Sept pirates est sans conteste le moins bon de la série et cela pour de multiples raisons. Graphiquement, ce n'est pas au point surtout au niveau des reliefs. J'aime pas du tout cette imprécision du trait ainsi que cette colorisation bien fade. Cela manque singulièrement de perspective.
Par ailleurs, le fait d'imaginer une suite à L'île au trésor de Robert Stevenson dont les adaptations pullulent actuellement n'est pas une bonne idée en soi. Une nouvelle histoire avec plus d'originalité aurait pu faire l'affaire. On pourrait analyser cela comme un sérieux manque d'inspiration.
D'ailleurs, ce récit est très très lent à démarrer avec l'éternelle scène du recrutement de sept faux pirates qui m'a paru interminable. Le pire, c'est la fin et la découverte du fameux commanditaire de ce périple aventureux (dont je tairais le nom) mais que j'ai tout de suite découvert en me disant: j'espère que ce n'est pas lui! Bref, trop de facilité scénaristique et les ficelles sont réellement grosses !
Sept pirates manque d'à peu près tout pour être digne d'une collection d'exception. Ce n'est certes pas désagréable à lire. Bof sans plus !
Tous les avis sont unanimes sur deux points : le talent de Gradimir Smudja empruntant la palette de Van Gogh pour faire (re)vivre ses tableaux et le postulat de départ plus qu’original (Van Gogh utilise un chat comme nègre). Et je suis bien de cet avis également !
Quant au récit, les avis divergent. Et là, je dois dire que je rejoins le clan des déçus. Ce récit est en effet décousu, assez plat et terriblement ennuyant. C’est long, poussif et répétitif. De plus, rien n’est fait pour amener le lecteur à s’intéresser aux protagonistes. Bref, voici un auteur talentueux au service d’une histoire sans queue ni tête. Dommage . . .
Un album assez surréaliste en effet, trop sans doute pour l’apprécier.
Bon le dessin est "tout pourri" mais il y a une mise en case et une couleur bien faite avec même quelques originalités.
L'histoire est très commune sur le thème du golem. Le scénario est d'un classique assoupissant.
La fin du premier tome laisse tout de même penser que la suite de l'histoire peut dépoter : j'espère...
Malgré certaines évidences, il est amusant de lire dans l’interview d’Ange que cette série n’est pas dérivée du "Collège invisible" et que toute ressemblance est purement fortuite. Bref, à se demander si ce couple de scénaristes ne se prendrait pas pour le Magritte de la bd ?
Tout comme pour la série mère, celle-ci ne parvient pas à m’enthousiasmer ou, plus simplement, à m’intéresser. Le récit est simple et convenu. Un bon point toutefois, cette histoire est vierge de références à Harry Potter. Oh, je pense que le bédéphile en herbe appréciera sa lecture grâce au punch du récit et son côté fantastique. Mais cela ne suffit pas pour l’adulte que je suis. Le style adopté pour le dessin est pour plaire aux jeunes avec un trait stylisé et gras. Une question de goûts...
Il est clair que je ne fais pas partie du public cible. Mais, surfant sur la même vague, je préfère nettement Monster Allergy.
Bon alors il est un peu tôt pour juger cette BD, seul le 1er tome est paru et il ne s'y passe pas grand chose. L'histoire y est confuse, ce qui explique mon résumé, lui aussi un peu confus.
Mais je n'ai pas été impressionné. Ni par le dessin, assez sommaire. Ni par les dialogues, sur-joués. Ni par le scénario, assez bof bof.
Et comme la suite se fait attendre, je pense que la série est de toute façon abandonnée… A éviter donc.
Je dirais que globalement cet album fut une légère déception.
D'une part, je trouve que le dessin de Guérineau est trop "lisse" et autant, je trouve qu'il fait un travail remarquable sur les stryges, autant je trouve que son style ne marie pas très bien avec le genre du western (quand je compare à des gens comme Boucq pour prendre des exemples relativement contemporain). De plus, je trouve que l'utilisation excessive des vignettes de même taille hache la lecture et le peu de dialogue n'en font pas une lecture très agréable.
Quant au scénario, même s’il a le mérite de sortir des sentiers battus et de proposer une lecture originale du western, je reste sur mes réserves.
Au final, cela donne un album de bonne facture, pas un truc mémorable que je relirai cent fois.
Cette bd est sensée nous faire rire sur les travers fondamentaux des fonctionnaires. Elle peut au contraire stigmatiser encore plus cette population nantie et privilégiée aux yeux de beaucoup de gens. C’est un sujet sensible car le simple fait d’en parler peut tout de suite entraîner des levées de bouclier et pourquoi pas une grève. ;)
Je travaille dans le privé alors que mon épouse officie dans la fonction publique. Nous comparons souvent nos situations respectives qui sont radicalement différentes. Il y a des gags dans cette bd que je pourrais facilement rattacher à son quotidien comme par exemple les employés qui travaillent durement pendant que le chef joue toute la journée sur son écran en faisant mine d’être accablé par le travail. Or, cette simplification des idées par un lecteur lambda pourrait être dommageable à l’image de ce prestigieux corps de la République.
