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Couverture de la série L'Homme de l'Année - 1888
L'Homme de l'Année - 1888

Un énième album sur Jack L’Éventreur et ses crimes, qui choisit de balancer un coupable original (il faut dire que le nombre de suspects plus ou moins fantaisistes est plutôt important, ne serait-ce qu’en BD !). Un suspect déjà répertorié à l’époque, mais sans suite réelle. Pour le reste, c’est moins original, mais ça se laisse lire facilement et agréablement. Les décors sont bien reconstitués, la narration est bien menée, et le dessin de Blasco-Martinez est plutôt chouette (et j’ai aussi bien aimé sa colorisation) : tout ceci fait que sur un canevas déjà-vu, on ne s’ennuie pas, et on a plaisir à suivre cette affaire (si le terme plaisir n’est pas maladroit ici). Le départ et la chute de l’intrigue, se déroulant à notre époque, pour expliquer comment sont retrouvés les indices qui mènent vers le coupable désigné, sont eux-aussi plutôt bien construits, ça ne fait pas trop artificiel. Un bon millésime de cette collection globalement inégale.

25/07/2023 (modifier)
Couverture de la série L'Homme de L'Année - 09
L'Homme de L'Année - 09

J’avais l’impression à la lecture des autres tomes de cette collection qu’elle mettait en avant le rôle d’obscurs acteurs (plus oui moins inventés pour les besoins de la collection souvent) de moments importants de l’Histoire. Or ici Arminius a joué un rôle historique important. Otage chez les Romains (pratique habituelle pour sceller des alliances), il a obtenu un poste important dans l’armée romaine, avant de les « trahir », en dirigeant et coordonnant une révolte qui va durablement marquer les Romains (qui vont y perdre plusieurs légions et quelques envies de s’aventurer trop loin dans les forêts de Germanie). Le personnage est au cœur de la série de Marini Les Aigles de Rome, sauf qu’ici tout doit être bouclé en un tome. Du coup, c’est un peu frustrant. Pas tant concernant les causes de l’évolution d’Arminius vis-à-vis des Romains (c’est vite, mais bien amené ici), mais plutôt concernant l’aspect proprement militaire. L’entame est bonne, plusieurs planches traitent bien d’une bataille. Mais la grande, celle qui va marquer le destin d’Arminius et de la présence romaine à l’Est du Rhin n’est qu’effleurée à la fin. Il y avait pourtant là matière à quelques belles planches. Le dessin de Fafner joue d’un style presque hyper réaliste (il y a un peu de Jéronaton), avec un rendu proche de photos retravaillées parfois. J’ai juste trouvé certains personnages statiques, et les chevaux pas toujours réussis. Mais le visuel est plutôt fort, et convient bien au sujet.

25/07/2023 (modifier)
Par PAco
Note: 3/5
Couverture de la série Return Survival
Return Survival

Edité à partir du webtoon éponyme, "Return survival" nous replonge dans l'univers des zombies. Si ça change de l'heroïc fantasy et des jeux vidéos mode RPG qui ont beaucoup été édités dans la collection, le niveau est quand même faible quand on a lu Walking Dead. Yohan, un jeune adulte aura survécu 3 ans depuis que les zombies sont apparus sur Terre, plongeant le monde dans le chaos. La touche d'originalité de la série tient au fait que pour on ne sait quelle raison (pour le moment ?) il revient à la vie 3 mois avant le début de l'épidémie, ce qui lui laisse le temps de se préparer à ce qui va advenir... Mais sorti de cela, on reste quand même dans une trame assez banale avec un jeune héros beau, malin et qui sait se battre. Côté dessin, le trait tient la route, mais je ne suis pas fan de l'utilisation des effets de lumière, de flou et de vitesse qui sont utilisés. Bref, une série qui trouvera sans doute son public auprès des jeunes qui n'auront pas lu/vu Walking Dead, mais qui paraîtra sans doute un peu fade pour ces derniers.

