Ces quatre "histoires" sont très hétérogènes, tout d'abord au niveau graphique. Là où le récit de Thomas Ott (La douane, La bête à 5 doigts, Exit) est graphiquement superbe, noir, symbolique et celui de Vanoli toujours aussi particulier, les deux autres sont... complètement différents.
Le premier (Dominique Goblet) est assez enfantin dans son style, avec des passages beaucoup plus picturaux, allant plus lorgner du côté de l'art graphique que de la bd. Celui de Caroline Sury par contre, je l'ai trouvé... carrément moche, en fait. Laid, pas beau, à la limite du dégoût. Eh oui. :(
Au niveau de "l'histoire", eh bien c'est là que je suis "loin d'être convaincu", pour employer un euphémisme. Les différents récits n'apportent à mon avis pas grand-chose, voire même rien... Récits assez bateau d'un tourisme plus ou moins banal, je suis resté d'un bout à l'autre complètement inintéressé. Même Ott dont pourtant le dessin est exquis et ici symbolique ne m'a pas touché. Vanoli fait d'agréables efforts d'explications de la situation du Mexique, mais ne réussit tout de même pas à capter le lecteur...
Bref, album aussi inintéressant que dispensable (très).
Je m'excuse, mais contrairement à beaucoup, j'ai trouvé ce livre d'une pauvreté scénaristique assez stupéfiante.
Si l'histoire de base n'est pas trop mal, ce qu'en font les 2 auteurs est complètement nul.
1) LE LIVRE DE JACK:
Ca commence plutôt bien. Le jardin, le manoir, le livre, c'est pas mal...
Mais ensuite, ça foire complètement, y s'passe presque que dalle!
Il se transforme en monstre et veut redevenir normal. Voilà l'histoire du tome 1 dans son intégralité. Lu en 9 minutes chrono, et on arrive quand même à s'ennuyer, faut le faire!
Mais le dessin est effectivement excellent, donc, ce livre n'est pas un total navet, ouf.
2) LE LIVRE DE SAM:
Tout d’abord, mention spéciale pour la couverture qui est extraordinaire, tout comme les dessins à l'intérieur, d'ailleurs.
Mais sinon, c'est encore pire que le premier tome. Là encore, ça démarre fort, c'est beau, c'est captivant, c'est original,... Mais ça devient vite complètement zéro. Les textes ridicules, les situations idem,... Tout est raté.
La fuite du manoir est peut-être l'une des plus minable scène "d'aventure" qui m'ait été donné de lire en BD. La suite, c'est une vingtaine de pages sans surprises, ennuyeuses et sans intérêt particulier.
Bref, une longue histoire à oublier illico.
Mais 4/5 au dessin, malgré tout.
Et je ne vais pas trop cracher sur le scénariste car j'ai adoré Gargouille.
Mais sinon, cette série ne vaut vraiment pas le détour.
Ca aurait pu être un conte mignon, au final ça ne vole pas plus haut qu'un épisode de "chair de poule".
Ajoutez à cela un tome deux incompréhensible, au découpage hasardeux et vous voilà devant un beau raté.
Alors là, pas grand chose à dire, si ce n'est que les textes sont franchement moyens, qu'il n'y a pas de chutes (ou si peu) et que les situtions sont pas souvent très originales.
Du coup, scénariquement, c'est pas terrible.
Mais c'est vrai que tout le charme du bouquin réside dans l'originalité. Une BD sans dessin, étonnant non?
Donc, rien que pour ça, 2/5.
Sinon, vraiment rien d'exceptionnel.
Je mets un bon 2, dirons-nous, parce que j'ai lu les deux tomes sans trop de problème finalement, mais la vérité est que ça ne m'a pas beaucoup passionné. Le canevas de départ est assez sympa, mais c'est l'évolution de l'intrigue qui pêche carrément; c'est haché et souvent sans queue ni tête; les situations et les scènes s'enchaînent sans lien apparent et on se trouve au milieu d'un patchwork de situations auxquelles on ne comprend pas grand chose (ça s'éclaircit à la fin du tome 1 pour s'obscurcir de nouveau dans le tome 2). C'est pas désagréable mais ça s'oublie aussi sec.