Les grèves à répétition, le plus fort taux d’absentéisme, la légendaire ponctualité, le fait d’augmenter les obstacles pour le simple administré : autant de sujets polémistes évoqués. Bref, cela pourrait être drôle si cela ne reflétait pas quelquefois une triste réalité. Et dans ces cas, doit-on jalouser son prochain parce qu’il connaît un meilleur sort et de meilleures conditions de travail ? Sincèrement, je ne le pense pas.
Et puis, tous les fonctionnaires ne sont pas à ranger dans ce portrait humoristique qui exacerbe leurs particularismes. La plupart ne comptent pas leur heures de travail et n’ont jamais fait grève. J’admire également la solidarité dont ils font preuve entre eux alors que dans le privé, chacun pense à soi pour sa carrière en léchant les bottes du responsable. Vous me direz que cela peut également être le cas dans le public mais à mon humble avis à une fréquence plus réduite.
Pour ces multiples raisons, je n’ai pas trouvé cette bd très drôle même si elle est réalisée par des fonctionnaires qui se moquent d’eux. Je n’aime pas le principe. Force est de reconnaître qu’elle donne lieu à réfléchir sur la condition d’être fonctionnaire aujourd’hui en France.
Le premier tome est pour moi typique d'une génération d'auteurs : Cromwell, Riff reb's, Arthur Qwak, Edith...
Dans un style nerveux, brut de décoffrage, accompagnant un scénario à la fois osé et pétaradant. Malheureusement le système trouve assez vite ses limites, dans le second tome, et peut-être même plus tôt. Les personnages ne sont pas du tout attachants, Cromwell modifie son style pour aller vers le "gros-nez" franco-belge, pour moi plutôt éloigné du sujet.
Pas sûr que le tome 4, qui n'a jamais vu le jour, eût pu inverser la tendance, car c'est avec une certaine impatience (d'en avoir fini) que j'ai lu les tomes 2 et 3.
Bref, c'est une série qui a fait pas mal parler d'elle à une époque, mais qui pour moi était largement surévaluée.
Je suis un peu déçu car je m’attendais vraiment à mieux. D’abord car la série a plutôt bonne réputation. Mais surtout par ce que j’avais vraiment bien aimé Travis et Hauteville House du même Fred Duval.
Le dessin s’approche du style moderne et réaliste que j’apprécie. Les décors n’étant pas trop mal, j’ai eu un peu de mal avec les personnages. Les visages me semblent parfois un peu brouillon, le trait manque de précision, de netteté pour me séduire complètement.
1er cycle :
Coté scénario, c’est de la SF très orienté action, un genre que j’apprécie pourtant, mais j’ai du mal à accrocher. Il manque sincèrement quelque chose à notre héroïne qui me donnerait envie de l’apprécier. Elle semble juste un pion dans une équipe et à mes yeux Bugg par exemple semble bien plus charismatique et important qu’elle. Où il est le cerveau, elle est le bras et on aurait pu prendre n’importe qui d’autre à la place de Carmen.
Ce qui m’a également dérangé c’est le coté trop technologique de l’histoire. Cela semble trop forcé, dans toutes les pages on est assailli de turbo-machin, de micro-bidules, de nano-chose, etc.… trop de termes pour faire futuriste qui font perdre de l’intérêt à l’intrigue à mon goût.
Reste une trame principale SF / action qui empêche de tomber dans l’ennui.
2e cycle :
Décidément je n’accroche pas. Carmen est toujours aussi effacée, froide et peu attachante. Je n’arrive toujours pas à croire à cet univers orienté ultra haute technologie et intelligence artificielle. L’intrigue ne m’a pas emballé des masses ... ma lecture s’arrête après le 5e tome.
Je m'attendais à mieux pour cette série que ce que j'ai ressenti à la lecture. Comme tout le monde, j'ai bien aimé le dessin même si je l'aurais préféré sans aucune couleur. Le premier tome de la série n'est pas mal et met en place un univers original, mais les autres tomes ne sont pas du même niveau.
Ça devient l'histoire d'un type qui combat une dictature avec l'aide d'une association secrète et c'est franchement pas du tout original. Je pensais que j'allais lire un scénario surprenant. Au lieu de ça, j'ai droit à un thème qui est vieux comme le monde. Quelle déception !
