Une BD qui semblait prometteuse mais qui finalement n'assure pas suffisamment...
Les décors et les personages manquent de finesse mais globalement, le dessin est réussi...
Le point faible de cette BD: son scénario et l'ambiance qui s'en dégage...Je n'accroche pas, désolé!
Grosse déception que cette petite BD... C'est pas franchement mauvais, mais je trouve ça nettement en-dessous d'autres titres de Trondheim. Il y a quelques planches marrantes mais dans l'ensemble, le niveau est plus proche de "Un gars, une fille" (ne vous moquez pas, c'est ma soeur qui m'a forcé à en regarder un épisode) que de "Moins d'un quart de seconde pour vivre".
C'est évident que la comparaison avec Tirésias est inévitable. On retrouve le même contexte historique, le même genre de scénario et surtout les mêmes auteurs. Ceci-dit, j'ai trouvé ce dyptique beaucoup moins concluant.
La mythologie grècque est donc à nouveau abordée, ici, mais avec une réussite plus mitigée que dans Tirésias. Le personnage principale est nettement moins attachant. Sa détermination à connaître son destin est peu crédible même si pourtant le mythe d'Hercule n'est pas loin. Bizarrement, le point fort de cette bd c'est Agrios, le centaure qui logiquement ne joue qu'un rôle secondaire dans le récit mais Le Tendre lui a donner beaucoup d'humour et donc ses interventions sont toujours très attendues.
La Gloire d'Héra est one-shot qui m'a déçu. Difficile de renouveler l'exprérience de Tiresias.
Ric Hochet , c'est du polar sans prétention . Cette série n'est pas exceptionnelle , mais elle a quand même réussi à faire son petit nid dans le monde de la bd . Les premiers tomes étaient vraiment sympas mais comme beaucoup de séries , à vouloir trop en faire, cela est devenu pénible d'un point de vue scénaristique . 66 tomes sont sortis à ce jour , c'est pas rien !
A choisir , lisez " Traquenard au Havre " ou " L'homme qui portait malheur " qui sont des albums très plaisants !
On retrouve dans cette BD un style bien particulier, à savoir : de la SF mâtinée de HF, de la violence, de l'humour gras, des dialogues "punch lines" et de jolies pépées aux formes d'autant plus généreuses qu'elles économisent au plus juste les cm² de tissu qui les recouvrent.
Reprenons donc dans l'ordre : le scénario quasi inexistant nous présente une histoire de vengeance intergalactique. Côté violence, les massacres et autres destructions sont monnaie courante et les grosses pétoires utilisées vous rectifieraient un éléphant rien qu'avec la force du recul !! L'humour et les dialogues chocs sont très basiques et se résument aux insultes, sexe et démonstrations de force.
Les personnages pour finir : body-buildés à outrance, leurs anatomies sont sur-développées. Le trait typique de Bisley est l'une des principales qualités de cette BD. Évidemment, on ne peut pas qualifier ce dessin de "propre", mais il est la véritable marque de fabrique du dessinateur, signe d'une personnalité forte et intéressante.
De manière plus générale, bien que d'une lecture facile, rapide et qui ne demande aucun effort au lecteur, cette BD ne laisse pas vraiment un souvenir impérissable.
Aussitôt lue, aussitôt oubliée.
Sombre, gore, morbide, froid et à la limite de l'écoeurant..
Ok mais d'un autre côté on sait à quoi à s'attendre avec ce genre de thème donc il n'y a pas lieu de jouer les pucelles effarouchées ou les moralisateurs, Delmas s'adresse à un public averti. Il n'y a là rien de répréhensible.
Ce qui me chagrine plus, c'est que je ne peux pas m'empêcher de faire un parallèle entre le Psychopompe et Requiem, tant les histoires sont proches.
Et le problème c'est que le Psycho ne tient pas la distance en termes de graphisme.
Après, c'est une question de choix entre deux visions de l'enfer: l'une est malsaine et glacée (à mon avis les fans de Clive Barker aimeront), l'autre flamboyante et gothique.
A vous de voir..
Personnellement, la lecture m'a laissé une impression de malaise et un sale arrière goût dans les neurones.
Mais c'est sûrement le but recherché.
Bon, je sens qu’on va encore m’accuser de jouer les Jean-Marie Messier s’en prenant à José Bové, mais tant pis, je me lance…
Page 117 de sa BD, Davodeau fait semblant de s’adresser, avec une ironie dont la lourdeur surpasse la mienne, au responsable de la communication d’A.S.F. (l’entreprise qui construit l’A87), en se moquant de son boulot qui consiste à faire de la propagande pour la méchante autoroute. Sauf qu’avec cette BD, Davodeau fait EXACTEMENT le même travail de propagande que ce gars d’A.S.F. ; c’est juste qu’il bosse pour le camp adverse.