Au niveau dessin, c'est plutôt joli mais c'est globalement assez maladroit (proportions, perspectives) notamment dans le tome 1 où de nombreuses coquilles parsèment les pages. En même temps, Valp doit pas avoir plus de 21 ou 22 ans et elle assume la totalité de cet album, ce qui est carrément courageux. Gageons que cette très belle jeune femme :) s'améliorera avec le temps et l'expérience.
Je pense que j'ai dû lire tous les albums au moins une fois étant petit. Et à ce que je me souvienne, je trouvais ça pas mal. Mais lorsque je les ai ressortis tout poussiéreux de ma bibliothèque, hier, je me disais que sans doute, je trouverais ça vachement ringard, aujourd'hui.
Et en effet, "les 4 as" ont pris un sacré coup de vieux. Mais pas autant que ce que je craignais. Bon, les dessins sont pas terribles, mais je ne me souvenais pas que certains gags étaient aussi recherchés et que les personnages étaient aussi drôles (à part Dina qui m'énerve à chaque fois). C'est souvent marrant, et j'adore les gags répétitifs comme lorsque les 2 flics tombent dans l'eau ou quand Oscar (le chien) broie du noir. C'est même absurde par moment.
Alors pourquoi une si mauvaise note, si tout est génial?
Eh ben justement, parce que tout ne l'est pas. J'ai déjà parlé plus haut des médiocres dessins, donc, je me pencherai maintenant sur le scénario. Alors en dehors des histoires qui sont franchement pas terribles, certains gags et textes sont carrément nuls. C'est lourd, c'est barbant...
Bon, c'est assez divertissant, mais c'est vraiment dommage que l'ensemble soit si enfantin. Je suis sûr que, lisant certains passages excellents, les auteurs auraient pu faire des 4 as une excellente BD d'humour et d'aventure pour ados. Mais enfin, c'est un genre que certains aiment, sans doute.
J'aime bien découvrir de nouveaux mangas, me dire qu'une nouvelle série va intégrer ma biblio parmi celles que j'ai bien aimées, et ainsi lire et relire de bonnes histoires... J'aime bien la petite impatience dans l'attente de la sortie du nouveau tome parce que le dernier nous a laissé sur un petit suspense... J'aime bien quand je lis le tome 1 d'une nouvelle série avant de l'acheter pour découvrir qu'heureusement il n'y a pas eu d'achat.
Et oui, voilà un manga qui devra faire un effort pour que je puisse augmenter ma note et conseiller son achat...
Je ne dis pas que l'histoire est nulle et irrécupérable, ce n'est pas le cas, mais il n'y a pas eu le truc qui fait que je suis énervée quand j'arrive à la dernière page et que je n'ai pas la suite... Franchement, c'est assez développé comme premier tome et c'est pas mal dans ce genre d'histoire, mais il y avait, comment dire, trop de "gnagnagna" (des moments inutiles en gros) et ce n'est pas un truc dont je raffole... Et, si les scènes de combat se finissent dans la seconde où Ayato entre dans le robot, je vais pas trop aimer... Ca me rappelle Bioman et, ok, j'aimais beaucoup quand j'étais petiote mais à l'époque c'était normal ! Donc tout ça pour dire que j'espère que la scène de ce tome ne sera pas renouvelée parce que, comme scène d'action, j'ai vu mieux !
Les dessins, avec les petits détails propres aux mangas, sont assez réussis je trouve. Si par la suite nous avons une évolution dans les illustrations (comme on le remarque dans presque tous les mangas), je dois dire que ce premier tome sera une très bonne base pour cela (ces quelques lignes me donnent presque envie de rajouter une étoile mais... naaaaaaaaaaaaaaaaaan).
Jugement final avec les prochaines tomes...
(z'avez vu, ce manga est aussi un jeux vidéo, un dessin animé et même un film, il existe en cartes mais je n'en ai jamais entendu parler !!! and you ?)
Effectivement, ce premier tome n'est guère qu'une introduction (jeu de mots extrêmement subtil, HEM !) et s'arrête un peu abruptement.
L'histoire est comme le dessin : standard et insipide. Un fond d'heroïc-fantasy mélangé à un soupçon de post-apocalyptique, sans imagination, sans inventivité, rappelant de loin "Ken le survivant" pour le thème "de fond" (notez les guillemets). C'est ce genre d'histoire qui à force de répétition donne une connotation négative au genre auquel elle appartient, et ce genre de dessin complètement "manufacturé" et sans personnalité qui fait croire encore à certains que le manga "c'est toujours la même chose".
