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Par iannick
Note: 3/5
Couverture de la série La Compagnie des Glaces
La Compagnie des Glaces

« La compagnie des glaces » est une série qui a malheureusement connu un démarrage difficile sur le plan graphique et au niveau du scénario. C’est dommage car, à partir du quatrième tome, les albums deviendront franchement très accrocheurs et plus fidèles à l’esprit du roman avec la mise en place de paysages grandioses et une histoire qui nous prend par les tripes ! Je le dis franchement « La compagnie des glaces » est une série que j’aime énormément. Les auteurs et l’éditeur ont pris l’initiative de redessiner les deux premiers tomes dès que ce premier cycle nommé « Jdrien » sera terminé. Je pense que cela aura un effet très bénéfique à la série car les derniers albums sont très réussis à condition que le scénariste arrive à décondenser l’histoire.. ; c’est tout le mal que je lui souhaite ! Voici mes avis pour les tomes suivants : Tome 1 & 2 : Lien Rag et Floa Sadon N’ayant jamais lu les romans de «la compagnie des glaces » et le connaissant de renom, c’est donc avec l’envie de découvrir cette série que je l’ai achetée. Je ne le regrette aucunement ! Le dessin, au premier abord est -il est vrai- médiocre surtout dans le premier tome : Les expressions des personnages sont parfois inadaptées, trop figées par rapport à la situation. Dans certaines cases, les personnages où les décors sont trop simplistes. Les vues d’ensemble qui devraient être grandioses, spectaculaires sont gâchées par un choix du cadrage peu recherché, on a l’impression que le studio Jotim ne s’est pas cassé la tête dans les perspectives. La mise en page se révèle par moments laborieuse, il faut de temps en temps revenir en arrière pour bien saisir le sens de lecture. Mais pourtant, j’aime bien ce dessin parce qu’il est personnel et desservi par une mise en couleur de bonne qualité et qui se révèle bien adaptée à l’ambiance de la série. Le deuxième tome apparaît mieux dessiné : la mise en page est moins chaotique, les expressions des personnages sont mieux rendues. Apparemment, le studio Jotim semble avoir trouvé le style et progresser sur tous les plans. Ce qui laisse espérer un troisième tome de bonne qualité graphique. L’histoire démarre sur les chapeaux de roue, quelques pages pour mettre en place l’univers de « la compagnie des glaces » et on passe rapidement au sujet principal de ce cycle (nommé « Adrien», 8 tomes le composeront) : Qui sont les « roux » ? D’où viennent-ils ? Pourquoi les compagnies interdisent aux scientifiques de consulter « les roux » ? Le froid, le mépris des habitants envers « les roux », l’individualisme, la main-mise de la haute-bourgeoisie sur les populations sont bien retranscrits sur la bédé. A part Floa Sadon, la plupart des personnages ne tombent pas dans la caricature des « méchants contre les gentils », il est intéressant de voir comment Lien Rag évolue dans ses sentiments et comment il se sert de Floa pour parvenir à ses fins. Juste une remarque, je voudrais prévenir aux lecteurs qui ont été rebuté par l’érotisme des romans de la compagnie des glaces que les scènes de ce genre ne sont pas trop présentes dans la bédé. Le tout forme une ambiance particulière, les (nombreux) défauts du dessin s’effacent grâce à un scénario intéressant qui nous prend par la main et nous conduit à en savoir plus… ces derniers mois, « la compagnie des glaces » a été certainement une des bédés que j’ai le plus relu, j’y éprouve du plaisir à chaque fois et découvre des détails qui m’ont échappé dans les premières lectures. Dans ce sens, je conseille aux bédéphiles de laisser tomber vos préjugés sur le dessin et se forcer à lire cette série, le scénario le vaut bien ! Note finale : 3/5 Tome 3 : Kurts J’avais dit beaucoup de biens sur les deux premiers albums de la série surtout sur le scénario. J’espérais des améliorations au niveau du dessin pour le troisième tome sachant qu’aux dires des auteurs et du scénariste rencontrés lors d’un festival que « Kurts » allait être exceptionnel. Le résultat est une énorme déception, il y a bien eu quelques progrès dans le dessin mais franchement, ce n’est pas encore ça ! En fait, les cadrages sont mauvais et l’agencement de la mise en page se révèle par moments catastrophiques. Prenons par exemple les premières pages, il faut une sacrée dose d’observation et d’imagination pour comprendre qu’il s’agit de trains… ces choix de cadrage (vues de dessus) lors de l’attaque du train de Floa Sadon ne facilitent