Je trouve les critiques précédentes un poil dures !
Certes le ton est léger, les personnages de missionnaires ne donnent pas dans l'anticléricalisme acide mais permettent un regard décalé sur une époque fascinante : les années 30.
Le dessin est splendide et les histoires jubilatoires, nous revisitons la France, l'Amérique l'Allemagne, nous voyons les évènements qui mèneront à la guerre... avec l'humour de Yann comme d'habitude. Je suis inconditionnel.
Super ! Je viens de terminer la lecture des deux tomes et je me suis régalé (préférence pour le tome 1). Des dessins très colorés, des paysages magnifiques, une histoire procurant beaucoup d'émotions, de la joie, de la tristesse, des sourires. On se pose des questions, on cherche à deviner le dénouement. N'hésitez pas, c'est vraiment une bd de qualité.
Bravo pour la couverture du tome 1 qui est superbe. J'ai également bien aimé le format : 2 volumes de 96p.
C'est mon coup de coeur du moment !
Une BD par le scénariste de Ken le survivant, Heat et du fantastique Sanctuary, cela ne peut être que tentant. Toujours sur le milieu de la pègre japonaise, G Gokudo Girl est une oeuvre tantôt drôle, tantôt touchante, parfois très violente, mais souvent très juste dans le ton employé. Le scénariste Buronson est décidément l'un des meilleurs sur le marché, et ce depuis plus de 15 ans.
Ajoutez à cela des dessins un peu vieillots (ils me font penser dans les visages à ceux de Lupin the 3rd/Edgar de la Cambriole) et très beaux à la fois, et vous avez une oeuvre intéressante, assez courte (il n'y a que 5 tomes) et surtout très vivante. Un des "must have" du moment.
Une nouvelle histoire de vampires signée Niles & Templesmith, voyons voir ça :-)
Le scénario ne révolutionne certes pas le genre. Le héros est un ancien flic reconverti dans la profession de détective qui se retrouve sur les traces d'une machination orchestrée par des humains, des vampires et des loups-garous. Rien de bien original donc au prime abord, mais le scénario est très bien rythmé, les rebondissements ne faisant qu'accrocher davantage le lecteur jusqu'à la conclusion haletante. Comme quoi niveau scénaristique, on peut très bien faire du neuf avec du vieux. Au final l'histoire mêle habilement gore et thriller fantastique, quelques séances de massacre de mort-vivants par-ici, un complot de mort-vivants qu'on découvre peu à peu et que le héros va tenter de réduire à néant, tout ça ne fait certes pas dans la dentelle mais montre une maîtrise du genre assez remarquable.
Le dessin est dans la lignée de celui de 30 jours de nuit : mélange de dessin "normal" avec des montages photo, des collages numériques en tout genre pour un résultat qui n'est pas sans rappeler les dernières productions d'Eric Liberge (notamment Tonnerre Rampant), mais qui colle très bien à l'histoire et contribue au côté horrifique de l'histoire.
Bref encore une bonne surprise d'un duo d'auteur décidément très en forme.
La Ribambelle fait ses premiers pas dans l'hebdo Spirou n°1247 du 08 Mars 1962.
La Ribambelle ?... Une bande de jeunes d'âge indéfinissable, entre 10 et 13 ans... Et comme dans toute bande il y a le chef : Phil, le décideur à la tignasse blonde. Il est secondé par Grenadine, la seule fille du groupe, une rousse au "p'tit nez en l'air" ; Dizzy, un jeune Noir trompettiste de talent ; Archibald, un jeune et très riche héritier écossais. S'adjoindront rapidement, dès le premier épisode, les jumeaux Atchi et Atcha, deux gamins japonais gaffeurs mais, surtout, champions d'arts martiaux. Ca aide !
Tout ce petit monde occupe un vieux bus délabré -leur "local"- qui termine ses jours dans un terrain vague clôturé de hautes palissades.
Tout irait bien pour ce groupe d'amis si ce n'est que le terrain est convoité par un vieux filou notoire. Ce dernier va s'acoquiner avec une bande rivale, les Caïmans, formée d'Adolphe, Rodolphe et Tatave, de jeunes loubards vraiment plus bêtes que méchants...
La Ribambelle va alors truffer le terrain d'innombrables pièges ; tout comme Roba va truffer ses histoires de son génie inventif.
Grâce à l'amitié, et à l'argent, d'Archibald, nos amis se rendront par la suite en Ecosse (le meilleur album), aux "Galopingos" y vivre moult péripéties.
