Superbe BD. Je n’ai pas fort accroché au début mais les personnages Dragan et Skull m'ont assez amusé. Bref j'ai lu tous les tomes et ils m'ont assez plu dans l'ensemble. Bref je le conseille à tout les passionnés de SF.
Un univers à la Fred, une épopée délirante où tout le monde peut tout de même se retrouver. J'ai eu la sensation d'être parti assez loin quand j'ai fermé le livre.
Un peu comme Ro, le dessin de Crisse m’a quelque peu agacé par son côté "too much" (surtout les chevelures "débordantes"). Sinon, c’est à mon avis un des meilleurs albums de Crisse, scénaristiquement parlant. Le découpage est très bon et le chevauchement entre les deux époques est bien construit. De plus, l’histoire est intrigante et le sujet bien maîtrisé.
Les mauvaises langues diront que Crisse a le défaut de ne jamais finir les séries qu’il entame, ce à quoi je répondrai qu’ils n’ont pas tort ! Ceci dit, bien que la fin reste ouverte pour une suite éventuelle, cet album se suffit à lui-même.
On pourrait d’ailleurs voir "Griffin Dark" comme la suite logique à "Perdita Queen". Toutefois, le scénario de ce tome est complètement inintéressant. Par contre, il permet de découvrir le trait fabuleux de Stanley (alias Pierre Alary) ...
Je fus agréablement surprise par la lecture de cette BD.
Ces nouvelles simples et touchantes sont pleines de sincérité et d’émotions.
Les sujets sont tellement humains dans leurs raisonnements, et les prises de consciences si proches de nos réalités que j’ai eu un réel plaisir à lire cette œuvre.
J’ai trouvé les récits courts et dynamiques, sans fioritures ou conclusions forcées.
Lecteur, L’orme du Caucase est efficace dans sa narration ainsi que dans son graphisme.
Taniguchi est un maître dans son art, ce que j’ai déjà lu de lui m’a beaucoup plu et je continuerai à lire ses ouvrages quoiqu’on en dise.
Concernant Utsumi, je ne le connaissais pas, eh bien voilà chose faite ! J’aime bien également.
Si vous aimez les récits intimistes amenant à la réflexion personnelle face à nos combats, nos erreurs ou nos choix, alors, vous aimerez L’orme du Caucase pour son ingénuité.
Rien d’exceptionnel, mais parfois les choses simples sont si plaisantes ! ;)
Ps : ;) cette dernière phrase est un clin d’œil de référence n’est-il pas ?
« Pas de super héros, de superbogossintergalactique, de supergrosméchantsdestructeursdeplanete, de combat d'arts martiaux... »
A la vue de certaines critiques, on se dit que les préjugés ont la dent dure, effectivement enfin un manga « intelligent », à croire que certains n’ont jamais décollé leurs gros yeux globuleux des « Saint Seya » et autres « Dragon Ball ». Ces mêmes personnes qui se plaignent d’un manque latent de considération envers le 9è Art, font preuve d’un dédain similaire envers le Manga, des choses m’échappent… D’autant plus que nombre d’entre eux, à défaut de faire confiance à cette culture nippone, tombe dans le piège inverse en faisant preuve d’une loyauté maladive aux productions européennes, c’est très con. Bref, je reste très étonné de ce manque de considération pour un genre qui n’en est pas un. Passons…
Je découvrais Taniguchi pour la première fois, son style, sa « philosophie ». Son trait est particulièrement réaliste, tant au niveau du graphisme des protagonistes que des décors et de l’environnement, au final c’est beau à regarder. « Quartier lointain » pose les questions existentielles banales, et nous plonge dans les déboires d’un homme en pleine crise de la quarantaine, qui suis-je ? Où vais-je ? Si c’était à refaire, referais-je la même chose ? Apparemment toutes les questions que l’on se posent au moins une fois dans sa vie (perso, je suis bien trop jeune pour me les être déjà posées). Le tout, teinté d’une pointe de nostalgie. Bref, toute la panoplie du quadra dépressif. Moi, ça me fout les jetons. Mais bon au final, l’auteur nous propose une belle réflexion sur le poids et les regrets de l'enfance, et ne tombe jamais dans une banale introspection ou autre délire psychanalytique. Il ne cherche pas, comme certains l’auraient sûrement fait, à embrouiller le lecteur dans de hautes considérations philosophiques sur la condition humaine, merci c’est sympa de sa part. C'est plein de douceur, de sensibilité et d'émotion. Taniguchi nous promène dans un monde simple et convivial à la banalité quotidienne et dont la dualité du personnage rend cette aventure très intéressante. Tout tourne autour du « père », ce qui semble être une constante chez Taniguchi, au risque peut-être de se répéter ? Enfin, je m’en garderai d’en juger, avant d’avoir lu ses autres livres.