25/07/2023 (modifier)
Couverture de la série Toubab
Toubab

J'ai lu la série de Nuria Tamarit avec beaucoup de curiosité et parfois un brin de circonspection. La série s'adresse particulièrement aux jeunes filles de 16/20 ans à l'aise dans leur monde connecté mais aussi avides de découvrir un autre univers. Evidemment le portrait que fait l'auteure de ce petit village du Sénégal ne peut donner une vision réelle de l'Afrique moderne. C'est même assez souvent en contradiction avec la réalité contemporaine du continent sur de nombreux points. J'appartiens à une génération qui savait partir au loin sans avoir de fil à la patte connecté. C'est pourquoi le portrait de Mar, 17 ans, suivant sa maman (impensable à mon époque) incapable de s'extraire de la recherche du fameux réseau me laisse assez agacé. Je trouve que Tamarit est assez superficielle voire contradictoire dans un grand nombre de thématiques qu'elle soulève dans son roman. La condition de la femme ou la répartition des richesses sont peut-être vraies dans ce minuscule village mais c'est loin de ce que j'ai vécu dans mon expérience africaine. J'ai lu ce manque de connexion numérique comme une préservation d'un paradis d'antan loin de la modernité destructrice. En fait c'est le contraire de la réalité sur le terrain. L'ancienne téléphonie avec ses infrastructures lourdes était un frein aux échanges dans les pays pauvres. J'ai donc trouvé le récit de Tamarit basé sur une utopie bienveillante assez idéalisée. Le graphisme de Tamarit est très particulier. Il faut adopter ses visages aux mentons surdimensionnés et aux expressions boudeuses pour accepter les harmonies gestuelles que l'auteure veut nous transmettre. C'est toujours agréable de rencontrer un/une auteur-e qui ne se clone pas dans un graphisme standard qui abonde dans de nombreuses séries. Son trait est particulier et créatif, il est donc à découvrir comme une originalité artistique intéressante. J'ai aimé la mise en couleur sobre qui fait la place belle à l'observation des tissus féminins en contraste avec les mornes tenues stéréotypées des bénévoles humanitaires. Une série intéressante même si j'ai des réserves sur de nombreux points soulevés par l'auteure. Un bon 3

25/07/2023 (modifier)
Par Gaston
Note: 3/5
Couverture de la série Deathlok - L'intégrale
Deathlok - L'intégrale