Malheureusement Roba est trop accaparé par l'immense succès de Boule et Bill (qui paraît dans l'hebdo Spirou depuis 1959). Petit à petit il va délaisser cette joyeuse bande et le monde qui l'entoure.
Et c'est bien dommage. La Ribambelle est une superbe série "tout public" qui durera quand même quatorze années... en seulement 6 albums.
D'abord seul aux commandes, Roba sera sporadiquement assisté par Jidéhem pour le graphisme. Vicq, Yvan Delporte et Maurice Tillieux écriront certains scénarios. Les éditions originales sont assez rares en bon état. Peu rééditée par la maison d'édition (Dupuis), cette magnifique série disparaît petit à petit des mânes des jeunes lecteurs. A (re)découvrir pourtant
Pour ceux qui possèdent les premiers Boule et Bill, Phil a le même visage. Seule la taille et la coupe de cheveux diffèrent.
Né le 28 Juillet 1930 à Bruxelles, Jean Roba nous a quitté ce 14 Juin 2006.
Cages : la bible du BDphile, l'album de toutes les réponses, le livre de chevet philosophique de tout être aimant la vie et ses complications, d'une manière ou d'une autre.
La grande force de cet album est en effet d'aborder de nombreux thèmes, et ce de manière très fine. Toutes les finesses du monde sont abordées, de manière plus ou moins concrètes : L'art (principalement) sous toutes ses formes, la mort, les relations humaines, la haine, l'attente, l'espoir, l'amour... toujours avec beaucoup de recul, sans vouloir donner de leçon ni être prétentieux.
Ne serait-ce que par la vision de l'art présentée par l'auteur dans cet album, "Cages" est à rapprocher de L'artiste de la famille de Larcenet : Bien que la forme soit très différente (le style est moins centré sur l'auteur dans Cages, le personnage principal étant un artiste de fiction), le fond, très fort, peut rappeler certains passages de l'album des rêveurs.
Mais c'est surtout dans la vision de la mort (et de la vie) très personnelle de Mc Kean que j'ai été touché. Le passage de l'absence du mari perdu depuis 5 ans est aussi très fort. Etrangement (ou plutôt logiquement !) il n'a pas touché d'autres lecteurs du tout : c'est une fois de plus la grande force de "Cages". Chacun sera sensible à différents passages, selon son histoire, son expérience, sa vie.
Et c'est ainsi que l'album vous parlera plus ou moins, seuls les véritables amateurs de patinage artistique n'ayant pas vibré à la lecture de cet album.
Graphiquement, c'est exquis : dessin maîtrisé en bichromie légère, ponctué par ci par là de planches très graphiques, colorées, permettant une introspection plus grande dans le récit. Mc Kean a été plus graphique encore dans d'autres albums, mais il privilégie ici la narration et s'en sort parfaitement. Certaines planches, complètement muettes, sont justement particulièrement parlantes...
Un livre culte... une réelle réflexion qui mérite d'être lue.
C'est une série qui a bercé mon enfance et je vais avoir 50 ans. Pourquoi nier aujourd'hui ce qui m'a tant plu hier. Evidemment ce n'est pas dans les canons de la mode BD actuelle, mais n'oublions pas qu'à l'époque il n'y avait pas tant de choix qu'aujourd'hui. De plus, à cette époque, on apprenait encore la morale dans le sens "positif" du terme !
Je conseillerai toujours cette lecture pour les plus jeunes à qui c'est très bien indiqué avant de perdre leur innocence au profit d'autres BD plus "dirigées" et plus "violentes".
J'ai vraiment aimé cette bd. Les dessins "réalistes" sont de qualité, le scénario est bon, j'ai très vite accroché. J'ai particulièrement apprécié la fin de l'histoire, j'étais vraiment impatient de connaître le dénouement. J'ai passé un bon moment à la lecture de cette série, beaucoup de suspense et d'action. Je conseille vivement cette bd pour les amateurs de polar/thriller.
Une intrigue vraiment bien ficelée, le suspense est intense, les rebondissements sont surprenants. Je suis étonné que si peu de gens aient lu cette BD. Je la recommande vivement !
Une série plutôt agréable par rapport au reste de la production Star Wars, les personnages y sont particulièrement mieux réussis. Le héros Quinlan Vos est ambigû à souhait, il penche vraiment vers le côté obscur.
Se complète avec certains volume de la série Star Wars - Clone Wars.
