Probablement le plus mauvais Davodeau que j'aie lu.
Voilà pourquoi : son histoire sent le réchauffé, avec son beauf un peu trop neuneu et ses gauchistes trop typés. on n'arrive pas vraiment à accrocher à cette histoire, sans rythme, sans intérêt réel... Quant au dessin, j'ai un peu de mal avec le style graphique de Davodeau (fade, inconstant), ce qui n'arrange pas vraiment mon avis.
Alors oui, c'est clair, j'ai été impressionné par le dessin de Darrow. Je n'ai jamais vu ça en bande dessinée! Il enchaîne des cases immenses qui fourmillent de détails en arrivant à maintenir un rythme constant dans cette histoire de course poursuite qui en a bien besoin. Car le rythme, c'est finalement la seule chose que je retiens de cette histoire (avec le dessin donc). Je suis loin d'être allergique à l'action pure et dure, à l'humour noir et au massacre gratuit, mais là j'ai trouvé l'ensemble un peu vain. Plus de 100 pages à écraser des gens, à massacrer le chaland et à se bastonner avec une mamie, j'ai trouvé ça longuet. Au moins Miller va t-il au bout de son idée (comme Lemerre) mais il y va sans moi. Je suis assez étonné qu'on puisse considérer ce diptyque comme culte, je le reconnais.
Bof bof. L'humour de cette BD ne m'a carrément pas touché. Le personnage de Sri Raoul, le petit gamin adepte de doctrine bouddhiste ne m'a pas intéressé déjà à la base, pas plus que ses nombreuses réflexions par rapport à la vie moderne et à son entourage. Alors de le voir avec son frère simple d'esprit faire subir à celui-ci (parfois par accident évidemment) des sévices qui en principe devraient réveiller ma fibre d'humour noir, eh bien ça n'a pas marché du tout. Idem quand c'est le chat de la maison qui trinque.
Voilà une série en principe humoristique qui ne m'a fait ni rire ni sourire.
Je n'accroche pas à cette BD. Le dessin et la colorisation sont bons, il n'y a pas de soucis de ce côté là. Mais c'est l'histoire elle-même.
Déjà, elle surfe sur cette mode des monstres gentils (loups-garous, vampires, etc...) avec un héros gamin d'apparence mais en fait super puissant et intelligent qui domine tout le monde du haut de son piédestal de jeune ado (qui n'en est en fait pas un) super cool. Et personnellement, ce type de thème ne m'intéresse pas.
Ensuite, je trouve les histoires courtes de cette série assez inintéressantes, et surtout je suis totalement insensible à cet humour. Ca ne me fait même pas sourire. C'est à peine si les agissements et paroles de Sir Pyle lui-même ne m'agacent pas au plus haut point.
Je trouve d'ailleurs ma réaction assez surprenante car par ailleurs j'apprécie assez bien Morvan et comme ici le dessin est vraiment réussi, je ne vois pas le mal. Il faudra sans doute que j'en relise un tome ou deux pour me refaire un avis.
Faut que je relise cette BD, je m'étais pas aperçu que des planches était mélangées! Je suis un peu dubitatif quand même quoique la fluidité narrative très pauvre de l'ensemble pourait bien corroborer ce que dit Cassidy. L'histoire n'étant pas vraiment passionnante (Batman mène une enquête policière à la Sherlock Holmes en dressant des points rouges sur une carte, sous fond de rituels Vaudous), le dessin reste le seul intérêt de cet opus. Il est disons, particulier mais ne manque pas d'une certaine classe, même s'il rajoute à la confusion de l'ensemble. Un Batman original donc mais pas toujours dans le bon sens.