Les années 70 étaient une période où la plupart des titres principaux de Marvel étaient souvent moyens et les meilleurs récits se retrouvaient souvent dans les séries moins connues où les scénaristes faisaient souvent dans l'expérimentation. De ce que j'ai lu jusqu'à présent, je dirais que si certains comics de cette époque avec une bonne réputation ont bien vieilli (Le Tombeau de Dracula, Les Défenseurs version Steve Geber), il y en a d'autres qui ont moins réussi le passage du temps (n'importe quoi écrit par Don McGregor). Deathlok se situe un peu entre les deux. Typique le héros mineur de Marvel seulement connu des fans de comics, il va avoir droit à plusieurs incarnations et cette première intégrale contient toutes les aventures du premier Deathlok. Cela se passe dans une réalité parallèle où dans le futur de 1990 (le comics a été créé en 1974), le complexe militaro-industriel contrôle les États-Unis et un militaire mort a été ramené à la vie comme un cyborg. J'avais un peu peur de tomber sur un truc très daté. Si l'idée d'un héros cyborg qui a perdu son humanité était originale en 1974, cela l'est moins aujourd'hui et le conflit que vit le personnage principal a déjà été vu plusieurs fois par un lecteur moderne. De plus, si la série était violente pour l'époque, de nos jours tout parait bien sage comparé à ce que l'on peut voir dans les comics modernes. Bref, c'est encore une fois une série novatrice qui le parait moins des décennies plus tard. Pourtant, j'ai tout de même été captivé par la série originale de Deathlok, celle dessinée par Rich Buckler. Le truc original est que le dessinateur était aussi le créateur du personnage et imaginait les scénarios, le boulot du scénariste était que d'écrire les dialogues, ce qui explique en partie pourquoi ses récits sont mieux écrits que la plupart des trucs que les scénaristes débutants Doug Moench et Bill Mantlo faisaient à l'époque. Comme avec les comics de l'époque, il y a beaucoup de textes, mais l'idée géniale est qu'une grande partie du texte sont des dialogues intérieurs entre l'humain qui est devenu Deathlok et l'ordinateur qu'on lui a mis dans la tête. Cela donne des dialogues savoureux et je préfère ça à de la narration omniprésente qui explique ce que le héros est en train de faire ou ce qu'il ressent. Le dessin de Buckler, aidé parfois par d'autres dessinateurs, est très bon et il n'a pas peur d'expérimenter dans la mise en scène. C'est bien maîtrisé et le dessin est dynamique et agréable à regarder si on est comme moi fan de vieux comics. Bon, tout n'est pas parfait dans ces histoires. Il y a des facilités dans le scénario et parfois c'est un peu dur de comprendre l'enchainement de l'action, j'ai du relire quelques pages pour bien comprendre les motivations des personnages. Il y aussi des éléments que j'aurais aimé qu'ils soient plus exploités, comme la femme de Deathlok qui ne fait qu'une apparition alors que Deathlok passe son temps à penser à elle. Après que sa série soit annulée, Deathlok finit téléporté dans l'univers des super-héros Marvel et va faire quelques apparitions avant que son récit soit réglé quelques années plus tard dans Captain America. J'ai trouvé ces récits moins bons, cela se laisse lire sans plus. Au moins un lecteur pourra voir la différence de qualité entre la série Deathlok et ce qu'on faisait dans les titres Marvel Team Up ou Marvel Two in One et la résolution de la saga dans Captain America est bonne. Pour moi, sans être un indispensable, cette intégral est à lire si on n'est pas allergique aux vieux comics et qu'on aime bien les curiosités.

25/07/2023 (modifier)
Couverture de la série Les Petits Génies - Le petit Léonard de Vinci
Les Petits Génies - Le petit Léonard de Vinci

Augel continue de nous faire découvrir les grands génies (européens) à travers son angle de vue si particulier. Après la musique de Mozart, et la littérature d'Agatha Christie c'est l'opus sur de Vinci que je découvre. La présentation est mixte de strips, d'histoires (très) courtes ou d'illustrations humoristiques. Augel recentre les observations et les expériences du petit Léonard sur les machines volantes et un peu sur la peinture. L'humour est bien présent mais j'ai trouvé les gags assez répétitifs au bout de quelques pages. J'ai trouvé qu'Augel avait plus de mal à inclure le génie de Vinci dans son époque et son entourage comparé aux deux autres opus. Augel introduit quelques citations du génie dans certaines planches ce qui ajoute à la modernité de la pensée de Léonard notamment dans son approche alimentaire ou son respect des animaux. Ce sont des points un peu anecdotiques mais qui apportent à la série (avant tout destinée aux enfants) une touche de savoir sympathique. J'ai préféré les autres opus mais la lecture reste plaisante.

24/07/2023 (modifier)
Par Cacal69
Note: 3/5
Couverture de la série Mathis et la forêt des possibles
Mathis et la forêt des possibles

