Cette série est très prenante. J'ai adoré l'originalité du monde "cyberpunk"! Mais ce qui m'a le plus acroché, c'est l'évolution de la mentalité de l'héroïne! Les dessins sont supers (il faut aimer le genre manga & DBZ).
Si vous appréciez les mondes cybers et science-fiction, n'hésitez plus, ce manga s'adresse à vous!
Alors là, je suis sur le cul tellement j'ai aimé.
Il est évident que cette série est avant tout destinée aux enfants, mais moi aussi j'ai aimé !
Déjà, on ne peut que constater avec plaisir que le dessin est nickel et les couleurs (à l'ordi, oui, et alors ?) le mettent bien en valeur. Le tout est très dynamique, j'adore ça.
Et les histoires, mais quelle bonheur... Bien sûr, je ne me suis pas roulé à terre avec ces petits gags, mais j'aime beaucoup l'esprit de cette bd, le côté décalé et le bon esprit (souvent cynique) m'éclatent pas mal.
J'ai acheté et lu les 3 albums avec grand plaisir.
Avec "Djinn", Jean Dufaux nous invite à découvrir la vie des harems dans le contexte géo-politique tendu du début du 20ème siècle. On peut remarquer que le récit, même si c'est une fiction, est très bien documenté et ne sert pas de prétexte douteux pour justifier l'ambiance de l'histoire, mélangeant érotisme et exotisme. Jean Dufaux nous propose de suivre en parallèle le destin de deux femmes au caractère bien trempé, que pourtant près d'un siècle sépare. Dans "les 30 clochettes", ces chassés-croisés entre les deux époques sont plus intimes, rendant le destin de Kim Nelson et celui de Jade encore plus fusionnels. Scénario intéressant à suivre donc, mais qui ne serait rien sans le trait de Miralles qui retranscrit admirablement bien les ambiances chaudes du récit avec une finesse et une sensibilité que seules une femme peut exprimer.
Séduit par le récit, charmé par le dessin... laissez-vous aussi tenter ! ;)
Un très bon western avec une bonne intrigue. J'ai été ravi de lire cette bd que j'ai refermée avec un grand sourire aux lèvres. Toutes les situations classiques d'un western sont là (duel, braquage de banque, chercheur d'or...) mais on est loin de la noirceur de "Bouncer" par exemple (rassurez-vous ce n'est quand même pas une histoire à l'eau de rose et les 2 femmes héroïnes de l'histoire ont du caractère !).
"Travis"... Vraiment une bonne BD, des personnages vraiment bien pensés.
Le dessin est très intéressant, notamment la différence entre la façon de dessiner les hommes et les femmes. Les décors sont cools, le coloriage sympa.
Les personnages, et surtout Travis lui-même, sont vraiment bien pensés, on sent qu'ils ont un vécu, et Travis est un être qui semble cacher plus que ce que la BD ne nous montre, on a vraiment l'impression de tomber dans un univers rodé, et pas un univers carton pâte...
On voyage beaucoup dans la série en rencontrant ce qu'il faut de personnages pour se faire une bonne idée du vécu de chacun tout en n'étant pas noyé d'infos et ouvrant certaines portes qui seront certainement expliquées dans une nouvelle série.
La série se termine sur une note autant sympa qu'inattendue, qui ne fait que rendre impatient de voir une nouvelle série "Travis" voir le jour.
On passe un très bon moment à lire cette série, qui à mon avis compte parmi les plus sympas du genre.
Du même auteur, "Carmen Mc callum".... à suivre également.
Pour ma part j'ai le coffret, ce qui fait un très bel ensemble, l'épisode 5 se passe entre autre à Paris, et c'est sympa de voir la tour Eiffel sous cet angle, lol !!!
J'ai découvert cette BD très jeune, trop jeune penseront certains, mais n'empêche que même gamin, je suis tombé amoureux de cette petite merveille qu'est "Quelques jours d'été". C'est simple, c'est beau, c'est émouvant, envoûtant, même. Grandiose!
C'est d'ailleurs resté ma BD préférée pendant des mois et des mois.
Mais aujourd'hui, si je trouve le concept, le texte et le dessin toujours aussi géniaux, je trouve que tout ceci n'est tout de même pas exceptionnel au point de considérer cette oeuvre comme "culte".
Mais c'est à mon goût la plus belle BD que nous ait offert Chabouté.
