=> Une grosse déception à la lecture de ce nouvel album signé par Simon Hureau, auteur qui m'a toujours enthousiasmé. (ses précédents albums Palaces, Bureau des prolongations voire Colombe et la Horde sortaient véritablement du lot parmi la production actuelle)
Ce n'est pas le dessin qui est en cause (les couleurs et le dessin restent toujours aussi soignés).
Je n'ai vraiment pas accroché à cette histoire de gosses, assez naïve et qui offre peu de surprise au lecteur. Du déjà vu, comme Le Club des Cinq contre.... ou encore un ersatz de La Patrouille des Castors, je n'ai pas ressenti la magie annoncée en 4ième plat.
J'ai eu l'impression de suivre une histoire somme toute assez banale... dommage car Simon Hureau m'avait habitué à mieux par le passé.
Est-ce son passage aux éditions Delcourt, qui oblige l'auteur à une histoire plus formatée ?
Bref, je n'ai trouvé que peu d'intérêt dans cet album.
Je suis désolé de contrer toute cette joyeuseté d'avis mais qu'y a t-il de vraiment palpitant ? Et je me retrouve dans certains avis qui trouvent ça lent, assez ennuyeux malgré tout l'intérêt qu'on peut avoir pour ces super-héros à contre-courant. Par exemple les passages avec le gamin qui lit de la bd et le marchand de journaux, c'est d'un ennui et qu'est ce que ça apporte ? Ce qui m'a un peu plus accroché c'est l'histoire de Rorshach (pas sûr de l'ortho) et à la rigueur du mec bleu nucléaire je sais plus son nom.
En plus les couleurs sont vraiment très moches, et le bouquin n'est pas donné. Bon je caricature un peu mais j'ai été vraiment déçu vu tout le bien qu'on en dit. Décidément les comics c'est spé.
J'ai longtemps été un grand amateur de X-Files mais franchement cette BD là ne m'a pas plu du tout. Je n'ai lu que le premier tome mais je m'arrêterai là. Pour moi c'est un mélange entre un mauvais épisode de X-Files et une mauvaise BD de Pif et Hercule. Le dessin est grossier et souvent tellement mal foutu que certaines images sont dures à déchiffrer. L'humour m'est passé à des lieues. Et le scénario, même s'il se finit sur une scène pas trop mauvaise du siège de la cabane par des "monstres sanguinaires", ne casse franchement pas des briques ni par son originalité ni par son interêt.
Vraiment moyen ces gags. En fait non la plupart sont bien sentis, très perspicaces de la part de Lécroart mais je vois assez peu d'intérêt d'acheter ça en album.
Dessin ok, en couleur ça change et c'est réussi.
Qu'est ce que ça vous fait pas acheter les soldes.
Le scénario, c'est du Jodorowsky classique ; donc vous trouverez ça bon si vous êtes fan, ou bien nul. Moi, comme souvent avec Jodorowsky, j'ai pas aimé. Je suis certainement trop indécrotablement cartésien pour apprécier le fantastique et la spiritualité de cet homme. Mais des esprits plus ouverts que le mien pourront éventuellement juger cette histoire favorablement.
Le dessin est un peu froid, mais bon.
Je vais être assez sévère sur cette BD somme toute assez moyenne.
Tout d'abord, le scénario est sensé se dérouler dans la fin des années 50 (si on en croit les voitures dessinées) et quelques anachronismes sont flagrants : le Ministère des Finances est situé (voir page 11) à Bercy au lieu du Louvre, des ordinateurs sont présents (voir page 10), et enfin j'ai des doutes sur la pratique du "lifting (planche 26) et encore je passe volontairement sous silence le nom des grades de policiers de la page 3 (commandant, capitaine et lieutenant) qui correspond au grade rénové des officiers de polices de la fin des années 90. Au niveau du scénario, c'est plaisant mais sans plus : un Einstein de supérette qui découvre une pilule de la chance, testée sur un quidam abonné à la chance depuis sa naissance (Bref c'est le scénario de "la chèvre" de Francis Weber à l'envers).
