Carmen Mc Callum

Note: 3.25/5
(3.25/5 pour 48 avis)

Un premier cycle de 3 albums, un autre de 2, un troisième de 3, un quatrième de 4 albums et un cinquième de 4 albums, nous font voyager de par le monde et l'espace selon les aventures de la belle mercenaire Carmen Mac Callum.


Anticipation Carmen + Travis Cyberpunk Guerrières Label Série B

Pour vider les prisons bondées, on décide au milieu du XXIème siècle de cryogéniser les détenus. Lors de la sortie du frigo d'une détenu yakuza pour son procès intervient Carmen Mac Callum, mercenaire de son état, pour enlever la jeune femme et la remettre à sa famille, moyennant une somme rondelette. L'évasion ne se déroule pas du tout comme prévu. Après le crash de son hélicoptère, Carmen s'octroie l'aide d'un marin du coin qui s'avère être plus compétent que prévu. Carmen échappe de peu à la mort lors de son RDV avec les yakuza, et décide avec la jeune évadée de comprendre pourquoi sa "famille" a payé si cher son évasion, alors qu'elle n'avait été arrêtée que pour détention de drogue.

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 01 Avril 1995
Statut histoire Série terminée (7 cycles terminés) 20 tomes parus

Couverture de la série Carmen Mc Callum © Delcourt 1995
Les notes
Note: 3.25/5
(3.25/5 pour 48 avis)
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16/01/2002 | Pedroso
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L'avatar du posteur Tomdelapampa

Carmen - Travis même combat !! Ces 2 séries partagent le même univers. J’avoue ma petite préférence pour notre mercenaire, je la trouve bien plus charismatique. Au scénario, on retrouve Duval qui déploie la même formule, des histoires bien construites aux thématiques sf sous fond d’action. J’ai découvert la série à son 2eme cycle depuis je ne loupe pas un album, une série qui ne m’a pas encore déçu et qui arrive à se renouveller je trouve. On aura ses préférences niveau cycle et dessinateurs mais c’est toujours bien fait et maîtrisé. Avant de briller avec les univers de La brigade chimérique et Les contes de la pieuvre, Gess s’illustrait avec talent sur les débuts de notre héroïne, 8 albums et 3 cycles à son actif. Ça démarre brouillon avant de trouver son rythme de croisière, il a de chouettes trouvailles graphiques dans la narration (pour l’époque) et l’action est bien rendu, je déplore juste des couleurs loupées sur le tome 8. Honnêtement ne vous arrêtez pas au 1er cycle bien trop pop corn et encore maladroit, c’est clairement le moins bon, les 2 suivants montent de suite en puissance avec quelques pages ou cases d’anthologie, il en est de même pour les scénarios. Les 2 cycles suivants (4 albums chacun) sont assurés par Emem, que je ne connaissais pas. Je dois avouer ma déception à sa découverte, la relève était mal engagé … mais je m’y suis finalement bien fait, on perd en dynamisme avec un trait plus figé et froid, cependant ça accompagne parfaitement les scénarii de Duval qui montent encore d’un cran. A compter du 17eme tome, Louis assure le renouveau des aventures de Carmen. Il possède un dessin plus lisible que ces prédécesseurs, un trait souple et efficace, je l’ai trouvé bien appliqué, on regagne en dynamisme. Un premier cycle court de 2 albums qui fait bien le taf et qui joue sur notre nostalgie, j’adore le personnage de Leonid. Le 19eme entame un nouveau cycle mais continue avec les mêmes ingrédients à savoir quelques personnages de Code Mc Callum qu’on ressort. Des histoires sans doute moins marquantes que les précédentes mais toujours distrayantes. Voilà Carmen McCallum ça peut faire mouais si on s’arrête à ces premiers tomes mais une série qui prend de l’envergure par la suite, ça vaut le coup de persévérer pour tout amateur de sf serie B intelligente. J’aime beaucoup la façon du scénariste de traiter de sujets divers : génétique, IA, eau, cataclysme nucléaire … ni trop lourd ni trop léger et surtout divertissant.