Alors évidemment il y a les scènes de cul, environ une par chapitre, un peu noyées au milieu de l'histoire. En général ce sont des viols, soit quelque chose que je trouve plutôt répugnant, en tout cas pas très excitant. Et puis bon, le coup du gros monstre façon "Urotsukidoji", bof.
Au final ce n'est pas mauvais, c'est même largement du niveau d'autres mangas "pas de cul" pour l'histoire et les dessins (qui sont tout de même assez jolis), mais c'est simplement insipide.
(Tome 1 uniquement)
Bof, en effet. D'un style assez pictural donc très peu touchant, l'humour fonctionne assez mal. Les gags sont souvent trop abrupts, mal amenés, parfois difficiles à comprendre, et dans le fond tout simplement pas drôles.
Le côté muet n'ajoute rien à ces strips, au contraire : on comprend encore moins et il donne l'impression d'être plutôt mal utilisé.
En plus, au vu de quelques recherches faites pour trouver les couvertures, j'ai la désagréable impression que l'auteur se prend pour un artiste... Si c'est le cas, laissons-le et lisons autre chose de plusse mieux.
Seule originalité : le format. Trois fois plus large que haut. Ah bon.
Alors là, je le dis franchement, ça m'embête vraiment de devoir noter cette série. Parce que c'est vrai qu'objectivement, c'est pas grandiose, comme BD, les "Paparazzi". Dans le journal Spirou, ça passe volontier mais ça reste l'un des plus gros bides de maître Raoul.
Bon, l'idée de base est plutôt bonne (c'est vrai que rien n'avait été fait avant sur les paparazzis en BD, je crois), et certains gags sont pas mal du tout. C'est vrai aussi que c'est toujours raconté avec autant de bon goût et de poésie.
Il n'empêche que c'est pas génial. Les dessins sont pas terribles et malheureusement, la plupart des gags se ressemblent beaucoup.
Donc, Cauvin nous a habitué à mille fois mieux.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
L'Association au Mexique
Ces quatre "histoires" sont très hétérogènes, tout d'abord au niveau graphique. Là où le récit de Thomas Ott (La douane, La bête à 5 doigts, Exit) est graphiquement superbe, noir, symbolique et celui de Vanoli toujours aussi particulier, les deux autres sont... complètement différents. Le premier (Dominique Goblet) est assez enfantin dans son style, avec des passages beaucoup plus picturaux, allant plus lorgner du côté de l'art graphique que de la bd. Celui de Caroline Sury par contre, je l'ai trouvé... carrément moche, en fait. Laid, pas beau, à la limite du dégoût. Eh oui. :( Au niveau de "l'histoire", eh bien c'est là que je suis "loin d'être convaincu", pour employer un euphémisme. Les différents récits n'apportent à mon avis pas grand-chose, voire même rien... Récits assez bateau d'un tourisme plus ou moins banal, je suis resté d'un bout à l'autre complètement inintéressé. Même Ott dont pourtant le dessin est exquis et ici symbolique ne m'a pas touché. Vanoli fait d'agréables efforts d'explications de la situation du Mexique, mais ne réussit tout de même pas à capter le lecteur... Bref, album aussi inintéressant que dispensable (très).
Les Livres de Vie (Le Livre de Jack / Sam)
Je m'excuse, mais contrairement à beaucoup, j'ai trouvé ce livre d'une pauvreté scénaristique assez stupéfiante. Si l'histoire de base n'est pas trop mal, ce qu'en font les 2 auteurs est complètement nul. 1) LE LIVRE DE JACK: Ca commence plutôt bien. Le jardin, le manoir, le livre, c'est pas mal... Mais ensuite, ça foire complètement, y s'passe presque que dalle! Il se transforme en monstre et veut redevenir normal. Voilà l'histoire du tome 1 dans son intégralité. Lu en 9 minutes chrono, et on arrive quand même à s'ennuyer, faut le faire! Mais le dessin est effectivement excellent, donc, ce livre n'est pas un total navet, ouf. 2) LE LIVRE DE SAM: Tout d’abord, mention spéciale pour la couverture qui est extraordinaire, tout comme les dessins à l'intérieur, d'ailleurs. Mais sinon, c'est encore pire que le premier tome. Là encore, ça démarre fort, c'est beau, c'est captivant, c'est original,... Mais ça devient vite complètement zéro. Les textes ridicules, les situations idem,... Tout est raté. La fuite du manoir est peut-être l'une des plus minable scène "d'aventure" qui m'ait été donné de lire en BD. La suite, c'est une vingtaine de pages sans surprises, ennuyeuses et sans intérêt particulier. Bref, une longue histoire à oublier illico. Mais 4/5 au dessin, malgré tout. Et je ne vais pas trop cracher sur le scénariste car j'ai adoré Gargouille. Mais sinon, cette série ne vaut vraiment pas le détour.
