J adhere deja moins qu au Chant des stryges, plus sombre et triste, un pari de depart interressant des auteur de prendre pour heros un enfant et qui plus est hendicape.
Le dessin est moins beau que dans LCDS, l histoire me fascine moins.
Une BD sans plus.
L'univers et l'histoire sont intéressants, le dessin est beau mais un peu particulier. L'univers est sombre à souhait et très bien fait, même si les persos n arrivent pas franchement à m'attacher.
Je préfère toujours Le Chant des Stryges et attends impatiemment "Les Hydres d'Ares".
Après nous avoir séduit avec Garduno, en temps de paix, Philippe Squarzoni nous revient avec ce petit album (30 pages) édité chez le Neuvième monde.
Arthur Cravan, ce personnage imaginaire, mais qui aurait tout à fait pu exister, est plutôt attachant. L'auteur nous décrit son parcours assez chaotique avec beaucoup d'humour. Je dois dire que le résultat est plutôt sympa.
La narration est bien construite et on suit ce mini-récit avec intérêt.
Le dessin en noir & blanc de Squarzoni est très réussi également. Apparemment, Il aime toujours autant les nuances de gris et c'est, ma foi, très joli donc on ne s'en plaindra pas !
Le "Portrait inédit de Arthur Cravan" n'est pas un album vraiment indispensable mais on y décèle une démarche artistique assez intéressante, et donc je le conseille malgré tout.
Certains auteurs ont le pouvoir de vous émerveiller par des ambiances suaves et envoûtantes. Christian Cailleaux fait partie de ceux-là.
"Les Imposteurs" est un récit au scénario subtile et agréable. Dans un climat tout à fait unique, l'auteur nous raconte les mésaventures d'un docker qui d'une manière involontaire devient Albert Fenta, écrivain célèbre de son état. Cet homme comprend vite que c'est pour lui une opportunité à ne pas laisser passer.
C'est bien écrit et on se demande vraiment où va nous conduire cette imposture. Certains personnages laissent encore planer des doutes sur leur importance dans la trame de l'histoire. Par exemple, le barman qui me semble bien mystérieux et qui s'amuse à fuir devant certaine questions trop pertinentes. Et puis cette jeune fille que l'on voit en début d'album ainsi qu'aux pages 38-39. Elle aura sûrement un rôle déterminant par la suite .
Le dessin de Cailleaux est lui tout à fait particulier mais il s'y dégage beaucoup de finesse et de justesse. Je pense que c'est grâce, en majeur partie, à ce graphisme si singulier que l'album est ce qu'il est. Certaines planches nous plongent parfois dans une atmosphère un peu suréaliste. Cela nous permet de mieux cerner le sens artistique de l'auteur.
Voici donc un album qui vous fera découvrir des saveurs différentes mais qui sont franchement dignes d'interêt.
A conseiller !
Un scénario sympatoche servi par des dessins pas toujours trés précis mais efficaces.
L'histoire est un éternel recommencement et on en a la preuve. Les relations entre les personnages promettent une joyeuse entente et des moments de suspicions pour la suite de leur quête bien que l'Oslan ait trop rapidement sauvé la vie du Naadir.
Comme le précise Manny66 on retrouve un peu la formule SDA : les 4 races du monde combattent main dans la main le grand méchant mais enfin, ça ne vaut pas "le Seigneur d'ombre".
La lecture du second tome est assez décevante, le scénario tombe en ruine et les obstacles qui s'érigent devantles personnages ne sont pas convaincants voire ridicules, il n'y a rien d'épique dans cette histoire :(
La note frise le 2 !
3.5 étoiles seraient plus juste.
Le premier tome est bien et le second un peu moyen, il n'y a pas assez d'enquête et ça va un peu vite pour certaines parties de l'histoire.
L'atmosphère un peu vieillote permet un mélange de Sherlock Holmes et de James Bond de par le côté futuriste des inventions (T2) et la secrétaire folle amoureuse du super agent (T1), l'ambiance de la ville et de la campagne font penser à l'Angleterre (Alix 007 pourra ou ne pourra pas confirmer cette impression :)).
Autant le Tome 1 est plaisant et agréable à lire, autant le tome 2 n'est pas un incontournable de la bande dessinnée.
Du point de vue des dessins et des couleurs, ils contribuent à l'ambiance de la série même si quelques fois ça manque de précision.
Après Gabrielle, je ne pouvais qu'acheter ce 1er album tant j'avais aimé ce qu'avait fait Kara.
