Est ce encore de la BD, tant le support ne semble plus avoir de limites ? A la fois cartésiennes et irrationnelles, ces BD ne ressemblent à nulles autres. L'imagination nous submerge, l'histoire en passerait presque au second plan !!!
Pour passer à côté de ces monuments, il faut vraiment être limité au premier degré et mettre de la mauvaise volonté.
Ma note en dit long sur l'estime du travail fourni.
Un grand respect pour ce qui s'approche du génie !!!
Une vraie révélation, un talent graphique hors norme et pour couronner le tout un bon scénario!! J'ai rarement vu une telle intensité avec des dessins noirs et blancs. Un tourbillon visuel !!!!
Je vais m'attaquer à Arq maintenant !!!
Superbe série qui nous permet d'évoluer dans un univers complexe et bien pensé. Le dessin est très fin, les couleurs chatoyantes. Difficile de raconter l'histoire en quelques lignes, rien ne vaut la lecture de ces 5 tomes où l'équilibre scénario/dessin est parfait (et qui plus est l'oeuvre d'une seule personne !!!).
J'ai hésité pour les 5 étoiles...
Pas grand chose à rajouter en plus des autres avis. Je tenais juste à poster ma note. J'ai longtemps repoussé la lecture de DCEDC, mais j'ai rectifié le tir récemment, rien à redire, il s'agit bien d'une BD culte, qui se lit tranquillement, car assez dense.
C'est un manga magnifique! L'histoire est très bien, les personnages sont attachants et les combats sont extraordinaires ! Ce manga provoque beaucoup d'émotion, il a l'étoffe pour ce hissé au rang de manga culte! D'ailleurs il y est déjà pour moi!
Au contraire je suis pour ma part amateur de super-héros, et le plaisir n'en est que meilleur, j'ai un vrai coup de coeur pour cette série.
Les super-héros réappropriés par de la bd européenne nouvelle vague, c'est vraiment sympa. J'adore les personnages, les dialogues, et tout l'arrière-plan politique. On navigue entre le naïf du genre et la grave dérive qu'il peut aussi occasionner, l'arbitraire des super-héros.
En ce moment c'est ma série préférée (j'en suis au 2ème tome qui vient de sortir - et qui n'est pas le dernier !).
Je cherchais un nouveau manga à lire et la couverture de cette série m'a interloqué. Les tomes sont blancs avec un dessin en relief. Et ce nom "homunculus" qui ressort. Pas de résumer à l'arrière mais les dessins sont magnifiques et hyper détaillés. J'achète donc le premier tome. Je me suis surpris à être totalement rentré dans l'histoire à n'en plus pouvoir lâcher le livre alors qu'il n'y a aucune action. L'histoire est sérieuse, réaliste et super intéressant. Un homme mystérieux qui vit à la frontière entre les riches et les sans-abris et, ayant besoin d'argent, accepte de se faire trépaner (faire un trou dans le crane) par un jeune étudiant de médecine au look assez spécial. Il voit les gens différemment, il voit les homunculus... Je ne peux vous dire ce que c'est car se serait vous gâcher votre plaisir..... En tout cas, les deux protagonistes sont des personnages assez énigmatiques, à la personnalité très recherchée...
Franchement, j'ai une bibliothèque de mangas et de BD, et celle-ci, c'est mon coup de coeur...
Voila, j'espère que je vous ai convaincu.
Achetez le premier tome et si vous appréciez, prenez la suite tout comme moi, vous ne le regretterez pas...
Effectivement c'est du Ennis et Corben dans leur plus pur style entre désespoir achevé, et humour (très) noir à gogo. Le récit réussit à maintenir renouveler l'esprit "no futur" avec brio.
A chaque album, Ennis réussit à faire faire des conneries encore plus grosses au Punisher, à chaque fois on se dit qu'il peut pas faire plus. Là il a réussi à aller jusqu'au bout de la fin de la fin du monde.
10 après avoir posté cet avis, je me rends compte que c'est une des rares BD que je relis presque tous les ans : je monte la note de 4* à 5* .
Bon, comment dire, hummm... C'est ma BD préférée !
Larcenet nous sort le grand jeu :
- Un personnage, Marco, névrosé, hyper angoissé, maladroit, dépassé par la vie, par ses responsabilités, profondément humain, voulant toujours bien faire et faisant parfois tout de travers... bref un personnage énormément attachant.
- Des histoires qui prennent à la gorge, qui font rire, qui font qu'on s'identifie à Marco et qu'on réfléchit à ce qu'on ferait à sa place, qui abordent différents sujets : la mort, le pardon, l'amour, les relations avec les parents, le racisme, la paternité et tant d’autres... tout ça dans une BD (3 tomes pour le moment), c'est puissant !
- Un dessin à la Larcenet : certains n'aiment pas sa simplicité, moi j'adore, bien au contraire. Larcenet arrive en une case, en une expression de visage (même si elle n'est pas réaliste) à nous faire ressentir tout un tas de sentiments... moi, certaines cases me donnent la larme à l'oeil (de tristesse et aussi de joie) tellement je communie avec !
