Moui... non, vraiment, sans plus, la pour le coup. Même tout petit, j'ai jamais réellement accroché a cette série de Peyo. Benoit Brisefer ou les Schtroumpfs étaient deux séries bien plus sympathiques, je trouve...
Bon, pourtant, c'est loin d'être mauvais !
Les différents scénarii étaient assez sympatiques, parfaits pour les petites tête blondes que nous étions (enfin, moi, j'étais brun :)), mais pourtant, personnellement, je m'ennuyais quelque peu en lisant tout ça.
Les deux personnages, Johan et Pirlouit, n'étaient pas beaux, pas charismatiques, et ne m'ont jamais donné envie de m'attacher réellement à la série... dommage.
Au niveau des illustrations, c'est du Peyo tout craché. Des formes bien rondes, une mise en couleur très sympa, bref un style typique de la BD humoristique franco-belge. Rien a redire, si ce n'est que personnellement je n'ai jamais été un grand fan de ce genre d'illustrations...
Allez, un bon point pour la série : c'est par son biais que Peyo a donné naissance aux mignons petits schtroumpfs :)
La jungle en folie est une série bien mignonne comme tout, et les enfants apprécient en général autant par le comique des différentes situations que par le design des personnages principaux, qui, il faut le dire, ressemblent assez à des peluches :)
Les différentes histoires sont sympa, mais ne m'ont jamais éclaté étant gosse. j'ai lu quelques tomes, ils m'ont amusé, sans plus. Pourtant, les auteurs ont pas mal travaillé sur l'ensemble de l'univers assez cohérent de "La jungle en folie", mais il a toujours manqué un petit quelque chose à l'ensemble... c'est étrange, je n'arrive pas réellement à définir quoi... mais je n'ai jamais accroché, ca c'est certain !
Au niveau du dessin, c'est assez bon, assez mignon. Comme je le dis plus haut, les différents personnages sont similaires à des ours en peluches, et c'est un bon plan. L'enfant qui lit un tome de la jungle en folie va vite s'identifier aux différents personnages, et si les différente situation lui plaisent, risque de vraiment prendre son pied. Je n'ai pas eu ce plaisir, hélas...
Le trait est assez fin et rond, bien typique de la BD humoristique, mais comporte tout de même sa petite originalité fort agréable à l'oeil. De plus, la mise en couleur est d'assez bonne qualité, malgré l'age de cette série.
Très sincèrement j'accroche pas.
On ma dit/j'ai lu : Aberzen c'est génial et tout et tout...
Au final, j'ai eu du mal à lire ces 2 malheureux tomes.
Ok, je suis pas très H/F et plus SF, mais ca devrait le faire tout de même. Mais non...
Je trouve le dessin assez peu lisible, les couleurs un peu trop fades, il n'y a pas de gros contraste, ca gêne ma lecture, et le scénario...
Bahhh, moi je trouve ca un peu brouillon, on ne sait pas ce qui se passe, et je ne comprends pas les tenants ni les aboutissants, ça ne m'a pas motivé.
De manière hebdomadaire dans le Journal de Spirou, ça passe bien, mais en album, cela devient vite lassant. Le dessin de Bercovici est plus rapide qu'intéressant. Et les scenarii sont trop axés sur des private Joke qui font peut-être plus rire le rédacteur en chef de Spirou que le lecteur.
Et puis sur la vie d'une rédaction (et celle de Spirou en particulier) il y a déjà eu beaucoup mieux (Gaston).
Rien de très mauvais mais rien de très percutant non plus.
Cet album paru en 1986 et réunissant des fonds de tiroir est devenu introuvable. Mais rien de bien transcendant. Seul le premier des trois récits en vaut la peine, le second est franchement mauvais (tant au niveau du dessin que du scénario) et le texte d'Amnestay a beau être évocateur et superbement illustré, il tombe dans une mystique assez bon marché.
Moui... un poil déçu tout de même, pour le coup, là... j'ai lu ce tome après avoir dévoré les 9 opus du cycle de Bone, et je m'attendais une fois de plus à quelque chose de fort, vraiment fort, tout comme le reste de la série... mais j'ai été assez déçu !!
Ok, c'est rigolo de connaitre l'origine du rituel des rats-garous qui se coupent leur queue le jour de leur premier anniversaire (je n'en dirai pas plus), mais je trouve tout de même l'ensemble un poil surfait, c'est bien dommage ! Distrayant, quoi, mais sans plus...
