Mouais c'est sympa les premières pages mais on se lasse vite, un peu trop trash pour moi peut-être... Sinon le dessin fait bien cartoon et est très vivant !! Sans plus quoi...
Dès le tout début on ne sait pas où l'on va, et cette impression persiste durant tout l'album. Même si Fred utilise ses talents pour créer une mise en page parfois sublime (la double page 20 et 21 par exemple, un seul décor immense sur lequel se déroule "l'action" dans les cases), on a une visibilité on ne peut plus réduite, les décors de même que les aventures s'enchaînent un peu sans queue ni tête, et si l'absurde fait parfois sourire, au final je me suis ennuyé assez ferme.
Encore une série à la Froideval : un héros beau fort intelligent et riche, des pouvoirs magiques surpuissants, des démons ou équivalents, des femmes à poil...
C'est d'une banalité affligeante et tout dans le scénario et le dessin correspond à une bd commerciale qui a pour but d'attirer les adolescents.
L'équivalent d'un mauvais film américain à gros budget, quoi.
Globalement, ça se laisse lire, mais bien des points cités ci-dessus sont irritants et gâchent l'interêt qu'on pourrait trouver à cette lecture finalement assez défoulante.
Une "Froidevalerie" de plus : démons, femmes à poils, baston et pouvoirs surpuissants. Rien d'original, d'autant que le dessin n'est pas fantastique et surtout la colorisation trop flashy.
Seul petit avantage, l'humour est bien présent, quoique d'un niveau assez bas.
Cette série est curieuse. Elle mélange de très nombreuses références et déjà-vus.
Le tome 1 part sur une intrigue qui diffère ensuite dans les tomes suivants. Cela se voit notamment dans le choix de l'héroïne, qui n'était qu'un personnage secondaire au départ mais qui devient soudain le personnage principal une fois arrivée à bord du bateau.
Ensuite, ça devient de la baston et de l'aventure, avec l'héroïne qui se transforme en une sorte de justicière sans qu'on sache bien pourquoi et sans que rien n'explique qu'elle soit aussi acrobate et douée à l'épée.
Les scénarios, fouillis, sont difficiles à suivre et il est ardu de s'accrocher aux personnages dont on ne voit pas les motivations. En outre, quelques facilités scénaristiques comme l'héroïne qui survit à un accident mortel, sait tout ce qu'il faut savoir, apparaît toujours au bon moment, gâchent complètement l'histoire.
Des références flagrantes sont affichées trop clairement. Le début du tome 2 insiste lourdement sur un clone de Pélisse qui dit sans raison que "chacun doit accomplir sa quête", puis l'héroïne s'appelle Jim Hawkins et a avec un chef rebelle une relation proche du héros de l'Ile au Trésor avec le pirate du même livre...
Bref, c'est de la BD d'aventure de petite qualité à mes yeux, malgré quelques idées intéressantes.
On ne peut pas reprocher grand chose à cette série : c'est plutôt agréable à lire, les dessins ne sont pas particulièrement laids... Seulement voilà, si rien n'est mauvais dans cette BD, rien n'est transcendental non plus : le graphisme n'est pas flamboyant (c'est peu dire !), l'intrigue est plutôt plate, les blagues font (à peine) sourire...
Aussitôt lu, aussitôt oublié !
Pour ma part, je n'aime pas ce style de dessin. J'ai ainsi un avis un peu opposé aux deux précédents, puisque eux aimaient le dessin mais pas le scénario.
Moi, je trouve les scénarios originaux, même si je n'ai pas accroché pour autant. Le tome 1 est surprenant, et le tome 2 un peu dérangeant.
Bref, la série n'est pas inintéressante.
Néanmoins, de manière générale, je n'ai pas aimé, pas aimé les personnages, pas aimé le style de la BD, etc.
Je n'ai lu que le premier cycle (je ne dirai donc rien du tome 4).
