Je m'attendais à mieux, ça c'est clair.
Le dessin est assez sympa, malgré les nombreuses imperfections. D'ailleurs, j'avoue que ce n'est pas un style qui me plait des masses, surtout au niveau des couleurs.
Et puis l'histoire est pas vraiment géniale. Le coté loufoque et déjanté n'a pas de charmé. Certes, il y a quelques bonnes idées, mais dans l'ensemble, ça ne m'a pas convaincu.
Le 2e tome sera intéressant je pense, pour voir comment évolue cette série. En attendant, ce tome n'est pas indispensable.
Comme quoi, la collec Encrages ne renferme pas que de bons albums...
Ici, c'est tout juste moyen.
Le dessin est passable, même s'il a parfois son petit charme, et le scenar ne rattrape pas vraiment les choses. C'est tres confus tout ça... Dommage, y'avait moyen de faire quelque chose de tellement mieux.
Bref, très loin d'etre un indispensable, meme pour les aficionados d'Encrages.
Lorsque Hermann père et fils allient leurs compétences pour créer un polar noir et inquiétant, l'oeuvre ne peut en être des plus atypiques...
Yves H. a toujours révé de devenir, comme son père, un auteur de BD. Après des débuts dans le cinéma, il rejoint le neuvième art en 1995 en écrivant, dessinant et publiant chez Dupuis "Le secret des Hommes-Chiens", sa première Bande dessinée.
Il nous propose ici un polar des plus noirs (le principe d'un polar, me direz vous !!), magnifiquement mis en image par Hermann.
Le tout aurait pu être assez bon, voire très bon, mais... rien à faire, le tout est vraiment trop complexe.
Après deux lectures assidues, je ne suis toujours pas certain d'avoir compris la trame de l'histoire. (mes amis qui l'ont lu non plus, ca me rassure :)). Tout est vraiment trop confu, embrouillé, à tel point que s'en est énervant durant la lecture. On revient en arrière, on réalise des parrallèles sans queue ni tête, et on parvient à cette conclusion évidente : y a t'il une explication à ce merdier scénaristique évident ?
C'est vraiment dommage, dans le sens ou l'ambiance est assez géniale, parfaite pour ce type de récit. Les personnages sont assez travaillés, les lieux d'action assez originaux, etc...
Le style graphique d'Hermann, par contre, est vraiment très fort !! son trait est toujours aussi précis, et son utilisation de la mise en scène vraiment parfaite.
Sa peinture à l'aquarelle, de grande qualité, joue un très grand rôle dans la mise en place de l'ambiance vraiment particulière de cette BD. Mais, cela ne suffit pas à la rendre plus compréhensible, hélas...
Hermann père et fils nous livrent donc ici un one-shot de grande qualité, certes, mais beaucoup trop personnel pour être facilement compréhensible... dommage !
Certains adorent mais moi cet humour qui en fait des tonnes et tombe sans arrêt dans la vulgarité la plus crasse, ca me désole... Quelque fois il m'arrive d'esquisser un sourire mais la plupart du temps, c'est le contraire qui se produit.
Ça me fait mal de mettre une mauvaise note, parce que j'ai rencontré Kamel Khélif, le dessinateur, et que c'est un mec talentueux, gentil, patient, disponible, très intéressant à écouter, et que ses dessins, bien que très sombres, sont très beaux. Malheureusement, le texte qui les accompagne dans "Les Exilées", signé Nabile Farès, est assez difficile d'accès et, très franchement, je n'ai pas accroché du tout, du tout... Dans ces conditions, mettre plus de 2 étoiles me paraît malhonnête. Pardonnez-moi, M'sieur Khélif !
Un gag, ça vieillit pas toujours bien... Là, en l'occurrence, les 40 ans de cette BD se font un peu sentir.
Les conneries de ces deux bas-du-front étaient peut-être hyper drôle et même un peu provocatrices (vu que ça montrait deux prolos débiles dans un magazine communiste) dans les années 60, mais aujourd'hui, c'est une autre histoire... Oh, ça se lit tranquillement, hein, on sourit même de temps en temps, mais disons qu'il y a beaucoup de choses infiniment plus drôles disponibles aujourd'hui.
Face à Patacrèpe et Couillalère (les VRAIS héros les plus cons de la BD), les facéties bien gentillettes de ces deux benêts ne font pas vraiment le poids...
Ce comic fut l'une des premières BD, si ce n'est la première, entièrement conçue par ordinateur. À l'époque, c'était un événement, même si le scénario assez soporifique, l'univers "futuriste" qui n'était qu'une pâle copie de "Blade Runner" et de "Tron" et les dessins finalement plutôt beuark en ont laissé plus d'un perplexe quant au réel intérêt de la chose... 12 ans plus tard, les progrès énormes réalisés en infographie font qu'un méchant coup de vieux vient s'ajouter à ces défauts... Aujourd'hui, comparé à ceux des "Technopères" et de Mégalex, le graphisme de "Justice Digitale" fait vraiment de la peine. Reste la valeur "historique" de l'objet, d'ailleurs assez difficile à trouver de nos jours.