L'humour est sympatique, et assez distrayant. Mais une fois de plus, ce volume souffre vraiment de la comparaison avec la série originale. Dommage !!! (car il est de toute façon nécessaire d'avoir lu Bone pour apprécier cette série à sa juste valeur).
Le style graphique de Smith, par contre, est toujours aussi original et fun. Ces formes rondouillardes collent parfaitement au style de l'album, et le noir et blanc est assez sympa lui aussi.
Un tome à réserver aux vrais fans de Bone, donc !
Nicky Larson : le flic charismatique, grand, musclé et beau, qui contraste avec le héros de Cat's Eye qui est incroyablement maladroit, du même auteur.
Son boulot ? nettoyer la ville des malfrats en tout genre. Cependant comme tout héros il possède des défauts, son obsession pour les femmes est à l'origine de surnoms peu flatteurs et de vents magistraux, l'un des points forts de la série et qui succite cet angouement que, j'avoue, j'ai beaucoup de mal a cerner.
Certes, à la télé, c'est très rigolo, distrayant, amusant... mais a lire, décidemment, ca ne va pas du tout.
Le dynamisme de la série télé devient une longue série de plus de 30 tomes (dans sa version japonaise, du moins) qui ont cet aspect tres "easy learning" qui m'énerve dans la majorité des mangas. De la lecture fast food, sans saveur, que l'on oublie aussitot le tome fini.
Le dessin n'est pas trop mal, assez rapide et dynamique. Bon, ca reste tres surfait et productif, car le débit des sorties manga est bien plus important que le travail réalisé dans le domaine de la BD européenne...
Ouaip... c'est pas cette série qui me rendra amoureux du manga...
Alors moi, j'accroche pas du tout, j'ai mis longtemps pour lire un album et j'ai vu le temps passer très lentement. Les couleurs sont affreuses, les dessins sont moches. Le scénario remonte un peu la note mais sans plus.
Oulah.... Le génie des alpages, la bédé complétement barrée par excellence !!
F'murr (un collectif de 5 auteurs, pour ceux qui ne le savent pas), c'est avant tout une entité 68arde ayant un peu trop forcé sur le champi il y a quelques années de cela, tout comme Fred, l'auteur de Philémon.
Au final : nous voici en présence d'une série ultra psychédélique, ultra spéciale, limite malsaine dans son cadre : un troupeau de brebis, isolé et perdu dans la montagne, qui phylosophe à qui mieux mieux sur les choses de la vie, le passage rare de touristes, etc...
Ca peut etre assez bien perçu, mais moi, je dois bien avouer que ca m'angoisse un poil. Je suis peut etre un peu trop vieu-jeu (ca m'ennuierait, à 23 ans !) mais je n'accroche résoluement pas a cet humour beaucoup trop space à mon gout.
La série se présente en plusieurs albums de gags en une planche "à la boule et bill" comme j'aime dire :). Bon, pas vraiment de baisse de régime à noter au fil des tomes, mais plutot une imcompréhension très personnelle de l'ensemble de l'oeuvre de F'murr.
Le dessin est ultra typé et très proche de celui de Fred, lui aussi. Assez brouillon, il n'est pas vraiment beau, beaucoup trop échancré à mon gout. les personnages sont assez grossièrement dessinés, et les paysages qui se devraient d'etre superbes, dans un cadre pareil, ne sont pas terribles du tout.
La mise en couleur, quant à elle, accuse vraiment son age. Les teintes sont bien pâles...
Bref, une bédé qu'il faut connaitre, certes, mais qui est parfaitement dispensable...
un album étonnant.
Etonnant, oui, le thème en lui-même l'est. Etonnant aussi et surtout la manière dont il est abordé.
les amateurs de Beigbeder reconnaitront son style, à la fois désinvolte, nonchalant, et finement provocateur (en même temps, je ne fais pas partie de ces amateurs...)
on se prend à rire de scènes vraiment glauques et/ou revoltantes.
on pourra peut-être regretter le coté racoleur de cette BD, puisque peu de pages ne parlent ou ne montrent pas de sexe. Ceci dit, y a rien de bien méchant, le dessin est très fin, souple, presque précieux.