28/03/2023 (modifier)
Par Jérem
Note: 3/5

Je n’ai lu que le premier cycle, soit les trois premiers volumes. Le monde cyberpunk de Carmen Mc Callum est intéressant et bien exploité même si comme souvent dans la collection Série B de Delcourt, l’action effrénée prend trop de place pour développer davantage l’univers. Je trouve cela un peu dommage. Idem pour les personnages, sympathiques, mais la succession non-stop des scènes d’action, empêchent le développement de ces derniers, d’autant que le dessin, tout juste honnête, ne les aident pas à gagner en charisme. L’histoire est sympa et dynamique mais peut-être un brin conventionnelle car c’est clairement le grand-public qui est visé. Bref, beaucoup (trop) de bagarres, un scénario accrocheur mais classique et un graphisme qui « fait le taf » sans être brillant. Ce premier cycle m’a divertit mais je ne suis pas sûr de continuer Carmen Mc Callum, série divertissante mais quand même bien loin des meilleures sagas du genre.

15/06/2017 (modifier)
L'avatar du posteur Noirdésir

Je n’ai lu que les deux premiers cycles (soit les cinq premiers albums de la série), mais n’ai pas été convaincu suffisamment pour poursuivre la lecture de cette série. Qui possède pourtant quelques atouts. D’abord de ne pas se prendre la tête avec des théories ou des installations inutilement alambiquées, comme souvent dans les séries de Science-Fiction (c’était un peu l’idée de cette collection « Série B » de chez Delcourt d’ailleurs). Ensuite, puisque les fioritures sont d’emblée écartées, on mise tout sur l’action. Et c’est vrai que dès le début, ça pulse ! Duval donne du rythme à tout va, et veille à ce que l’action ne ralentisse pas, dans une surenchère de fusillades, de courses poursuites, mêlant Yakuzas, autorités américaines et onusiennes et divers groupes satellites. Mais ce qui pourrait faire l’intérêt de cette série est aussi sa faiblesse : on se lasse vite des péripéties, emporté par la vitesse qui empêche l’action de trouver assez de crédibilité. Qui nous empêche aussi de nous attacher aux protagonistes, dont l’histoire et la personnalité, malgré quelques infos distillées çà et là, ne sont pas assez affirmées. C’est le cas en particulier de Carmen, la mercenaire héroïne de la série, qui aurait sans doute gagné à voir étoffée sa personnalité (et à se voir attribuer des traits de caractère plus tranchés). Le dessin, souvent très gras, brouillon, voire carrément bâclé par endroit, n’est pas folichon – même si là aussi, Gess devait peut-être, comme pour le scénario de Duval, souscrire à un cahier des charges misant tout sur le rythme, au détriment du détail. Ce dessin est en tout cas daté, comme pour beaucoup de séries Delcourt de l’autre siècle. Note réelle 2,5/5.

