N’ayant pas lu le roman de R.L. Stevenson, je ne saurais dire s’il est bien adapté, mais je trouve néanmoins le scénario passionnant, très littéraire, restituant bien la dimension hautement symbolique de cette histoire, de ce combat éternel entre le bien et le mal, au sein de l’âme humaine, et sa transcription graphique constitue, de ce fait, un défi particulièrement difficile à relever. Mattotti a cependant, à mon sens, parfaitement réussi. Le traitement de la transformation de Jekyll en Hyde, avec la déformation du corps que cela entraîne, celui du mouvement, l’utilisation des pastels, chaleureuse et sensuelle, la rondeur du trait alliée à celle de la couleur, tout concourt à faire de chaque planche, une oeuvre d’art. Un bien bel objet, et, une fois n’est pas coutume, un album de Mattotti avec un vrai scénario.
Au début, j'aimais bien. On retrouvait le méta-baron déjà présent dans une autre oeuvre de Jodo, l'Incal. D'autant plus que le dessin de Gimenez est magistral.
Mais à la longue, cette bd m'a agacé ; voir les méta-barons successifs victimes de terribles mutilations a commencé à m'ennuyer.
On tombe dans les mêmes thèmes jodorowskiens et je ne trouve pas toujours une grande cohérence dans les histoires.
Un scénario efficace digne des plus grands blockbusters américains. Cette plongée sous-marine dans un monde angoissant est assez intéressante. Le mal rôde partout dans ses profondeurs. L'atmosphère est sombre, il y a un vrai suspense qui se distille sur les trois albums.
Clin d'oeil amusant, le dessinateur a caricaturé Johnny Depp et Bruce Willis, pour en faire ses héros.
Au final, un bon triptyque, qui n'est, hélas, pas sans rappeler certains films catastrophes américains. Mais, Dorrison a du savoir-faire et cela se sent à chaque page ; il sait faire progresser l'action. Autre intérêt, ce n'est pas une série interminable (il n'y a que trois tomes).
Une lecture plutôt agréable, malgré une intrigue qui pourrait sembler assez banale. Au final, le scénariste ne s'en tire pas trop mal.
Pour les dessins, c'est assez étrange : de très bonnes planches côtoient de moins bonnes, voire des médiocres par moment. Comme si elles n'avaient pas toutes été faites avec la même attention.
C'est avec le plaisir de la nostalgie que j'ai lu l'album "Bougre de Gong" édité en 2003 par la petite maison d'édition Daric. J'avais bien entendu, avant cela, longuement lu les aventures de Dicentim dans Pif Gadget mais aussi dans son plus ancien album cartonné, La clef d'or d'Inator, qui doit toujours être rangé chez mes grands-parents.
Dicentim est une série à laquelle je repense toujours avec le sourire. Oh, ce n'est pas une merveille du monde de la BD, mais c'est un bon souvenir de jeunesse et, étant adulte, ce sont nombre de sourires à la lecture.
Le dessin de Jacques Kamb n'a rien de vraiment fameux, tant dans le trait franco-belge gros-nez que dans les couleurs désuètes et disharmonieuses. Mais il est efficace, suffisamment expressif, et franchement, étant gamin, je m'en fichais complètement.
Les histoires sont assez simples, usant le plus souvent d'un humour clownesque sans grande finesse mais assez drôle néanmoins. Si je devais résumer le type de scénario de Dicentim, ce serait un mélange entre le vaudeville médiéval et l'aventure clownesque.
Et même moi que les petits héros qui gagnent toujours exaspèrent (quand est-ce que Titi va se faire enfin bouffer par Gros Minet ??), j'avoue avoir assez d'affection pour le petit Dicentim et rire des tourments du pauvre "méchant Bougredane".
Bon, d'accord, l'aspect visuel (et aussi un peu les récits) de cette BD ont pas mal vieilli et ce n'est pas sûr qu'ils plairaient à un jeune lectorat moderne, mais qui sait ?
Une série qui sans être très originale est plutôt de bonne facture. Certes, cette série ressemble beaucoup à Lanfeust et ses clones made in Soleil. Pourtant pour une fois, les auteurs s'en démarquent un peu et livrent un scénario assez intéressant et plutôt plus complexe que d'habitude. On est dans le genre du Space Opera et les auteurs nous livrent quelque chose d'honorable, sans tomber dans l'humour lourd version Soleil.