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Johan et Pirlouit
Moui... non, vraiment, sans plus, la pour le coup. Même tout petit, j'ai jamais réellement accroché a cette série de Peyo. Benoit Brisefer ou les Schtroumpfs étaient deux séries bien plus sympathiques, je trouve... Bon, pourtant, c'est loin d'être mauvais ! Les différents scénarii étaient assez sympatiques, parfaits pour les petites tête blondes que nous étions (enfin, moi, j'étais brun :)), mais pourtant, personnellement, je m'ennuyais quelque peu en lisant tout ça. Les deux personnages, Johan et Pirlouit, n'étaient pas beaux, pas charismatiques, et ne m'ont jamais donné envie de m'attacher réellement à la série... dommage. Au niveau des illustrations, c'est du Peyo tout craché. Des formes bien rondes, une mise en couleur très sympa, bref un style typique de la BD humoristique franco-belge. Rien a redire, si ce n'est que personnellement je n'ai jamais été un grand fan de ce genre d'illustrations... Allez, un bon point pour la série : c'est par son biais que Peyo a donné naissance aux mignons petits schtroumpfs :)
La jungle en folie
La jungle en folie est une série bien mignonne comme tout, et les enfants apprécient en général autant par le comique des différentes situations que par le design des personnages principaux, qui, il faut le dire, ressemblent assez à des peluches :) Les différentes histoires sont sympa, mais ne m'ont jamais éclaté étant gosse. j'ai lu quelques tomes, ils m'ont amusé, sans plus. Pourtant, les auteurs ont pas mal travaillé sur l'ensemble de l'univers assez cohérent de "La jungle en folie", mais il a toujours manqué un petit quelque chose à l'ensemble... c'est étrange, je n'arrive pas réellement à définir quoi... mais je n'ai jamais accroché, ca c'est certain ! Au niveau du dessin, c'est assez bon, assez mignon. Comme je le dis plus haut, les différents personnages sont similaires à des ours en peluches, et c'est un bon plan. L'enfant qui lit un tome de la jungle en folie va vite s'identifier aux différents personnages, et si les différente situation lui plaisent, risque de vraiment prendre son pied. Je n'ai pas eu ce plaisir, hélas... Le trait est assez fin et rond, bien typique de la BD humoristique, mais comporte tout de même sa petite originalité fort agréable à l'oeil. De plus, la mise en couleur est d'assez bonne qualité, malgré l'age de cette série.
Aberzen
Très sincèrement j'accroche pas. On ma dit/j'ai lu : Aberzen c'est génial et tout et tout... Au final, j'ai eu du mal à lire ces 2 malheureux tomes. Ok, je suis pas très H/F et plus SF, mais ca devrait le faire tout de même. Mais non... Je trouve le dessin assez peu lisible, les couleurs un peu trop fades, il n'y a pas de gros contraste, ca gêne ma lecture, et le scénario... Bahhh, moi je trouve ca un peu brouillon, on ne sait pas ce qui se passe, et je ne comprends pas les tenants ni les aboutissants, ça ne m'a pas motivé.
Le Boss
De manière hebdomadaire dans le Journal de Spirou, ça passe bien, mais en album, cela devient vite lassant. Le dessin de Bercovici est plus rapide qu'intéressant. Et les scenarii sont trop axés sur des private Joke qui font peut-être plus rire le rédacteur en chef de Spirou que le lecteur. Et puis sur la vie d'une rédaction (et celle de Spirou en particulier) il y a déjà eu beaucoup mieux (Gaston). Rien de très mauvais mais rien de très percutant non plus.
La Nuit de l'étoile
Cet album paru en 1986 et réunissant des fonds de tiroir est devenu introuvable. Mais rien de bien transcendant. Seul le premier des trois récits en vaut la peine, le second est franchement mauvais (tant au niveau du dessin que du scénario) et le texte d'Amnestay a beau être évocateur et superbement illustré, il tombe dans une mystique assez bon marché.