01/03/2017 (modifier)
Par Erik
Note: 4/5
L'avatar du posteur Erik

Carmen Mac Callum est le pendant féminin de la série Travis par le même auteur (Duval) et se situant à la même époque du futur vers l’an 2050. Il existe même une série parallèle contant les récits de Carmen et Travis qui est malheureusement un ratage complet. L’action dans Carmen y est plus rythmée au détriment d’un scénario plus basique. Cela reste néanmoins intéressant. La qualité de la série ira justement en grandissant. En effet, le coup de foudre n’a pas été immédiat avec cette série mais elle se bonifie au fil des albums grâce à l’intrigue. Le dessin reste toutefois assez quelconque. La mise en couleur est peu attirante du moins à ses débuts. Je n’arrivais pas non plus à m’attacher au personnage de Carmen que je trouvais un peu froide. C’est difficile d’appréhender une série dont on n’aime pas l’héroïne. Cependant, je dois avouer que depuis le tome 6, cette série a atteint une forme de maturité aussi bien graphique que narrative. En effet, ce n'est plus de l'action à l'état brut mais une véritable réflexion, voire une densité du récit autour de sujets d'anticipation quelques fois complexes (ex: les dérives génétiques). Par ailleurs, le découpage dynamique révèle une grande maîtrise notamment dans les scènes d'actions. Le tome 7 me réconcilie totalement avec le personnage de Carmen qui laisse enfin apparaître une certaine humanité notamment par rapport au drame qui l'a frappée dans son passé (p.10 où elle appuie sa main sur une photo du groupe de rock "the dirty Mac") et le drame qui va l'atteindre dans ce tome riche en émotion. Je trouve également que le scénariste Fred Duval est très à l'aise dans ce monde de science-fiction. On sent une réelle efficacité notamment dans les derniers tomes. Une bonne BD de divertissement à l’image des films d’actions américains mais qui s'épaissit dans le récit au fil des tomes. Le changement de dessinateur ne m’a pas affecté pour le tome 9 car je trouve que la qualité s’est également améliorée de ce côté là. Bref, Carmen est devenue au fil du temps l’une de mes héroïnes préférées. Je suis également un lecteur assidu de son passé dans la série Code Mc Callum. Comme quoi, tout est possible ! Pour l’instant, la série se décline en 4 cycles assez distincts : - 1er cycle (tome 1 à 3) : L’affaire Sonoda Carmen aide à faire évader Sonoda pour le compte d’un yakuza. On fait la connaissance d’une tueuse hors norme et c’est bien de l’action à l’état pur avec toutes les maladresses du genre liées au manque de maturité. - 2ème cycle (tome 4 à 5) : Le dossier Earp Carmen enlève Samuel Earp pour le livrer à l’ONU qui constitue le dernier rempart contre les multinationales hyperpuissantes dans un monde où le libéralisme est roi. Cependant, Earp n’a pas dit son dernier mot. L’héroïne est toujours super vitaminée mais on voit l’ébauche d’un scénario qui commence à tenir la route. - 3ème cycle (tome 6 à 8 ) : La question E.G.M Carmen est appelée par Scott Brennan afin d’élucider la mort d’un vieil ami. Enfin l’âge de la maturité pour cette série qui va révéler toutes ses facettes. - 4ème cycle (tome 9 à 12) : Le cycle de l’eau Carmen se trouve impliquée malgré elle dans la lutte pour le contrôle de l’eau. Ce cycle semble compléter en parallèle celui de la série Travis où l’on retrouvera le personnage de Dommy, une intelligence artificielle émancipée. - 5ème cycle (tome 13 à 16) : L’attentat nucléaire Ce cycle est digne des précédents avec un événement majeur qui va bouleverser toute la donne. Il s’agit pour Carmen d’éviter deux autres attentats pouvant rayer une ville de la carte. On est évidemment sous le choc car cela pourrait s'avérer prémonitoire. Les I.A font également très peur. Je sais que demain, elles vont entrer en application dans la vie courante et dans nos entreprises. De la bonne science-fiction d'anticipation. En conclusion, c’est une série qui au contraire d’Aquablue s’est bonifiée avec le temps. Note Dessin : 4/5 – Note Scénario : 4/5 – Note Globale : 4/5

08/06/2006 (MAJ le 11/11/2016) (modifier)
Par Gaston
Note: 2/5
L'avatar du posteur Gaston

Je n'avais jamais lu cette série qui semble être un gros succès car cela semblait être le genre de série mélangeant action et science-fiction qui me laisse indifférent. À la lecture des deux premiers cycles (en fait, surtout le premier car à la fin j'en avais marre et j'ai terminé le second cycle en le feuilletant uniquement), je vois que je ne me suis pas trompé. Il n'y a rien qui m'a captivé et j'ai lu ces tomes avec aucune passion. La seule chose que j'aime c'est la question 'pourquoi les yazuhas sont après cette criminelle' et après que j'ai su la réponse le scénario m'a semblé intéressant. Les scènes quant les inspecteurs discutent sont bien, mais le reste est chiant. C'est de l'action pure qui ne m'attire pas et les personnages ne sont pas intéressants. En plus, je trouve que ce qui arrive avec le méchant dans le tome 3 est complètement ridicule. Ce n'est pas une série que je trouve totalement mauvaise, c'est juste que ce n'est pas pour moi.