Les Livres de Vie (Le Livre de Jack / Sam)
Ca aurait pu être un conte mignon, au final ça ne vole pas plus haut qu'un épisode de "chair de poule". Ajoutez à cela un tome deux incompréhensible, au découpage hasardeux et vous voilà devant un beau raté.
On éteint la lumière... On se dit tout
Alors là, pas grand chose à dire, si ce n'est que les textes sont franchement moyens, qu'il n'y a pas de chutes (ou si peu) et que les situtions sont pas souvent très originales. Du coup, scénariquement, c'est pas terrible. Mais c'est vrai que tout le charme du bouquin réside dans l'originalité. Une BD sans dessin, étonnant non? Donc, rien que pour ça, 2/5. Sinon, vraiment rien d'exceptionnel.
Lock
Je mets un bon 2, dirons-nous, parce que j'ai lu les deux tomes sans trop de problème finalement, mais la vérité est que ça ne m'a pas beaucoup passionné. Le canevas de départ est assez sympa, mais c'est l'évolution de l'intrigue qui pêche carrément; c'est haché et souvent sans queue ni tête; les situations et les scènes s'enchaînent sans lien apparent et on se trouve au milieu d'un patchwork de situations auxquelles on ne comprend pas grand chose (ça s'éclaircit à la fin du tome 1 pour s'obscurcir de nouveau dans le tome 2). C'est pas désagréable mais ça s'oublie aussi sec. Au niveau dessin, c'est plutôt joli mais c'est globalement assez maladroit (proportions, perspectives) notamment dans le tome 1 où de nombreuses coquilles parsèment les pages. En même temps, Valp doit pas avoir plus de 21 ou 22 ans et elle assume la totalité de cet album, ce qui est carrément courageux. Gageons que cette très belle jeune femme :) s'améliorera avec le temps et l'expérience.
Les 4 As
Je pense que j'ai dû lire tous les albums au moins une fois étant petit. Et à ce que je me souvienne, je trouvais ça pas mal. Mais lorsque je les ai ressortis tout poussiéreux de ma bibliothèque, hier, je me disais que sans doute, je trouverais ça vachement ringard, aujourd'hui. Et en effet, "les 4 as" ont pris un sacré coup de vieux. Mais pas autant que ce que je craignais. Bon, les dessins sont pas terribles, mais je ne me souvenais pas que certains gags étaient aussi recherchés et que les personnages étaient aussi drôles (à part Dina qui m'énerve à chaque fois). C'est souvent marrant, et j'adore les gags répétitifs comme lorsque les 2 flics tombent dans l'eau ou quand Oscar (le chien) broie du noir. C'est même absurde par moment. Alors pourquoi une si mauvaise note, si tout est génial? Eh ben justement, parce que tout ne l'est pas. J'ai déjà parlé plus haut des médiocres dessins, donc, je me pencherai maintenant sur le scénario. Alors en dehors des histoires qui sont franchement pas terribles, certains gags et textes sont carrément nuls. C'est lourd, c'est barbant... Bon, c'est assez divertissant, mais c'est vraiment dommage que l'ensemble soit si enfantin. Je suis sûr que, lisant certains passages excellents, les auteurs auraient pu faire des 4 as une excellente BD d'humour et d'aventure pour ados. Mais enfin, c'est un genre que certains aiment, sans doute.
