Les derniers avis (31327 avis)

Par iannick
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série La Voix des hommes qui se mirent
La Voix des hommes qui se mirent

Après L'Accablante apathie des dimanches à rosbif, Gilles Larher et Sébastien Vassant nous proposent encore une fois un récit décalé, attachant et doté de savoureux dialogues ! Ce livre, c’est « La voix des hommes qui se mirent » (où ils vont chercher leurs titres ce duo ?!), une bd qui je j’espère vous fera également passé un bon moment de lecture ! Que nous raconte « La voix des hommes qui se mirent » ? Cette bd est décomposée en une quinzaine de courts récits où des hommes viennent témoigner sur leur rapport avec les femmes. Mais attention, ils ne viennent pas que pour nous raconter leurs vies sexuelles (d’ailleurs, ils en parlent peu dans cette bd…) ! Non, car la plupart des personnes nous parlent de la gent féminine sous forme anecdotes croustillantes, humoristiques (toutefois, il faut savoir que c’est un comique masculin… car ce sont de vrais discussions entre hommes !), touchantes et surtout incroyablement tendres envers elles ! Quoi ?! Vous, les filles, vous n’êtes pas convaincues que les hommes parlent de leur(s) femme(s) avec respect et tendresse ?! Et bien, allez ouvrir ce bouquin et jetez-y un coup d’œil directement sur la nouvelle sur « Norbert » (aux pages 110-130 si mes souvenirs sont bons) pour vous en faire une idée ! Pour moi, ce court récit est le plus émouvant et le plus beau de cette bd ! Pour le reste, j’ai adoré les dialogues de Gilles Larher ! Comme dans L'Accablante apathie des dimanches à rosbif, je suis très admiratif sur la capacité de cet auteur à nous proposer des commentaires drôles, émouvants, riches, très travaillés et fins ! Encore une fois, je trouve étonnant que le scénariste Gilles Larher n’ait pas eu une carrière de comique ou de comédien ! Graphiquement, Sébastien Vassant nous présente un style épuré en noir et blanc qui –à mon avis- convient très bien au scénario de Gilles Larher. Les personnages sont expressifs, suffisamment différenciables pour qu’on ne les confond pas. Les décors, les découpages, la mise en pages me sont apparus irréprochables. J’avais beaucoup apprécié L'Accablante apathie des dimanches à rosbif, le premier album du duo Gilles Larher et Sébastien Vassant mais cette fois-ci, j’ai carrément adoré leur deuxième bd en commun « La voix des hommes qui se mirent » où j’ai pris énormément de plaisirs de la lire ! Encore une fois, j’y ai aimé les dialogues de Gilles Vassant que je considère (déjà !) comme un des meilleurs spécialistes du genre et le dessin épuré de Sébastien Vassant. Surtout, je trouve que l’album est suffisamment touchant et respectueux envers les femmes (qui sont le sujet principal de la bd) pour que vous preniez également beaucoup de bonheurs à le feuilleter ! Mon (gros) coup de cœur du mois !

21/03/2009 (modifier)
Par Kikid
Note: 4/5
Couverture de la série L'Aigle sans orteils
L'Aigle sans orteils