17/12/2014 (modifier)
Par sloane
Note: 3/5
L'avatar du posteur sloane

Voilà une série qui dépote, qui déménage! A sa lecture j'ai été très agréablement surpris, j'avais en effet beaucoup entendu parler et je m'attendais à un mix de Sillage et Orbital en plus péchu. C'est dynamique, les intrigues sont bien construites avec un background très étudié en ce qui concerne les armes, les véhicules tant terrestres qu'aériens ou sous marins et toute la panoplie de gadgets divers. Les couleurs sont modernes sans pour autant nous piquer les yeux, bref de la bonne BD de divertissement. Un petit poil de plus de charisme n'aurait pas nuit à Miss Mc Callum pour que j'en face une de mes héroïne préférée. Avant de faire l'achat il me semble nécessaire d'voir une lecture en bibliothèque pour se faire une idée sure.

13/12/2014 (modifier)
Par Spooky
Note: 3/5
L'avatar du posteur Spooky

Fred Duval est l'un des chantres du cyberpunk dans la BD franco-belge actuelle. Cette série est un peu sa tête de proue, avec Travis. Il y fait preuve de pas mal de virtuosité scénaristique, on ne s'ennuie pas vraiment. Alors que le début de la série me semblait un peu légère, Duval a musclé son scénario pour l'emmener sur les questions environnementales, et au bout de 12 tomes mon intérêt, qui n'est cependant pas énorme, reste soutenu. Le dessin de Gess est très bon, mais j'aime moins son dessin à partir du tome 6. Emem a pris le relais par la suite ; s'il se débrouille très bien, je trouve parfois les visages de ses personnages encore peu maîtrisés. Les changements de coloristes ne sont pas toujours heureux. Si j'aime bien le boulot de Rabarot et Pierre Schelle, celui de Froissard, au début du tome 12, écrase beaucoup le trait d'Emem ; il se reprend dans le dernier tiers, cependant. A suivre.

18/04/2002 (MAJ le 09/06/2014) (modifier)
Par jul
Note: 2/5

J'ai lu le 1er cycle et le 4ème album. Je possédais ces 4 albums il y a une quinzaine d'années. Au début j'aimais vraiment beaucoup. Carmen Mc Callum était réellement novateur pour l'époque et faisant partie des 1ères séries dans ce genre-là. Au côté de Nomad, Aquablue, Vortex ... elle représentait alors un nouveau style de SF nineties , plus moderne et cyberpunk, très influencé par le manga et le cinéma. De plus Carmen Mc Callum lançait le label " série B " chez Delcourt. J'adorais donc cet univers " techno" très moderne pour l'époque, sorte de Ghost in the shell français influencé par le cinéma hollywoodien. Mais au bout de 4 albums une certaine forme de lassitude s'est fait ressentir (dès le 3ème album en fait). Ce n'était ni réellement passionnant, ni réellement beau. Dessins très quelconques et scénario cyberpunk classique. Ca devenait ennuyeux. J'en attendais sûrement beaucoup trop (en partie à cause de la couverture très tape à l’œil du 1er album qui m'avait scotché à l'époque).

