Franquin est indétrônable, c'est lui le maître ! Scénario, dessins, tout est mieux chez lui. Les histoires sont assez intéressantes, bien que la qualité ne soit pas constante.
Pour les amoureux des longues séries !
Qu'est que c'est marrant ! Décidément Zep est un vrai artiste, enfin une Bande-dessinées humouristique qui change de l'ordinaire. Le personnage est attachants et les dessins sont à la "Zep", c'est tout dire. J'aime bien se principe de non-délimitation par vignette.
J'attend avec impatiente une suite !
Un très bon humour avec des interludes sur la production de phil koton... Et là découvrons aussi un Gabrion autre que celui de l'Homme de Java ... Un bon humour et un thème bien abordé qui ne tombe pas dans les petits pièges banals... A noter phil koton présent dans le @fluidz (les vieux numéro bientôt dispos dans un cdrom...) et sa série flash " Sport City" (it's good for you)
Si le graphisme de Jacques Martin est assez figé (Hergé s'était d'abord montré très réticent pour cette raison), il a réalisé des progrès remarquables depuis "Le dernier spartiate". Sa minutie dans les décors et l'architecture font de ces histoires de vrais albums de voyage. En outre, le scénario est irréprochable, et le suspense bien entretenu, notamment depuis que l'auteur a abandonné le manichéisme des premiers récits pour nous montrer un Alix souvent impuissant et réduit à l'état de témoin d'une réalité complexe, pris au piêge des ambitions humaines et de la lutte pour le pouvoir.
Pas dac, ça vaut le coup de les relire, enfin surtout certain qui sont vraiment cultes (la série est assez inégale, mais avec 50 tomes...)
J'aime beaucoup Tambo Tabou et Tora Torapa, c du lachage et de l'éclate totale, les derniers sont sympa aussi (Luna fatale, le rayon noir, New york)
Nan, c tout de même une TRES grande série!
bien delirant ce truc, c'est clair.
Zep est vraiment tres bon dans son genre. Là, on se remet trop dans nos problemes avec les concerts... Ya du vécu ! Et c'est clair que ceux qui ont un peu d'experience dans les concerts vous disont que les 3/4 des histoires de cet albums sont tout à fait credibles.
La mise en scene de Zep est vraiment excellente.
au niveau des dessin, c'est dans le meme style que Titeuf, mais vu que les perso sont plus vieux, plus grand (en age et en taille), ils ont un peu moins de charmes... mais le style graphique est quand meme bien fendard.
ceci dit, je prefere quand meme titeuf... :)
Les préoccupations écologiques de cette série ne se sont jamais démenties avec le temps.
Ce certainement ce qui la rend aussi plaisante à la lecture... Du moins dans le premier cycle. Parce qu'aprés aquablue devient surtout une bd qui surfe (sans jeu de mots) sur la vague de son succès.
A ce titre, le dernier cycle qui commence avec "fondation aquablue" en est l'exemple le plus flagrant. Sauf que là, il faudrait être aveugle pour ne pas voir l'étrange analogie avec jurassik park.
Enfin, je terminerai par le paradoxe graphique de cette série. Le premier cycle scénaristiquement trés aboutie, bénéfie dans les trois premiers tomes d'un graphisme moyen selon moi.
Puis quand les choses s'arrangent nettement sur ce plan, c'est le scénar qui chute.
Les albums 4 et 5 sont ceux qui motivent en fait, l'exceptionnelle réputation de cette série.
Une dernière chose.... je n'aime pas trop l'évolution de Nao qui peu à peu s'est transformé en cousin aquatique de stallonne ou scharwzy...
mais bon, ceci dit cette série est vachement agréable à lire.
il y a dans cette remarquable bd des références au film noir us qui font mouche à chaque fois. comme dans certains de ces films on retrouve par ailleurs une forte dose de pessimisme et de dérision. les personnages-animaux ont une personnalité à la fois forte et terriblement bien sentie.
les dessins de jimenez sont de haute volée. son trait à la fois précis et tourmenté est en parfaite adéquation avec le scénario de jodorowski. c'est une bd qui m'a beaucoup intéressé. par ailleurs je suis de plus en plus convaincu que jodorowski a un véritable problème perso avec le sexe... le thème de l'inceste revient encore une fois violemment dans son univers, "agrémenté" en plus de scènes sanglantes qui sont sans doute le reflet de la perturbation psychologique de l'auteur (je dis cela parce qu'au vu de toutes ses autres productions, jodo exprime les mêmes tourments, les mêmes obsessions, la même violence latente. Si cet auteur n'avait pas été une sorte de malade mental, la caste aurait pu être analysée autrement, voire être abordée comme une critique acerbe de nos conceptions occidentales, bassement matérielles et portées sur la primauté du corps sur l'esprit...).Enfin dans le cas de jodo, cette bd est interessante parce qu'elle synthétise vraiment tout ce qu'il a à dire, et certainement ce qu'il est. Le robot qui raconte l'histoire et qui distille son mal être chronique et sa science du récit, est d'ailleurs vraisemblablement un double de l'auteur.
Mais que se passe t-il ?! Mais ! Mmais je me transforme en gosse en lisant Monstrueux... ! C'est vraiment bon ça.
Du Lewis Trondheim de très bon cru. Le style essentiellement narratif donne vraiment un style, on a vraiment l'impression d'écouter un enfant nous raconter les images.
Du bonheur.