Un chouette conte jeunesse. Jiri Benovsky est philosophe et scientifique à l'université de Genève, il est spécialiste en métaphysique, en philosophie de l'esprit et en esthétique. Voici sa première BD, un scénario qu'il a en tête depuis plusieurs années et c'est en 2022 avec la découverte de Midjourney qu'il peut enfin réaliser la partie graphique. Eh oui, il ne sait pas dessiner. Midjourney est une Intelligence Artificielle qui permet de créer des images à partir de descriptions textuelles. Une postface intéressante et instructive de plusieurs pages où l'auteur explique sa démarche en la comparant entre autre avec l'invention de la photographie. A chacun sa vision de la chose, mais il va nous falloir apprendre à cohabiter avec les Intelligences Artificielles. Je vais donc commencer par la partie graphique, les décors sont superbes et le choix des couleurs apporte cette ambiance mystérieuse. Par contre, où l'I.A. a encore des progrès à faire, c'est dans l'expressivité des visages, je les trouve figés. Les dessins ne sont pas directement exploités, ils sont retouchés par Benovsky et le résultat est plutôt convaincant dans l'ensemble et sa mise en page réussie. Une fable, pour les enfants à partir de 8/10 ans, onirique et philosophique sur la quête d'identité d'un jeune garçon, Mathis. Il vit avec ses parents dans une forêt magique et lors de leur absence, il libère par accident les lucioles de leur cage et sous l'effet de la colère, il va se dédoubler. Mais lequel est le vrai ? J'ai aimé la réponse apportée par Benovsky. Tous les ingrédients du conte sont présents et la magie et l'humour seront les moteurs du récit. Une lecture rapide et plaisante. Dans l'ensemble, c'est plus que pas mal. Il faut que je pense à réaliser ma BD, il me faut d'abord trouver une bonne histoire à raconter. Y a encore du boulot .... Note réelle : 3,5.

24/07/2023 (modifier)
Par karibou79
Note: 3/5
Couverture de la série Yojimbot
Yojimbot

Un croisement entre films de jidai geki, du "Géant de fer", de Mondwest et de Wall-E. Bref des combats de sabre, de l'amitié et de la robotique. Bref de quoi vraiment donner envie. Le dessin coloré, les scènes muettes parlantes d'elles-même, l'action manga et les touches d'humour ont naturellement fait bingo dans le coeur des ados lui ayant décerné leur prix. Et j'étais aussi enthousiaste au début, jusqu'à la moitié du 2ème tome. Je viens de terminer le 3ème et c'est avec regret que je constate que la moitié des pages est consacrée à des combats ne faisant pas forcément avancer le schmilblick. Parce qu'on sent que les tenants et aboutissants de l'histoire sont intéressants mais voilà on tombe dans les travers de Seuls. On croise les habitants de la cité confinée mais que s'y passe-t-il? Rien, une parenthèse de quelques cases. On n'est pas dans un manga, l'intrigue est censée avancer de manière régulière. Pourtant les thèmes entrouverts recèlent des tonnes de possibilités, on pourrait brasser des films de 2001 à ceux de Tarkovski, en faire un conte philosophique, déraper vers une sorte de Urban ou que sais-je encore, ça pourrait être énorme comme s'étranglerait Lucchini. Mais il faut se décider et avancer les amis! Freaks' Squeele l'a fait donc vous le pouvez également.

24/07/2023 (modifier)
Par McClure
Note: 3/5
Couverture de la série Sprague
Sprague