En voilà un bel album, moi qui ne me suis jamais intéressé au cyclisme, j’ai été complètement happé par cette histoire d’un homme qui, à force de courage et de persévérance, parvient à réaliser son rêve : participer au tour de France. Que l’on s’intéresse ou non à ce sport, Lax parvient avec brio à nous entrainer dans son histoire, une aventure humaine avant d’être une aventure sportive. L’histoire d’un rêve que rien ne peut arrêter. Je me suis très vite attaché à Amédée, j’ai partagé ses espoirs et été attristé lors de son accident. Durant près de 80 pages, les évènements se succèdent sans jamais ennuyer. On a presque l’impression d’être un ami intime du héros, tellement l’auteur présente l’action avec pudeur et une grande maitrise de la mise en scène. De Lax, je n’avais lu que le premier tome du Choucas, qui ne m’avait pas beaucoup plu graphiquement. J’ai trouvé son style bien plus approprié ici, nous livrant de très beaux paysages de montagne. Je n’avais pas aimé se façon de dessiner les personnages dans le Choucas, je l’ai trouvé ici tout à fait agréable et maitrisée. De plus, les couleurs sont très jolies, ce qui achève de faire de cet album une réussite formelle. En définitive un excellent one-shot, dont on sent qu’il a été fait avec le cœur. L’auteur nous parle d’une de ses passions, le cyclisme, et il réussirait presque à me donner envie de m’intéresser à ce sport et à l’histoire du tour de France ! Assurément un album à lire, qui possède tout ce qu’on peut espérer d’une bonne BD : un scénario solide et bien mis en scène (sans oublier le nombre de pages conséquent, ce qui est toujours un bon point), des dessins et couleurs maitrisés, une histoire qui parlera à tous.

21/03/2009 (modifier)
Par Chaps31
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Servitude
Servitude

Bon je vois cette BD, la couverture et le graphisme soigné attire l'oeil, aïe de l'Heroïc Fantasy, pas vraiment ma tasse de thé... Tant pis je feuillète... et je dois avouer que le graphisme m'aspire littéralement dans la BD, je la referme pour éviter une découverte malheureuse d'un point important du scénario et me dirige vers le vendeur (mon revendeur habituel ;) ). Vif conseil de sa part d'acheter la BD, certes il y a des Dragons mais pas de magie partout et le genre de truc qui ne me plait guère, j'achète les 2 tomes. Et je ne l'ai pas regretté !! Quelle BD, je mets 4 parce qu'on ne met pas 5 (que je réserverais aux 2 premiers Albums du cycle de cyan mais je m'égare...). Malgré ma méfiance face à l'Heroic Fantasy j'ai beaucoup aimé le seigneur des anneaux, je parle du film de Peter Jackson et le cinéma est proche de la BD. L'influence de Tolkien transpire de façon évidente, dès la vision de la carte au début du premier tome. Et alors ? Quoi de plus normal que d'avoir des références, surtout quand on sait les dépasser, et là c'est fait avec brio, qu'un regret il va falloir attendre les autres tomes. Le graphisme ? Magnifique, extraordinairement immersif, c'est ce que j'ai adoré, j'ai été dans les lieux de Servitude, si, si, sans drogue, juste un excellent graphisme. Le scénario ? Il passe par le monde créé et ses codes, d'une grande richesse, et nécessitant la lecture des légendes du début des 2 tomes déjà parus. Par la suite, le scénario et le déroulement de l'histoire nous entraine un peu plus profondément dans ce monde dans lequel le graphisme nous avait déjà bien immergé sans nous laisser le temps de reprendre notre souffle. Les personnages ont des personnalités marquées, on s'y attache très facilement. On plonge dans un monde imaginaire qui tient la route et pourrait sans difficulté être une légende issue d'une culture humaine bien réelle. En 1 mot, vive la suite, et dernier point positif, le nombre de tomes est déjà fixe, j'aime ça, le scénariste a créé son histoire, il a son synopsis, un tout. Parfait, pas de rallonges qui finissent par ne plus avoir de sens.