Cette bd est grandiose, du début à la fin elle nous transplante dans un autre univers où l'on est complètement dépaysé. Le scénario est très abouti bien que la fin m'eut laissé sur la mienne (de faim ). Je trouve que l'histoire est très belle, les personnages sont si humains, si vrais, si naturels que l'on aimerait les côtoyer. Côté dessins, là aussi c'est génial, très complet, profond et magnifiquement pensé, donnant une mise en scène des plus belles qu'il m'ait été permis de voir.
En résumé, on lit "Où le regard ne porte pas" comme une aquarelle s'observe et on sort de la lecture changé avec une drôle d'impression.
J’hésitais à mettre 4 mais quand je pense au bonheur de lire cette bd aux couvertures magnifiques et au prix peut élevé la 5ème étoile est méritée, je l'offre donc.
Très bonne Bd au dessin agréable, le dessinateur étant mort j'espère que la suite sera toute aussi plaisante. Le scénario quant à lui ne m'a pas semblé confus comme j'ai pu le lire. J'attends le 3° tome qui va arriver d'ici un mois.
Sur un fond de guerre, c'est l'histoire d'un petit village français avec ses amitiés, ses passions et ses conflits.
L'ambiance est assez romantique et nous nous prenons à rêver de la belle Cécile.
Le dessin est superbe et l'atmosphère bien rendue.
Il manque cependant un peu d'action à cette BD.
Magistral !
Pourtant, cette bd ne m’attirait guère à priori. La faute sans doute à un cadrage particulier (cases d’1/2 page) et à des dessins lisses et froids (accentués par le noir et blanc). Mais une fois plongé dans cette œuvre, on prend conscience de la puissance de ses propos de et de la réflexion (c'est le mot) qu’elle suscite sur le sens caché de la vie, sur les autres ... Le lent cheminement d’Emile pour comprendre l’étrange "héritage" laissé par son ami est prenant et le final conclu de belle manière cette quête intérieure menée à son terme.
Difficile d’en dire plus au risque de dévoiler l’histoire, ce qui gâcherait la découverte et le plaisir de lecture ...
PS : elveen, merci pour cette belle découverte ! ;)
Quelle histoire !
Nous sommes à Néopolis et toute la populace, qu'elle soit humaine, animale, divine, mécanique ou cybernétique, possède des super pouvoirs.
L'histoire gravite autour d'un commissariat et de sa bande de flics mais l'originalité est que, tout en ayant des super pouvoirs, ils ne paraissent pas super-héroïques et ne se sentent pas comme c'est souvent (toujours ?) le cas investis d'une mission sacrée de sauvetage du monde ou de leurs concitoyens. Non non, ici, tout le monde reste cool quoi qu'il arrive et on passe la journée à bosser, avoir des aventures extraordinaires, bref, la routine.
Le scénario, on s'en fout plus ou moins. Ici, pas de ligne directrice ou d'histoire dirigiste, non ce sont les rapports entre les personnages qui sont intéressants. Ça part un peu dans tous les sens et ça convient très bien à cet univers complètement loufoque et tellement réussi que la lecture est toujours agréable et en plus l'humour omniprésent fait toujours mouche.
Que du bon dans cette BD : les différents personnages sont tous très réussis (mention spéciale à sergent César le clébard de service qui est vraiment un chien galeux), les dessins sont superbes et toujours très lisibles, le découpage est fait dans un style série TV de luxe très dynamique. En plus, c'est bourré de références. Il y en a tellement et c'est tellement bien fait qu'on se surprend à les chercher dans les dialogues ou en fond de case. Les dialogues parlons-en : terribles ! Comme toujours avec Moore. Donc pour les fans de comics, une BD à lire absolument, le duo Moore/Ha est en parfaite osmose, et comme c'est précisé au dos d'un des tomes, Top 10 est une BD d'exception...
