Je trouve de manière générale que les histoires de jérome sont trés à l'étroit dans le format de parution actuel, c'est à dire "histoire sans suite". C'est d'autant plus dommage que souvent les idées de départ sont hyper séduisantes. Le dessin quant à lui est trés fluide et précis.
Une série intéressante au final...
Décidément, Etienne Lécroart ne fait pas dans la BD classique, et tant mieux ! Une fois encore, il expérimente sur un thème donné et original ; dans le cas présent, montrer une petite histoire par les yeux de chacun de ses dix protagonistes. D'autres s'y sont essayés (le film "Time Code" en est un exemple, même si le but n'était pas le même; Constellation, de Benoît Peeters, paru récemment, en est un autre) mais à ma connaissance pas avec cette ampleur (dix histoires), ni avec cet humour basé sur l'ambiguïté des situations, des sons (l'album est bourré de "jeux de mots" et de malentendus acoustiques :) ).
Les histoires se recoupent plus ou moins, certaines faisant découvrir des informations que les autres ignorent totalement, d'autres répétant des scènes presque identiques, au point de vue près. Toutes se finissent en un même endroit, chaque histoire venant prolonger la fin de la précédente.
Ce concept est certainement très intéressant, et l'album demande au moins une relecture afin de vérifier la cohérence de la scène présentée ; de plus, l'ordre de présentation n'étant pas l'ordre chronologique, on peut être amené à retourner en arrière pour comprendre, ou au contraire devoir attendre quelque explication... Pour un peu, on aurait l'impression de se promener dans un monde virtuel dont chaque facette nous serait exposée.
Côté plaisir de lecture, ma foi, si l'idée est franchement originale, l'histoire assez bien menée, l'humour presque omniprésent, je dois avouer avoir éprouvé une certaine lassitude à lire dix fois la même scène... Je recommanderai donc la lecture de cet ouvrage plutôt aux amateurs d'originalité, eux devraient très largement apprécier.
J'avoue ne pas savoir comment a été fait cet album. La suite n'est donc que conjectures et impressions.
La première chose qui frappe, c'est le mélange de deux graphismes très différents, celui de Trondheim, et celui de Konture, dans une même case... Ainsi, certaines sont littéralement coupées en deux par les différences de style. D'autres en revanche sont réalisées entièrement par l'un ou l'autre dessinateur, celui-ci dessinant les deux personnages (on pourra d'ailleurs constater que dessiner Lapinot n'est pas aussi simple que certains veulent bien le dire !), et laissant à son binôme le soin d'imaginer une suite...
La deuxième chose, ce sont les références abondantes au monde réel, ainsi qu'aux mondes respectif des deux héros. Exemple du premier cas, la présence épisodique des deux dessinateurs dans les cases, et exemple du second, cette phrase de Lapinot par Konture qui m'a laissé écroulé de rire : "Bouhouhouou que c'est sale tout cet underground ! Je veux retourner chez Dargô !!" :) :) :)
Le déroulement de l'histoire est quelque peu chaotique. Les auteurs partent parfois sur une idée pour l'abandonner peu après, sans qu'elle ait pu "mieux" fructifier ; on a aussi de temps à autre l'impression d'être dans une impasse. En fait, la sensation est assez similaire à ce qu'on peut parfois éprouver dans un jeu de rôle : "Et là, je fais quoi ?". Inutile donc de s'attendre à quelque chose de bien construit et réfléchi, cet album est par nature une improvisation !
Ses points forts sont son concept, l'humour très spécial, la gueguerre entre les deux auteurs... Son point faible est probablement... son concept même, qui en déroutera plus d'un.
La couverture du tome 1 est bien moche, et le texte au dos assez débile ("Cours, Blanco, cours, toutes les polices sont à tes trousses !") ; voilà qui n'était pas très encourageant au départ. En plus, je ne suis pas particulèrement fan de Taniguchi, de manga, et d'histoires d'animaux héroïques...