21/03/2009 (modifier)
Par Kikid
Note: 4/5
Couverture de la série Légende
Légende

EDIT 03/2009 - Avis portant sur les 4 premiers tomes de la série. Difficile de ne pas être attiré par une série comme Légende. J’avais attendu le tome 1 avec impatience, et lui avais attribué un 3/5. Il s’agissait d’une introduction prometteuse, sans être une révolution. Aujourd’hui que la série en est à 4 albums, qu’en est-il ? Bien que ne comprenant rien de vraiment très original, l’histoire de Tristan est passionnante. Nous accompagnons le héros durant une bonne partie de sa vie, de son enfance jusqu’au moment où il tentera de se venger et de retrouver sa place légitime. Un des points forts de Légende est sa galerie de personnages, durs et charismatiques, brossant le portrait d’une période durant laquelle il ne devait pas faire bon vivre. Tous ont leurs mauvais côtés, ce qui ne les rend donc pas attachants, mais assurément très intéressants. L’équilibre entre scènes d’action et scènes plus calmes est très bien dosé. L’auteur prend le temps de développer son histoire, tout avance assez lentement, mais on sent bien que la fin approche. Si je ne m’abuse, la série se conclura avec le prochain tome. Au niveau graphique, c’est du Swolfs, est-il nécessaire d’en dire plus ? Les planches sont magnifiques et très bien mises en couleur, c’est un vrai plaisir de se balader dans ces sombres forêts, paysages enneigés et autres châteaux. Bref, après « Durango » et « Le Prince de la Nuit », Swolfs confirme qu’il est un maître du dessin. Et, ce qui ne gâche rien, ses demoiselles sont toujours aussi agréables à regarder … Alors certes, ce n’est pas une série très originale, mais quand c’est si bien réalisé il n’y a pas de raison de se priver. Je prends toujours plaisir à en découvrir un nouvel album et mon intérêt reste constant. La lecture est passionnante et donne envie de connaître le dénouement. Si vous chercher une bonne série médiévale et de beaux dessins, Légende est fait pour vous.

08/06/2003 (MAJ le 21/03/2009) (modifier)
Par anyaka
Note: 4/5
Couverture de la série Lui ou rien !
Lui ou rien !

Voilà une série toujours aussi bien dessinée par Yuu Watase, avec un héros vraiment trop craquant. Bon l’histoire n’est pas très originale (mais comment l’être quand tout a quasiment été exploré dans l’univers manga ?) en général mais assez originale pour cette « auteure » (ce terme n’existe pas au féminin et c’est bien dommage). Le concept rappelle ChobitS de Clamp ou bien VideoGirl Ai mais écrit pour les filles (ben oui, mince, qu’il n’y en ait pas que pour les garçons, non mais ! ). L’héroïne est assez niaise au début, un peu comme toutes les héroïnes de Yuu Watase, mais on s’attache à elle au fil des tomes et ça fait plaisir de retrouver une nouvelle « Miaka » (héroïne de Fushigi Yûgi du même auteur) : émouvante, maladroite, gaffeuse, naïve, candide et pleine de bons sentiments. C’est une série un peu cucul comme on dit mais le style de Yuu Watase est toujours si beau que rien que pour ça, ça vaut le coup d’acheter les mangas. En plus, c’est une série courte, que demander de plus ? Je la conseille donc à ceux qui ont aimé Imadoki ou bien Alice 19th ainsi qu’à ceux qui aiment les dessins de Yuu Watase. Je la déconseille fortement à tous ceux qui ont déjà trouvé ces 2 séries « niaises » car celle-ci est encore plus « fleur bleue » et « gnangnan » que les autres.

21/03/2009 (modifier)
Par Pasukare
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Où le regard ne porte pas...
Où le regard ne porte pas...