Pour les dessins, le personnage principal de ce premier opus est sans nul doute le commissaire (ah ! non, soyons moderne), le commandant Brouillard, véritable aboutissement d'un mélange du commissaire Pradier, de Maigret et de Jean Gabin, bref aucune imagination.
En résumé, album tout à fait dispensable.
La grande erreur des auteurs est sans doute d'avoir illustré dans ce premier opus une histoire que tout le monde connait (soit par la lecture du "Livre de la jungle" de Kipling, soit par le dessin animé éponyme de Disney). Desberg aurait dû débuter son scénario là où Disney avait achevé son film, à savoir le retour de Mowgli chez les hommes. Les animaux paraissent parfois simplistes sous le dessin de Reculé (comme Baloo), voire inexpressifs (comme Bagheera qui a toujours le même "visage" figé quelque soit son humeur).
En conclusion, voici donc un album que l'on attendait depuis plus d'un an (et dont la sortie était retardée à cause de droits d'auteur) et qui m'a beaucoup déçu. Espérons que le deuxième volet des aventures de Mowgli soit moins académique que ce premier opus, qui pourrait s'intituler plus simplement "Le livre de la jungle".
Cette BD était annoncée depuis longtemps et en l'achetant, je me suis dis "chouette, enfin une histoire de pirates, en avant pour l'aventure et l'île de la tortue !". Au final, une déception, non au niveau du dessin de Guéra, qui reste d'une grande qualité (voire très minutieux) mais au niveau du scénario qui est confus ! J'ai du mal à suivre les personnages, d'autant plus que les phylactères relèvent parfois (souvent ?) des pattes de mouches ! Une loupe devrait être livrée avec cet opus en lieu et place de l'ex libris de Juillard. Bref, un grande déception.
Que vois-je, une BD signée Corbeyran dans laquelle on ne voit ni monstre, ni meurtre en série, ni cauchemar. Bref, un Corbeyran bucolique ! Pourtant, ce changement de cap ne me convient guère. Je trouve que l'histoire est un peu laborieuse au démarrage (l'explication entre Huguette et Paul -pages 11 à 15- est trop longue). En outre quelques personnages et intrigues auraient mérité un meilleur développement dans l'histoire (Tels quels, ils n'apportent en effet rien au scénario, sauf à rajouter quelques pages), comme l'aventure du châtelain et de son trésor, la romance de Marc et Amélie, le language du fada, la mésaventure des deux touristes...
Quant à la chute de l'histoire, elle est en elle même superficielle. Cette conclusion deus ex machina n'apporte rien à l'ensemble.
Une BD bien décevante au regard d'une idée de base originale de scénario. Le dessin pourtant colle assez bien à l'ambiance champêtre de l'histoire.
Dommage....
Je n'avais pas aimé la série Poème Rouge, publiée chez Glénat, du dessinateur Wachs. Beaucoup de questions sans réponses dans ce one shot (d'où proviennent les pouvoirs de l'héroïne, que devient-elle ?).
L'idée de base du scénariste est intéressante : un entretien avec chaque protagoniste, qui fait songer à une enquête policière. Mais par la suite, on a du mal à réaliser le lien qui existe entre l'histoire de cette maudite gamine et cette légende du moyen âge (d'ailleurs expliquée de manière très succincte sur la page de garde). En outre, les pleines pages n'apportent, à mon sens, rien à l'histoire.
Enfin, j'ai vraiment du mal avec le dessin de Wachs : je ne tombe pas sous le charme de Mélusine. Album décevant qui est loin de me réconcilier avec ce dessinateur.
La collection "La Loge Noire" de Glénat me déçoit de plus en plus.