Pourtant, la lecture du "Chien Blanco" s'est révélé plutôt plaisante. Oh, rien de génial, hein ; il y a même plusieurs défauts assez importants. Par exemple, alors que l'histoire se situe dans un contexte réaliste, les pouvoirs sans cesse grandissants du chien sont de plus en plus invraisembables : il vole presque, aucune balle ne peut l'atteindre, il peut tuer en 5 secondes une escouade entière de soldats armés et bien entraînés sans même être égratigné, il perçoit les appels de ceux qu'il aime à des milliers de kilomètres... Hé, c'est pas Blanco qu'il fallait l'appeler, c'est Krypto, comme le chien de Superman ! Quand on pense que les principaux superpouvoirs des véritables chiens se limitent à leur super-souplesse qui leur permet de se lécher les couilles, et à leur estomac super-bien accroché grâce auquel ils peuvent supporter toute la journée l'odeur immonde de leur propre haleine, et renifler sans gerber le cul puant de leurs congénères...
Bon, bref. A part ça, la poursuite devient un poil répétitive au bout d'un moment. On a un peu l'impression d'assister plusieurs fois aux mêmes scènes, les rebondissements ne sont pas légion...
Mais bon, comme je disais, cette petite série (contrairement à beaucoup de mangas qui s'étendent sur 3000 tomes, celui-ci se finit au bout de 2) se laisse lire. Rien d'excellent, rien d'inoubliable, mais agréable quand même.
Une tres belle bande-dessinée ! Normal c'est Boiscommun qui l' a dessinée. Le scénar est très plaisant et étonnant : Un prêtre qui, sous l'inflence de démons, s'apprete ( "ça prêtre"... :D ok, ok .... ) à réveiller Azazel le démon!!! Mais heuresement, les anges-gardiens de St Eustache sont là ( dont la sexy "Om" ) et veillent au grain ....
Voiçi un dessin assez juste. Un histoire assez juste sans véritable fin (domage). Le début d'un grand dessinateur !
Un "must" que les bédéphiles, fans de XIII, ne doivent rater sous aucun prétexte!
La version enfin colorisée de cette superbe BD d'aventure réalisée en 1973 par William Vance et dont il n'existait jusqu'ici que quelques rares éditions en noir et blanc.
A paraitre : tome 1, tome 2, tome 3, tome 4, tome 5 (?)
C'est bien, même si j'aurai préféré que le marsupilami reste avec Spirou et Fantasio...( et Spip! )...
Il est intéressant d'observer la rivalité du marsu avec Mars le noir dans un des ablums de cette série parallèle.
Une BD amusante qui plaira aux plus jeunes.
Bof, bof...(La présence de quelques planches de Crisse dans un de ces comix a attiré mon attention)...A part ça, le dessin des auteurs de la série principale est bon, la mise en scène efficace mais le scénario et la fluidité de l'aventure m'empêche de rentrer dans l'histoire...Bref, j'accroche pas trop...Je dirai même que ça me lasse assez vite...
L'atout principal de cet album est sans conteste l'illustration: Sublime, aux couleurs chaudes et envoutantes, elle vous emporte dans ce recits à la fois cauchemardesque et reveur ... C'est beau, tout simplement. La où je mets le bémol c'est le scénario, qui, je trouve, est un ton en dessous ...
A lire et décourvir !
Voilà un album tout à fait singulier.
Pour plusieurs raisons : pour commencer il est beau.
Le trait de Boiscommun possède une qualité appréciable : il allie la précision à la légèreté.
Cela donne des personnages touchants de sincérité et de simplicité. L'ambiance ainsi créée ouvre une voie royale au scénariste, qui peut dès lors développer une histoire pourtant maintes fois rebattue : la confrontation des forces du bien (les angelots) aux forces du mal (les démons).
Mais le traitement réservé à cette aventure est pour sa part tout à fait original. Pour se donner une idée générale de cette BD, un qualificatif me paraît plutôt approprié : Poétique.
Les problèmes hiérarchiques de Yésod et Jélièl les 2 angelots sont à mourir de rire, la naissance d'Omaëlle après un évènement très noir est magique de beauté, la guéguerre avec les démons miniatures au sein même de l'église est très réussie.
Ce décor permanent, l'église, est d'ailleurs prépondérant sur l'ambiance de l'album, puisque tout baigne dans des couleurs jaunes/oranges/marrons à la fois chaudes et douces.
L'humour des personnages et la candeur du dessin font de cet album un bel objet, très agréable à lire. Le genre de lecture dont on ressort content, tout simplement, sans vraiment savoir pourquoi. Mais on en redemande !
