L'intérêt de cet album, c'est (évidemment) de découvrir de nombreuses variations sur le personnage de Gaston et de son petit univers. Les histoires sont ici nombreuses (une bonne trentaine, il me semble), et effectivement variées.
Certaines auraient pu être écrites et/ou dessinées par Franquin tant elles sont fidèles à l'esprit de Gaston, d'autres sont très parodiques, s'inspirant parfois de près parfois de très loin de l'original.
L'ensemble est (toujours évidemment) très hétéroclite, et si j'ai parfois souri, cet album ne me paraît cependant largement pas indispensable... d'autant plus que certains styles graphiques ne me plaisent vraiment pas.
On remarquera de nombreuses apparitions de Tintin, qui restent pour moi assez mystérieuses... Hergé, Franquin, autant de talent peut-être ?
Très bon point tout de même pour les dernières pages, où Prunelle s'évertue à expliquer que "il n'y a pas, il n'y a jamais eu et il n'y aura jamais d'albums 1, 2, 3, 4 et 6. Et si jamais vous en trouviez un, ce serait un faux !". :)
Etant fan de Baru c'est toujours avec beaucoup de plaisir que je lis un album de cet auteur. Malheureusement, celui-ci ne m'a pas convaincu, j'ai même été franchement déçu.
Le scénario est un peu confus, à l'image de la première partie de l'album où l'on voit un orchestre qui joue dans un bal. Je n'ai pas très bien compris le lien de ce sujet avec le narrateur et surtout je ne vois pas le rapport avec le thème principal du récit qui est basé sur des rencontres que font un couple sur les routes de France.
En fait, l'auteur nous racontre le périple d'un homme à la recherche de sa femme. Quelques ingrédients viennent se greffer dans l'histoire pour corser un peu l'ensemble mais j'ai trouvé le résultat assez maladroit.
Bon évidement il nous reste le dessin. Celui-ci est particulièrement réussi. C'est peut-être dû au format de l'album mais le graphisme de l'auteur est très aéré.
Aux niveau des couleurs, Baru travaille avec le même coloriste depuis quelques années c'est-à-dire Daniel Ledran. Et il faut avouer qu'il a vraiment beaucoup de talent.
Les nuances qu'il choisit sont basée sur un parfait dosage de couleurs vives et pastels. J'aime beaucoup.
En résumé, je ne peux pas vous conseiller ce one-shot même si personellement il restera en bonne place dans ma bibliothèque. Ben oui , quand on est fan on ne compte pas !
Mouais, c'est lisible. Les graphismes sont assez originaux et tentent de coller à l'ambiance qui, semble-t-il, essaie d'être poétique. Là ou ça pêche le plus, c'est pour le scénario, ultra prévisible et sans intérêt. N'achetez pas, il y a beaucoup mieux dans le genre Steam Punk.
Les Aventures de Buster furent publiées pour la première fois en mai 1902 dans le New York Herald. Outcault, son créateur, a aussi dessiné The Yellow Kid un peu avant. Il s'agit là d'un drôle de personnage, qui prend un malin plaisir à chercher des noises, des farces en tout genre (pas toutes évidentes pour le cerveau d'un gamin de 6-7 ans) ; mais aussi à se faire punir, fesser. Bref, il s'agit là d'un sado-masochiste qui a eu des millions de lecteurs il y a un siècle...
Curieusement, le dessinateur a créé une ligne de chaussures au nom de son personnage, ligne qui connaît encore du succès outre-atlantique à l'heure actuelle...
Le garçon est habillé de la manière typique de l'Upper class new-yorkaise de ce début de siècle : pantalons courts, petite veste et chaussures victoriennes. Son comportement, ses rapports avec ses parents sont un témoignage intéressant de la vie quotidienne dans cette période. Ses facéties sont bien plus "respectables" que celles du Yellow Kid, ce qui explique sa plus grande longévité éditoriale.
Au niveau artistique, cependant, il faut dire que le dessin d'Outcault n'est pas toujours régulier ; il prend visiblement du plaisir à dessiner les toilettes délicates de la maman de Buster, mais moins en ce qui concerne le chien. Les histoires sont courtes, heureusement, car on se lasse vite (de nos jours) de ces récits pour enfants avec une morale à la fin.