Je dois bien avouer que je suis extrêmement frustré de cette lecture. J’aimerais mettre 4 voire 5 étoiles pour cette œuvre qui en promet. Oui mais voilà, il manque quelque chose pour basculer dans le très très très bien. Le dessin est très beau, il porte une dimension poétique, une douceur, qui nous immerge avec délice dans ce monde et cette histoire. Les traits sont précis, fins, bien rendus. La mise en couleur participe de ce ressenti. Les personnages sont très réussis, que ce soit visages, proportions, corps. C’est vraiment une réussite. On découvre ici ou là des espèces bien croquées, notamment ces insectes géants humanoïdes. Les auteurs nous présentent tout d’abord un monde à dominante médiévale mais sur une autre planète que la Terre. L’avancée technologique est limitée, les déplacements se font par voiliers notamment. Certains protagonistes sont « grimpeurs » et à ce titre utilisent des cerfs-volants pour prendre de la hauteur. Rodolphe utilise d’abord une voix off pour planter ce décor et nous informer que ce monde a subit deux modifications majeures, la première étant la disparition d’une des deux lunes de la planète, la seconde la disparition de la mer. Cet état de fait met les habitants de la cité portuaire de Goëm dans une angoisse forte quant à leur avenir. Ils se sont adaptés, mettant par exemple des roues aux bateaux et ont envoyé deux expéditions pour savoir ce qu’il est advenu des étendues d’eau de la planète. Bien évidemment, ces expéditions ne sont jamais revenues. Nous allons suivre les aventures de deux jeunes frères qui décident, contre l’avis et à l’insu de tous de monter une troisième expédition pour mettre en lumière les causes de ce mystère. Cette expédition sera menée à l’aide d’un vieux marin aventurier aveugle et son perroquet doué de parole, d’intelligence et de capacités hors du commun. Je ne vais pas aller plus loin pour laisser un voile important sur l’histoire. Alors pourquoi suis-je ronchon ? Pour 4 raisons scénaristiques majeures. Les histoires d’amour des deux frères avec leurs soupirantes sont inutiles, redondantes et mettent par trop en exergue le caractère niais des aventuriers. Les personnages et leur histoire ne sont pas assez fouillés. Le capitaine porte une histoire conséquente mais elle n’est qu’effleurée et quand on revient dessus, c’est pour contredire les infos précédentes. Les fiancées, leur famille apparaissent comme un cheveu sur la soupe, on se rapproche, on s’éloigne sans raison valable, ça manque de corps, de tenue. Le troisième point, c’est ce qu’il ressort de la quête une fois finie, que ce soit du niveau des héros, des habitants du village, des motivations qui ont donné lieu à ces modifications « géographiques ». Les motivations qui ont poussé les Grands Anciens à modifier ainsi cette planète sont à peine expliquées et semblent bien dérisoires. Les habitants de Goëm ensuite semblent assez blasés au point que le retour de l’eau qui devrait être une fête et un évènement majeur ne change pas leur vie. Et que dire des réflexions de nos deux niais une fois l’aventure bouclée. Pire que des Hobbits. Enfin, et c’est pour moi le principal défaut scénaristique, il y a un trou temporel monstrueux dans l’histoire. C’est compliqué à expliquer sans spoiler la BD, mais cela induit une incohérence telle que je me suis demandé comment Rodolphe a pu passer à côté de cela. Comment les habitants ont pu régresser à ce point en aussi peu de temps et surtout perdre la mémoire d’un évènement qui leur est contemporain. Bref il y a là un gros raté. C’est la douleur dans l’âme que je note aussi sévèrement une œuvre aussi travaillée, aussi belle formellement, aussi intéressante. Mais ça a gâché ma lecture.

24/07/2023 (modifier)
Par Cosme
Note: 3/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Alwilda
Alwilda

Si vous aimez Jean Yves Mitton et ses séries de femmes rebelles historiques, cette série est faite pour vous. Nous suivons la vie d’Alwilda, princesse guerrière viking, fille d’un roi de Scandinavie du 5 eme siècle qui deviendra pirate. Dans la ligne droite des séries de Mitton telles Quetzalcoatl, Vae Victis, Attila... mon amour. L’histoire est prenante, m’a permis de me replonger dans l’univers des vikings que j’affectionne toujours. Très bien écrit, découpé en 3 chapitres de 16 planches par album. Même si la réalité historique laisse la place à une aventure fantasmée, cela est normal vu le peu de traces qu’elle a laissé dans l’histoire, et on ne lui en tiendra pas rigueur, et m’a invité de moi même à aller en lire plus sur son sujet. Les graphismes comme à l’accoutumée chez JY Mitton sont splendides, de belles scènes d’action, régulièrement des jolies femmes dénudées à la moindre occasion et sans raison, (c’est bien ce qui m’avait plu chez cet auteur lorsque je l’ai découvert à l’adolescence avec Chroniques Barbares, et je ne boude pas mon plaisir encore aujourd’hui !). En bref, si vous êtes amateur de l’œuvre de Mitton et des ses séries de guerrières belles et dénudées, lisez ceci. Sinon passez votre chemin.

24/07/2023 (modifier)