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Jérôme K. Jérôme Bloche
Je trouve de manière générale que les histoires de jérome sont trés à l'étroit dans le format de parution actuel, c'est à dire "histoire sans suite". C'est d'autant plus dommage que souvent les idées de départ sont hyper séduisantes. Le dessin quant à lui est trés fluide et précis. Une série intéressante au final...
Ratatouille
Décidément, Etienne Lécroart ne fait pas dans la BD classique, et tant mieux ! Une fois encore, il expérimente sur un thème donné et original ; dans le cas présent, montrer une petite histoire par les yeux de chacun de ses dix protagonistes. D'autres s'y sont essayés (le film "Time Code" en est un exemple, même si le but n'était pas le même; Constellation, de Benoît Peeters, paru récemment, en est un autre) mais à ma connaissance pas avec cette ampleur (dix histoires), ni avec cet humour basé sur l'ambiguïté des situations, des sons (l'album est bourré de "jeux de mots" et de malentendus acoustiques :) ). Les histoires se recoupent plus ou moins, certaines faisant découvrir des informations que les autres ignorent totalement, d'autres répétant des scènes presque identiques, au point de vue près. Toutes se finissent en un même endroit, chaque histoire venant prolonger la fin de la précédente. Ce concept est certainement très intéressant, et l'album demande au moins une relecture afin de vérifier la cohérence de la scène présentée ; de plus, l'ordre de présentation n'étant pas l'ordre chronologique, on peut être amené à retourner en arrière pour comprendre, ou au contraire devoir attendre quelque explication... Pour un peu, on aurait l'impression de se promener dans un monde virtuel dont chaque facette nous serait exposée. Côté plaisir de lecture, ma foi, si l'idée est franchement originale, l'histoire assez bien menée, l'humour presque omniprésent, je dois avouer avoir éprouvé une certaine lassitude à lire dix fois la même scène... Je recommanderai donc la lecture de cet ouvrage plutôt aux amateurs d'originalité, eux devraient très largement apprécier.
Galopinot
J'avoue ne pas savoir comment a été fait cet album. La suite n'est donc que conjectures et impressions. La première chose qui frappe, c'est le mélange de deux graphismes très différents, celui de Trondheim, et celui de Konture, dans une même case... Ainsi, certaines sont littéralement coupées en deux par les différences de style. D'autres en revanche sont réalisées entièrement par l'un ou l'autre dessinateur, celui-ci dessinant les deux personnages (on pourra d'ailleurs constater que dessiner Lapinot n'est pas aussi simple que certains veulent bien le dire !), et laissant à son binôme le soin d'imaginer une suite... La deuxième chose, ce sont les références abondantes au monde réel, ainsi qu'aux mondes respectif des deux héros. Exemple du premier cas, la présence épisodique des deux dessinateurs dans les cases, et exemple du second, cette phrase de Lapinot par Konture qui m'a laissé écroulé de rire : "Bouhouhouou que c'est sale tout cet underground ! Je veux retourner chez Dargô !!" :) :) :) Le déroulement de l'histoire est quelque peu chaotique. Les auteurs partent parfois sur une idée pour l'abandonner peu après, sans qu'elle ait pu "mieux" fructifier ; on a aussi de temps à autre l'impression d'être dans une impasse. En fait, la sensation est assez similaire à ce qu'on peut parfois éprouver dans un jeu de rôle : "Et là, je fais quoi ?". Inutile donc de s'attendre à quelque chose de bien construit et réfléchi, cet album est par nature une improvisation ! Ses points forts sont son concept, l'humour très spécial, la gueguerre entre les deux auteurs... Son point faible est probablement... son concept même, qui en déroutera plus d'un.
