Ayant lu le livre auparavant j'ai été très déçu par la qualité graphique un peu brouillon à mon goût, je ne remets pas en cause la technique de l'auteur, mais plus le manque de ressemblance au livre.
Achetez d'abord le livre et pour les grands fans la BD
Mouais mouais mouais... Alix est une série d'aventure historique, un genre qui il est vrai a tendance à disparaître un peu de l'horizon de la bande dessinée ces derniers temps. Autant annoncer la couleur tout de suite : je n'aime pas.
Pas que les scénarios ou les illustrations soient de mauvaise qualité, loin de là, mais je ressens un ennui profond a l'ouverture d'un tome d'Alix.
Les histoires manquent de pêche et de rebondissement, et l'intrigue stagne souvent, noyée dans un texte ultra dense qui pourrait faire penser dans sa présentation à Blake et Mortimer (série que je n'apprécie pas des masses non plus, au passage). Bref, des pages ultra surchargées de texte, à tel point que les illustrations ne sont la que pour enrober et donner une consistance à l'intrigue sans avoir la part belle.
Et c'est bien dommage ! Car a y regarder de plus près, derrière l'aspect ultra classique des dessins, on perçoit tout de même un soucis du détail assez remarquable. Les illustrations sont donc plus que correctes sans être non plus extraordinaires (mais cette série date, ne l'oublions pas).
En bref, une série à laquelle je n'ai vraiment pas accroché malgré ses quelques qualités.
Public cible : exclusivement les moins de 12 ans...
Cette bande de copains des années soixantes, très caricaturale, nous fait vivre des aventures qui n'ont rien d'extraordinaire mais certaines (les premières) sont distrayantes pour un gamin de dix ans...
Pour les autres, ados et adultes, cette bd est évidemment complètement nulle, surtout les dernières.
J'ai lu cet album un peu après avoir découvert "Tirésias", de Rossi et Le Tendre, et ce parce que je cherchais un peu à voir ce qu'avaient pu faire ces auteurs, ensemble ou séparément.
Eh bien, on est ici très loin de l'univers mythologique de "La gloire d'Héra"...
Côté dessin, rien à redire, ils sont vraiment très beaux !
Par contre, l'histoire racontée est relativement simple (voir la rubrique "Histoire"). Trop simple. Simplifiée, en fait, même si les concours de circonstances mis en oeuvre sont assez habiles. Le traumatisme de notre héros allemand est (je trouve !) assez mal mis en scène, et pis le truc de répéter "Ich bin ein PechsVogel", ça me gave carrément.
En plus, l'histoire est trop courte (dans le sens "pas assez étoffée") pour qu'on apprécie le reste qui pourtant aurait pu être très sympathique.
Bref, lisez-le si vous en avez l'occasion, mais de là à l'acheter...
Entre Clifton et Léonard il y avait... Robin Dubois ! Le duo est toujours aussi efficace, et bien que Robin soit moins culte que Léonard, les deux se valent souvent (surtout si on regarde les derniers tomes édités sur le génie... hum..) Beau détournement historico-légendaire, donc, et se lisant avec beaucoup de facilité.
il est pas mal du tout, le crisse, quand il s'essaye au polar! sombre comme il se doit de l'être, le trait rend super bien l'ambiance de suspens cultivée au ciné. c'est classique mais efficace, on en redemande... dommage de terminer ainsi, presque en queue de poisson, sur quelque chose qui aurait pu se développer beaucoup plus, ça se ressent à la lecture !
ouhlô, alors ça...
les auteurs sont tranquilles, sympathiques, mais leur bd n'a rien de tranquille ou de sympathique, hélas ! c'est brouillon, c'est laid, c'est de l'addition de clichés, et c'est chiant. alors delcourt a voulu faire du bruit en sortant sa collec "sf", mais y'a eu "plantage au décollage" avec cette série digne d'être éditer en second catégorie soleil (c'est vous dire)...
Et bien moi, j'ai vraiment pas accroché à ses Villes et des femmes.