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Sept pirates
Sept pirates est sans conteste le moins bon de la série et cela pour de multiples raisons. Graphiquement, ce n'est pas au point surtout au niveau des reliefs. J'aime pas du tout cette imprécision du trait ainsi que cette colorisation bien fade. Cela manque singulièrement de perspective. Par ailleurs, le fait d'imaginer une suite à L'île au trésor de Robert Stevenson dont les adaptations pullulent actuellement n'est pas une bonne idée en soi. Une nouvelle histoire avec plus d'originalité aurait pu faire l'affaire. On pourrait analyser cela comme un sérieux manque d'inspiration. D'ailleurs, ce récit est très très lent à démarrer avec l'éternelle scène du recrutement de sept faux pirates qui m'a paru interminable. Le pire, c'est la fin et la découverte du fameux commanditaire de ce périple aventureux (dont je tairais le nom) mais que j'ai tout de suite découvert en me disant: j'espère que ce n'est pas lui! Bref, trop de facilité scénaristique et les ficelles sont réellement grosses ! Sept pirates manque d'à peu près tout pour être digne d'une collection d'exception. Ce n'est certes pas désagréable à lire. Bof sans plus !
Vincent et Van Gogh
Tous les avis sont unanimes sur deux points : le talent de Gradimir Smudja empruntant la palette de Van Gogh pour faire (re)vivre ses tableaux et le postulat de départ plus qu’original (Van Gogh utilise un chat comme nègre). Et je suis bien de cet avis également ! Quant au récit, les avis divergent. Et là, je dois dire que je rejoins le clan des déçus. Ce récit est en effet décousu, assez plat et terriblement ennuyant. C’est long, poussif et répétitif. De plus, rien n’est fait pour amener le lecteur à s’intéresser aux protagonistes. Bref, voici un auteur talentueux au service d’une histoire sans queue ni tête. Dommage . . . Un album assez surréaliste en effet, trop sans doute pour l’apprécier.
Le legs de l'alchimiste
Bon le dessin est "tout pourri" mais il y a une mise en case et une couleur bien faite avec même quelques originalités. L'histoire est très commune sur le thème du golem. Le scénario est d'un classique assoupissant. La fin du premier tome laisse tout de même penser que la suite de l'histoire peut dépoter : j'espère...
Mon Dragon et moi
Malgré certaines évidences, il est amusant de lire dans l’interview d’Ange que cette série n’est pas dérivée du "Collège invisible" et que toute ressemblance est purement fortuite. Bref, à se demander si ce couple de scénaristes ne se prendrait pas pour le Magritte de la bd ? Tout comme pour la série mère, celle-ci ne parvient pas à m’enthousiasmer ou, plus simplement, à m’intéresser. Le récit est simple et convenu. Un bon point toutefois, cette histoire est vierge de références à Harry Potter. Oh, je pense que le bédéphile en herbe appréciera sa lecture grâce au punch du récit et son côté fantastique. Mais cela ne suffit pas pour l’adulte que je suis. Le style adopté pour le dessin est pour plaire aux jeunes avec un trait stylisé et gras. Une question de goûts... Il est clair que je ne fais pas partie du public cible. Mais, surfant sur la même vague, je préfère nettement Monster Allergy.
Le Partage des Sens
Bon alors il est un peu tôt pour juger cette BD, seul le 1er tome est paru et il ne s'y passe pas grand chose. L'histoire y est confuse, ce qui explique mon résumé, lui aussi un peu confus. Mais je n'ai pas été impressionné. Ni par le dessin, assez sommaire. Ni par les dialogues, sur-joués. Ni par le scénario, assez bof bof. Et comme la suite se fait attendre, je pense que la série est de toute façon abandonnée… A éviter donc.
Après la nuit
Je dirais que globalement cet album fut une légère déception. D'une part, je trouve que le dessin de Guérineau est trop "lisse" et autant, je trouve qu'il fait un travail remarquable sur les stryges, autant je trouve que son style ne marie pas très bien avec le genre du western (quand je compare à des gens comme Boucq pour prendre des exemples relativement contemporain). De plus, je trouve que l'utilisation excessive des vignettes de même taille hache la lecture et le peu de dialogue n'en font pas une lecture très agréable. Quant au scénario, même s’il a le mérite de sortir des sentiers battus et de proposer une lecture originale du western, je reste sur mes réserves. Au final, cela donne un album de bonne facture, pas un truc mémorable que je relirai cent fois.