Pour une fois, je ne me range pas sur les avis favorables ... Malgré les illustrations sublimes de Rabaté, cette bd m'a sincèrement ennuyée et pourtant je l'ai lue jusqu'au bout, histoire de ne pas rester sur mes premières impressions. Mais bon, je la conseille quand même, car les dessins méritent le regard, mais je conseille aussi le livre original avant tout car la puissance de l'écriture est, sur ce coup, pas très bien retranscrit ...
C'est du manga dans le genre lourd de chez lourd. Cela s'adresse à un public adolescent et rien d'autres. On s'amusera en feuilletant ce manga de ces gonzesses à la poitrine hypertrophiée, quelques gags feront sourire mais l'intérêt de ce manga ne va pas beaucoup plus loin....
Le résumé donné par "Electre" (la base de données qui recense près d'un million de bouquins parus en France et dont on se sert dans les bibliothèques et à la Fnac) dit de cette BD que ça "désigne certains préjugés raciaux sur lesquelles s'assoient les religions et les civilisations.". Eh ben... Cela dit, ne blâmons pas Electre : en fait, c'est recopié d'une critique du bouquin que l'on peut lire sur sa quat' de couv'. Le critique qui a écrit ça (Richard Gehr, de "Village Voice") doit se servir du télescope Hubble pour lire entre les lignes, c'est pas possible autrement... Bon, bref. "Le Playboy", c'est avant tout une énième BD autobiographique en noir et blanc. Mais pas désagréable, à défaut d'être géniale. Si vous-même, vous avez acheté au moins une fois une revue coquine dans votre jeunesse, ça risque de vous rappeler pas mal de souvenirs... La honte et la peur qu'on ressent au moment de l'acheter (dans un kiosque à journaux super-éloigné de là où on habite, dans un quartier où personne ne nous connaît, histoire de limiter les risques d'être découvert et dénoncé), la peur d'être vu avec sur le chemin du retour, le dégoût de soi qu'on peut ressentir après "utilisation" et l'envie de se débarrasser du magazine, etc...
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Terre mécanique
Je m'attendais à mieux, ça c'est clair. Le dessin est assez sympa, malgré les nombreuses imperfections. D'ailleurs, j'avoue que ce n'est pas un style qui me plait des masses, surtout au niveau des couleurs. Et puis l'histoire est pas vraiment géniale. Le coté loufoque et déjanté n'a pas de charmé. Certes, il y a quelques bonnes idées, mais dans l'ensemble, ça ne m'a pas convaincu. Le 2e tome sera intéressant je pense, pour voir comment évolue cette série. En attendant, ce tome n'est pas indispensable.
La Nuit du Lièvre
Comme quoi, la collec Encrages ne renferme pas que de bons albums... Ici, c'est tout juste moyen. Le dessin est passable, même s'il a parfois son petit charme, et le scenar ne rattrape pas vraiment les choses. C'est tres confus tout ça... Dommage, y'avait moyen de faire quelque chose de tellement mieux. Bref, très loin d'etre un indispensable, meme pour les aficionados d'Encrages.
Liens de Sang
Lorsque Hermann père et fils allient leurs compétences pour créer un polar noir et inquiétant, l'oeuvre ne peut en être des plus atypiques... Yves H. a toujours révé de devenir, comme son père, un auteur de BD. Après des débuts dans le cinéma, il rejoint le neuvième art en 1995 en écrivant, dessinant et publiant chez Dupuis "Le secret des Hommes-Chiens", sa première Bande dessinée. Il nous propose ici un polar des plus noirs (le principe d'un polar, me direz vous !!), magnifiquement mis en image par Hermann. Le tout aurait pu être assez bon, voire très bon, mais... rien à faire, le tout est vraiment trop complexe. Après deux lectures assidues, je ne suis toujours pas certain d'avoir compris la trame de l'histoire. (mes amis qui l'ont lu non plus, ca me rassure :)). Tout est vraiment trop confu, embrouillé, à tel point que s'en est énervant durant la lecture. On revient en arrière, on réalise des parrallèles sans queue ni tête, et on parvient à cette conclusion évidente : y a t'il une explication à ce merdier scénaristique évident ? C'est vraiment dommage, dans le sens ou l'ambiance est assez géniale, parfaite pour ce type de récit. Les personnages sont assez travaillés, les lieux d'action assez originaux, etc... Le style graphique d'Hermann, par contre, est vraiment très fort !! son trait est toujours aussi précis, et son utilisation de la mise en scène vraiment parfaite. Sa peinture à l'aquarelle, de grande qualité, joue un très grand rôle dans la mise en place de l'ambiance vraiment particulière de cette BD. Mais, cela ne suffit pas à la rendre plus compréhensible, hélas... Hermann père et fils nous livrent donc ici un one-shot de grande qualité, certes, mais beaucoup trop personnel pour être facilement compréhensible... dommage !