L 'idée de base, est originale mais regrouper plusieurs récits dans une seul bd est un exercice difficile. Le lecteur n'a pas le temps de s'habituer aux personnages que l'histoire est déjà terminée.
Bien-sur, il y a un fil conduceur mais à mon avis, cela ne suffit pas. De plus, Degroot est plutôt un habitué des scénarios humoristiques (Robin Dubois, Léonard,ect...).
Le dessin de Francq, lui, n'est pas mal mais il me fait parfois penser à celui de Hermann. Disons que cette série a les défauts d'une oeuvre de jeunesse, surtout chez le dessinateur.
A acheter uniquement si vous êtes un grand fan de Largo Winch et de Philippe Francq.
Eh bien, je connais le pti sorcier à lunettes, mais j'aime pas la récup'. Désolée, on veut faire passer le plagiat en nous faisant croire à de gentils clins d'oeil, mais ça n'est pas un hasard si c'est à cette période que le "collège invisible" sort... en attendant le t5 d'Harry Potter, on nous édite quoi ? Une bd sur une école de sorcier invisible aux yeux du communs des mortels, un héros à lunettes un peu décalé... un coup de fric dont les ficelles sont aussi visibles qu'un pachyderme au milieu d'une fourmilière. J’aime pas ça, cette impression de "déjà vu" fait forcément un bug dans la matrice, et les dessins sont assez proches du design des playmobils, alors c'est mignon mais ça lasse. Sans intérêt.
Au même titre que " Cet aimable M. Mops ", Jo , Zette et Jocko est sûrement la série la plus inutile dans l'oeuvre d'Hergé .
Je ne dirais pas que c'est complètement nul mais cette bd est tellement propre et gentille, qu'elle en devient agacante. En d'autres termes et d'une manière plus familière , je dirais qu'elle est gnangnan ! D'ailleurs , il s'en dégage un parfum de vieille bourgeoisie d'après-guerre mélangé à l'esprit des jeunesses catholiques de l'époque . A lire après la messe du Dimanche !
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
La Guerre Eternelle
Ayant lu le livre auparavant j'ai été très déçu par la qualité graphique un peu brouillon à mon goût, je ne remets pas en cause la technique de l'auteur, mais plus le manque de ressemblance au livre. Achetez d'abord le livre et pour les grands fans la BD
Alix
Mouais mouais mouais... Alix est une série d'aventure historique, un genre qui il est vrai a tendance à disparaître un peu de l'horizon de la bande dessinée ces derniers temps. Autant annoncer la couleur tout de suite : je n'aime pas. Pas que les scénarios ou les illustrations soient de mauvaise qualité, loin de là, mais je ressens un ennui profond a l'ouverture d'un tome d'Alix. Les histoires manquent de pêche et de rebondissement, et l'intrigue stagne souvent, noyée dans un texte ultra dense qui pourrait faire penser dans sa présentation à Blake et Mortimer (série que je n'apprécie pas des masses non plus, au passage). Bref, des pages ultra surchargées de texte, à tel point que les illustrations ne sont la que pour enrober et donner une consistance à l'intrigue sans avoir la part belle. Et c'est bien dommage ! Car a y regarder de plus près, derrière l'aspect ultra classique des dessins, on perçoit tout de même un soucis du détail assez remarquable. Les illustrations sont donc plus que correctes sans être non plus extraordinaires (mais cette série date, ne l'oublions pas). En bref, une série à laquelle je n'ai vraiment pas accroché malgré ses quelques qualités.
Les 4 As
Public cible : exclusivement les moins de 12 ans... Cette bande de copains des années soixantes, très caricaturale, nous fait vivre des aventures qui n'ont rien d'extraordinaire mais certaines (les premières) sont distrayantes pour un gamin de dix ans... Pour les autres, ados et adultes, cette bd est évidemment complètement nulle, surtout les dernières.