Fabuleux!
Turf nous offre là un concentré de son talent : des dessins grandioses, un scénario tordu et prenant à souhait et des délires... ben délirants (personnellement les schloumpfs me font tordre de rire).
J'ai lu cette bd car j'avais lu "Gribouillis", et on m'avait dit que la nef était mieux. Les deux ne jouent pas dans la même catégorie, mais il est clair que si "Gribouillis" est une bd sympathique, la nef, elle, est carrément incontournable.
Laissez vous porter par l'imagination de cet auteur fou...
Une très bonne surprise que cet album d'un auteur canadien assez peu connu !
Déjà le dessin me plaît énormément, rond, mignon, caricatural à souhait. Le découpage également est très plaisant : un gaufrier de 12 (toutes petites) cases aux bords faussement irréguliers, intelligemment utilisé, comme dans ces plans d'ensemble où les 12 cases montrent chacune un morceau de la même scène, ou encore une image de personnage éclatée en 12 cases.
Ensuite j'adore les épilogues. Car la première histoire paraît tout d'abord assez banale, et on en vient même à deviner la chute... Oui, mais la première chute. :) L'épilogue prend tout son sens pour la troisième histoire, qui montre une bouteille de lait... pendant huit pages... eh oui. Mais c'est tellement absurde et en même temps si bien ficelé (il faut faire très attention aux détails pour comprendre) que j'ai adoré.
Quant à la deuxième, une seule chose à dire : c'est tellement vrai ! On rit certes un peu jaune, mais finalement de très bon coeur.
Alors voilà, moi je suis conquis : c'est adorable, c'est drôle, c'est noir, j'aime. :)
C'est avec beaucoup de retard que j'ai découvert cette bd. Ce qui est pour moi, une grosse lacune étant donné que je suis un amateur de s-f. Mais bon, voila j'ai réparé mon erreur et c'est avec joie que je me suis donc plongé dans cet univers gore et fantastique.
La colonisation spatiale est un sujet fort prisé chez les scénaristes, et Thierry Cailleteau ne faillit pas à la règle en developpant, ici, une histoire à mi-chemin entre "Alien" et "La nuit des mort-vivants". Il nous concocte un récit haletant qui fait place avant tout à l'action, au suspense et à l'humour. Tous ces ingrédients contribuent à donner un ton fluide et agréable à cette série.
Conclusion : on "dévore" les deux tomes, page après page.
Plusieurs éléments viennent se greffer dans la structure du scénario. Cela contribue à donner de l'intensité au récit et à titiller notre curiosité.
A travers "Cryozone", on nous démontre, une fois de plus, que les multinationales ont le pouvoir de détruire ou de développer des projets, mais uniquement pour leurs interêts et bien sûr sans se soucier des pertes humaines que cela pourrait occasionner.
Le message, même s'il n'est pas nouveau, passe très bien et la conclusion, bien que prévisible, reste intéressante.
Le dessin de Denis Bajram n'est peut-être pas aussi aboutit que dans UW1 mais il s'y dégage déjà beaucoup de maturité. Entre autres, j'aime beaucoup quand il dessine des vaisseaux spatiaux. Sa précision du détail y est superbe. J'ai remarqué que le personnage de la page 3 du tome 1 (Chavez) ressemble étrangement à Mario , un des héros de "Universal War One". Coïncidence, je suppose !
Les couleurs de Florence Breton et Nadine Thomas sont parfois très vives mais dans l'ensemble, elles restent dans l'esprit du récit.
"Cryozone" est donc une série à lire sans attendre, et si comme moi vous hésitez à l'achat de cette bd, et bien je vous rassure c'est franchement une bonne histoire !
Ce manga est superbe. D'abord à cause de Saya, l'héroïne, vampire aux allures de fillette, redoutable combattante, esclave abusée... un personnage sombre et séduisant. Ensuite, le scénario (assez condensé, one-shot oblige) servit par une narration surprenante et efficace... On est loin du shojo niais et mielleux.
Sinon, pour faire un résumé vulgaire d'un avis sur le dessin, on pourrait trouver les adjectifs du genre : élégant, fin, dynamique. Moi je préfère dire : génial.
Un manga à découvrir d'urgence pour les amateurs de sang, de sabre, de minces vampires vicieuses, au combat comme ailleurs.