Obsédé Sexuel
Certains adorent mais moi cet humour qui en fait des tonnes et tombe sans arrêt dans la vulgarité la plus crasse, ca me désole... Quelque fois il m'arrive d'esquisser un sourire mais la plupart du temps, c'est le contraire qui se produit.
Les Exilées, histoires
Ça me fait mal de mettre une mauvaise note, parce que j'ai rencontré Kamel Khélif, le dessinateur, et que c'est un mec talentueux, gentil, patient, disponible, très intéressant à écouter, et que ses dessins, bien que très sombres, sont très beaux. Malheureusement, le texte qui les accompagne dans "Les Exilées", signé Nabile Farès, est assez difficile d'accès et, très franchement, je n'ai pas accroché du tout, du tout... Dans ces conditions, mettre plus de 2 étoiles me paraît malhonnête. Pardonnez-moi, M'sieur Khélif !
Grabadu et Gabaliouchtou
Un gag, ça vieillit pas toujours bien... Là, en l'occurrence, les 40 ans de cette BD se font un peu sentir. Les conneries de ces deux bas-du-front étaient peut-être hyper drôle et même un peu provocatrices (vu que ça montrait deux prolos débiles dans un magazine communiste) dans les années 60, mais aujourd'hui, c'est une autre histoire... Oh, ça se lit tranquillement, hein, on sourit même de temps en temps, mais disons qu'il y a beaucoup de choses infiniment plus drôles disponibles aujourd'hui. Face à Patacrèpe et Couillalère (les VRAIS héros les plus cons de la BD), les facéties bien gentillettes de ces deux benêts ne font pas vraiment le poids...
Batman - Justice Digitale
Ce comic fut l'une des premières BD, si ce n'est la première, entièrement conçue par ordinateur. À l'époque, c'était un événement, même si le scénario assez soporifique, l'univers "futuriste" qui n'était qu'une pâle copie de "Blade Runner" et de "Tron" et les dessins finalement plutôt beuark en ont laissé plus d'un perplexe quant au réel intérêt de la chose... 12 ans plus tard, les progrès énormes réalisés en infographie font qu'un méchant coup de vieux vient s'ajouter à ces défauts... Aujourd'hui, comparé à ceux des "Technopères" et de Mégalex, le graphisme de "Justice Digitale" fait vraiment de la peine. Reste la valeur "historique" de l'objet, d'ailleurs assez difficile à trouver de nos jours.
Ibicus
Pour une fois, je ne me range pas sur les avis favorables ... Malgré les illustrations sublimes de Rabaté, cette bd m'a sincèrement ennuyée et pourtant je l'ai lue jusqu'au bout, histoire de ne pas rester sur mes premières impressions. Mais bon, je la conseille quand même, car les dessins méritent le regard, mais je conseille aussi le livre original avant tout car la puissance de l'écriture est, sur ce coup, pas très bien retranscrit ...
Katsuo l'arme humaine
C'est du manga dans le genre lourd de chez lourd. Cela s'adresse à un public adolescent et rien d'autres. On s'amusera en feuilletant ce manga de ces gonzesses à la poitrine hypertrophiée, quelques gags feront sourire mais l'intérêt de ce manga ne va pas beaucoup plus loin....
Le Playboy
Le résumé donné par "Electre" (la base de données qui recense près d'un million de bouquins parus en France et dont on se sert dans les bibliothèques et à la Fnac) dit de cette BD que ça "désigne certains préjugés raciaux sur lesquelles s'assoient les religions et les civilisations.". Eh ben... Cela dit, ne blâmons pas Electre : en fait, c'est recopié d'une critique du bouquin que l'on peut lire sur sa quat' de couv'. Le critique qui a écrit ça (Richard Gehr, de "Village Voice") doit se servir du télescope Hubble pour lire entre les lignes, c'est pas possible autrement... Bon, bref. "Le Playboy", c'est avant tout une énième BD autobiographique en noir et blanc. Mais pas désagréable, à défaut d'être géniale. Si vous-même, vous avez acheté au moins une fois une revue coquine dans votre jeunesse, ça risque de vous rappeler pas mal de souvenirs... La honte et la peur qu'on ressent au moment de l'acheter (dans un kiosque à journaux super-éloigné de là où on habite, dans un quartier où personne ne nous connaît, histoire de limiter les risques d'être découvert et dénoncé), la peur d'être vu avec sur le chemin du retour, le dégoût de soi qu'on peut ressentir après "utilisation" et l'envie de se débarrasser du magazine, etc...