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L'Empire des hauts murs
=> Une grosse déception à la lecture de ce nouvel album signé par Simon Hureau, auteur qui m'a toujours enthousiasmé. (ses précédents albums Palaces, Bureau des prolongations voire Colombe et la Horde sortaient véritablement du lot parmi la production actuelle) Ce n'est pas le dessin qui est en cause (les couleurs et le dessin restent toujours aussi soignés). Je n'ai vraiment pas accroché à cette histoire de gosses, assez naïve et qui offre peu de surprise au lecteur. Du déjà vu, comme Le Club des Cinq contre.... ou encore un ersatz de La Patrouille des Castors, je n'ai pas ressenti la magie annoncée en 4ième plat. J'ai eu l'impression de suivre une histoire somme toute assez banale... dommage car Simon Hureau m'avait habitué à mieux par le passé. Est-ce son passage aux éditions Delcourt, qui oblige l'auteur à une histoire plus formatée ? Bref, je n'ai trouvé que peu d'intérêt dans cet album.
Watchmen
Je suis désolé de contrer toute cette joyeuseté d'avis mais qu'y a t-il de vraiment palpitant ? Et je me retrouve dans certains avis qui trouvent ça lent, assez ennuyeux malgré tout l'intérêt qu'on peut avoir pour ces super-héros à contre-courant. Par exemple les passages avec le gamin qui lit de la bd et le marchand de journaux, c'est d'un ennui et qu'est ce que ça apporte ? Ce qui m'a un peu plus accroché c'est l'histoire de Rorshach (pas sûr de l'ortho) et à la rigueur du mec bleu nucléaire je sais plus son nom. En plus les couleurs sont vraiment très moches, et le bouquin n'est pas donné. Bon je caricature un peu mais j'ai été vraiment déçu vu tout le bien qu'on en dit. Décidément les comics c'est spé.
Murder & Scoty
J'ai longtemps été un grand amateur de X-Files mais franchement cette BD là ne m'a pas plu du tout. Je n'ai lu que le premier tome mais je m'arrêterai là. Pour moi c'est un mélange entre un mauvais épisode de X-Files et une mauvaise BD de Pif et Hercule. Le dessin est grossier et souvent tellement mal foutu que certaines images sont dures à déchiffrer. L'humour m'est passé à des lieues. Et le scénario, même s'il se finit sur une scène pas trop mauvaise du siège de la cabane par des "monstres sanguinaires", ne casse franchement pas des briques ni par son originalité ni par son interêt.
Superlipopette
Vraiment moyen ces gags. En fait non la plupart sont bien sentis, très perspicaces de la part de Lécroart mais je vois assez peu d'intérêt d'acheter ça en album. Dessin ok, en couleur ça change et c'est réussi. Qu'est ce que ça vous fait pas acheter les soldes.
Les Technopères
Le scénario, c'est du Jodorowsky classique ; donc vous trouverez ça bon si vous êtes fan, ou bien nul. Moi, comme souvent avec Jodorowsky, j'ai pas aimé. Je suis certainement trop indécrotablement cartésien pour apprécier le fantastique et la spiritualité de cet homme. Mais des esprits plus ouverts que le mien pourront éventuellement juger cette histoire favorablement. Le dessin est un peu froid, mais bon.
Baraka
Je vais être assez sévère sur cette BD somme toute assez moyenne. Tout d'abord, le scénario est sensé se dérouler dans la fin des années 50 (si on en croit les voitures dessinées) et quelques anachronismes sont flagrants : le Ministère des Finances est situé (voir page 11) à Bercy au lieu du Louvre, des ordinateurs sont présents (voir page 10), et enfin j'ai des doutes sur la pratique du "lifting (planche 26) et encore je passe volontairement sous silence le nom des grades de policiers de la page 3 (commandant, capitaine et lieutenant) qui correspond au grade rénové des officiers de polices de la fin des années 90. Au niveau du scénario, c'est plaisant mais sans plus : un Einstein de supérette qui découvre une pilule de la chance, testée sur un quidam abonné à la chance depuis sa naissance (Bref c'est le scénario de "la chèvre" de Francis Weber à l'envers). Pour les dessins, le personnage principal de ce premier opus est sans nul doute le commissaire (ah ! non, soyons moderne), le commandant Brouillard, véritable aboutissement d'un mélange du commissaire Pradier, de Maigret et de Jean Gabin, bref aucune imagination. En résumé, album tout à fait dispensable.