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Gunnm
Cette série est très prenante. J'ai adoré l'originalité du monde "cyberpunk"! Mais ce qui m'a le plus acroché, c'est l'évolution de la mentalité de l'héroïne! Les dessins sont supers (il faut aimer le genre manga & DBZ). Si vous appréciez les mondes cybers et science-fiction, n'hésitez plus, ce manga s'adresse à vous!
Raghnarok
Alors là, je suis sur le cul tellement j'ai aimé. Il est évident que cette série est avant tout destinée aux enfants, mais moi aussi j'ai aimé ! Déjà, on ne peut que constater avec plaisir que le dessin est nickel et les couleurs (à l'ordi, oui, et alors ?) le mettent bien en valeur. Le tout est très dynamique, j'adore ça. Et les histoires, mais quelle bonheur... Bien sûr, je ne me suis pas roulé à terre avec ces petits gags, mais j'aime beaucoup l'esprit de cette bd, le côté décalé et le bon esprit (souvent cynique) m'éclatent pas mal. J'ai acheté et lu les 3 albums avec grand plaisir.
Djinn
Avec "Djinn", Jean Dufaux nous invite à découvrir la vie des harems dans le contexte géo-politique tendu du début du 20ème siècle. On peut remarquer que le récit, même si c'est une fiction, est très bien documenté et ne sert pas de prétexte douteux pour justifier l'ambiance de l'histoire, mélangeant érotisme et exotisme. Jean Dufaux nous propose de suivre en parallèle le destin de deux femmes au caractère bien trempé, que pourtant près d'un siècle sépare. Dans "les 30 clochettes", ces chassés-croisés entre les deux époques sont plus intimes, rendant le destin de Kim Nelson et celui de Jade encore plus fusionnels. Scénario intéressant à suivre donc, mais qui ne serait rien sans le trait de Miralles qui retranscrit admirablement bien les ambiances chaudes du récit avec une finesse et une sensibilité que seules une femme peut exprimer. Séduit par le récit, charmé par le dessin... laissez-vous aussi tenter ! ;)
Trio Grande - Adios Palomita
Un très bon western avec une bonne intrigue. J'ai été ravi de lire cette bd que j'ai refermée avec un grand sourire aux lèvres. Toutes les situations classiques d'un western sont là (duel, braquage de banque, chercheur d'or...) mais on est loin de la noirceur de "Bouncer" par exemple (rassurez-vous ce n'est quand même pas une histoire à l'eau de rose et les 2 femmes héroïnes de l'histoire ont du caractère !).
Travis
"Travis"... Vraiment une bonne BD, des personnages vraiment bien pensés. Le dessin est très intéressant, notamment la différence entre la façon de dessiner les hommes et les femmes. Les décors sont cools, le coloriage sympa. Les personnages, et surtout Travis lui-même, sont vraiment bien pensés, on sent qu'ils ont un vécu, et Travis est un être qui semble cacher plus que ce que la BD ne nous montre, on a vraiment l'impression de tomber dans un univers rodé, et pas un univers carton pâte... On voyage beaucoup dans la série en rencontrant ce qu'il faut de personnages pour se faire une bonne idée du vécu de chacun tout en n'étant pas noyé d'infos et ouvrant certaines portes qui seront certainement expliquées dans une nouvelle série. La série se termine sur une note autant sympa qu'inattendue, qui ne fait que rendre impatient de voir une nouvelle série "Travis" voir le jour. On passe un très bon moment à lire cette série, qui à mon avis compte parmi les plus sympas du genre. Du même auteur, "Carmen Mc callum".... à suivre également. Pour ma part j'ai le coffret, ce qui fait un très bel ensemble, l'épisode 5 se passe entre autre à Paris, et c'est sympa de voir la tour Eiffel sous cet angle, lol !!!
Quelques Jours d'été
J'ai découvert cette BD très jeune, trop jeune penseront certains, mais n'empêche que même gamin, je suis tombé amoureux de cette petite merveille qu'est "Quelques jours d'été". C'est simple, c'est beau, c'est émouvant, envoûtant, même. Grandiose! C'est d'ailleurs resté ma BD préférée pendant des mois et des mois. Mais aujourd'hui, si je trouve le concept, le texte et le dessin toujours aussi géniaux, je trouve que tout ceci n'est tout de même pas exceptionnel au point de considérer cette oeuvre comme "culte". Mais c'est à mon goût la plus belle BD que nous ait offert Chabouté. Fabuleux!
