Pas terrible.
Après le surprenant Spirale, j'attendais avec impatience un bon manga d'horreur, et j'ai guetté l'arrivée du Manoir... Malheureusement, la sauce ne prend pas.
Les historiettes ne présentent souvent aucun intérêt, trop courtes, mal développées, chute trop rapide... Autant de défauts qu'il y avait de qualités dans Spirale.
La mise en scène rappelle Green Manor, avec un fil conducteur, mais il est ridicule. Or, ce qui est ridicule ne fait pas peur.
Je dois avouer que dès le départ cette série partait mal pour moi car c'est exactement le type de BD que je n'aime guère.
L'aspect historique des aventures de Louis Ferchot est largement mis en avant dans cette série. Le pauvre Louis est ballotté au gré des évènements de l'Histoire Européenne puis Américaine entre la première et la seconde guerre mondiale. Une chronique en début et fin d'album resitue même l'action dans son contexte historique et politique.
En ce qui concerne le dessin, il est à mon goût très moyen. Très réaliste, il est servi par des couleurs assez ternes et le tout me parait plutôt lugubre. J'ai même vu à l'occasion d'énormes erreurs de perspectives et d'échelles (des personnages minuscules comparés aux bâtiments à côté d'eux par exemple). Bref, je n'aime pas franchement.
Puis ensuite les histoires et aventures de Louis la Guigne en elles-mêmes ne m'ont pas du tout captivé. J'y sens largement plus une errance sans but réel, un touche-à-tout évènementiel avec quelques dénonciations du facisme de certains gouvernements et peuples, qu'une histoire ficelée et prenante.
Et par-dessus le marché, le personnage même de Louis Ferchot m'est antipathique. Le style du socialo-anarchiste en rébellion contre la société, lui-même un peu égoïste mais qui pense au bien de ses compagnons de fortune, ça me gave très rapidement.
Bref, une BD pas pour moi mais qui peut plaire aux amateurs d'Histoire et d'aventures teintées de politique historique.
Mouais, bah bof hein... Non pas que ce soit réellement mauvais, non non, mais c'est "juste" très très moyen, voire même chiant par moments.
J'avais bien aimé le dessin après avoir feuilleté, mais finalement, il est assez approximatif, passant du semi-réalisme sur certaines cases à une tentative d'influence cartoon à la suivante. Le résultat, bien qu'intéressant, est en-deça de ce à quoi je m'attendais.
L'histoire en elle-même est décevante elle aussi. L'idée était clairement bonne, mais elle est bien mal exploitée.
L'humour ? euh... quel humour ?
Du coup, il y a quand même certaines qualités à cet album, mais pas assez pour en faire un vrai moment de détente...
Oui, bon ben voilà, hein, on ne peut pas être bon partout, non plus, sinon ça fait des jaloux...
En fait, ce n'est pas vraiment drôle, et certainement pas original, je suis à peu près sûre d'avoir déjà vu les gags dans d'autres BD. Le dessin n'est pas mauvais, mais bon, quand le scénar ne suit pas, difficile d'encenser le dessin.
J'ai abandonné la lecture assez tôt, parce que ça devient vite pénible.
Moui, bof, c'est gentillet, un peu râbaché, ça se lit vite et ça s'oublie vite.
Le dessin est sympa, c'est d'ailleurs pour ça que j'ai acheté l'album, mais ça ne fait pas tout.
Ca manque un peu de ryhtme, et peut-être d'une idée originale.
J'ai un avis très partagé sur cet album. D'un côté, le dessin est plutôt beau, de l'autre, je le trouve trop lisse, trop "maitrisé", comme si l'auteur n'avait pas osé se démarquer.
Les couleurs pastel sont réussies, mais trop naïves, trop "plates".
D'un côté, l'histoire est touchante, de l'autre, elle m'énerve avec ses bonnes intentions.
D'un côté, je suis touchée par cette petite fille qui a perdu la raison (et ses ailes), de l'autre, elle m'agace.
Comme si je savais au fond de moi, en fait, que l'auteur et moi n'avons pas le même point de vue quant à la manière de traiter la chose.
Du coup, difficile de me prononcer sur l'album. La suite m'éclaircira peut-être un peu.