L'oiseau noir
J'ai lu cet album un peu après avoir découvert "Tirésias", de Rossi et Le Tendre, et ce parce que je cherchais un peu à voir ce qu'avaient pu faire ces auteurs, ensemble ou séparément. Eh bien, on est ici très loin de l'univers mythologique de "La gloire d'Héra"... Côté dessin, rien à redire, ils sont vraiment très beaux ! Par contre, l'histoire racontée est relativement simple (voir la rubrique "Histoire"). Trop simple. Simplifiée, en fait, même si les concours de circonstances mis en oeuvre sont assez habiles. Le traumatisme de notre héros allemand est (je trouve !) assez mal mis en scène, et pis le truc de répéter "Ich bin ein PechsVogel", ça me gave carrément. En plus, l'histoire est trop courte (dans le sens "pas assez étoffée") pour qu'on apprécie le reste qui pourtant aurait pu être très sympathique. Bref, lisez-le si vous en avez l'occasion, mais de là à l'acheter...
Robin Dubois
Entre Clifton et Léonard il y avait... Robin Dubois ! Le duo est toujours aussi efficace, et bien que Robin soit moins culte que Léonard, les deux se valent souvent (surtout si on regarde les derniers tomes édités sur le génie... hum..) Beau détournement historico-légendaire, donc, et se lisant avec beaucoup de facilité.
Perdita Queen
il est pas mal du tout, le crisse, quand il s'essaye au polar! sombre comme il se doit de l'être, le trait rend super bien l'ambiance de suspens cultivée au ciné. c'est classique mais efficace, on en redemande... dommage de terminer ainsi, presque en queue de poisson, sur quelque chose qui aurait pu se développer beaucoup plus, ça se ressent à la lecture !
Le Passeur des étoiles
ouhlô, alors ça... les auteurs sont tranquilles, sympathiques, mais leur bd n'a rien de tranquille ou de sympathique, hélas ! c'est brouillon, c'est laid, c'est de l'addition de clichés, et c'est chiant. alors delcourt a voulu faire du bruit en sortant sa collec "sf", mais y'a eu "plantage au décollage" avec cette série digne d'être éditer en second catégorie soleil (c'est vous dire)...
Des villes et des femmes
Et bien moi, j'ai vraiment pas accroché à ses Villes et des femmes. L 'idée de base, est originale mais regrouper plusieurs récits dans une seul bd est un exercice difficile. Le lecteur n'a pas le temps de s'habituer aux personnages que l'histoire est déjà terminée. Bien-sur, il y a un fil conduceur mais à mon avis, cela ne suffit pas. De plus, Degroot est plutôt un habitué des scénarios humoristiques (Robin Dubois, Léonard,ect...). Le dessin de Francq, lui, n'est pas mal mais il me fait parfois penser à celui de Hermann. Disons que cette série a les défauts d'une oeuvre de jeunesse, surtout chez le dessinateur. A acheter uniquement si vous êtes un grand fan de Largo Winch et de Philippe Francq.
Le Collège Invisible
Eh bien, je connais le pti sorcier à lunettes, mais j'aime pas la récup'. Désolée, on veut faire passer le plagiat en nous faisant croire à de gentils clins d'oeil, mais ça n'est pas un hasard si c'est à cette période que le "collège invisible" sort... en attendant le t5 d'Harry Potter, on nous édite quoi ? Une bd sur une école de sorcier invisible aux yeux du communs des mortels, un héros à lunettes un peu décalé... un coup de fric dont les ficelles sont aussi visibles qu'un pachyderme au milieu d'une fourmilière. J’aime pas ça, cette impression de "déjà vu" fait forcément un bug dans la matrice, et les dessins sont assez proches du design des playmobils, alors c'est mignon mais ça lasse. Sans intérêt.
Jo, Zette et Jocko
Au même titre que " Cet aimable M. Mops ", Jo , Zette et Jocko est sûrement la série la plus inutile dans l'oeuvre d'Hergé . Je ne dirais pas que c'est complètement nul mais cette bd est tellement propre et gentille, qu'elle en devient agacante. En d'autres termes et d'une manière plus familière , je dirais qu'elle est gnangnan ! D'ailleurs , il s'en dégage un parfum de vieille bourgeoisie d'après-guerre mélangé à l'esprit des jeunesses catholiques de l'époque . A lire après la messe du Dimanche !