20/12/2013 (modifier)
Par zébu
Note: 4/5 Coups de coeur expiré

Après la lecture des quatre premiers cycles (soit douze albums). Impossible de parler de Carmen Mc Callum sans faire un parrallèle avec Travis tellement ses séries sont complémentaires et possèdent une grande similitude : même scénariste ; même découpage d'histoire en arc ; l'action se déroule à la même époque (vers 2050) ; on y retrouve parfois les mêmes ennemis ; et enfin les personnages principaux subissent en gros la même évolution , au débuit ils oeuvrent pricipalement sant état d'ame pour une quelconque organisation pour en arriver à mener une vendetta pour leur propre compte. Bien sûr, dans les deux séries ce qui prime avant tout reste l'action pure et dure ; que ce soit dans l'espace, sur terre ou dans un monde virtuel ça va à deux cent à l'heure et on a jamais le temps de s'ennuyer. De plus, comme sité dans un précédent avis, on sent que l'auteur maitrise parfaitement l'univers de la science fiction et qu'il prend du plaisir à faire évoluer ces personnages dans ce monde si particulier. Les sujets abordés sont étroitement similaires avec les problèmes actuels de notre société et les terroristes, même s'ils agissent pour le bien de leur propre cause, sont souvent les pantins involontaires de multinationales qui tirent les ficelles dans l'ombre. Ainsi l'auteur réussi à glisser une critique à peine masquée de ces grands groupes sans scrupules aux agissements plus que discutables. Au premier abord le personnage de Carmen peut sembler antipathique et froit mais quoi de plus normal pour une mercenaire et puis elle s'humanisera au fil des différents arcs qui, au passage, ne se vallent pas tous en terme de qualité scénaristique. A ce propos, j'ai trouvé que le premier beaucoup moins bon que les autres. Enfin, certains ont critiqué les dessins mais moi je les trouve plus que corrects car ils réussissent bien à retranscrire une action présente à outrance. Juste un petit bémol consernant certain albums qui bénéficient d'un colorisation beaucoup trop appuyée à mon goût (tome 7) voire même catastrophique (tome 12). Bref, une série de science fiction survitamniée très divertissante dont on sent que l'auteur maitrise à merveille le sujet ; dommage que parfois la coloristion laisse à désirer et que le premier cycle soit le moins réussi car il ne constitue pas vraiment la meilleure accroche pour ceux qui veulent commencer la série.

08/11/2013 (modifier)
L'avatar du posteur Agecanonix

Cette série d'action cyberpunk pète le feu, c'est de la SF nerveuse et bien rythmée avec véhicules futuristes, gadgets technologiques, gros flingues et scènes d'action titanesques telles qu'on en voit au cinéma des années 90-2000. Parmi tous ces effets, les personnages ne sont pas sacrifiés et possèdent chacun une personnalité. Le tout est bien servi par une narration moderne et de savantes mises en page dans le style des comic books américains (série d'inserts incrustés sur double page). Le dessin de Gess est nerveux, lumineux, même s'il n'a rien d'extraordinaire. Bref, après avoir entendu parler de cette série, j'ai lu en bibliothèque tout le 1er cycle, puis le second, et j'ai découvert une bande efficace, qui utilise une technologie pointue, et aborde des thèmes actuels; elle est typique des Bd modernes destinées à séduire un lectorat plutôt jeune, friand de ce genre d'aventures très remuantes, en adéquation avec la vague de SF des années 90 qui s'inspire de l'univers cyberpunk. L'ennui, c'est que quand j'en ai lu 2 ou 3, ça va comme ça, j'ai l'impression d'avoir vu ça plein de fois, surtout ça me fait penser aux téléfilms d'action de M6 ou de certaines chaînes câblées. Alors, c'est bien sans plus, très divertissant, mais je n'y ai pas pris un réel plaisir de lecture, et de plus, Carmen n'est pas tellement attachante. On peut acheter quand même les 3 premiers albums, dont l'histoire est lancée à 100 à l'heure, un peu comme dans un prologue décoiffant de James Bond; pour la suite, à vous de voir.

04/07/2013 (modifier)