Le dessin est vraiment très sympa, très doux, et semble être déjà maîtrisé malgré le peu d'expérience de la dessinatrice. Là dessus, gros bon point, pas de doute.
Dommage, ce sera le seul bon point que j'attribuerai à ce 1er tome (puisque je ne compte absolument pas lire la suite !) puisqu'il se révèle profondément chiant finalement.
En fait, c'est surtout niais au possible, c'est typiquement de la bd pour collégienne (excusez moi les non-collégiennes qui ont aimé) tant ça se veut doucement poétique alors qu'on ne dépasse pas le mielleux.
Bref, ça va à 2 à l'heure, c'est relou au possible.
Mouais, ce n'est pas un mauvais 1er album, c'est juste très moyen quoi.
En fait, ça manque d'originalité et d'efficacité du début à la fin, tant pour le scénar que pour le dessin.
Et voilà, j'ai trop rien à dire... Il n'y a ni qualités ni défaut remarquables, c'est juste d'une banalité affligeante (et forcément rapidement chiante)
Ce qui me gêne le plus dans cette bd, c'est le découpage. Le dessin non plus n'est pas terrible et comme les cases sont toutes petites, on a une impression de fouillis, ce qui rend la lecture plutôt laborieuse. De plus, comme les dessins sont pour le moins simplistes, il est difficile de montrer aux enfants l'image qui illustre le récit.
Côté scénario, le conte interactif n'est pas compatible, à mon sens, avec la dose de poésie nécessaire dans les récits pour enfants. Non, vraiment, cette bd ne m'a pas convaincu.
Déjà que je n'aime pas des masses le dessin de Bercovici, avec son côté bâclé et faiblard, si en plus le scénario est du même tonneau, difficile pour moi de m'attacher à cette série. Comme l'a fait remarquer l'illustre Ro, un trop grand nombre d'entre eux semblent spécifiquement tournés vers la culture russe post-soviétique pour qu'on comprenne réellement leur implication et leur profondeur. Pour le reste des gags, ils sont vraiment ou trop téléphonés ou trop usés jusqu'à la corde pour qu'on les apprécie vraiment.
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Le Manoir de l'horreur
Pas terrible. Après le surprenant Spirale, j'attendais avec impatience un bon manga d'horreur, et j'ai guetté l'arrivée du Manoir... Malheureusement, la sauce ne prend pas. Les historiettes ne présentent souvent aucun intérêt, trop courtes, mal développées, chute trop rapide... Autant de défauts qu'il y avait de qualités dans Spirale. La mise en scène rappelle Green Manor, avec un fil conducteur, mais il est ridicule. Or, ce qui est ridicule ne fait pas peur.
Louis la Guigne
Je dois avouer que dès le départ cette série partait mal pour moi car c'est exactement le type de BD que je n'aime guère. L'aspect historique des aventures de Louis Ferchot est largement mis en avant dans cette série. Le pauvre Louis est ballotté au gré des évènements de l'Histoire Européenne puis Américaine entre la première et la seconde guerre mondiale. Une chronique en début et fin d'album resitue même l'action dans son contexte historique et politique. En ce qui concerne le dessin, il est à mon goût très moyen. Très réaliste, il est servi par des couleurs assez ternes et le tout me parait plutôt lugubre. J'ai même vu à l'occasion d'énormes erreurs de perspectives et d'échelles (des personnages minuscules comparés aux bâtiments à côté d'eux par exemple). Bref, je n'aime pas franchement. Puis ensuite les histoires et aventures de Louis la Guigne en elles-mêmes ne m'ont pas du tout captivé. J'y sens largement plus une errance sans but réel, un touche-à-tout évènementiel avec quelques dénonciations du facisme de certains gouvernements et peuples, qu'une histoire ficelée et prenante. Et par-dessus le marché, le personnage même de Louis Ferchot m'est antipathique. Le style du socialo-anarchiste en rébellion contre la société, lui-même un peu égoïste mais qui pense au bien de ses compagnons de fortune, ça me gave très rapidement. Bref, une BD pas pour moi mais qui peut plaire aux amateurs d'Histoire et d'aventures teintées de politique historique.