Ce n'est malheureusement pas une série culte : l'intrigue ne frôle pas des sommets d'intelligence et de pertinence, le graphisme laisse plutôt à désirer (ni beau ni expressif), l'humour... y'en a ?
Ca se lit quand même sans trop de déplaisir... et ça s'oublie itou !
Denis Deprez revisite dans un ouvrage dense de 64 pages le mythe du docteur Frankenstein et de sa créature. Le monstre reprend les traits que l'on connaît de par les multiples adaptations cinématographiques du roman de Mrs Shelley. On y comprend ses états d'âme, ses questionnements... Le texte est peu présent, laissant la place aux non-dits, ce qui fait que l'album est vite avalé. Mais en fait je n'ai pas trouvé ça très passionnant.
Personnellement je n'accroche pas au dessin, ni aux couleurs, mais je comprends qu'on puisse aimer.
Malgré la sympathie que j'ai pour le dessin de Pirus et la caractère ironique de cette aventure. Je trouve qu'elle n'est que faussement originale. Je m'explique : porter en dérision un univers fictif façon "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" est loin de me déplaire, mais arriver quelque page plus loin avec l'idée d'un monde gris, strict opposé du premier, c'est vachement attendu.
Autre reproche de taille : je veux bien que ces deux mondes, le gris comme le rose, ne soient présentés que comme des univers artificiels... mais traiter le viol de manière aussi crue avec tant de légèreté sur le plan psychologique, c'est un peu... déplacé... presque complaisant. Le pardon final de Mimie n’est pas du tout crédible, insultant même pour toutes les femmes qui ont subi cet outrage qu'est le viol. On sent que les deux auteurs n'ont jamais entendu de témoignages de victimes de viols ou n’ont, en tout cas, pas décidé d’en faire cas...
On me dira qu'il ne s'agit ici que d'allégorie et qu'il ne faut pas prendre tout cela au sérieux. Je répondrai qu'un viol montré de cette manière n'a rien d'allégorique et ne le sera jamais. Fort heureusement...
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Mouais c'est sympa les premières pages mais on se lasse vite, un peu trop trash pour moi peut-être... Sinon le dessin fait bien cartoon et est très vivant !! Sans plus quoi...
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Dès le tout début on ne sait pas où l'on va, et cette impression persiste durant tout l'album. Même si Fred utilise ses talents pour créer une mise en page parfois sublime (la double page 20 et 21 par exemple, un seul décor immense sur lequel se déroule "l'action" dans les cases), on a une visibilité on ne peut plus réduite, les décors de même que les aventures s'enchaînent un peu sans queue ni tête, et si l'absurde fait parfois sourire, au final je me suis ennuyé assez ferme.
Atlantis
Encore une série à la Froideval : un héros beau fort intelligent et riche, des pouvoirs magiques surpuissants, des démons ou équivalents, des femmes à poil... C'est d'une banalité affligeante et tout dans le scénario et le dessin correspond à une bd commerciale qui a pour but d'attirer les adolescents. L'équivalent d'un mauvais film américain à gros budget, quoi. Globalement, ça se laisse lire, mais bien des points cités ci-dessus sont irritants et gâchent l'interêt qu'on pourrait trouver à cette lecture finalement assez défoulante.
Succubus
Une "Froidevalerie" de plus : démons, femmes à poils, baston et pouvoirs surpuissants. Rien d'original, d'autant que le dessin n'est pas fantastique et surtout la colorisation trop flashy. Seul petit avantage, l'humour est bien présent, quoique d'un niveau assez bas.