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Spirou et Fantasio
Franquin est indétrônable, c'est lui le maître ! Scénario, dessins, tout est mieux chez lui. Les histoires sont assez intéressantes, bien que la qualité ne soit pas constante. Pour les amoureux des longues séries !
Happy Rock (L'enfer des concerts)
Qu'est que c'est marrant ! Décidément Zep est un vrai artiste, enfin une Bande-dessinées humouristique qui change de l'ordinaire. Le personnage est attachants et les dessins sont à la "Zep", c'est tout dire. J'aime bien se principe de non-délimitation par vignette. J'attend avec impatiente une suite !
Phil Koton
Un très bon humour avec des interludes sur la production de phil koton... Et là découvrons aussi un Gabrion autre que celui de l'Homme de Java ... Un bon humour et un thème bien abordé qui ne tombe pas dans les petits pièges banals... A noter phil koton présent dans le @fluidz (les vieux numéro bientôt dispos dans un cdrom...) et sa série flash " Sport City" (it's good for you)
Alix
Si le graphisme de Jacques Martin est assez figé (Hergé s'était d'abord montré très réticent pour cette raison), il a réalisé des progrès remarquables depuis "Le dernier spartiate". Sa minutie dans les décors et l'architecture font de ces histoires de vrais albums de voyage. En outre, le scénario est irréprochable, et le suspense bien entretenu, notamment depuis que l'auteur a abandonné le manichéisme des premiers récits pour nous montrer un Alix souvent impuissant et réduit à l'état de témoin d'une réalité complexe, pris au piêge des ambitions humaines et de la lutte pour le pouvoir.
Spirou et Fantasio
Pas dac, ça vaut le coup de les relire, enfin surtout certain qui sont vraiment cultes (la série est assez inégale, mais avec 50 tomes...) J'aime beaucoup Tambo Tabou et Tora Torapa, c du lachage et de l'éclate totale, les derniers sont sympa aussi (Luna fatale, le rayon noir, New york) Nan, c tout de même une TRES grande série!
Happy Rock (L'enfer des concerts)
bien delirant ce truc, c'est clair. Zep est vraiment tres bon dans son genre. Là, on se remet trop dans nos problemes avec les concerts... Ya du vécu ! Et c'est clair que ceux qui ont un peu d'experience dans les concerts vous disont que les 3/4 des histoires de cet albums sont tout à fait credibles. La mise en scene de Zep est vraiment excellente. au niveau des dessin, c'est dans le meme style que Titeuf, mais vu que les perso sont plus vieux, plus grand (en age et en taille), ils ont un peu moins de charmes... mais le style graphique est quand meme bien fendard. ceci dit, je prefere quand meme titeuf... :)
Aquablue
Les préoccupations écologiques de cette série ne se sont jamais démenties avec le temps. Ce certainement ce qui la rend aussi plaisante à la lecture... Du moins dans le premier cycle. Parce qu'aprés aquablue devient surtout une bd qui surfe (sans jeu de mots) sur la vague de son succès. A ce titre, le dernier cycle qui commence avec "fondation aquablue" en est l'exemple le plus flagrant. Sauf que là, il faudrait être aveugle pour ne pas voir l'étrange analogie avec jurassik park. Enfin, je terminerai par le paradoxe graphique de cette série. Le premier cycle scénaristiquement trés aboutie, bénéfie dans les trois premiers tomes d'un graphisme moyen selon moi. Puis quand les choses s'arrangent nettement sur ce plan, c'est le scénar qui chute. Les albums 4 et 5 sont ceux qui motivent en fait, l'exceptionnelle réputation de cette série. Une dernière chose.... je n'aime pas trop l'évolution de Nao qui peu à peu s'est transformé en cousin aquatique de stallonne ou scharwzy... mais bon, ceci dit cette série est vachement agréable à lire.
Blacksad
il y a dans cette remarquable bd des références au film noir us qui font mouche à chaque fois. comme dans certains de ces films on retrouve par ailleurs une forte dose de pessimisme et de dérision. les personnages-animaux ont une personnalité à la fois forte et terriblement bien sentie.
La Caste des Méta-barons
les dessins de jimenez sont de haute volée. son trait à la fois précis et tourmenté est en parfaite adéquation avec le scénario de jodorowski. c'est une bd qui m'a beaucoup intéressé. par ailleurs je suis de plus en plus convaincu que jodorowski a un véritable problème perso avec le sexe... le thème de l'inceste revient encore une fois violemment dans son univers, "agrémenté" en plus de scènes sanglantes qui sont sans doute le reflet de la perturbation psychologique de l'auteur (je dis cela parce qu'au vu de toutes ses autres productions, jodo exprime les mêmes tourments, les mêmes obsessions, la même violence latente. Si cet auteur n'avait pas été une sorte de malade mental, la caste aurait pu être analysée autrement, voire être abordée comme une critique acerbe de nos conceptions occidentales, bassement matérielles et portées sur la primauté du corps sur l'esprit...).Enfin dans le cas de jodo, cette bd est interessante parce qu'elle synthétise vraiment tout ce qu'il a à dire, et certainement ce qu'il est. Le robot qui raconte l'histoire et qui distille son mal être chronique et sa science du récit, est d'ailleurs vraisemblablement un double de l'auteur.
Monstrueux...
Mais que se passe t-il ?! Mais ! Mmais je me transforme en gosse en lisant Monstrueux... ! C'est vraiment bon ça. Du Lewis Trondheim de très bon cru. Le style essentiellement narratif donne vraiment un style, on a vraiment l'impression d'écouter un enfant nous raconter les images. Du bonheur.