Sexy Gun
Mouais, bah bof hein... Non pas que ce soit réellement mauvais, non non, mais c'est "juste" très très moyen, voire même chiant par moments. J'avais bien aimé le dessin après avoir feuilleté, mais finalement, il est assez approximatif, passant du semi-réalisme sur certaines cases à une tentative d'influence cartoon à la suivante. Le résultat, bien qu'intéressant, est en-deça de ce à quoi je m'attendais. L'histoire en elle-même est décevante elle aussi. L'idée était clairement bonne, mais elle est bien mal exploitée. L'humour ? euh... quel humour ? Du coup, il y a quand même certaines qualités à cet album, mais pas assez pour en faire un vrai moment de détente...
Igor et les monstres
Oui, bon ben voilà, hein, on ne peut pas être bon partout, non plus, sinon ça fait des jaloux... En fait, ce n'est pas vraiment drôle, et certainement pas original, je suis à peu près sûre d'avoir déjà vu les gags dans d'autres BD. Le dessin n'est pas mauvais, mais bon, quand le scénar ne suit pas, difficile d'encenser le dessin. J'ai abandonné la lecture assez tôt, parce que ça devient vite pénible.
Harrison & Holmes
Moui, bof, c'est gentillet, un peu râbaché, ça se lit vite et ça s'oublie vite. Le dessin est sympa, c'est d'ailleurs pour ça que j'ai acheté l'album, mais ça ne fait pas tout. Ca manque un peu de ryhtme, et peut-être d'une idée originale.
Elle
J'ai un avis très partagé sur cet album. D'un côté, le dessin est plutôt beau, de l'autre, je le trouve trop lisse, trop "maitrisé", comme si l'auteur n'avait pas osé se démarquer. Les couleurs pastel sont réussies, mais trop naïves, trop "plates". D'un côté, l'histoire est touchante, de l'autre, elle m'énerve avec ses bonnes intentions. D'un côté, je suis touchée par cette petite fille qui a perdu la raison (et ses ailes), de l'autre, elle m'agace. Comme si je savais au fond de moi, en fait, que l'auteur et moi n'avons pas le même point de vue quant à la manière de traiter la chose. Du coup, difficile de me prononcer sur l'album. La suite m'éclaircira peut-être un peu.
Elle
Le dessin est vraiment très sympa, très doux, et semble être déjà maîtrisé malgré le peu d'expérience de la dessinatrice. Là dessus, gros bon point, pas de doute. Dommage, ce sera le seul bon point que j'attribuerai à ce 1er tome (puisque je ne compte absolument pas lire la suite !) puisqu'il se révèle profondément chiant finalement. En fait, c'est surtout niais au possible, c'est typiquement de la bd pour collégienne (excusez moi les non-collégiennes qui ont aimé) tant ça se veut doucement poétique alors qu'on ne dépasse pas le mielleux. Bref, ça va à 2 à l'heure, c'est relou au possible.
Tard dans la nuit
Mouais, ce n'est pas un mauvais 1er album, c'est juste très moyen quoi. En fait, ça manque d'originalité et d'efficacité du début à la fin, tant pour le scénar que pour le dessin. Et voilà, j'ai trop rien à dire... Il n'y a ni qualités ni défaut remarquables, c'est juste d'une banalité affligeante (et forcément rapidement chiante)
Allez raconte (Papa raconte)
Ce qui me gêne le plus dans cette bd, c'est le découpage. Le dessin non plus n'est pas terrible et comme les cases sont toutes petites, on a une impression de fouillis, ce qui rend la lecture plutôt laborieuse. De plus, comme les dessins sont pour le moins simplistes, il est difficile de montrer aux enfants l'image qui illustre le récit. Côté scénario, le conte interactif n'est pas compatible, à mon sens, avec la dose de poésie nécessaire dans les récits pour enfants. Non, vraiment, cette bd ne m'a pas convaincu.
Leonid et Spoutnika
Déjà que je n'aime pas des masses le dessin de Bercovici, avec son côté bâclé et faiblard, si en plus le scénario est du même tonneau, difficile pour moi de m'attacher à cette série. Comme l'a fait remarquer l'illustre Ro, un trop grand nombre d'entre eux semblent spécifiquement tournés vers la culture russe post-soviétique pour qu'on comprenne réellement leur implication et leur profondeur. Pour le reste des gags, ils sont vraiment ou trop téléphonés ou trop usés jusqu'à la corde pour qu'on les apprécie vraiment.