Blanco (Le Chien Blanco)
La couverture du tome 1 est bien moche, et le texte au dos assez débile ("Cours, Blanco, cours, toutes les polices sont à tes trousses !") ; voilà qui n'était pas très encourageant au départ. En plus, je ne suis pas particulèrement fan de Taniguchi, de manga, et d'histoires d'animaux héroïques... Pourtant, la lecture du "Chien Blanco" s'est révélé plutôt plaisante. Oh, rien de génial, hein ; il y a même plusieurs défauts assez importants. Par exemple, alors que l'histoire se situe dans un contexte réaliste, les pouvoirs sans cesse grandissants du chien sont de plus en plus invraisembables : il vole presque, aucune balle ne peut l'atteindre, il peut tuer en 5 secondes une escouade entière de soldats armés et bien entraînés sans même être égratigné, il perçoit les appels de ceux qu'il aime à des milliers de kilomètres... Hé, c'est pas Blanco qu'il fallait l'appeler, c'est Krypto, comme le chien de Superman ! Quand on pense que les principaux superpouvoirs des véritables chiens se limitent à leur super-souplesse qui leur permet de se lécher les couilles, et à leur estomac super-bien accroché grâce auquel ils peuvent supporter toute la journée l'odeur immonde de leur propre haleine, et renifler sans gerber le cul puant de leurs congénères... Bon, bref. A part ça, la poursuite devient un poil répétitive au bout d'un moment. On a un peu l'impression d'assister plusieurs fois aux mêmes scènes, les rebondissements ne sont pas légion... Mais bon, comme je disais, cette petite série (contrairement à beaucoup de mangas qui s'étendent sur 3000 tomes, celui-ci se finit au bout de 2) se laisse lire. Rien d'excellent, rien d'inoubliable, mais agréable quand même.
Anges
Une tres belle bande-dessinée ! Normal c'est Boiscommun qui l' a dessinée. Le scénar est très plaisant et étonnant : Un prêtre qui, sous l'inflence de démons, s'apprete ( "ça prêtre"... :D ok, ok .... ) à réveiller Azazel le démon!!! Mais heuresement, les anges-gardiens de St Eustache sont là ( dont la sexy "Om" ) et veillent au grain ....
Rodric
Voiçi un dessin assez juste. Un histoire assez juste sans véritable fin (domage). Le début d'un grand dessinateur ! Un "must" que les bédéphiles, fans de XIII, ne doivent rater sous aucun prétexte! La version enfin colorisée de cette superbe BD d'aventure réalisée en 1973 par William Vance et dont il n'existait jusqu'ici que quelques rares éditions en noir et blanc. A paraitre : tome 1, tome 2, tome 3, tome 4, tome 5 (?)
Marsupilami
C'est bien, même si j'aurai préféré que le marsupilami reste avec Spirou et Fantasio...( et Spip! )... Il est intéressant d'observer la rivalité du marsu avec Mars le noir dans un des ablums de cette série parallèle. Une BD amusante qui plaira aux plus jeunes.
Tellos
Bof, bof...(La présence de quelques planches de Crisse dans un de ces comix a attiré mon attention)...A part ça, le dessin des auteurs de la série principale est bon, la mise en scène efficace mais le scénario et la fluidité de l'aventure m'empêche de rentrer dans l'histoire...Bref, j'accroche pas trop...Je dirai même que ça me lasse assez vite...
Le dérisoire
L'atout principal de cet album est sans conteste l'illustration: Sublime, aux couleurs chaudes et envoutantes, elle vous emporte dans ce recits à la fois cauchemardesque et reveur ... C'est beau, tout simplement. La où je mets le bémol c'est le scénario, qui, je trouve, est un ton en dessous ... A lire et décourvir !
Anges
Voilà un album tout à fait singulier. Pour plusieurs raisons : pour commencer il est beau. Le trait de Boiscommun possède une qualité appréciable : il allie la précision à la légèreté. Cela donne des personnages touchants de sincérité et de simplicité. L'ambiance ainsi créée ouvre une voie royale au scénariste, qui peut dès lors développer une histoire pourtant maintes fois rebattue : la confrontation des forces du bien (les angelots) aux forces du mal (les démons). Mais le traitement réservé à cette aventure est pour sa part tout à fait original. Pour se donner une idée générale de cette BD, un qualificatif me paraît plutôt approprié : Poétique. Les problèmes hiérarchiques de Yésod et Jélièl les 2 angelots sont à mourir de rire, la naissance d'Omaëlle après un évènement très noir est magique de beauté, la guéguerre avec les démons miniatures au sein même de l'église est très réussie. Ce décor permanent, l'église, est d'ailleurs prépondérant sur l'ambiance de l'album, puisque tout baigne dans des couleurs jaunes/oranges/marrons à la fois chaudes et douces. L'humour des personnages et la candeur du dessin font de cet album un bel objet, très agréable à lire. Le genre de lecture dont on ressort content, tout simplement, sans vraiment savoir pourquoi. Mais on en redemande !