Là, la progression est assez flagrante, même si le dessin n'a pas beaucoup changé (petite deception). En revanche, au niveau des couleurs, il s'est bien fait plaisir là ! C'est souvent de très bon gout, j'aime vraiment bien.
L'histoire se tient bien, même si je regrette un peu certaines longueurs dans des explications assez peu intéressantes. Ceci dit, après un début molasson, ça devient beaucoup plus intéressant ensuite. Le final est peut etre un peu lent, mais au moins, il étonne pas mal.
Bon, bien sûr, les grincheux vont dire que c'est du Matrix sauce fantasy, mais qu'ils grinchent, moi, j'ai bien aimé.
Petit album très sympa, "Insomnies" est composé de deux récits traitant... d'insomnies, mais sur le mode du rêve, de l'illusion, et même de la folie.
Le dessin de Jousselin est -- comme pour "Fiesta" -- très beau, très simple et épuré. Absolument superbe lorsqu'il montre des kangourous en négatif.
Le thème est assez... rêveur, voire même mélancolique... à la limite du dépressif, dirons les dépressifs. :)
Le ton général est en effet très solitaire : un homme face à lui-même, soutenu en cela par l'absence totale de bulles ; car tout passe par les récitatifs. Mais cet aspect sombre est toujours mêlé d'un optimisme surprenant et omniprésent.
L'absence de chute marquée contribue également à ce ton. On a en effet l'impression que l'histoire se prolonge au-delà de sa fin, comme si le personnage continuait à avoir sa vie propre.
Alor bon, ce n'est certainement pas l'album du siècle, ni même le meilleur de Jousselin, mais en tout cas il se lit très bien et est agréable. A découvrir pour ceux qui aiment ces petits albums.
En général lorsque je mets 3/5 à une série j'en conseille l'achat. Ce n'est pas le cas ici parce que je trouve les dessins exellents, au contraire de l'histoire qui n'est pas si mal que ça, mais qui n'est absolument pas au niveau des illustrations.
Ce que je reproche à cette histoire, c'est qu'elle est trop banale, même si le contexe semblait original au début.
"Le curé" est donc une série qui se laisse lire, mais dont l'achat n'est pas indispensable.
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Votre vote
Mister O
Un peu absurde, un peu caca-pipi, et du coup marrant. Le dessin simpliste colle bien a la BD. Divertissons nous en lisant Mister O.
Le Maître de Jeu
J adhere deja moins qu au Chant des stryges, plus sombre et triste, un pari de depart interressant des auteur de prendre pour heros un enfant et qui plus est hendicape. Le dessin est moins beau que dans LCDS, l histoire me fascine moins. Une BD sans plus.
Le Clan des chimères
L'univers et l'histoire sont intéressants, le dessin est beau mais un peu particulier. L'univers est sombre à souhait et très bien fait, même si les persos n arrivent pas franchement à m'attacher. Je préfère toujours Le Chant des Stryges et attends impatiemment "Les Hydres d'Ares".
Portrait inédit de Arthur Cravan
Après nous avoir séduit avec Garduno, en temps de paix, Philippe Squarzoni nous revient avec ce petit album (30 pages) édité chez le Neuvième monde. Arthur Cravan, ce personnage imaginaire, mais qui aurait tout à fait pu exister, est plutôt attachant. L'auteur nous décrit son parcours assez chaotique avec beaucoup d'humour. Je dois dire que le résultat est plutôt sympa. La narration est bien construite et on suit ce mini-récit avec intérêt. Le dessin en noir & blanc de Squarzoni est très réussi également. Apparemment, Il aime toujours autant les nuances de gris et c'est, ma foi, très joli donc on ne s'en plaindra pas ! Le "Portrait inédit de Arthur Cravan" n'est pas un album vraiment indispensable mais on y décèle une démarche artistique assez intéressante, et donc je le conseille malgré tout.
Les Imposteurs
Certains auteurs ont le pouvoir de vous émerveiller par des ambiances suaves et envoûtantes. Christian Cailleaux fait partie de ceux-là. "Les Imposteurs" est un récit au scénario subtile et agréable. Dans un climat tout à fait unique, l'auteur nous raconte les mésaventures d'un docker qui d'une manière involontaire devient Albert Fenta, écrivain célèbre de son état. Cet homme comprend vite que c'est pour lui une opportunité à ne pas laisser passer. C'est bien écrit et on se demande vraiment où va nous conduire cette imposture. Certains personnages laissent encore planer des doutes sur leur importance dans la trame de l'histoire. Par exemple, le barman qui me semble bien mystérieux et qui s'amuse à fuir devant certaine questions trop pertinentes. Et puis cette jeune fille que l'on voit en début d'album ainsi qu'aux pages 38-39. Elle aura sûrement un rôle déterminant par la suite . Le dessin de Cailleaux est lui tout à fait particulier mais il s'y dégage beaucoup de finesse et de justesse. Je pense que c'est grâce, en majeur partie, à ce graphisme si singulier que l'album est ce qu'il est. Certaines planches nous plongent parfois dans une atmosphère un peu suréaliste. Cela nous permet de mieux cerner le sens artistique de l'auteur. Voici donc un album qui vous fera découvrir des saveurs différentes mais qui sont franchement dignes d'interêt. A conseiller !