Ah la la cette BD, on peut dire que je lui ai longtemps tourné autour. Attirée par l'histoire, les couleurs et les couvertures, repoussée par le style du dessin lorsque j'ai eu quelques fois l'occasion de la feuilleter en librairie, c'est finalement après qu'on me l'ait chaudement recommandée que j'ai fini par l'acheter, et grand bien m'en a pris ! Commençons par ce qui faillit me faire passer à côté de ce petit chef d'œuvre, le dessin : le trait est anguleux, les morphologies sont hasardeuses et à géométrie variable (mais qui gardent tout de même d'une case à l'autre LE truc qui fait qu'on identifie à coup sûr les personnages, donc pas de souci de ce côté là) c'est très surprenant et parfois dérangeant et je ne peux pas vraiment dire que j'ai fini par m'y habituer. Pendant les presque 200 pages de ma lecture je me suis demandée quelle autre BD de ce dessinateur j'avais déjà lue, persuadée que j'étais de reconnaître ce style vraiment particulier, et en fin de compte il n'en était rien, bizarre, bizarre. En dehors de ça, le reste est un vrai régal pour les yeux : paysages, couleurs, lumière, angles de vues, cadrages, mêmes certains visages que j'ai trouvés parfois mieux réussis et des expressions, toujours simples, mais admirablement bien rendues. J'ai été complètement happée par l'ambiance chaleureuse et écrasée de soleil de l'Italie du premier tome et par l'immense et insondable forêt du Costa Rica du tome 2. Côté scénario, je suis vraiment ravie de ma lecture, le premier tome nous laisse croire à une simple tranche de vie de pécheurs dans un petit village perdu mais distille çà et là quelques touches de rêve et de magie et autres bizarreries qui nous laissent présager une issue d'un genre bien différend. J'avais tellement peur d'être déçue par la fin que j'ai traîné pour entamer le tome 2, histoire de conserver quelques temps mes bonnes impressions et d'échafauder quelques théories de mon côté. Et puis la tentation a été plus forte et j'ai attaqué ce deuxième tome qui nous emmène donc au Costa Rica 20 ans après : un peu déçue dans un premier temps de ne plus avoir sous les yeux ces quatre enfants que j'avais connus en Italie, mais des adultes de presque 30 ans, j'ai bien vite replongé avec délice dans l'aventure. Difficile d'en dire plus sans spoiler, en tous les cas les promesses sont tenues et les pistes du tome 1 confirmées. Le fin mot de l'histoire ne sera pas forcément du goût de tout le monde mais moi j'ai vraiment accroché. La fin n'est finalement qu'un (éternel) recommencement. Triste et poétique à la fois. Un très très bon moment de lecture, vraiment.

21/03/2009 (modifier)
Par Gros Bide
Note: 4/5
Couverture de la série L'Autoroute du soleil
L'Autoroute du soleil

Génial ! Un road movie détonnant ! J’ai lu ce pavé au format original d’une traite. Les pages se tournent vite mais elles sont tellement nombreuses (plus de 400) qu’on en a pour un bon bout de temps, et aussi pour son argent (ce qui n’est pas négligeable). Au niveau de l’intrigue, on ne peut pas dire qu’il ne se passe rien ! Que de rebondissements ! Baru nous laisse peu de répit. Le rythme est effréné. On engloutit les chapitres. Le suspense est quasiment présent tout au long de l’album. Une vraie performance scénaristique ! Malgré ce que peut laisser penser le titre et la couverture très colorée de l’édition originale, l’histoire est on ne peut plus noire. Le tout sur fond de chronique sociale. Le graphisme de Baru, assez proche du manga, n’est pas vraiment ma tasse de thé. Du coup, au moment de débuter ma lecture, j’appréhendais un peu. Je pensais que ce style pourrait m’empêcher d’entrer dans l’intrigue. Mais finalement, ça ne m’a absolument pas gêné. Et puis, ça correspondait parfaitement aux styles sec, dur et violent du récit. Quant à l’absence de couleurs, ça ne m’a pas posé de problème non plus, d’autant que je ne suis pas fan de la colorisation employée par Baru dans la plupart de ses autres albums. On frôle le 5/5 mais j’ai bien lu la charte au moment de m’inscrire. Le webmaster y précise bien que les 5/5 doivent être distribués avec parcimonie car ils viennent récompenser une œuvre exceptionnelle. Je vais donc noter sévèrement cet album en lui mettant « seulement » 4/5. Pourquoi ? Pas par sadisme mais parce que j’ai trouvé que la fin traînait légèrement en longueur. On commence dans le dernier quart de l’album à tourner quelque peu en rond. Cette chasse à l’homme n’en finit plus, si bien que le dénouement perd lui aussi de son impact et déçoit. De plus, histoire de pinailler un peu, certains dessins sont approximatifs et rendent la compréhension des événements floue le temps de quelques cases. C’est un petit défaut qui peut énerver, notamment quand la lecture est si cadencée. Néanmoins, si vous ne devez lire qu’une BD de Baru, lisez l’Autoroute du Soleil. Ca reste pour l’heure son chef d’œuvre.