pas la compréhension, les engins ressemblent à de longs traits rectilignes quelconques. Autre exemple au niveau du cadrage, à la planche 29, Lien marche le long des quais mais la perspective est ratée. C’est d’autant dommage car certaines cases se révèlent bonnes comme la vue sur les trains planche 39 qui me font penser les dessinateurs n’ont pas pu donner le meilleur d’eux-mêmes tout au long de l'album. Certes, ces défauts étaient présents dans les deux premiers tomes mais ils étaient à mon avis moins probants. L’autre grosse tare concerne les dialogues, je n’ai pas apprécié les commentaires du genre « regardez ! », « ces hommes… leur costume ! », « ce sont des pirates », « c’est impossible », le tout pendant l’assaut des pirates alors que « les otages » ne tentent pas de s’enfuir ou de se défendre… Enfin le scénario de ce tome ne m’a pas vraiment accroché, l’idée de l’assaut des pirates est un peu téléphoné comme si l’auteur voulait mettre de l’action dans cette aventure alors qu’à première vue, ce n’était pas vraiment nécessaire… peut-être que les tomes suivants me diront le contraire… Point positif pour les magnifiques couvertures dessinées par Lidwine. En conclusion, la « compagnie des glaces » a été, à ce jour, transposée en 3 tomes et force de constater que ce n’est franchement pas une réussite. Pourtant, l’univers de cette série avait tout pour plaire avec son scénario captivant (du moins pour les 2 premiers tomes…) et la possibilité de réaliser de somptueux paysages. D’autres albums de cette série viendront mais cette fois, je serais moins enthousiaste à les découvrir… Note finale : 2/5 Tome 4 : Frère Pierre A mon avis, c’est certainement le meilleur album de la série actuellement. Graphiquement, il n’y a pas grand chose à reprocher à part peut-être le manque d’expression des personnages mais globalement le dessin s’est nettement amélioré par rapport aux tomes précédents. Les perspectives sont très convaincantes. La mise en page est aérée et tout à fait agréable. Les cadrages sont tout à fait adaptés aux situations. Les vues d’ensemble deviennent enfin de vraies vues d’ensemble. Franchement, toutes mes espérances au niveau graphique se retrouvent dans cet album ! Personnellement, je suis très satisfait du travail de l’équipe Jotim ! Scénaristiquement, « Frère Pierre » marque une pause dans les aventures de Lien Rag, les séjours de celui-ci sur la banquise sont l’occasion de nous faire découvrir ces longs moments de solitude d’un homme face à l’immensité du grand froid. J’ai trouvé ces passages vraiment salutaires et bienvenus en contradiction avec les séquences un peu trop rapides des premiers tomes. Je n’ai pas lu le roman mais je retrouve dans cet album l’idée que je me faisais de la série avec l’immensité des paysages de neige et la solitude de l’homme face à cette nature. Mon seul reproche concerne le manque d’infos sur les roux, je m’attendais à plus de révélations de la part du scénariste sur ces êtres… Note finale : 3/5 Tome 6 : Yeuse Terrible ! Telle a été ma réaction après avoir lu ce nouveau tome… ce réflexe m’est venu en souvenir des 3 premiers albums de cette série dans lesquels le graphisme n’était pas à la hauteur des espérances de nombreux lecteurs/fans de cette saga. « Yeuse » est tout simplement le meilleur album de « la compagnie des glaces » à ce jour… Je sais, ça fait au moins 3 tomes que je le dis mais j’avoue que je suis plus en plus admiratif des progrès au niveau du dessin et de la mise en page réalisés par l’équipe « Jotim ». La narration est de plus en plus fluide, la mise en page est plus aérée et se révèle très agréable à contempler. Le scénario a beaucoup évolué lui-aussi, la série devient de plus en plus émouvante au niveau de l’histoire mais aussi par la présence de scènes sans dialogue. Ces dernières contribuent beaucoup à montrer la détresse de Lien Rag à la recherche de Jdrou. Les scènes de carnage, de violence et les cauchemars du héros m’ont ému, difficile de rester insensible à ça ! La mise en couleurs a énormément évoluée elle-aussi et devient de plus en plus adéquate au récit : fini les effets « photoshops » pleins la vue, les tons employés renforcent l’ambiance sale et froide dans laquelle notre héros traverse sa détresse. J’ai vraiment adoré ce tome ! Rien à redire, j’ai senti que l’équipe Jotim était désormais parfaitement rodée. Je sens que la refonte des deux premiers tomes va être frappante en espérant que les auteurs trouvent une parade pour décondenser leurs scénarii. Très encourageant ! Note finale : 4/5