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Kookaburra
Superbe BD. Je n’ai pas fort accroché au début mais les personnages Dragan et Skull m'ont assez amusé. Bref j'ai lu tous les tomes et ils m'ont assez plu dans l'ensemble. Bref je le conseille à tout les passionnés de SF.
Le Minuscule Mousquetaire
Un univers à la Fred, une épopée délirante où tout le monde peut tout de même se retrouver. J'ai eu la sensation d'être parti assez loin quand j'ai fermé le livre.
Perdita Queen
Un peu comme Ro, le dessin de Crisse m’a quelque peu agacé par son côté "too much" (surtout les chevelures "débordantes"). Sinon, c’est à mon avis un des meilleurs albums de Crisse, scénaristiquement parlant. Le découpage est très bon et le chevauchement entre les deux époques est bien construit. De plus, l’histoire est intrigante et le sujet bien maîtrisé. Les mauvaises langues diront que Crisse a le défaut de ne jamais finir les séries qu’il entame, ce à quoi je répondrai qu’ils n’ont pas tort ! Ceci dit, bien que la fin reste ouverte pour une suite éventuelle, cet album se suffit à lui-même. On pourrait d’ailleurs voir "Griffin Dark" comme la suite logique à "Perdita Queen". Toutefois, le scénario de ce tome est complètement inintéressant. Par contre, il permet de découvrir le trait fabuleux de Stanley (alias Pierre Alary) ...
L'Orme du Caucase
Je fus agréablement surprise par la lecture de cette BD. Ces nouvelles simples et touchantes sont pleines de sincérité et d’émotions. Les sujets sont tellement humains dans leurs raisonnements, et les prises de consciences si proches de nos réalités que j’ai eu un réel plaisir à lire cette œuvre. J’ai trouvé les récits courts et dynamiques, sans fioritures ou conclusions forcées. Lecteur, L’orme du Caucase est efficace dans sa narration ainsi que dans son graphisme. Taniguchi est un maître dans son art, ce que j’ai déjà lu de lui m’a beaucoup plu et je continuerai à lire ses ouvrages quoiqu’on en dise. Concernant Utsumi, je ne le connaissais pas, eh bien voilà chose faite ! J’aime bien également. Si vous aimez les récits intimistes amenant à la réflexion personnelle face à nos combats, nos erreurs ou nos choix, alors, vous aimerez L’orme du Caucase pour son ingénuité. Rien d’exceptionnel, mais parfois les choses simples sont si plaisantes ! ;) Ps : ;) cette dernière phrase est un clin d’œil de référence n’est-il pas ?
Quartier lointain
« Pas de super héros, de superbogossintergalactique, de supergrosméchantsdestructeursdeplanete, de combat d'arts martiaux... » A la vue de certaines critiques, on se dit que les préjugés ont la dent dure, effectivement enfin un manga « intelligent », à croire que certains n’ont jamais décollé leurs gros yeux globuleux des « Saint Seya » et autres « Dragon Ball ». Ces mêmes personnes qui se plaignent d’un manque latent de considération envers le 9è Art, font preuve d’un dédain similaire envers le Manga, des choses m’échappent… D’autant plus que nombre d’entre eux, à défaut de faire confiance à cette culture nippone, tombe dans le piège inverse en faisant preuve d’une loyauté maladive aux productions européennes, c’est très con. Bref, je reste très étonné de ce manque de considération pour un genre qui n’en est pas un. Passons… Je découvrais Taniguchi pour la première fois, son style, sa « philosophie ». Son trait est particulièrement réaliste, tant au niveau du graphisme des protagonistes que des décors et de l’environnement, au final c’est beau à regarder. « Quartier lointain » pose les questions existentielles banales, et nous plonge dans les déboires d’un homme en pleine crise de la quarantaine, qui suis-je ? Où vais-je ? Si c’était à refaire, referais-je la même chose ? Apparemment toutes les questions que l’on se posent au moins une fois dans sa vie (perso, je suis bien trop jeune pour me les être déjà posées). Le tout, teinté d’une pointe de nostalgie. Bref, toute la panoplie du quadra dépressif. Moi, ça me fout les jetons. Mais bon au final, l’auteur nous propose une belle réflexion sur le poids et les regrets de l'enfance, et ne tombe jamais dans une banale introspection ou autre délire psychanalytique. Il ne cherche pas, comme certains l’auraient sûrement fait, à embrouiller le lecteur dans de hautes considérations philosophiques sur la condition humaine, merci c’est sympa de sa part. C'est plein de douceur, de sensibilité et d'émotion. Taniguchi nous promène dans un monde simple et convivial à la banalité quotidienne et dont la dualité du personnage rend cette aventure très intéressante. Tout tourne autour du « père », ce qui semble être une constante chez Taniguchi, au risque peut-être de se répéter ? Enfin, je m’en garderai d’en juger, avant d’avoir lu ses autres livres.