Le Dernier Livre de la Jungle
La grande erreur des auteurs est sans doute d'avoir illustré dans ce premier opus une histoire que tout le monde connait (soit par la lecture du "Livre de la jungle" de Kipling, soit par le dessin animé éponyme de Disney). Desberg aurait dû débuter son scénario là où Disney avait achevé son film, à savoir le retour de Mowgli chez les hommes. Les animaux paraissent parfois simplistes sous le dessin de Reculé (comme Baloo), voire inexpressifs (comme Bagheera qui a toujours le même "visage" figé quelque soit son humeur). En conclusion, voici donc un album que l'on attendait depuis plus d'un an (et dont la sortie était retardée à cause de droits d'auteur) et qui m'a beaucoup déçu. Espérons que le deuxième volet des aventures de Mowgli soit moins académique que ce premier opus, qui pourrait s'intituler plus simplement "Le livre de la jungle".
Howard Blake
Cette BD était annoncée depuis longtemps et en l'achetant, je me suis dis "chouette, enfin une histoire de pirates, en avant pour l'aventure et l'île de la tortue !". Au final, une déception, non au niveau du dessin de Guéra, qui reste d'une grande qualité (voire très minutieux) mais au niveau du scénario qui est confus ! J'ai du mal à suivre les personnages, d'autant plus que les phylactères relèvent parfois (souvent ?) des pattes de mouches ! Une loupe devrait être livrée avec cet opus en lieu et place de l'ex libris de Juillard. Bref, un grande déception.
Le village qui s'amenuise
Que vois-je, une BD signée Corbeyran dans laquelle on ne voit ni monstre, ni meurtre en série, ni cauchemar. Bref, un Corbeyran bucolique ! Pourtant, ce changement de cap ne me convient guère. Je trouve que l'histoire est un peu laborieuse au démarrage (l'explication entre Huguette et Paul -pages 11 à 15- est trop longue). En outre quelques personnages et intrigues auraient mérité un meilleur développement dans l'histoire (Tels quels, ils n'apportent en effet rien au scénario, sauf à rajouter quelques pages), comme l'aventure du châtelain et de son trésor, la romance de Marc et Amélie, le language du fada, la mésaventure des deux touristes... Quant à la chute de l'histoire, elle est en elle même superficielle. Cette conclusion deus ex machina n'apporte rien à l'ensemble. Une BD bien décevante au regard d'une idée de base originale de scénario. Le dessin pourtant colle assez bien à l'ambiance champêtre de l'histoire. Dommage....
Sous la peau, le serpent
Je n'avais pas aimé la série Poème Rouge, publiée chez Glénat, du dessinateur Wachs. Beaucoup de questions sans réponses dans ce one shot (d'où proviennent les pouvoirs de l'héroïne, que devient-elle ?). L'idée de base du scénariste est intéressante : un entretien avec chaque protagoniste, qui fait songer à une enquête policière. Mais par la suite, on a du mal à réaliser le lien qui existe entre l'histoire de cette maudite gamine et cette légende du moyen âge (d'ailleurs expliquée de manière très succincte sur la page de garde). En outre, les pleines pages n'apportent, à mon sens, rien à l'histoire. Enfin, j'ai vraiment du mal avec le dessin de Wachs : je ne tombe pas sous le charme de Mélusine. Album décevant qui est loin de me réconcilier avec ce dessinateur. La collection "La Loge Noire" de Glénat me déçoit de plus en plus.