Davodeau se moque d’une brochure qui montre « des gars sympathiques posant en bras de chemise dans leur bureau », ou d’autres types qui « sur le chantier sous un ciel bleu impeccable, pointent vers l’horizon un index décidé », ou encore « d’édifiantes interviews où l’enthousiasme le dispute à la rigueur professionnelle » où l’on explique « le déroulement idéal de ce chantier magnifique ». Alors oui, c’est sans doute vrai que tout ça est bidon. Sauf que Davodeau utilise exactement les mêmes armes, dont il méprise l’utilisation par l’opposant : lui aussi nous peint un tableau 100% idéal de la cause qu’il défend. Ses potes agriculteurs sont tous de bons et braves gars archi sympas, bosseurs, courageux, qui pratiquent une agriculture parfaitement propre sur une exploitation irréprochable… Et comme par hasard, dans sa BD, tous ceux qui ne pensent pas comme eux, ne travaillent pas comme eux, s’opposent à eux, sont systématiquement montrés comme, au choix : de gros beaufs, de pauvres types, des imbéciles, des salauds, des menteurs, des escrocs, des crapules, des vautours (qui ont, évidemment, de sales gueules de fourbes ou de c***, alors que les personnages positifs ont tous de bonnes têtes)… Alors entendons-nous bien : oui, l’expulsion du jeune couple du Bignon, c’est immonde. Oui, l’agriculture bio, c’est bien. Oui, le tracé de l’autoroute a été décidé au mépris de l’environnement et de la population des lieux. Mais opposer ainsi le camp des Gentils tout gentils face au camp des Méchants tout méchants, quand on se veut être un documentaire et pas un outil de propagande, je trouve ça douteux… On se moque du manichéisme des BD de super-héros alors qu’on a la même chose ici.
A part ça…
C’est vraiment très, très didactique, et je vous avoue que les passages remplis de statistiques ou d’explications sur comment on récolte ceci ou cela, et qui semblent incorporés de façon totalement artificielle aux dialogues des personnages, me gavent un peu.
Le dessin ne casse vraiment pas des briques.
La préface de José Bové a le double inconvénient de participer à ce côté « Je suis partout » qui me rend ce personnage totalement insupportable alors que c’est un mec bien qui se bat pour de bonnes causes, et de jouer le rôle de label de qualité officiel genre « Puisqu’un gars valable comme José Bové cautionne cette BD, c’est qu’elle est forcément bien ».
Bref, vous aurez compris que je n’ai pas aimé « Rural ! » ; ce n’est pas parce qu’une BD défend une bonne cause que c’est forcément une bonne BD (c’est aussi valable pour un roman ou un film).
Désolé mais après un premier tome assez réussi : intrigue archi connue mais bien traitée, dessin sympa mais perfectible, couleurs bien choisies; j'attendais mieux.
Le scénario progresse par à coups. Il y a des digressions inutiles, et finalement les personnages restent lisses (surtout graphiquement). Il a manqué un petit quelque chose......
j'avais acheté les deux premier tomes mais je me suis abstenu pour le troisième...le premier tome installait une ambiance propice à quelquechose d'un peu plus fantastique et original...en plus je trouve que le dessin des visages tend de plus en plus vers la caricature et rend le tout un peu bancal dommage...
J'ai acheté un lot sur ebay comprenant les 11 premiers tomes.
J'était tellement persuadé que c'était une bonne série (vu tout le foin qui est fait autour de largo, van hamme ...) que je n'ai meme pas pris le temps de les feuilleter a la Fnac.
Résultat: Grosse Déception !!!!
Les dessins sont quelconque, plutot laid pour les couleurs, mais bon, rien de dramatique non plus...
Par contre le scénario c'est très vite pénible. Les 2,3 premiers tomes ca va, c'est nouveau on est plein de bonne volonté, par contre par la suite c'est vraiment pénible. J'accroche pas du tout à cette histoire, les petits problèmes du milliardaire en culotte courtes ca m'endort pour ne pas dire plus ...
Van Hamme maitrise peut etre les arcanes du monde financier ca ne rend pas largo interressant. On a tout les gros clichés.
Lire la serie c'est un peu comme lire l' integrale de Garfield en une fois, ca donne soif.
Pour moi ce n'est pas une série a acheter, éventuellement les premiers pour les courageux mais ca s'arrete là.