RahXephon
J'aime bien découvrir de nouveaux mangas, me dire qu'une nouvelle série va intégrer ma biblio parmi celles que j'ai bien aimées, et ainsi lire et relire de bonnes histoires... J'aime bien la petite impatience dans l'attente de la sortie du nouveau tome parce que le dernier nous a laissé sur un petit suspense... J'aime bien quand je lis le tome 1 d'une nouvelle série avant de l'acheter pour découvrir qu'heureusement il n'y a pas eu d'achat. Et oui, voilà un manga qui devra faire un effort pour que je puisse augmenter ma note et conseiller son achat... Je ne dis pas que l'histoire est nulle et irrécupérable, ce n'est pas le cas, mais il n'y a pas eu le truc qui fait que je suis énervée quand j'arrive à la dernière page et que je n'ai pas la suite... Franchement, c'est assez développé comme premier tome et c'est pas mal dans ce genre d'histoire, mais il y avait, comment dire, trop de "gnagnagna" (des moments inutiles en gros) et ce n'est pas un truc dont je raffole... Et, si les scènes de combat se finissent dans la seconde où Ayato entre dans le robot, je vais pas trop aimer... Ca me rappelle Bioman et, ok, j'aimais beaucoup quand j'étais petiote mais à l'époque c'était normal ! Donc tout ça pour dire que j'espère que la scène de ce tome ne sera pas renouvelée parce que, comme scène d'action, j'ai vu mieux ! Les dessins, avec les petits détails propres aux mangas, sont assez réussis je trouve. Si par la suite nous avons une évolution dans les illustrations (comme on le remarque dans presque tous les mangas), je dois dire que ce premier tome sera une très bonne base pour cela (ces quelques lignes me donnent presque envie de rajouter une étoile mais... naaaaaaaaaaaaaaaaaan). Jugement final avec les prochaines tomes... (z'avez vu, ce manga est aussi un jeux vidéo, un dessin animé et même un film, il existe en cartes mais je n'en ai jamais entendu parler !!! and you ?)
Zioïd - Le premier continent
Effectivement, ce premier tome n'est guère qu'une introduction (jeu de mots extrêmement subtil, HEM !) et s'arrête un peu abruptement. L'histoire est comme le dessin : standard et insipide. Un fond d'heroïc-fantasy mélangé à un soupçon de post-apocalyptique, sans imagination, sans inventivité, rappelant de loin "Ken le survivant" pour le thème "de fond" (notez les guillemets). C'est ce genre d'histoire qui à force de répétition donne une connotation négative au genre auquel elle appartient, et ce genre de dessin complètement "manufacturé" et sans personnalité qui fait croire encore à certains que le manga "c'est toujours la même chose". Alors évidemment il y a les scènes de cul, environ une par chapitre, un peu noyées au milieu de l'histoire. En général ce sont des viols, soit quelque chose que je trouve plutôt répugnant, en tout cas pas très excitant. Et puis bon, le coup du gros monstre façon "Urotsukidoji", bof. Au final ce n'est pas mauvais, c'est même largement du niveau d'autres mangas "pas de cul" pour l'histoire et les dessins (qui sont tout de même assez jolis), mais c'est simplement insipide.
Stripbook
(Tome 1 uniquement) Bof, en effet. D'un style assez pictural donc très peu touchant, l'humour fonctionne assez mal. Les gags sont souvent trop abrupts, mal amenés, parfois difficiles à comprendre, et dans le fond tout simplement pas drôles. Le côté muet n'ajoute rien à ces strips, au contraire : on comprend encore moins et il donne l'impression d'être plutôt mal utilisé. En plus, au vu de quelques recherches faites pour trouver les couvertures, j'ai la désagréable impression que l'auteur se prend pour un artiste... Si c'est le cas, laissons-le et lisons autre chose de plusse mieux. Seule originalité : le format. Trois fois plus large que haut. Ah bon.
Les Paparazzi
Alors là, je le dis franchement, ça m'embête vraiment de devoir noter cette série. Parce que c'est vrai qu'objectivement, c'est pas grandiose, comme BD, les "Paparazzi". Dans le journal Spirou, ça passe volontier mais ça reste l'un des plus gros bides de maître Raoul. Bon, l'idée de base est plutôt bonne (c'est vrai que rien n'avait été fait avant sur les paparazzis en BD, je crois), et certains gags sont pas mal du tout. C'est vrai aussi que c'est toujours raconté avec autant de bon goût et de poésie. Il n'empêche que c'est pas génial. Les dessins sont pas terribles et malheureusement, la plupart des gags se ressemblent beaucoup. Donc, Cauvin nous a habitué à mille fois mieux.