Bref, du bonheur à l'état pur !
Jusqu’à ce jour, deux tomes ont été édités. Le premier album est, à mon avis, plus accrocheur que le deuxième… voici mes avis tome par tome :
Avis sur le premier tome « Amours fragiles T1 » :
Cet album conte la vie d’un jeune homme allemand, Martin, et de son entourage avant l’avènement de la seconde guerre mondiale.
Le gros intérêt de cette BD est de nous emmener dans l’Allemagne d’entre guerres et nous faire participer à la fulgurante montée du nazisme. Le scénario est essentiellement basé sur le changement lent mais durable de la mentalité des principaux personnages selon les évènements ou les lois qui ont été imposés par les nazis.
Martin est le personnage principal de l’histoire, c’est un homme timide et qui n’ose pas avouer son amour à Katarina, une jeune voisine qui vient de s’installer avec ses parents en face de chez lui. C’est aussi à travers son regard que le lecteur suivra l’évolution de son entourage et de l’Allemagne traumatisée par la défaite, le chômage galopant et la mésentente des partis politiques. Face à ces problèmes, le parti national-socialiste semble être aux yeux d’une grande partie de la population le seul groupe politique pouvant relever le pays et leur promettre une vie meilleure.
J’ai ainsi été littéralement accroché à cette histoire, intéressé par la vie de Martin et par tout ce qui l’entoure.
La scène du chat et la séquence finale sur les parents de Katarina me sont apparues très émouvantes, je salue le talent du scénariste qui a évité de mettre en scène des tueries, ces séquences citées en exemple suffisent à elles-seules de démontrer les méfaits du nazisme. J’ai été particulièrement touché par la façon dont les victimes de ce régime étaient pratiquement privées du jour au lendemain de dignité, de reconnaissance, de considération de la majorité d’un peuple. Et dire tout ceci a été voulu au nom de l’intérêt « général », aux noms du « bien-être » de tous les « bons » allemands !
La narration est excellente, le dessin est agréable à contempler et l’ambiance majoritairement mise en couleurs par des tons ocres à l’aquarelle est bien adaptée à cette BD.
Le premier tome d’ »Amours fragiles » est finalement un album historique très preneur. C’est une BD qui, à mon avis, retransmet bien l’Allemagne entre guerres mondiales à travers le regard d’un jeune citoyen soucieux et inquiet des changements de comportement de ses compatriotes. A découvrir !
Note finale : 5/5
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Julius Corentin Acquefacques
Est ce encore de la BD, tant le support ne semble plus avoir de limites ? A la fois cartésiennes et irrationnelles, ces BD ne ressemblent à nulles autres. L'imagination nous submerge, l'histoire en passerait presque au second plan !!! Pour passer à côté de ces monuments, il faut vraiment être limité au premier degré et mettre de la mauvaise volonté. Ma note en dit long sur l'estime du travail fourni. Un grand respect pour ce qui s'approche du génie !!!
Cromwell Stone
Une vraie révélation, un talent graphique hors norme et pour couronner le tout un bon scénario!! J'ai rarement vu une telle intensité avec des dessins noirs et blancs. Un tourbillon visuel !!!! Je vais m'attaquer à Arq maintenant !!!
Horologiom
Superbe série qui nous permet d'évoluer dans un univers complexe et bien pensé. Le dessin est très fin, les couleurs chatoyantes. Difficile de raconter l'histoire en quelques lignes, rien ne vaut la lecture de ces 5 tomes où l'équilibre scénario/dessin est parfait (et qui plus est l'oeuvre d'une seule personne !!!). J'ai hésité pour les 5 étoiles...
De Cape et de Crocs
Pas grand chose à rajouter en plus des autres avis. Je tenais juste à poster ma note. J'ai longtemps repoussé la lecture de DCEDC, mais j'ai rectifié le tir récemment, rien à redire, il s'agit bien d'une BD culte, qui se lit tranquillement, car assez dense.
Naruto
C'est un manga magnifique! L'histoire est très bien, les personnages sont attachants et les combats sont extraordinaires ! Ce manga provoque beaucoup d'émotion, il a l'étoffe pour ce hissé au rang de manga culte! D'ailleurs il y est déjà pour moi!
Comix Remix
Au contraire je suis pour ma part amateur de super-héros, et le plaisir n'en est que meilleur, j'ai un vrai coup de coeur pour cette série. Les super-héros réappropriés par de la bd européenne nouvelle vague, c'est vraiment sympa. J'adore les personnages, les dialogues, et tout l'arrière-plan politique. On navigue entre le naïf du genre et la grave dérive qu'il peut aussi occasionner, l'arbitraire des super-héros. En ce moment c'est ma série préférée (j'en suis au 2ème tome qui vient de sortir - et qui n'est pas le dernier !).