Avec l’homme à la fenêtre, les auteurs nous présentent une œuvre très personnelle et en partie autobiographique, comme le laisse supposer Lilia A. dans sa préface. D’ailleurs, la relation entre le sculpteur et Irène n’est sans doute pas sans rappeler celle des auteurs au moment de la réalisation de ce livre, comme le souligne ArzaK.
La construction particulière de l’album donne plus l’impression d’être en face d’un roman illustré que d’une bd. Le graphisme de Mattotti, assez épuré, n’est pas trop pour me plaire. La grande force de Mattotti dans "Caboto" était sa mise en couleur très riche. Ici, rien de tout cela : le trait est fin et hésitant, donnant parfois des proportions difformes aux individus. De plus, les paysages, trop hachurés, contrastent avec les autres planches. Toutefois, je conçois difficilement un autre style pour illustrer ce récit.
Il est vrai que la lenteur du récit -- qui n'est qu'une succession d'évènements que le personnage principal vit au quotidien -- n'est pas des plus accrocheurs, et que l’ennui peut gagner assez vite le lecteur... Peut-être y suis-je passé à côté ? En fait, c’est le côté très personnel de ce livre qui m’a semblé assez hermétique. Une chose est sûre, ce livre ne laissera personne indifférent.
Ce n'est pas un thriller banal, les rebondissements sont nombreux, mais au plus on avance et plus on se pose de questions sur ce héros mystérieux et sur les hommes qui sont à ses trousses.
Je trouve d'ailleurs que le scénario laisse trop de zones d'ombre, et cela nuit à la clarté de l'histoire. Mais elle reste suffisamment prenante pour attendre le tome 3 (à paraître en 2004) qui j'espère apportera les réponses à toutes ces questions...
Les dessins sont pas mal, les couvertures sont superbes (motivation n°1 de mon achat).
Au final, une BD qui doit se juger sur les trois tomes, mais pour l'instant vous risquez d'être decus.
"Déception" serait le mot résumant ma pensée. J'achète les deux tomes, je me réserve un moment calme dans ma soirée. L'impatience me prend. Je commence à lire. Paf ! Les premières pages m'emballent et je me dis que je suis tombé sur une perle de dessin et de scénario. Et puis, tout d'un coup, plus rien. On n'attend la fin d'un délire qui ne s'arrête pas, ni dans le premier volet, ni dans le second ... L'histoire est un peu "molle", les personnages pas très attachants. En revanche, les planches restent pas mal mais cela ne justifie pas que l'on s'attarde sur la BD.
En résumé, on ne peut pas gagner à tous les coups !
A force d'en bouquiner un chaque fois que je passe dans une FNAC ou une librairie, je commence à avoir une idée assez exhaustive de l'oeuvre de Serre. Si cela apparaît au début assez tordant, si certains tomes sont indéniablement originaux ("Savoir vivre" par exemple, à l'humour très noir), l'ensemble est franchement redondant et supporte mal une deuxième lecture. Efficace donc dans le genre, mais qui peine à se renouveler ou à étonner.
Sur la fiche de la série, il y a marqué : jeunesse, et je comprends pourquoi... Les dessins ne sont pas très bons et les histoires sont cucul la praline au possible ! Néanmoins on peut le lire pour se reposer les neurones après une journée de boulot, ou parce qu'on a trop la flemme d'aller chercher autre chose.
Comme tout le monde, je ne pense pas qu'il s'agit du meilleur album de Cosey. Les décors sont certes assez beaux, les montagnes enneigées superbes mais en revanche les personnages sont beaucoup moins bien, pour eux le trait est plus gras et ils ne se détachent pas vraiment les uns des autres. Le scénario est simple mais utilise de grosses grosses ficelles qui nuisent à l'histoire que ce soit sur la parenté des héroïnes ou la résistance hors norme de la mère. L'histoire est assez banale et on a l'impression de l'avoir déjà vue plusieurs fois à l'écran. On dirait que Cosey ne parvient pas à nous émouvoir, pourtant il essaye avec plein de bonne volonté mais, pour cette fois, le courant ne passe pas.