A découvrir pour ceux qui ne connaîtraient pas.
Ce conte nous entraîne dans une histoire de pirates un peu déjantés : leur bateau vole au dessus de Paris, ils enlèvent leurs têtes. C'est assez original et ça se laisse plutôt bien lire.
C'est une BD que j'ai simplement trouvée "pas mal", sans plus. Le dessin ne m'a pas enthousiasmé, un trait un peu trop épais, trop gras à mon goût. Pareil pour la coloration, je n'ai pas trop accroché. C'est pour ça que je n'en conseille pas l'achat, je ne crois pas que j'aurais envie de la relire.
Katsura fait dans le shojô original, après les filles virtuelles de Vidéo Girl Aï et "Vidéo girl Len", voici la fille du futur venue modifier l'ADN du héros. Bon avec un synopsis de ce genre on ne peut pas s'attendre à une série sérieuse... Et c'est le cas, l'humour est bien présent et l'auteur ne se prend visiblement pas au sérieux dans cette série. Les graphismes sont très mignons dans la veine de Vidéo Girl Aï et "I''s", hormis le personnage principal inspiré de Dragon Ball... Décidément pas très sérieux.
En fait cette oeuvre est un mix de shôjo pur Katsura, de Dragon Ball et de... "La cité de la peur" pour l'humour par moment et pour le côté "hypeeer content". Bref c'est original et drôle mais franchement les combats à la DB dans un shôjo c'est quand même difficile à intégrer, cela semble un peu surréaliste par moment et l'histoire s'en trouve affectée et parait souvent "bancale". Heureusement, la série s'arrête dès le 5ième tome, ce qui évite de tomber dans un grand n'importe quoi qui deviendrait vite lassant.
Cette oeuvre à également été adaptée en DVD, où l'on retrouve moins de combats et plus de place pour les sentiments mais moins de rythme et une intrigue allégée. C'est affaire de goût mais moi, j'ai tout de même préféré les mangas.
L'impression finale est assez rafraîchissante, une oeuvre atypique mais sympathique.
On pouvait s'attendre à une simple opération commerciale, profitant de la bonne image d'une vieille série française ou surfant sur un hypothétique succès du film. Or, ce n'est pas le cas, cette bande dessinée est d'honnête facture. Le duo Dorrison et Nury a déjà fait ses preuves sur d'autres séries (Je suis légion, W.E.S.T) et nous livre ici un scénario efficace. Delitte a un dessin qui convient bien à ce genre d'histoires, même si les personnages se ressemblent un peu trop.
A découvrir, une bonne entrée en matière au film.
C'est vrai que cette BD qui ne paie pas de mine à première vue n'est pas si mal que ça. J'avais un à-priori assez négatif car je trouvais après l'avoir feuilletée que le dessin et l'histoire reprenaient pas mal de poncifs des ados branchés jeux de rôles, internet et mmorpg en y ajoutant au passage des éléments de décors proches de l'actualité des médias : conflit palestinien, amérindiens indépendantistes, etc.
Le dessin est pas mal, souffrant juste de quelques défauts un peu amateurs. Le trait me rappelle celui de Trantkat (HK) avec des personnages "cools", des mimiques mangas, des technologies futuristes. L'aspect amateur ressort dans l'encrage qui n'est pas fantastique et les décors inégaux, parfois un peu simplistes (les vues d'ensemble de villes composées de plein de briques entassées, bof bof). Mais dans l'ensemble, ce n'est pas mal.
Quant au scénario, comme dit plus haut, il mélange pas mal de thèmes typiques d'ados accrocs au net : monde virtuel heroic-fantasy, cyber-corporation, adolescents génies de l'informatique, robots de combats et combats à l'épée ou au flingue au choix, etc. Mais il est plutôt bien construit et assez prenant. Les persos sont sympas, même si la romance entre la petite indienne et le gosse-beau français fait franchement naïve et rapide, de même que la grosse jalousie du bon copain en fin d'album.
Je ne sais pas si ce premier tome aura bien une suite un jour, mais si oui, je n'en serais pas fâché.