21/03/2009 (modifier)
Par Ems
Note: 4/5
Couverture de la série Valse avec Bachir
Valse avec Bachir

Je suis étonné d'être le premier à aviser cette BD. Certes il s'agit d'une adaptation d'un long métrage qui vient d'obtenir le césar du meilleur film étranger. Les dessins sont issus des dessins préparatoires du film d'animation. Le processus de réalisation est bien décrit dans les 21 pages de textes et de croquis suivant la BD sous le titre de : '' Comment valse avec Bachir, le film, s'est-il transformé en un roman graphique ?" Le style graphique est particulier mais saisissant avec sa colorisation originale. Le rendu est superbe, il permet une immersion dans ce récit. Le scénario est très fort car au delà du sujet de fond, les massacres de Sabra et Chatila lors de la guerre du Liban, l'auteur fait un travail sur lui même pour retrouver la mémoire sur les évènements passés auxquels il a participé ou assisté. Cette démarche passe par la rencontre de personnes qui l'accompagnaient et qui nous livrent leurs souvenirs avec des réactions bien différentes. Cette BD documentaire nous ouvre les yeux sur un sombre moment de l'humanité, un parmi des milliers mais qui ne doit pas tomber dans l'oubli. "Valse avec Bachir" est à découvrir, que ce soit en BD ou en film.

21/03/2009 (modifier)
Par Ems
Note: 4/5
Couverture de la série Le Réveil du Zelphire
Le Réveil du Zelphire

Après la lecture du tome 1. J'étais sceptique sur cette BD et l'avis de Spooky m'a convaincu de me lancer. Je ne le regrette pas, sans être particulièrement originale, cette BD est vraiment agréable à lire. Le dessin est très digeste avec son trait léger et ses couleurs pastelles. Le scénario donne parfois l'impression de déjà vu ou lu, mais l'ensemble se révèle efficace. L'univers et les personnages mis en place sont bien pensés. Si l'on adhère au postulat, il est difficile de mettre en défaut l'histoire. J'attends la confirmation avec le tome 2.

20/03/2009 (modifier)
Par PAco
Note: 4/5
Couverture de la série Prince Lao
Prince Lao

Voilà une BD jeunesse fraîche (oui, ça se passe dans l'Himalaya...), épique, et fort sympathique ! Dans des décors assez grandioses, Philippe Gauckler nous entraîne sur les pas de Lao, jeune nomade des cimes himalayennes, en quête de ses parents disparus lors d'une brusque avalanche. A partir de là, les 3 albums qui s'enchaînent nous proposent des aventures assez distinctes, tout en gardant pour fil conducteur cette recherche ponctuée de rencontres... Le scénario évolue donc à mesure, tout en mettant en avant des valeurs importantes : entraide, amitié, respect de la nature et des autres, etc. Si on ne trouve dans tout cela rien de révolutionnaire, les aventures épiques de notre petit héros ont une très bonne accroche, et nous embarquent rapidement ! Côté dessin, ces aventures sont servies par un trait fin et épuré, le tout émaillé de décors somptueux qui rendent parfaitement hommage à ce décor naturel hors norme. La mise en couleur est également bien réussie, toute en douceur. Au final, je trouve cette série jeunesse très bien réussie, tant au niveau de l'histoire qui se trame petit à petit, que du graphisme. A coller entre toutes les mains de nos têtes blondes !

20/03/2009 (modifier)