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Marshall
Une BD qui semblait prometteuse mais qui finalement n'assure pas suffisamment... Les décors et les personages manquent de finesse mais globalement, le dessin est réussi... Le point faible de cette BD: son scénario et l'ambiance qui s'en dégage...Je n'accroche pas, désolé!
Farniente
Grosse déception que cette petite BD... C'est pas franchement mauvais, mais je trouve ça nettement en-dessous d'autres titres de Trondheim. Il y a quelques planches marrantes mais dans l'ensemble, le niveau est plus proche de "Un gars, une fille" (ne vous moquez pas, c'est ma soeur qui m'a forcé à en regarder un épisode) que de "Moins d'un quart de seconde pour vivre".
La Gloire d'Héra
C'est évident que la comparaison avec Tirésias est inévitable. On retrouve le même contexte historique, le même genre de scénario et surtout les mêmes auteurs. Ceci-dit, j'ai trouvé ce dyptique beaucoup moins concluant. La mythologie grècque est donc à nouveau abordée, ici, mais avec une réussite plus mitigée que dans Tirésias. Le personnage principale est nettement moins attachant. Sa détermination à connaître son destin est peu crédible même si pourtant le mythe d'Hercule n'est pas loin. Bizarrement, le point fort de cette bd c'est Agrios, le centaure qui logiquement ne joue qu'un rôle secondaire dans le récit mais Le Tendre lui a donner beaucoup d'humour et donc ses interventions sont toujours très attendues. La Gloire d'Héra est one-shot qui m'a déçu. Difficile de renouveler l'exprérience de Tiresias.
Ric Hochet
Ric Hochet , c'est du polar sans prétention . Cette série n'est pas exceptionnelle , mais elle a quand même réussi à faire son petit nid dans le monde de la bd . Les premiers tomes étaient vraiment sympas mais comme beaucoup de séries , à vouloir trop en faire, cela est devenu pénible d'un point de vue scénaristique . 66 tomes sont sortis à ce jour , c'est pas rien ! A choisir , lisez " Traquenard au Havre " ou " L'homme qui portait malheur " qui sont des albums très plaisants !
FAKK 2
On retrouve dans cette BD un style bien particulier, à savoir : de la SF mâtinée de HF, de la violence, de l'humour gras, des dialogues "punch lines" et de jolies pépées aux formes d'autant plus généreuses qu'elles économisent au plus juste les cm² de tissu qui les recouvrent. Reprenons donc dans l'ordre : le scénario quasi inexistant nous présente une histoire de vengeance intergalactique. Côté violence, les massacres et autres destructions sont monnaie courante et les grosses pétoires utilisées vous rectifieraient un éléphant rien qu'avec la force du recul !! L'humour et les dialogues chocs sont très basiques et se résument aux insultes, sexe et démonstrations de force. Les personnages pour finir : body-buildés à outrance, leurs anatomies sont sur-développées. Le trait typique de Bisley est l'une des principales qualités de cette BD. Évidemment, on ne peut pas qualifier ce dessin de "propre", mais il est la véritable marque de fabrique du dessinateur, signe d'une personnalité forte et intéressante. De manière plus générale, bien que d'une lecture facile, rapide et qui ne demande aucun effort au lecteur, cette BD ne laisse pas vraiment un souvenir impérissable. Aussitôt lue, aussitôt oubliée.
Le Psychopompe
Sombre, gore, morbide, froid et à la limite de l'écoeurant.. Ok mais d'un autre côté on sait à quoi à s'attendre avec ce genre de thème donc il n'y a pas lieu de jouer les pucelles effarouchées ou les moralisateurs, Delmas s'adresse à un public averti. Il n'y a là rien de répréhensible. Ce qui me chagrine plus, c'est que je ne peux pas m'empêcher de faire un parallèle entre le Psychopompe et Requiem, tant les histoires sont proches. Et le problème c'est que le Psycho ne tient pas la distance en termes de graphisme. Après, c'est une question de choix entre deux visions de l'enfer: l'une est malsaine et glacée (à mon avis les fans de Clive Barker aimeront), l'autre flamboyante et gothique. A vous de voir.. Personnellement, la lecture m'a laissé une impression de malaise et un sale arrière goût dans les neurones. Mais c'est sûrement le but recherché.
Rural !