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Docteur Jekyll & Mister Hyde
N’ayant pas lu le roman de R.L. Stevenson, je ne saurais dire s’il est bien adapté, mais je trouve néanmoins le scénario passionnant, très littéraire, restituant bien la dimension hautement symbolique de cette histoire, de ce combat éternel entre le bien et le mal, au sein de l’âme humaine, et sa transcription graphique constitue, de ce fait, un défi particulièrement difficile à relever. Mattotti a cependant, à mon sens, parfaitement réussi. Le traitement de la transformation de Jekyll en Hyde, avec la déformation du corps que cela entraîne, celui du mouvement, l’utilisation des pastels, chaleureuse et sensuelle, la rondeur du trait alliée à celle de la couleur, tout concourt à faire de chaque planche, une oeuvre d’art. Un bien bel objet, et, une fois n’est pas coutume, un album de Mattotti avec un vrai scénario.
La Caste des Méta-barons
Au début, j'aimais bien. On retrouvait le méta-baron déjà présent dans une autre oeuvre de Jodo, l'Incal. D'autant plus que le dessin de Gimenez est magistral. Mais à la longue, cette bd m'a agacé ; voir les méta-barons successifs victimes de terribles mutilations a commencé à m'ennuyer. On tombe dans les mêmes thèmes jodorowskiens et je ne trouve pas toujours une grande cohérence dans les histoires.
Sanctuaire
Un scénario efficace digne des plus grands blockbusters américains. Cette plongée sous-marine dans un monde angoissant est assez intéressante. Le mal rôde partout dans ses profondeurs. L'atmosphère est sombre, il y a un vrai suspense qui se distille sur les trois albums. Clin d'oeil amusant, le dessinateur a caricaturé Johnny Depp et Bruce Willis, pour en faire ses héros. Au final, un bon triptyque, qui n'est, hélas, pas sans rappeler certains films catastrophes américains. Mais, Dorrison a du savoir-faire et cela se sent à chaque page ; il sait faire progresser l'action. Autre intérêt, ce n'est pas une série interminable (il n'y a que trois tomes).
Les Caméléons
Une lecture plutôt agréable, malgré une intrigue qui pourrait sembler assez banale. Au final, le scénariste ne s'en tire pas trop mal. Pour les dessins, c'est assez étrange : de très bonnes planches côtoient de moins bonnes, voire des médiocres par moment. Comme si elles n'avaient pas toutes été faites avec la même attention.
Dicentim le petit franc
C'est avec le plaisir de la nostalgie que j'ai lu l'album "Bougre de Gong" édité en 2003 par la petite maison d'édition Daric. J'avais bien entendu, avant cela, longuement lu les aventures de Dicentim dans Pif Gadget mais aussi dans son plus ancien album cartonné, La clef d'or d'Inator, qui doit toujours être rangé chez mes grands-parents. Dicentim est une série à laquelle je repense toujours avec le sourire. Oh, ce n'est pas une merveille du monde de la BD, mais c'est un bon souvenir de jeunesse et, étant adulte, ce sont nombre de sourires à la lecture. Le dessin de Jacques Kamb n'a rien de vraiment fameux, tant dans le trait franco-belge gros-nez que dans les couleurs désuètes et disharmonieuses. Mais il est efficace, suffisamment expressif, et franchement, étant gamin, je m'en fichais complètement. Les histoires sont assez simples, usant le plus souvent d'un humour clownesque sans grande finesse mais assez drôle néanmoins. Si je devais résumer le type de scénario de Dicentim, ce serait un mélange entre le vaudeville médiéval et l'aventure clownesque. Et même moi que les petits héros qui gagnent toujours exaspèrent (quand est-ce que Titi va se faire enfin bouffer par Gros Minet ??), j'avoue avoir assez d'affection pour le petit Dicentim et rire des tourments du pauvre "méchant Bougredane". Bon, d'accord, l'aspect visuel (et aussi un peu les récits) de cette BD ont pas mal vieilli et ce n'est pas sûr qu'ils plairaient à un jeune lectorat moderne, mais qui sait ?
Slhoka
Une série qui sans être très originale est plutôt de bonne facture. Certes, cette série ressemble beaucoup à Lanfeust et ses clones made in Soleil. Pourtant pour une fois, les auteurs s'en démarquent un peu et livrent un scénario assez intéressant et plutôt plus complexe que d'habitude. On est dans le genre du Space Opera et les auteurs nous livrent quelque chose d'honorable, sans tomber dans l'humour lourd version Soleil. A découvrir pour ceux qui ne connaîtraient pas.