Les Brumes d'Asceltis
Un scénario sympatoche servi par des dessins pas toujours trés précis mais efficaces. L'histoire est un éternel recommencement et on en a la preuve. Les relations entre les personnages promettent une joyeuse entente et des moments de suspicions pour la suite de leur quête bien que l'Oslan ait trop rapidement sauvé la vie du Naadir. Comme le précise Manny66 on retrouve un peu la formule SDA : les 4 races du monde combattent main dans la main le grand méchant mais enfin, ça ne vaut pas "le Seigneur d'ombre". La lecture du second tome est assez décevante, le scénario tombe en ruine et les obstacles qui s'érigent devantles personnages ne sont pas convaincants voire ridicules, il n'y a rien d'épique dans cette histoire :( La note frise le 2 !
Les Arcanes du Midi-minuit
3.5 étoiles seraient plus juste. Le premier tome est bien et le second un peu moyen, il n'y a pas assez d'enquête et ça va un peu vite pour certaines parties de l'histoire. L'atmosphère un peu vieillote permet un mélange de Sherlock Holmes et de James Bond de par le côté futuriste des inventions (T2) et la secrétaire folle amoureuse du super agent (T1), l'ambiance de la ville et de la campagne font penser à l'Angleterre (Alix 007 pourra ou ne pourra pas confirmer cette impression :)). Autant le Tome 1 est plaisant et agréable à lire, autant le tome 2 n'est pas un incontournable de la bande dessinnée. Du point de vue des dessins et des couleurs, ils contribuent à l'ambiance de la série même si quelques fois ça manque de précision.
Le Miroir des Alices
Après Gabrielle, je ne pouvais qu'acheter ce 1er album tant j'avais aimé ce qu'avait fait Kara. Là, la progression est assez flagrante, même si le dessin n'a pas beaucoup changé (petite deception). En revanche, au niveau des couleurs, il s'est bien fait plaisir là ! C'est souvent de très bon gout, j'aime vraiment bien. L'histoire se tient bien, même si je regrette un peu certaines longueurs dans des explications assez peu intéressantes. Ceci dit, après un début molasson, ça devient beaucoup plus intéressant ensuite. Le final est peut etre un peu lent, mais au moins, il étonne pas mal. Bon, bien sûr, les grincheux vont dire que c'est du Matrix sauce fantasy, mais qu'ils grinchent, moi, j'ai bien aimé.
Insomnies
Petit album très sympa, "Insomnies" est composé de deux récits traitant... d'insomnies, mais sur le mode du rêve, de l'illusion, et même de la folie. Le dessin de Jousselin est -- comme pour "Fiesta" -- très beau, très simple et épuré. Absolument superbe lorsqu'il montre des kangourous en négatif. Le thème est assez... rêveur, voire même mélancolique... à la limite du dépressif, dirons les dépressifs. :) Le ton général est en effet très solitaire : un homme face à lui-même, soutenu en cela par l'absence totale de bulles ; car tout passe par les récitatifs. Mais cet aspect sombre est toujours mêlé d'un optimisme surprenant et omniprésent. L'absence de chute marquée contribue également à ce ton. On a en effet l'impression que l'histoire se prolonge au-delà de sa fin, comme si le personnage continuait à avoir sa vie propre. Alor bon, ce n'est certainement pas l'album du siècle, ni même le meilleur de Jousselin, mais en tout cas il se lit très bien et est agréable. A découvrir pour ceux qui aiment ces petits albums.
Le Curé
En général lorsque je mets 3/5 à une série j'en conseille l'achat. Ce n'est pas le cas ici parce que je trouve les dessins exellents, au contraire de l'histoire qui n'est pas si mal que ça, mais qui n'est absolument pas au niveau des illustrations. Ce que je reproche à cette histoire, c'est qu'elle est trop banale, même si le contexe semblait original au début. "Le curé" est donc une série qui se laisse lire, mais dont l'achat n'est pas indispensable.