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Odilon Verjus
Je trouve les critiques précédentes un poil dures ! Certes le ton est léger, les personnages de missionnaires ne donnent pas dans l'anticléricalisme acide mais permettent un regard décalé sur une époque fascinante : les années 30. Le dessin est splendide et les histoires jubilatoires, nous revisitons la France, l'Amérique l'Allemagne, nous voyons les évènements qui mèneront à la guerre... avec l'humour de Yann comme d'habitude. Je suis inconditionnel.
Où le regard ne porte pas...
Super ! Je viens de terminer la lecture des deux tomes et je me suis régalé (préférence pour le tome 1). Des dessins très colorés, des paysages magnifiques, une histoire procurant beaucoup d'émotions, de la joie, de la tristesse, des sourires. On se pose des questions, on cherche à deviner le dénouement. N'hésitez pas, c'est vraiment une bd de qualité. Bravo pour la couverture du tome 1 qui est superbe. J'ai également bien aimé le format : 2 volumes de 96p. C'est mon coup de coeur du moment !
G Gokudo girl
Une BD par le scénariste de Ken le survivant, Heat et du fantastique Sanctuary, cela ne peut être que tentant. Toujours sur le milieu de la pègre japonaise, G Gokudo Girl est une oeuvre tantôt drôle, tantôt touchante, parfois très violente, mais souvent très juste dans le ton employé. Le scénariste Buronson est décidément l'un des meilleurs sur le marché, et ce depuis plus de 15 ans. Ajoutez à cela des dessins un peu vieillots (ils me font penser dans les visages à ceux de Lupin the 3rd/Edgar de la Cambriole) et très beaux à la fois, et vous avez une oeuvre intéressante, assez courte (il n'y a que 5 tomes) et surtout très vivante. Un des "must have" du moment.
Criminal Macabre
Une nouvelle histoire de vampires signée Niles & Templesmith, voyons voir ça :-) Le scénario ne révolutionne certes pas le genre. Le héros est un ancien flic reconverti dans la profession de détective qui se retrouve sur les traces d'une machination orchestrée par des humains, des vampires et des loups-garous. Rien de bien original donc au prime abord, mais le scénario est très bien rythmé, les rebondissements ne faisant qu'accrocher davantage le lecteur jusqu'à la conclusion haletante. Comme quoi niveau scénaristique, on peut très bien faire du neuf avec du vieux. Au final l'histoire mêle habilement gore et thriller fantastique, quelques séances de massacre de mort-vivants par-ici, un complot de mort-vivants qu'on découvre peu à peu et que le héros va tenter de réduire à néant, tout ça ne fait certes pas dans la dentelle mais montre une maîtrise du genre assez remarquable. Le dessin est dans la lignée de celui de 30 jours de nuit : mélange de dessin "normal" avec des montages photo, des collages numériques en tout genre pour un résultat qui n'est pas sans rappeler les dernières productions d'Eric Liberge (notamment Tonnerre Rampant), mais qui colle très bien à l'histoire et contribue au côté horrifique de l'histoire. Bref encore une bonne surprise d'un duo d'auteur décidément très en forme.
La Ribambelle
La Ribambelle fait ses premiers pas dans l'hebdo Spirou n°1247 du 08 Mars 1962. La Ribambelle ?... Une bande de jeunes d'âge indéfinissable, entre 10 et 13 ans... Et comme dans toute bande il y a le chef : Phil, le décideur à la tignasse blonde. Il est secondé par Grenadine, la seule fille du groupe, une rousse au "p'tit nez en l'air" ; Dizzy, un jeune Noir trompettiste de talent ; Archibald, un jeune et très riche héritier écossais. S'adjoindront rapidement, dès le premier épisode, les jumeaux Atchi et Atcha, deux gamins japonais gaffeurs mais, surtout, champions d'arts martiaux. Ca aide ! Tout ce petit monde occupe un vieux bus délabré -leur "local"- qui termine ses jours dans un terrain vague clôturé de hautes palissades. Tout irait bien pour ce groupe d'amis si ce n'est que le terrain est convoité par un vieux filou notoire. Ce dernier va s'acoquiner avec une bande rivale, les Caïmans, formée d'Adolphe, Rodolphe et Tatave, de jeunes loubards vraiment plus bêtes que méchants... La Ribambelle va alors truffer le terrain d'innombrables pièges ; tout comme Roba va truffer ses histoires de son génie inventif. Grâce à l'amitié, et à l'argent, d'Archibald, nos amis se rendront par la suite en Ecosse (le meilleur album), aux "Galopingos" y vivre moult péripéties. Malheureusement Roba est trop accaparé par l'immense succès de Boule et Bill (qui paraît dans l'hebdo Spirou depuis 1959). Petit à petit il va délaisser cette joyeuse bande et le monde qui l'entoure. Et c'est bien dommage. La Ribambelle est une superbe série "tout public" qui durera quand même quatorze années... en seulement 6 albums. D'abord seul aux commandes, Roba sera sporadiquement assisté par Jidéhem pour le graphisme. Vicq, Yvan Delporte et Maurice Tillieux écriront certains scénarios. Les éditions originales sont assez rares en bon état. Peu rééditée par la maison d'édition (Dupuis), cette magnifique série disparaît petit à petit des mânes des jeunes lecteurs. A (re)découvrir pourtant Pour ceux qui possèdent les premiers Boule et Bill, Phil a le même visage. Seule la taille et la coupe de cheveux diffèrent. Né le 28 Juillet 1930 à Bruxelles, Jean Roba nous a quitté ce 14 Juin 2006.