27/09/2005 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
Couverture de la série Pourquoi les chevaliers ont disparu
Pourquoi les chevaliers ont disparu

Note approximative : 2.5/5 J'aime beaucoup le dessin de Domingues. Il est dynamique, frais, sympa et en plus techniquement bien maîtrisé pour autant que je sois capable d'en juger. Ceci dit, j'aurais peut-être préféré un encrage un peu plus gras ou alors une colorisation différente car les planches ne sont hélas pas aussi lisibles qu'elles pourraient l'être. Quant aux histoires, ben, elles sont relativement sympas mais... elles ne sont pas très prenantes malgré leur courte taille. Et puis surtout, alors qu'elles sont sensés être drôles, ben elles ne m'ont guère fait plus que sourire, et encore... Bon, et puis il y a un petit peu d'érotisme, c'est gentil et assez sympa mais ça prête plus à sourire également qu'à autre chose. Relativement frais, assez sympa, bien dessiné même si manquant un peu de lisibilité, mais pas fantastique à part ça.

26/09/2005 (modifier)
Par iannick
Note: 3/5
Couverture de la série Retour au collège
Retour au collège

Bien que je n’aie pas trop bien compris les motivations (un peu bizarres, à mon avis…) qui ont poussé Riad Sattouf à vouloir faire une sorte de reportage dans un collège, cette lecture m’est néanmoins apparue fort sympathique. L’idée de réaliser un petit séjour dans une classe de 3ème avec des élèves de parents aisés est bonne même si le résultat ne m’a pas du tout surpris. Il y a, dans cette bédé, beaucoup d’humour et d’ironie aussi envers ces jeunes dont l’avenir leur semble tracé. J’ai beaucoup apprécié le passage de Riad devant le proviseur, les mises en garde et les réserves de ce dernier sont tout simplement raillant… Les réponses des élèves aux questions de Riad sont très souvent naïves et pleines de clichés, j’ai été parfois gêné et inquiet par cette génération dont certains sont peut-être appelés, au vu de leur rang social très aisé, à diriger des hommes… Il m’empêche que j’ai souvent rigolé aux délires de ces élèves en souvenir de mes années collèges.

