les affaires gênantes avec leur fric et leur pouvoir. Mais les temps changent et plusieurs de leurs terrains appartiennent maintenant à des fermiers à cause des réformes. On assiste à cette descente de pouvoir en même temps que la vie d'Ayako qui est enfermée à cause d'un secret de famille horrible. C'est un excellent drame que nous livre Osamu Tezuka. Les personnages sont parfois gentils, parfois cruels et sans scrupule. Le meilleur exemple est sans aucun doute Jiro qui aime bien Ayako, mais sera responsable du secret de famille qui enfermera Ayako. Il n'est pas gentil ou méchant, il est humain comme tous les autres personnages. Des humains avec des doutes et des faiblesses, capables du meilleur et du pire. La partie où on voit Ayako grandir dans sa 'cachette' est ma préférée. Malgré qu'elle soit emprisonnée, elle garde l'espoir et ça la rend encore plus attachante.
Gaston Lagaffe
Je suis "tombé" récemment sur un Gaston Lagaffe accessible (car mon classement BD ressemble beaucoup aux archives de chez Dupuis tenues par Gaston !) Et la magie du dessin de Franquin a opéré comme lorsque j'étais enfant ! Quelle rigolade ! Ca marche toujours ! C'est à peu près la seule bd qui me fasse rire aux éclats (avec les bandes de Gotlib) et cela, même si je les ai lues pour la cinquantième fois! Hommage posthume indirect donc pour ce brave Franquin qui m'a apporté tant de bonheur lorsque j'étais enfant. Le plus fort, c'est que ma fille de treize ans se marre autant que moi en lisant les perles du géant de la gaffe. Cela sera t il aussi vrai pour certaines bandes dessinées actuelles qui ont le vent en poupe ? J'en doute un peu...
Dragon Ball
Il n'y a rien à redire, Dragon Ball est le manga parfait, mêlant humour, aventure, technologies nouvelles et monde loufoque, déjanté, tout cela mêlé à une histoire aux bases ultra-solides et complètes, et dans les premiers volumes notamment, une pointe "d'humour-érotisme" tout aussi agréable car loin de tomber dans la vulgarité... "Arigatô gozaimas', Toriyama-san!"
Legend of Lemnear
N'en déplaise aux 5 autres avis, j'ai été littéralement conquis par cette série d'Heroic Fantasy, qui se veut effectivement sans grande envergure au départ... Pourtant, il faut reconnaître que le style de Urushihara-san est réellement splendide, un coup de crayon qui ne sait laisser personne insensible, je pense. Dès lors, il faut préciser que cette histoire est parue en 1990, ce qui "remonte" déjà un peu... bel exemple d'heroic fantasy-ecchi pour moi. Il va sans dire, cependant, que ceux et celles qui s'offusquent de voir un bout de sein ou de fesses émerger d'un vêtement trop court seront certainement plus insensibles à Legend of Lemnear. A contrario, les amateurs d'heroic fantasy plutôt cru, et de jolies filles qui se baladent nues la moitié de l'histoire durant, apprécieront. Le seul reproche que je puisse faire, en fait, est pour la bataille finale, bien trop rapide et brève.
Fog
La sortie du tome 8 me donne l'occasion de poster mon avis sur cette série trop méconnue selon moi. J'ai découvert FOG avec le premier diptyque qui m'a enchanté par le trait particulier de Cyril BONIN, ses couleurs étranges et le récit de Roger SEITER, faussement fantastique mais réellement haletant. De l'avis de beaucoup (et du mien) les tomes 3 et 4 sont un peu en dessous des précédents et la série ne prend vraiment son envol qu'à partir des tomes 5 et 6 ("la mémoire volée" et "remember") qui voient l'arrivée d'un trait plus fin de Cyril BONIN (de plus en plus de hachures et de moins en mois d'aplats) et surtout de plus de couleurs (attention pas trop non plus, on n'est pas chez SOLEIL). Et si la chute de ce troisième diptyque m'a laissé un peu sur ma faim (sans doute en raison de l'explication surnaturelle), c'est avec plaisir que je me suis plongé dans les deux derniers épisodes (à cette date - j'espère bien qu'il y en aura beaucoup d'autres). Première impression : l'histoire est dense. De nombreux personnages font leur apparition. D'autres, déjà croisés dans les albums précédents, prennent de l'épaisseur. Roger SEITER est bien dans son sujet : un polar pur et dur dans l'Angleterre victorienne. Le suspens est là. Le tome 8 "Au nom du fils" arrive en apothéose, mettant fin magistralement à l'intrigue, tout en laissant quelques questions sur la suite. C'est pour moi le meilleur album de la série... la couverture justifie à elle seule son achat ! Quant au dessin de BONIN, il est vraiment original et colle parfaitement à l'ambiance. A noter, le rouge vif du cycle précédent a disparu et l'on retrouve les ambiances grises et ocres des premiers tomes. Moi, j'adore. Mention particulière aux cadrages (Allez faire un tour sur le site du dessinateur, vous comprendrez mieux son travail sur ce point...). Vous l'aurez compris, j'attends vivement le prochain album. Messieurs les auteurs, ne me faites pas trop languir...
Le Combat ordinaire
Au début, le dessin de cette bd ne m'attirait pas. On me l'a un jour prêtée et après avoir lu le premier tome, j'ai de suite acheté les autres. Si le dessin n'est pas la qualité première de cette bd, Manu Larcenet est un maître quant à l'art de faire passer des émotions! En effet, j'ai rarement ressenti des sensations pareilles en lisant une Bande Dessinée. A certains moments, on aurait même presque la larme à l'oeil ! J'ai eu des sensations similaires en lisant Alim le tanneur (surtout dans le premier tome si je me souviens bien). Ces émotions m'ont donc poussé à mettre à cette BD la note maximale sans hésitation! Merci Maître Larcenet. Rem: J'ai davantage aimé le "Combat Ordinaire" que Le Retour à la terre.
Le Grand Pouvoir du Chninkel
Probablement ma Bd préférée. Le duo Rosinski et Van Hamme à son meilleur niveau. Dessins très beaux et scénario incroyable. Jamais une fin de bd ne m'a autant plu. Possédant au départ le volume unique en noir et blanc, j'ai poussé le bouchon jusqu'à acheter les trois tomes en couleurs à leur sortie ! Que dire de plus... Que les malheureux qui ne connaissent pas encore ce chef-d'oeuvre ou qui hésitent filent à leur magasin le chercher ! C'est un ordre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Peter Pan
Du tout grand art. Je suis un inconditionnel de Loisel. Et oui, même Magasin général, qui ne fait pas l'unanimité, m'a beaucoup plu. Pour en revenir à "Peter Pan", il s'agit d'une version "trash" du conte que tout le monde connaît. Les dessins sont particuliers et ont même parfois un petit côté glauque, ce qui fait que je comprends tout à fait qu'on n'aime pas Loisel. Mais moi j'adore !!! 5/5 et c'est amplement mérité.
De Cape et de Crocs
Que rajouter de plus que ce que contiennent déjà les autres critiques ? C'est beau, ultra travaillé, aussi bien au niveau du dessin que du scénario. Un vrai voyage où tous nos repères sont déstabilisés, où mots et couleurs sont utilisés avec maîtrise et finesse !!! A posséder absolument. Je ne peux pas imaginer qu'un collectionneur passe à côté de cela. Félicitations Maîtres Ayroles et Masbou !