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Baston - La Ballade des baffes
L'intérêt de cet album, c'est (évidemment) de découvrir de nombreuses variations sur le personnage de Gaston et de son petit univers. Les histoires sont ici nombreuses (une bonne trentaine, il me semble), et effectivement variées. Certaines auraient pu être écrites et/ou dessinées par Franquin tant elles sont fidèles à l'esprit de Gaston, d'autres sont très parodiques, s'inspirant parfois de près parfois de très loin de l'original. L'ensemble est (toujours évidemment) très hétéroclite, et si j'ai parfois souri, cet album ne me paraît cependant largement pas indispensable... d'autant plus que certains styles graphiques ne me plaisent vraiment pas. On remarquera de nombreuses apparitions de Tintin, qui restent pour moi assez mystérieuses... Hergé, Franquin, autant de talent peut-être ? Très bon point tout de même pour les dernières pages, où Prunelle s'évertue à expliquer que "il n'y a pas, il n'y a jamais eu et il n'y aura jamais d'albums 1, 2, 3, 4 et 6. Et si jamais vous en trouviez un, ce serait un faux !". :)
Sur la route encore
Etant fan de Baru c'est toujours avec beaucoup de plaisir que je lis un album de cet auteur. Malheureusement, celui-ci ne m'a pas convaincu, j'ai même été franchement déçu. Le scénario est un peu confus, à l'image de la première partie de l'album où l'on voit un orchestre qui joue dans un bal. Je n'ai pas très bien compris le lien de ce sujet avec le narrateur et surtout je ne vois pas le rapport avec le thème principal du récit qui est basé sur des rencontres que font un couple sur les routes de France. En fait, l'auteur nous racontre le périple d'un homme à la recherche de sa femme. Quelques ingrédients viennent se greffer dans l'histoire pour corser un peu l'ensemble mais j'ai trouvé le résultat assez maladroit. Bon évidement il nous reste le dessin. Celui-ci est particulièrement réussi. C'est peut-être dû au format de l'album mais le graphisme de l'auteur est très aéré. Aux niveau des couleurs, Baru travaille avec le même coloriste depuis quelques années c'est-à-dire Daniel Ledran. Et il faut avouer qu'il a vraiment beaucoup de talent. Les nuances qu'il choisit sont basée sur un parfait dosage de couleurs vives et pastels. J'aime beaucoup. En résumé, je ne peux pas vous conseiller ce one-shot même si personellement il restera en bonne place dans ma bibliothèque. Ben oui , quand on est fan on ne compte pas !
Le Fond du Monde
Mouais, c'est lisible. Les graphismes sont assez originaux et tentent de coller à l'ambiance qui, semble-t-il, essaie d'être poétique. Là ou ça pêche le plus, c'est pour le scénario, ultra prévisible et sans intérêt. N'achetez pas, il y a beaucoup mieux dans le genre Steam Punk.
Buster Brown
Les Aventures de Buster furent publiées pour la première fois en mai 1902 dans le New York Herald. Outcault, son créateur, a aussi dessiné The Yellow Kid un peu avant. Il s'agit là d'un drôle de personnage, qui prend un malin plaisir à chercher des noises, des farces en tout genre (pas toutes évidentes pour le cerveau d'un gamin de 6-7 ans) ; mais aussi à se faire punir, fesser. Bref, il s'agit là d'un sado-masochiste qui a eu des millions de lecteurs il y a un siècle... Curieusement, le dessinateur a créé une ligne de chaussures au nom de son personnage, ligne qui connaît encore du succès outre-atlantique à l'heure actuelle... Le garçon est habillé de la manière typique de l'Upper class new-yorkaise de ce début de siècle : pantalons courts, petite veste et chaussures victoriennes. Son comportement, ses rapports avec ses parents sont un témoignage intéressant de la vie quotidienne dans cette période. Ses facéties sont bien plus "respectables" que celles du Yellow Kid, ce qui explique sa plus grande longévité éditoriale. Au niveau artistique, cependant, il faut dire que le dessin d'Outcault n'est pas toujours régulier ; il prend visiblement du plaisir à dessiner les toilettes délicates de la maman de Buster, mais moins en ce qui concerne le chien. Les histoires sont courtes, heureusement, car on se lasse vite (de nos jours) de ces récits pour enfants avec une morale à la fin.