La Nef des fous
Turf nous offre là un concentré de son talent : des dessins grandioses, un scénario tordu et prenant à souhait et des délires... ben délirants (personnellement les schloumpfs me font tordre de rire). J'ai lu cette bd car j'avais lu "Gribouillis", et on m'avait dit que la nef était mieux. Les deux ne jouent pas dans la même catégorie, mais il est clair que si "Gribouillis" est une bd sympathique, la nef, elle, est carrément incontournable. Laissez vous porter par l'imagination de cet auteur fou...
Villégiature
Une très bonne surprise que cet album d'un auteur canadien assez peu connu ! Déjà le dessin me plaît énormément, rond, mignon, caricatural à souhait. Le découpage également est très plaisant : un gaufrier de 12 (toutes petites) cases aux bords faussement irréguliers, intelligemment utilisé, comme dans ces plans d'ensemble où les 12 cases montrent chacune un morceau de la même scène, ou encore une image de personnage éclatée en 12 cases. Ensuite j'adore les épilogues. Car la première histoire paraît tout d'abord assez banale, et on en vient même à deviner la chute... Oui, mais la première chute. :) L'épilogue prend tout son sens pour la troisième histoire, qui montre une bouteille de lait... pendant huit pages... eh oui. Mais c'est tellement absurde et en même temps si bien ficelé (il faut faire très attention aux détails pour comprendre) que j'ai adoré. Quant à la deuxième, une seule chose à dire : c'est tellement vrai ! On rit certes un peu jaune, mais finalement de très bon coeur. Alors voilà, moi je suis conquis : c'est adorable, c'est drôle, c'est noir, j'aime. :)
Cryozone
C'est avec beaucoup de retard que j'ai découvert cette bd. Ce qui est pour moi, une grosse lacune étant donné que je suis un amateur de s-f. Mais bon, voila j'ai réparé mon erreur et c'est avec joie que je me suis donc plongé dans cet univers gore et fantastique. La colonisation spatiale est un sujet fort prisé chez les scénaristes, et Thierry Cailleteau ne faillit pas à la règle en developpant, ici, une histoire à mi-chemin entre "Alien" et "La nuit des mort-vivants". Il nous concocte un récit haletant qui fait place avant tout à l'action, au suspense et à l'humour. Tous ces ingrédients contribuent à donner un ton fluide et agréable à cette série. Conclusion : on "dévore" les deux tomes, page après page. Plusieurs éléments viennent se greffer dans la structure du scénario. Cela contribue à donner de l'intensité au récit et à titiller notre curiosité. A travers "Cryozone", on nous démontre, une fois de plus, que les multinationales ont le pouvoir de détruire ou de développer des projets, mais uniquement pour leurs interêts et bien sûr sans se soucier des pertes humaines que cela pourrait occasionner. Le message, même s'il n'est pas nouveau, passe très bien et la conclusion, bien que prévisible, reste intéressante. Le dessin de Denis Bajram n'est peut-être pas aussi aboutit que dans UW1 mais il s'y dégage déjà beaucoup de maturité. Entre autres, j'aime beaucoup quand il dessine des vaisseaux spatiaux. Sa précision du détail y est superbe. J'ai remarqué que le personnage de la page 3 du tome 1 (Chavez) ressemble étrangement à Mario , un des héros de "Universal War One". Coïncidence, je suppose ! Les couleurs de Florence Breton et Nadine Thomas sont parfois très vives mais dans l'ensemble, elles restent dans l'esprit du récit. "Cryozone" est donc une série à lire sans attendre, et si comme moi vous hésitez à l'achat de cette bd, et bien je vous rassure c'est franchement une bonne histoire !
Blood - The Last Vampire
Ce manga est superbe. D'abord à cause de Saya, l'héroïne, vampire aux allures de fillette, redoutable combattante, esclave abusée... un personnage sombre et séduisant. Ensuite, le scénario (assez condensé, one-shot oblige) servit par une narration surprenante et efficace... On est loin du shojo niais et mielleux. Sinon, pour faire un résumé vulgaire d'un avis sur le dessin, on pourrait trouver les adjectifs du genre : élégant, fin, dynamique. Moi je préfère dire : génial. Un manga à découvrir d'urgence pour les amateurs de sang, de sabre, de minces vampires vicieuses, au combat comme ailleurs.