26/09/2005 (modifier)
Par Spooky
Note: 3/5
Couverture de la série Hanomag Henschel
Hanomag Henschel

Etrange série que Hanomag Henschel. Elle conte les aventures d'un anti-héros tout à fait crédible, un gars qui s'embarque dans des drôles de galères puis, sentant qu'il ne pourrait plus faire grand-chose, abandonne les gens à leur sort. C'est bien malgré lui qu'il se retrouve mêlé à des meurtres, des braquages... Sur le plan éditorial, on a également l'impression d'assister à deux séries distinctes, d'un album à l'autre. Edités dans des collections différentes, le premier se compose de récits courts, en noir et blanc (avec une touche de couleur, différente à chaque histoire), alors que le second est un récit de 94 pages presqu'entièrement en couleur. Graphiquement, Wintz a subi une évolution ; plutôt dans un style "tardiesque" au début, le tome 2 ressemble à du Cosey, sur bien des points. Mais Hanomag reste un loser. Sur le plan de l'histoire, le tome 1 n'éveille que rarement la curiosité, les auteurs se contentant de faire du policier noir, comme on en faisait des tonnes chez Casterman au cours des années 1980, crapoteux et domestique. Par la suite, on nous emmène en Inde, pour découvrir ses senteurs, ses saveurs, ses beautés, sa société aussi, au travers de deux éléments essentiels, le cinéma et les trains. Je n'en dirai pas plus, afin de ne pas déflorer l'histoire. Malheureusement, la série s'interrompt de façon un peu abrupte, alors qu'on aurait aimé savoir dans quelle galère notre aventurier-malgré-lui allait se retrouver... A découvrir.

26/09/2005 (modifier)
Par Dakhan
Note: 3/5
Couverture de la série Yakari
Yakari

Effectivement, c'est une jolie BD qui nous donne une belle image du monde spirituel des indiens d'Amérique du nord, monde cher à Dérib qui le dessine si bien. Mention spéciale pour les aventures de ce petit indien au milieu des animaux.

25/09/2005 (modifier)
Par Spooky
Note: 3/5
Couverture de la série Dieter Lumpen
Dieter Lumpen

C'est vrai que le point fort de cette série est le dessin : élégant, fin, soigné, on ne peut que rester béat devant la régularité de Ruben Pellejero. Régularité qui annonce de futures pièces maîtresses comme Aromm, Le Tour de Valse ou encore Un peu de fumée bleue.... En ce qui concerne les couleurs, ce style aléatoire ne m'a pas vraiment frappé, ni gêné, contrairement à Ro. Les histoires s'enchaînent sans qu'il y ait vraiment de continuité, mis à part le héros, Dieter, à la fois nonchalant et détaché, presque désabusé, qui vit des aventures qui se veulent exaltantes mais dont il se contrefout pas mal. Lui, ce qui l'intéresse, c'est voir du pays, séduire de jolies femmes, gagner un peu d'argent. Un aventurier qui s'ignore, finalement. Sans être inoubliable, c'est une série divertissante, qui fait passer un bon petit moment de lecture.

25/09/2005 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
Couverture de la série Id'îles
Id'îles

Note approximative : 2.5/5 J'aime assez la colorisation : elle est plutôt originale, lumineuse, sympa. Concernant le dessin, quand on voit les essais de styles en fin d'albums, on se dit que l'auteur a finalement choisi le moins pire mais ça reste assez moyen à mes yeux. Ce n'est pas vraiment moche, c'est même pas mal, expressif et bien lisible, mais ça manque d'esthétisme malgré la simplicité du trait. Le scénario part sur une idée véritablement originale, j'aime assez. Un homme se fabrique un "paradis artificiel" sous terre, sous la forme d'une salle transformée en "océan avec îles paradisiaques de fortune". L'interêt du récit vient du fait qu'il cherche à y enfermer avec lui la femme qu'il pense aimer mais que celle-ci n'est pas d'accord du tout. S'ensuivent les conflits et les problèmes de vie commune dans ce petit monde fermé et artificiel un peu trop improvisé au final, et surtout la recherche d'évasion de la femme qui ne s'en laisse surtout pas compter par le responsable de sa captivité. Ce n'est pas très drôle malgré ce que le graphisme laisse penser, mais ça a le mérite d'être relativement intéressant. Par contre, ça se finit vite et il n'en ressort pas grand chose en conclusion. Une réflexion un peu succincte et superficielle sur les difficultés de réussir à se couper totalement du monde réel et à vivre à deux dans un environnement artificiel. J'aurais pu être plus indulgent avec cette BD si elle ne coûtait pas aussi cher alors qu'elle ne fait qu'une trentaine de pages. Bref, je ne déconseille pas sa lecture qui fait passer quelques minutes d’intérêt mais j'en déconseille l'achat à ce prix là.