Bone - Big Johnson Bone contre les rats-garous
Moui... un poil déçu tout de même, pour le coup, là... j'ai lu ce tome après avoir dévoré les 9 opus du cycle de Bone, et je m'attendais une fois de plus à quelque chose de fort, vraiment fort, tout comme le reste de la série... mais j'ai été assez déçu !! Ok, c'est rigolo de connaitre l'origine du rituel des rats-garous qui se coupent leur queue le jour de leur premier anniversaire (je n'en dirai pas plus), mais je trouve tout de même l'ensemble un poil surfait, c'est bien dommage ! Distrayant, quoi, mais sans plus... L'humour est sympatique, et assez distrayant. Mais une fois de plus, ce volume souffre vraiment de la comparaison avec la série originale. Dommage !!! (car il est de toute façon nécessaire d'avoir lu Bone pour apprécier cette série à sa juste valeur). Le style graphique de Smith, par contre, est toujours aussi original et fun. Ces formes rondouillardes collent parfaitement au style de l'album, et le noir et blanc est assez sympa lui aussi. Un tome à réserver aux vrais fans de Bone, donc !
City Hunter
Nicky Larson : le flic charismatique, grand, musclé et beau, qui contraste avec le héros de Cat's Eye qui est incroyablement maladroit, du même auteur. Son boulot ? nettoyer la ville des malfrats en tout genre. Cependant comme tout héros il possède des défauts, son obsession pour les femmes est à l'origine de surnoms peu flatteurs et de vents magistraux, l'un des points forts de la série et qui succite cet angouement que, j'avoue, j'ai beaucoup de mal a cerner. Certes, à la télé, c'est très rigolo, distrayant, amusant... mais a lire, décidemment, ca ne va pas du tout. Le dynamisme de la série télé devient une longue série de plus de 30 tomes (dans sa version japonaise, du moins) qui ont cet aspect tres "easy learning" qui m'énerve dans la majorité des mangas. De la lecture fast food, sans saveur, que l'on oublie aussitot le tome fini. Le dessin n'est pas trop mal, assez rapide et dynamique. Bon, ca reste tres surfait et productif, car le débit des sorties manga est bien plus important que le travail réalisé dans le domaine de la BD européenne... Ouaip... c'est pas cette série qui me rendra amoureux du manga...
Thorgal
Alors moi, j'accroche pas du tout, j'ai mis longtemps pour lire un album et j'ai vu le temps passer très lentement. Les couleurs sont affreuses, les dessins sont moches. Le scénario remonte un peu la note mais sans plus.
Le génie des alpages
Oulah.... Le génie des alpages, la bédé complétement barrée par excellence !! F'murr (un collectif de 5 auteurs, pour ceux qui ne le savent pas), c'est avant tout une entité 68arde ayant un peu trop forcé sur le champi il y a quelques années de cela, tout comme Fred, l'auteur de Philémon. Au final : nous voici en présence d'une série ultra psychédélique, ultra spéciale, limite malsaine dans son cadre : un troupeau de brebis, isolé et perdu dans la montagne, qui phylosophe à qui mieux mieux sur les choses de la vie, le passage rare de touristes, etc... Ca peut etre assez bien perçu, mais moi, je dois bien avouer que ca m'angoisse un poil. Je suis peut etre un peu trop vieu-jeu (ca m'ennuierait, à 23 ans !) mais je n'accroche résoluement pas a cet humour beaucoup trop space à mon gout. La série se présente en plusieurs albums de gags en une planche "à la boule et bill" comme j'aime dire :). Bon, pas vraiment de baisse de régime à noter au fil des tomes, mais plutot une imcompréhension très personnelle de l'ensemble de l'oeuvre de F'murr. Le dessin est ultra typé et très proche de celui de Fred, lui aussi. Assez brouillon, il n'est pas vraiment beau, beaucoup trop échancré à mon gout. les personnages sont assez grossièrement dessinés, et les paysages qui se devraient d'etre superbes, dans un cadre pareil, ne sont pas terribles du tout. La mise en couleur, quant à elle, accuse vraiment son age. Les teintes sont bien pâles... Bref, une bédé qu'il faut connaitre, certes, mais qui est parfaitement dispensable...
Rester Normal
un album étonnant. Etonnant, oui, le thème en lui-même l'est. Etonnant aussi et surtout la manière dont il est abordé. les amateurs de Beigbeder reconnaitront son style, à la fois désinvolte, nonchalant, et finement provocateur (en même temps, je ne fais pas partie de ces amateurs...) on se prend à rire de scènes vraiment glauques et/ou revoltantes. on pourra peut-être regretter le coté racoleur de cette BD, puisque peu de pages ne parlent ou ne montrent pas de sexe. Ceci dit, y a rien de bien méchant, le dessin est très fin, souple, presque précieux. Allez, c'est vraiment pas bon, mais ça change quoi.