L'Homme à la fenêtre
Avec l’homme à la fenêtre, les auteurs nous présentent une œuvre très personnelle et en partie autobiographique, comme le laisse supposer Lilia A. dans sa préface. D’ailleurs, la relation entre le sculpteur et Irène n’est sans doute pas sans rappeler celle des auteurs au moment de la réalisation de ce livre, comme le souligne ArzaK. La construction particulière de l’album donne plus l’impression d’être en face d’un roman illustré que d’une bd. Le graphisme de Mattotti, assez épuré, n’est pas trop pour me plaire. La grande force de Mattotti dans "Caboto" était sa mise en couleur très riche. Ici, rien de tout cela : le trait est fin et hésitant, donnant parfois des proportions difformes aux individus. De plus, les paysages, trop hachurés, contrastent avec les autres planches. Toutefois, je conçois difficilement un autre style pour illustrer ce récit. Il est vrai que la lenteur du récit -- qui n'est qu'une succession d'évènements que le personnage principal vit au quotidien -- n'est pas des plus accrocheurs, et que l’ennui peut gagner assez vite le lecteur... Peut-être y suis-je passé à côté ? En fait, c’est le côté très personnel de ce livre qui m’a semblé assez hermétique. Une chose est sûre, ce livre ne laissera personne indifférent.
Poser mon sac
Ce n'est pas un thriller banal, les rebondissements sont nombreux, mais au plus on avance et plus on se pose de questions sur ce héros mystérieux et sur les hommes qui sont à ses trousses. Je trouve d'ailleurs que le scénario laisse trop de zones d'ombre, et cela nuit à la clarté de l'histoire. Mais elle reste suffisamment prenante pour attendre le tome 3 (à paraître en 2004) qui j'espère apportera les réponses à toutes ces questions... Les dessins sont pas mal, les couvertures sont superbes (motivation n°1 de mon achat). Au final, une BD qui doit se juger sur les trois tomes, mais pour l'instant vous risquez d'être decus.
Prophet
"Déception" serait le mot résumant ma pensée. J'achète les deux tomes, je me réserve un moment calme dans ma soirée. L'impatience me prend. Je commence à lire. Paf ! Les premières pages m'emballent et je me dis que je suis tombé sur une perle de dessin et de scénario. Et puis, tout d'un coup, plus rien. On n'attend la fin d'un délire qui ne s'arrête pas, ni dans le premier volet, ni dans le second ... L'histoire est un peu "molle", les personnages pas très attachants. En revanche, les planches restent pas mal mais cela ne justifie pas que l'on s'attarde sur la BD. En résumé, on ne peut pas gagner à tous les coups !
Serre
A force d'en bouquiner un chaque fois que je passe dans une FNAC ou une librairie, je commence à avoir une idée assez exhaustive de l'oeuvre de Serre. Si cela apparaît au début assez tordant, si certains tomes sont indéniablement originaux ("Savoir vivre" par exemple, à l'humour très noir), l'ensemble est franchement redondant et supporte mal une deuxième lecture. Efficace donc dans le genre, mais qui peine à se renouveler ou à étonner.
Le Scrameustache
Sur la fiche de la série, il y a marqué : jeunesse, et je comprends pourquoi... Les dessins ne sont pas très bons et les histoires sont cucul la praline au possible ! Néanmoins on peut le lire pour se reposer les neurones après une journée de boulot, ou parce qu'on a trop la flemme d'aller chercher autre chose.
Joyeux Noël, May !
Comme tout le monde, je ne pense pas qu'il s'agit du meilleur album de Cosey. Les décors sont certes assez beaux, les montagnes enneigées superbes mais en revanche les personnages sont beaucoup moins bien, pour eux le trait est plus gras et ils ne se détachent pas vraiment les uns des autres. Le scénario est simple mais utilise de grosses grosses ficelles qui nuisent à l'histoire que ce soit sur la parenté des héroïnes ou la résistance hors norme de la mère. L'histoire est assez banale et on a l'impression de l'avoir déjà vue plusieurs fois à l'écran. On dirait que Cosey ne parvient pas à nous émouvoir, pourtant il essaye avec plein de bonne volonté mais, pour cette fois, le courant ne passe pas.