Homunculus
Je cherchais un nouveau manga à lire et la couverture de cette série m'a interloqué. Les tomes sont blancs avec un dessin en relief. Et ce nom "homunculus" qui ressort. Pas de résumer à l'arrière mais les dessins sont magnifiques et hyper détaillés. J'achète donc le premier tome. Je me suis surpris à être totalement rentré dans l'histoire à n'en plus pouvoir lâcher le livre alors qu'il n'y a aucune action. L'histoire est sérieuse, réaliste et super intéressant. Un homme mystérieux qui vit à la frontière entre les riches et les sans-abris et, ayant besoin d'argent, accepte de se faire trépaner (faire un trou dans le crane) par un jeune étudiant de médecine au look assez spécial. Il voit les gens différemment, il voit les homunculus... Je ne peux vous dire ce que c'est car se serait vous gâcher votre plaisir..... En tout cas, les deux protagonistes sont des personnages assez énigmatiques, à la personnalité très recherchée... Franchement, j'ai une bibliothèque de mangas et de BD, et celle-ci, c'est mon coup de coeur... Voila, j'espère que je vous ai convaincu. Achetez le premier tome et si vous appréciez, prenez la suite tout comme moi, vous ne le regretterez pas...
Punisher - La Fin
Effectivement c'est du Ennis et Corben dans leur plus pur style entre désespoir achevé, et humour (très) noir à gogo. Le récit réussit à maintenir renouveler l'esprit "no futur" avec brio. A chaque album, Ennis réussit à faire faire des conneries encore plus grosses au Punisher, à chaque fois on se dit qu'il peut pas faire plus. Là il a réussi à aller jusqu'au bout de la fin de la fin du monde. 10 après avoir posté cet avis, je me rends compte que c'est une des rares BD que je relis presque tous les ans : je monte la note de 4* à 5* .
Le combat ordinaire
Bon, comment dire, hummm... C'est ma BD préférée ! Larcenet nous sort le grand jeu : - Un personnage, Marco, névrosé, hyper angoissé, maladroit, dépassé par la vie, par ses responsabilités, profondément humain, voulant toujours bien faire et faisant parfois tout de travers... bref un personnage énormément attachant. - Des histoires qui prennent à la gorge, qui font rire, qui font qu'on s'identifie à Marco et qu'on réfléchit à ce qu'on ferait à sa place, qui abordent différents sujets : la mort, le pardon, l'amour, les relations avec les parents, le racisme, la paternité et tant d’autres... tout ça dans une BD (3 tomes pour le moment), c'est puissant ! - Un dessin à la Larcenet : certains n'aiment pas sa simplicité, moi j'adore, bien au contraire. Larcenet arrive en une case, en une expression de visage (même si elle n'est pas réaliste) à nous faire ressentir tout un tas de sentiments... moi, certaines cases me donnent la larme à l'oeil (de tristesse et aussi de joie) tellement je communie avec ! Bref, du bonheur à l'état pur !
Amours fragiles
Jusqu’à ce jour, deux tomes ont été édités. Le premier album est, à mon avis, plus accrocheur que le deuxième… voici mes avis tome par tome : Avis sur le premier tome « Amours fragiles T1 » : Cet album conte la vie d’un jeune homme allemand, Martin, et de son entourage avant l’avènement de la seconde guerre mondiale. Le gros intérêt de cette BD est de nous emmener dans l’Allemagne d’entre guerres et nous faire participer à la fulgurante montée du nazisme. Le scénario est essentiellement basé sur le changement lent mais durable de la mentalité des principaux personnages selon les évènements ou les lois qui ont été imposés par les nazis. Martin est le personnage principal de l’histoire, c’est un homme timide et qui n’ose pas avouer son amour à Katarina, une jeune voisine qui vient de s’installer avec ses parents en face de chez lui. C’est aussi à travers son regard que le lecteur suivra l’évolution de son entourage et de l’Allemagne traumatisée par la défaite, le chômage galopant et la mésentente des partis politiques. Face à ces problèmes, le parti national-socialiste semble être aux yeux d’une grande partie de la population le seul groupe politique pouvant relever le pays et leur promettre une vie meilleure. J’ai ainsi été littéralement accroché à cette histoire, intéressé par la vie de Martin et par tout ce qui l’entoure. La scène du chat et la séquence finale sur les parents de Katarina me sont apparues très émouvantes, je salue le talent du scénariste qui a évité de mettre en scène des tueries, ces séquences citées en exemple suffisent à elles-seules de démontrer les méfaits du nazisme. J’ai été particulièrement touché par la façon dont les victimes de ce régime étaient pratiquement privées du jour au lendemain de dignité, de reconnaissance, de considération de la majorité d’un peuple. Et dire tout ceci a été voulu au nom de l’intérêt « général », aux noms du « bien-être » de tous les « bons » allemands ! La narration est excellente, le dessin est agréable à contempler et l’ambiance majoritairement mise en couleurs par des tons ocres à l’aquarelle est bien adaptée à cette BD. Le premier tome d’ »Amours fragiles » est finalement un album historique très preneur. C’est une BD qui, à mon avis, retransmet bien l’Allemagne entre guerres mondiales à travers le regard d’un jeune citoyen soucieux et inquiet des changements de comportement de ses compatriotes. A découvrir ! Note finale : 5/5