Les Fonctionnaires
Cette bd est sensée nous faire rire sur les travers fondamentaux des fonctionnaires. Elle peut au contraire stigmatiser encore plus cette population nantie et privilégiée aux yeux de beaucoup de gens. C’est un sujet sensible car le simple fait d’en parler peut tout de suite entraîner des levées de bouclier et pourquoi pas une grève. ;) Je travaille dans le privé alors que mon épouse officie dans la fonction publique. Nous comparons souvent nos situations respectives qui sont radicalement différentes. Il y a des gags dans cette bd que je pourrais facilement rattacher à son quotidien comme par exemple les employés qui travaillent durement pendant que le chef joue toute la journée sur son écran en faisant mine d’être accablé par le travail. Or, cette simplification des idées par un lecteur lambda pourrait être dommageable à l’image de ce prestigieux corps de la République. Les grèves à répétition, le plus fort taux d’absentéisme, la légendaire ponctualité, le fait d’augmenter les obstacles pour le simple administré : autant de sujets polémistes évoqués. Bref, cela pourrait être drôle si cela ne reflétait pas quelquefois une triste réalité. Et dans ces cas, doit-on jalouser son prochain parce qu’il connaît un meilleur sort et de meilleures conditions de travail ? Sincèrement, je ne le pense pas. Et puis, tous les fonctionnaires ne sont pas à ranger dans ce portrait humoristique qui exacerbe leurs particularismes. La plupart ne comptent pas leur heures de travail et n’ont jamais fait grève. J’admire également la solidarité dont ils font preuve entre eux alors que dans le privé, chacun pense à soi pour sa carrière en léchant les bottes du responsable. Vous me direz que cela peut également être le cas dans le public mais à mon humble avis à une fréquence plus réduite. Pour ces multiples raisons, je n’ai pas trouvé cette bd très drôle même si elle est réalisée par des fonctionnaires qui se moquent d’eux. Je n’aime pas le principe. Force est de reconnaître qu’elle donne lieu à réfléchir sur la condition d’être fonctionnaire aujourd’hui en France.
Les Minettos Desperados
Le premier tome est pour moi typique d'une génération d'auteurs : Cromwell, Riff reb's, Arthur Qwak, Edith... Dans un style nerveux, brut de décoffrage, accompagnant un scénario à la fois osé et pétaradant. Malheureusement le système trouve assez vite ses limites, dans le second tome, et peut-être même plus tôt. Les personnages ne sont pas du tout attachants, Cromwell modifie son style pour aller vers le "gros-nez" franco-belge, pour moi plutôt éloigné du sujet. Pas sûr que le tome 4, qui n'a jamais vu le jour, eût pu inverser la tendance, car c'est avec une certaine impatience (d'en avoir fini) que j'ai lu les tomes 2 et 3. Bref, c'est une série qui a fait pas mal parler d'elle à une époque, mais qui pour moi était largement surévaluée.
Carmen Mc Callum
Je suis un peu déçu car je m’attendais vraiment à mieux. D’abord car la série a plutôt bonne réputation. Mais surtout par ce que j’avais vraiment bien aimé Travis et Hauteville House du même Fred Duval. Le dessin s’approche du style moderne et réaliste que j’apprécie. Les décors n’étant pas trop mal, j’ai eu un peu de mal avec les personnages. Les visages me semblent parfois un peu brouillon, le trait manque de précision, de netteté pour me séduire complètement. 1er cycle : Coté scénario, c’est de la SF très orienté action, un genre que j’apprécie pourtant, mais j’ai du mal à accrocher. Il manque sincèrement quelque chose à notre héroïne qui me donnerait envie de l’apprécier. Elle semble juste un pion dans une équipe et à mes yeux Bugg par exemple semble bien plus charismatique et important qu’elle. Où il est le cerveau, elle est le bras et on aurait pu prendre n’importe qui d’autre à la place de Carmen. Ce qui m’a également dérangé c’est le coté trop technologique de l’histoire. Cela semble trop forcé, dans toutes les pages on est assailli de turbo-machin, de micro-bidules, de nano-chose, etc.… trop de termes pour faire futuriste qui font perdre de l’intérêt à l’intrigue à mon goût. Reste une trame principale SF / action qui empêche de tomber dans l’ennui. 2e cycle : Décidément je n’accroche pas. Carmen est toujours aussi effacée, froide et peu attachante. Je n’arrive toujours pas à croire à cet univers orienté ultra haute technologie et intelligence artificielle. L’intrigue ne m’a pas emballé des masses ... ma lecture s’arrête après le 5e tome.
Monsieur Mardi-Gras Descendres
Je m'attendais à mieux pour cette série que ce que j'ai ressenti à la lecture. Comme tout le monde, j'ai bien aimé le dessin même si je l'aurais préféré sans aucune couleur. Le premier tome de la série n'est pas mal et met en place un univers original, mais les autres tomes ne sont pas du même niveau. Ça devient l'histoire d'un type qui combat une dictature avec l'aide d'une association secrète et c'est franchement pas du tout original. Je pensais que j'allais lire un scénario surprenant. Au lieu de ça, j'ai droit à un thème qui est vieux comme le monde. Quelle déception !