Cages
Cages : la bible du BDphile, l'album de toutes les réponses, le livre de chevet philosophique de tout être aimant la vie et ses complications, d'une manière ou d'une autre. La grande force de cet album est en effet d'aborder de nombreux thèmes, et ce de manière très fine. Toutes les finesses du monde sont abordées, de manière plus ou moins concrètes : L'art (principalement) sous toutes ses formes, la mort, les relations humaines, la haine, l'attente, l'espoir, l'amour... toujours avec beaucoup de recul, sans vouloir donner de leçon ni être prétentieux. Ne serait-ce que par la vision de l'art présentée par l'auteur dans cet album, "Cages" est à rapprocher de L'artiste de la famille de Larcenet : Bien que la forme soit très différente (le style est moins centré sur l'auteur dans Cages, le personnage principal étant un artiste de fiction), le fond, très fort, peut rappeler certains passages de l'album des rêveurs. Mais c'est surtout dans la vision de la mort (et de la vie) très personnelle de Mc Kean que j'ai été touché. Le passage de l'absence du mari perdu depuis 5 ans est aussi très fort. Etrangement (ou plutôt logiquement !) il n'a pas touché d'autres lecteurs du tout : c'est une fois de plus la grande force de "Cages". Chacun sera sensible à différents passages, selon son histoire, son expérience, sa vie. Et c'est ainsi que l'album vous parlera plus ou moins, seuls les véritables amateurs de patinage artistique n'ayant pas vibré à la lecture de cet album. Graphiquement, c'est exquis : dessin maîtrisé en bichromie légère, ponctué par ci par là de planches très graphiques, colorées, permettant une introspection plus grande dans le récit. Mc Kean a été plus graphique encore dans d'autres albums, mais il privilégie ici la narration et s'en sort parfaitement. Certaines planches, complètement muettes, sont justement particulièrement parlantes... Un livre culte... une réelle réflexion qui mérite d'être lue.
Sylvain et Sylvette
C'est une série qui a bercé mon enfance et je vais avoir 50 ans. Pourquoi nier aujourd'hui ce qui m'a tant plu hier. Evidemment ce n'est pas dans les canons de la mode BD actuelle, mais n'oublions pas qu'à l'époque il n'y avait pas tant de choix qu'aujourd'hui. De plus, à cette époque, on apprenait encore la morale dans le sens "positif" du terme ! Je conseillerai toujours cette lecture pour les plus jeunes à qui c'est très bien indiqué avant de perdre leur innocence au profit d'autres BD plus "dirigées" et plus "violentes".
Tosca
J'ai vraiment aimé cette bd. Les dessins "réalistes" sont de qualité, le scénario est bon, j'ai très vite accroché. J'ai particulièrement apprécié la fin de l'histoire, j'étais vraiment impatient de connaître le dénouement. J'ai passé un bon moment à la lecture de cette série, beaucoup de suspense et d'action. Je conseille vivement cette bd pour les amateurs de polar/thriller.
S.T.A.R.
Une intrigue vraiment bien ficelée, le suspense est intense, les rebondissements sont surprenants. Je suis étonné que si peu de gens aient lu cette BD. Je la recommande vivement !
Star Wars - Jedi
Une série plutôt agréable par rapport au reste de la production Star Wars, les personnages y sont particulièrement mieux réussis. Le héros Quinlan Vos est ambigû à souhait, il penche vraiment vers le côté obscur. Se complète avec certains volume de la série Star Wars - Clone Wars.