Hispañola
Cette série est curieuse. Elle mélange de très nombreuses références et déjà-vus. Le tome 1 part sur une intrigue qui diffère ensuite dans les tomes suivants. Cela se voit notamment dans le choix de l'héroïne, qui n'était qu'un personnage secondaire au départ mais qui devient soudain le personnage principal une fois arrivée à bord du bateau. Ensuite, ça devient de la baston et de l'aventure, avec l'héroïne qui se transforme en une sorte de justicière sans qu'on sache bien pourquoi et sans que rien n'explique qu'elle soit aussi acrobate et douée à l'épée. Les scénarios, fouillis, sont difficiles à suivre et il est ardu de s'accrocher aux personnages dont on ne voit pas les motivations. En outre, quelques facilités scénaristiques comme l'héroïne qui survit à un accident mortel, sait tout ce qu'il faut savoir, apparaît toujours au bon moment, gâchent complètement l'histoire. Des références flagrantes sont affichées trop clairement. Le début du tome 2 insiste lourdement sur un clone de Pélisse qui dit sans raison que "chacun doit accomplir sa quête", puis l'héroïne s'appelle Jim Hawkins et a avec un chef rebelle une relation proche du héros de l'Ile au Trésor avec le pirate du même livre... Bref, c'est de la BD d'aventure de petite qualité à mes yeux, malgré quelques idées intéressantes.
Trolls de Troy
On ne peut pas reprocher grand chose à cette série : c'est plutôt agréable à lire, les dessins ne sont pas particulièrement laids... Seulement voilà, si rien n'est mauvais dans cette BD, rien n'est transcendental non plus : le graphisme n'est pas flamboyant (c'est peu dire !), l'intrigue est plutôt plate, les blagues font (à peine) sourire... Aussitôt lu, aussitôt oublié !
Hiram Lowatt & Placido
Pour ma part, je n'aime pas ce style de dessin. J'ai ainsi un avis un peu opposé aux deux précédents, puisque eux aimaient le dessin mais pas le scénario. Moi, je trouve les scénarios originaux, même si je n'ai pas accroché pour autant. Le tome 1 est surprenant, et le tome 2 un peu dérangeant. Bref, la série n'est pas inintéressante. Néanmoins, de manière générale, je n'ai pas aimé, pas aimé les personnages, pas aimé le style de la BD, etc.
Troll
Je n'ai lu que le premier cycle (je ne dirai donc rien du tome 4). Ce n'est malheureusement pas une série culte : l'intrigue ne frôle pas des sommets d'intelligence et de pertinence, le graphisme laisse plutôt à désirer (ni beau ni expressif), l'humour... y'en a ? Ca se lit quand même sans trop de déplaisir... et ça s'oublie itou !
Frankenstein
Denis Deprez revisite dans un ouvrage dense de 64 pages le mythe du docteur Frankenstein et de sa créature. Le monstre reprend les traits que l'on connaît de par les multiples adaptations cinématographiques du roman de Mrs Shelley. On y comprend ses états d'âme, ses questionnements... Le texte est peu présent, laissant la place aux non-dits, ce qui fait que l'album est vite avalé. Mais en fait je n'ai pas trouvé ça très passionnant. Personnellement je n'accroche pas au dessin, ni aux couleurs, mais je comprends qu'on puisse aimer.
Rose Profond
Malgré la sympathie que j'ai pour le dessin de Pirus et la caractère ironique de cette aventure. Je trouve qu'elle n'est que faussement originale. Je m'explique : porter en dérision un univers fictif façon "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" est loin de me déplaire, mais arriver quelque page plus loin avec l'idée d'un monde gris, strict opposé du premier, c'est vachement attendu. Autre reproche de taille : je veux bien que ces deux mondes, le gris comme le rose, ne soient présentés que comme des univers artificiels... mais traiter le viol de manière aussi crue avec tant de légèreté sur le plan psychologique, c'est un peu... déplacé... presque complaisant. Le pardon final de Mimie n’est pas du tout crédible, insultant même pour toutes les femmes qui ont subi cet outrage qu'est le viol. On sent que les deux auteurs n'ont jamais entendu de témoignages de victimes de viols ou n’ont, en tout cas, pas décidé d’en faire cas... On me dira qu'il ne s'agit ici que d'allégorie et qu'il ne faut pas prendre tout cela au sérieux. Je répondrai qu'un viol montré de cette manière n'a rien d'allégorique et ne le sera jamais. Fort heureusement...