Bon, je sens qu’on va encore m’accuser de jouer les Jean-Marie Messier s’en prenant à José Bové, mais tant pis, je me lance… Page 117 de sa BD, Davodeau fait semblant de s’adresser, avec une ironie dont la lourdeur surpasse la mienne, au responsable de la communication d’A.S.F. (l’entreprise qui construit l’A87), en se moquant de son boulot qui consiste à faire de la propagande pour la méchante autoroute. Sauf qu’avec cette BD, Davodeau fait EXACTEMENT le même travail de propagande que ce gars d’A.S.F. ; c’est juste qu’il bosse pour le camp adverse. Davodeau se moque d’une brochure qui montre « des gars sympathiques posant en bras de chemise dans leur bureau », ou d’autres types qui « sur le chantier sous un ciel bleu impeccable, pointent vers l’horizon un index décidé », ou encore « d’édifiantes interviews où l’enthousiasme le dispute à la rigueur professionnelle » où l’on explique « le déroulement idéal de ce chantier magnifique ». Alors oui, c’est sans doute vrai que tout ça est bidon. Sauf que Davodeau utilise exactement les mêmes armes, dont il méprise l’utilisation par l’opposant : lui aussi nous peint un tableau 100% idéal de la cause qu’il défend. Ses potes agriculteurs sont tous de bons et braves gars archi sympas, bosseurs, courageux, qui pratiquent une agriculture parfaitement propre sur une exploitation irréprochable… Et comme par hasard, dans sa BD, tous ceux qui ne pensent pas comme eux, ne travaillent pas comme eux, s’opposent à eux, sont systématiquement montrés comme, au choix : de gros beaufs, de pauvres types, des imbéciles, des salauds, des menteurs, des escrocs, des crapules, des vautours (qui ont, évidemment, de sales gueules de fourbes ou de c***, alors que les personnages positifs ont tous de bonnes têtes)… Alors entendons-nous bien : oui, l’expulsion du jeune couple du Bignon, c’est immonde. Oui, l’agriculture bio, c’est bien. Oui, le tracé de l’autoroute a été décidé au mépris de l’environnement et de la population des lieux. Mais opposer ainsi le camp des Gentils tout gentils face au camp des Méchants tout méchants, quand on se veut être un documentaire et pas un outil de propagande, je trouve ça douteux… On se moque du manichéisme des BD de super-héros alors qu’on a la même chose ici. A part ça… C’est vraiment très, très didactique, et je vous avoue que les passages remplis de statistiques ou d’explications sur comment on récolte ceci ou cela, et qui semblent incorporés de façon totalement artificielle aux dialogues des personnages, me gavent un peu. Le dessin ne casse vraiment pas des briques. La préface de José Bové a le double inconvénient de participer à ce côté « Je suis partout » qui me rend ce personnage totalement insupportable alors que c’est un mec bien qui se bat pour de bonnes causes, et de jouer le rôle de label de qualité officiel genre « Puisqu’un gars valable comme José Bové cautionne cette BD, c’est qu’elle est forcément bien ». Bref, vous aurez compris que je n’ai pas aimé « Rural ! » ; ce n’est pas parce qu’une BD défend une bonne cause que c’est forcément une bonne BD (c’est aussi valable pour un roman ou un film).
Golden City
Désolé mais après un premier tome assez réussi : intrigue archi connue mais bien traitée, dessin sympa mais perfectible, couleurs bien choisies; j'attendais mieux. Le scénario progresse par à coups. Il y a des digressions inutiles, et finalement les personnages restent lisses (surtout graphiquement). Il a manqué un petit quelque chose......
Les Aquanautes
j'avais acheté les deux premier tomes mais je me suis abstenu pour le troisième...le premier tome installait une ambiance propice à quelquechose d'un peu plus fantastique et original...en plus je trouve que le dessin des visages tend de plus en plus vers la caricature et rend le tout un peu bancal dommage...
Largo Winch
J'ai acheté un lot sur ebay comprenant les 11 premiers tomes. J'était tellement persuadé que c'était une bonne série (vu tout le foin qui est fait autour de largo, van hamme ...) que je n'ai meme pas pris le temps de les feuilleter a la Fnac. Résultat: Grosse Déception !!!! Les dessins sont quelconque, plutot laid pour les couleurs, mais bon, rien de dramatique non plus... Par contre le scénario c'est très vite pénible. Les 2,3 premiers tomes ca va, c'est nouveau on est plein de bonne volonté, par contre par la suite c'est vraiment pénible. J'accroche pas du tout à cette histoire, les petits problèmes du milliardaire en culotte courtes ca m'endort pour ne pas dire plus ... Van Hamme maitrise peut etre les arcanes du monde financier ca ne rend pas largo interressant. On a tout les gros clichés. Lire la serie c'est un peu comme lire l' integrale de Garfield en une fois, ca donne soif. Pour moi ce n'est pas une série a acheter, éventuellement les premiers pour les courageux mais ca s'arrete là.