Le Capitaine Ecarlate
Ce conte nous entraîne dans une histoire de pirates un peu déjantés : leur bateau vole au dessus de Paris, ils enlèvent leurs têtes. C'est assez original et ça se laisse plutôt bien lire. C'est une BD que j'ai simplement trouvée "pas mal", sans plus. Le dessin ne m'a pas enthousiasmé, un trait un peu trop épais, trop gras à mon goût. Pareil pour la coloration, je n'ai pas trop accroché. C'est pour ça que je n'en conseille pas l'achat, je ne crois pas que j'aurais envie de la relire.
DNA²
Katsura fait dans le shojô original, après les filles virtuelles de Vidéo Girl Aï et "Vidéo girl Len", voici la fille du futur venue modifier l'ADN du héros. Bon avec un synopsis de ce genre on ne peut pas s'attendre à une série sérieuse... Et c'est le cas, l'humour est bien présent et l'auteur ne se prend visiblement pas au sérieux dans cette série. Les graphismes sont très mignons dans la veine de Vidéo Girl Aï et "I''s", hormis le personnage principal inspiré de Dragon Ball... Décidément pas très sérieux. En fait cette oeuvre est un mix de shôjo pur Katsura, de Dragon Ball et de... "La cité de la peur" pour l'humour par moment et pour le côté "hypeeer content". Bref c'est original et drôle mais franchement les combats à la DB dans un shôjo c'est quand même difficile à intégrer, cela semble un peu surréaliste par moment et l'histoire s'en trouve affectée et parait souvent "bancale". Heureusement, la série s'arrête dès le 5ième tome, ce qui évite de tomber dans un grand n'importe quoi qui deviendrait vite lassant. Cette oeuvre à également été adaptée en DVD, où l'on retrouve moins de combats et plus de place pour les sentiments mais moins de rythme et une intrigue allégée. C'est affaire de goût mais moi, j'ai tout de même préféré les mangas. L'impression finale est assez rafraîchissante, une oeuvre atypique mais sympathique.
Une Aventure des Brigades du Tigre
On pouvait s'attendre à une simple opération commerciale, profitant de la bonne image d'une vieille série française ou surfant sur un hypothétique succès du film. Or, ce n'est pas le cas, cette bande dessinée est d'honnête facture. Le duo Dorrison et Nury a déjà fait ses preuves sur d'autres séries (Je suis légion, W.E.S.T) et nous livre ici un scénario efficace. Delitte a un dessin qui convient bien à ce genre d'histoires, même si les personnages se ressemblent un peu trop. A découvrir, une bonne entrée en matière au film.
Fléau.world
C'est vrai que cette BD qui ne paie pas de mine à première vue n'est pas si mal que ça. J'avais un à-priori assez négatif car je trouvais après l'avoir feuilletée que le dessin et l'histoire reprenaient pas mal de poncifs des ados branchés jeux de rôles, internet et mmorpg en y ajoutant au passage des éléments de décors proches de l'actualité des médias : conflit palestinien, amérindiens indépendantistes, etc. Le dessin est pas mal, souffrant juste de quelques défauts un peu amateurs. Le trait me rappelle celui de Trantkat (HK) avec des personnages "cools", des mimiques mangas, des technologies futuristes. L'aspect amateur ressort dans l'encrage qui n'est pas fantastique et les décors inégaux, parfois un peu simplistes (les vues d'ensemble de villes composées de plein de briques entassées, bof bof). Mais dans l'ensemble, ce n'est pas mal. Quant au scénario, comme dit plus haut, il mélange pas mal de thèmes typiques d'ados accrocs au net : monde virtuel heroic-fantasy, cyber-corporation, adolescents génies de l'informatique, robots de combats et combats à l'épée ou au flingue au choix, etc. Mais il est plutôt bien construit et assez prenant. Les persos sont sympas, même si la romance entre la petite indienne et le gosse-beau français fait franchement naïve et rapide, de même que la grosse jalousie du bon copain en fin d'album. Je ne sais pas si ce premier tome aura bien une suite un jour, mais si oui, je n'en serais pas fâché.