24/09/2005 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
Couverture de la série La Fleur amoureuse
La Fleur amoureuse

Note approximative : 2.5/5 Cette BD a un côté ridicule assez indéniable. Ridicule par son scénario, pas par son dessin. Car je trouve le dessin très bon. Silvio Cadela a un style que je trouve proche de celui d'Arno, lui-même assez proche de Moebius à mes yeux. En outre, j'aime beaucoup la colorisation, un peu pêtante par moment mais belle. Bref, visuellement, je trouve cette BD très réussie. Maintenant, concernant le scénario, c'est clair que ce n'est pas très captivant. L'auteur ne se prend pas vraiment au sérieux (heureusement) et ça se voit à sa façon de dire toutes les 2 pages que le temps passe à l'aide d'images d'animaux divers fornicant en pleine nature. Mais par contre, non seulement le scénario est moyen, mais il est souvent ridicule avec cette intrigue de fleur mutante extra-terrestre qui excite la libido des femmes et nous narre l'histoire comme un observateur consciencieux. Les scènes érotiques avec la plante sont d'ailleurs franchement grotesques. Bref, je suis indulgeant parce que je trouve le dessin vraiment bon, mais globalement, c'est une BD dont on peut se débarasser facilement.

24/09/2005 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
Couverture de la série Ogenki Clinic
Ogenki Clinic

Note approximative : 2.5/5 De la grosse déconnade façon manga autour du cul. Mais je ne dois pas être un vrai amateur de ce genre d'humour. Déjà, le dessin typé "manga d'humour" me plait très moyennement. Il se lit bien, rien à dire, mais il manque un peu de qualité et d'interêt. Ensuite, l'humour couillon permettant de mettre des scènes de cul en permanence, scènes de cul façon hentai, ce n'est pas ma tasse de thé. Je n'aime pas les Hentai, gros seins, femmes soumises ou dominatrices, bites énormes, etc... Donc côté érotique, résultat nul pour moi. Mais ce n'est évidemment pas le but de cette série puisqu'il s'agit de se marrer sur le sexe, les complexes, les problèmes sexuels, les perversions, les obsessions, etc... C'est déjanté, couillon, typique du gros gag qui tâche à la sauce manga... Et perso, je trouve ça trop bas de plafond pour vraiment me marrer, juste sourire parfois. C'est lourd, comme le dit Kael. Pas trop ma tasse de thé quoi...

24/09/2005 (modifier)
Par Spooky
Note: 3/5
Couverture de la série Smart monkey
Smart monkey

Tiens, une histoire mettant en miroir les premiers temps de l'humanité et une aventure (presque) contemporaine. J'étais curieux de voir ce que ça pourrait donner en BD. Premier constat : j'ai du mal avec le graphisme de Winshluss. Un peu fouillis, composé de trop de traits, ce manque de clarté m'a gêné dans ma lecture. Par contre, j'ai beaucoup apprécié l'histoire, suite d'historiettes avec pour filigrane la traque par un tigre dents-de-sabre. Cet élément m'a beaucoup plu. J'avais un peu peur de retrouver un mélange de Marsupilami et de Le Roi Lion, mais non, Winshluss réussit à garder une certaine originalité, et c'est à saluer. J'ai franchement, moi aussi, éclaté de rire à la conclusion de l'histoire principale, et à celle de l'épilogue. En bref, l'album, sans être graphiquement renversant (à moins d'être un fan de Winshluss), reste divertissant.

24/09/2005 (modifier)