Où le regard ne porte pas...
Cette bd est grandiose, du début à la fin elle nous transplante dans un autre univers où l'on est complètement dépaysé. Le scénario est très abouti bien que la fin m'eut laissé sur la mienne (de faim ). Je trouve que l'histoire est très belle, les personnages sont si humains, si vrais, si naturels que l'on aimerait les côtoyer. Côté dessins, là aussi c'est génial, très complet, profond et magnifiquement pensé, donnant une mise en scène des plus belles qu'il m'ait été permis de voir. En résumé, on lit "Où le regard ne porte pas" comme une aquarelle s'observe et on sort de la lecture changé avec une drôle d'impression. J’hésitais à mettre 4 mais quand je pense au bonheur de lire cette bd aux couvertures magnifiques et au prix peut élevé la 5ème étoile est méritée, je l'offre donc.
Marshall
Très bonne Bd au dessin agréable, le dessinateur étant mort j'espère que la suite sera toute aussi plaisante. Le scénario quant à lui ne m'a pas semblé confus comme j'ai pu le lire. J'attends le 3° tome qui va arriver d'ici un mois.
Le Sursis
Sur un fond de guerre, c'est l'histoire d'un petit village français avec ses amitiés, ses passions et ses conflits. L'ambiance est assez romantique et nous nous prenons à rêver de la belle Cécile. Le dessin est superbe et l'atmosphère bien rendue. Il manque cependant un peu d'action à cette BD.
Le Dessin
Magistral ! Pourtant, cette bd ne m’attirait guère à priori. La faute sans doute à un cadrage particulier (cases d’1/2 page) et à des dessins lisses et froids (accentués par le noir et blanc). Mais une fois plongé dans cette œuvre, on prend conscience de la puissance de ses propos de et de la réflexion (c'est le mot) qu’elle suscite sur le sens caché de la vie, sur les autres ... Le lent cheminement d’Emile pour comprendre l’étrange "héritage" laissé par son ami est prenant et le final conclu de belle manière cette quête intérieure menée à son terme. Difficile d’en dire plus au risque de dévoiler l’histoire, ce qui gâcherait la découverte et le plaisir de lecture ... PS : elveen, merci pour cette belle découverte ! ;)
Top 10
Quelle histoire ! Nous sommes à Néopolis et toute la populace, qu'elle soit humaine, animale, divine, mécanique ou cybernétique, possède des super pouvoirs. L'histoire gravite autour d'un commissariat et de sa bande de flics mais l'originalité est que, tout en ayant des super pouvoirs, ils ne paraissent pas super-héroïques et ne se sentent pas comme c'est souvent (toujours ?) le cas investis d'une mission sacrée de sauvetage du monde ou de leurs concitoyens. Non non, ici, tout le monde reste cool quoi qu'il arrive et on passe la journée à bosser, avoir des aventures extraordinaires, bref, la routine. Le scénario, on s'en fout plus ou moins. Ici, pas de ligne directrice ou d'histoire dirigiste, non ce sont les rapports entre les personnages qui sont intéressants. Ça part un peu dans tous les sens et ça convient très bien à cet univers complètement loufoque et tellement réussi que la lecture est toujours agréable et en plus l'humour omniprésent fait toujours mouche. Que du bon dans cette BD : les différents personnages sont tous très réussis (mention spéciale à sergent César le clébard de service qui est vraiment un chien galeux), les dessins sont superbes et toujours très lisibles, le découpage est fait dans un style série TV de luxe très dynamique. En plus, c'est bourré de références. Il y en a tellement et c'est tellement bien fait qu'on se surprend à les chercher dans les dialogues ou en fond de case. Les dialogues parlons-en : terribles ! Comme toujours avec Moore. Donc pour les fans de comics, une BD à lire absolument, le duo Moore/Ha est en parfaite osmose, et comme c'est précisé au dos d'un des tomes, Top 10 est une BD d'exception...