Il y a visiblement quelque chose qui m'a échappé dans cette BD, compte tenu des avis dithyrambiques ici-bas. Cette histoire ne m'a à aucun moment bouleversé, j'ai lu l'ensemble avec une grande indifférence. A vrai dire ça m'a plus ennuyé qu'autre chose, le dessin minimaliste ne m'ayant pas beaucoup plus plu que la trame et le déroulement de l'histoire. Je trouve le prix de plus excessif vu la taille de cette BD (oui, je sais on est pas au supermarché mais quand même). Un livre à réserver probablement à ceux ayant une capacité d'abstraction supérieure à la mienne ou dont le coeur n'est pas de pierre.
Ca me fait flipper de faire un tel avis après les trois précédents, j'ai l'impression de tomber du côté obscur de ThePat
C'est noir, mais noir! Bigre que c'est noir! Mais c'est tout à fait le style de Bilal. Moi pour ma part, c'est le genre que je n'aime pas. Je vais donc dire que Bilal est vraiment un génie, un artiste hors pair. Mais j'ai lu le premier tome et je ne pense pas lire le second, je préfère garder un peu de moral pour les mois à venir.
Je suis plutôt BD détente que BD témoignage. Je ne saisis pas vraiment l'intérêt de décrire une horreur comme un génocide sur des planches de BD. Les images ou les reportages que l'on a pu voir à la télé (même si ce média à tendance à déformer les choses) sont suffisament éloquentes pour ne pas en plus se "faire du mal" en revisitant l'histoire, même à travers un travail artistique évident. Ce n'est pas la réalisation qui me dérange, mais plutôt le coté BHL de cette BD.
Soi-disant une BD "aux parfums de l'enfance", en fait une succession de clichés, qui peuvent parfois tomber juste et sont bien racontés, mais sans grand intérêt.
L'histoire de fond ne semble être là que pour en justifier l'énumération (c'est flagrant quand le gamin détaille les activités que ses parents voudraient qu'il fasse : enfant de choeur, chorale, foot, scoutisme, pour chaque activité on case un gag puis on passe à la suivante).
Le rythme du récit est assez décousu, je pense que c'est pour donner l'impression que c'est vraiment un enfant qui raconte, mais le résultat n'est pas très agréable à lire.
Mais ce qui à mes yeux fait le plus échouer le récit, c'est que les personnages ne sont ni crédibles ni attachants, à peine pathétiques, et donc qu'on suit toute l'histoire sans jamais vraiment s'y intéresser.
Pour le dessin, bon ben Florence Cestac reste dans son style, un coup d'oeil à la galerie vous suffira pour savoir si vous aimez ou pas, ou bien si comme moi il vous laisse indifférent.
Quel étrange one-shot... Ca débute assez normalement. L'histoire est originale : un ancien de l'Afrique, devenu vieux bedonnant à lunettes, est invité à y retourner tenter de retrouver des oeuvres d'art locales. Alors il redécouvrira des lieux qu'il a quitté longtemps auparavant, quelques amis qui ont beaucoup changé, il ne sentira plus à sa place, bref une histoire de retour raté aux sources comme on peut assez bien la comprendre.
Mais c'est alors qu'apparaît dans le scénario cette idée de complot, de confrontation entre des sortes d'agents secrets qui manipulent le héros et les forces de l'ordre locales qui l'empêchent d'évoluer dans sa recherche d'objets d'art. Mais, et c'est là que c'est spécial, toute l'intrigue se fait par ellipses : dès que le héros rencontre quelqu'un qui va lui expliquer ce qu'il sait des évènements, on n'aura pas droit au dialogue, mais à une scène d'autre chose qui n'a rien à voir. Tant et si bien qu'on suit une enquête dont en fait on ne sait rien des tenants et aboutissants car à chaque fois nous n'avons pas droit aux explications et indices qui pourraient nous aider à comprendre, ou alors très peu.
Et ça continue jusqu'à la fin : jusqu'à la fin, on sait que le héros a discuté de choses importantes avec des gens, mais on n'a aucune idée de quoi exactement.
Alors, j'ai relu la BD 3 fois de suite pour essayer de bien tout comprendre. Certains détails, certains mots permettent peu à peu d'élaborer des hypothèses, de comprendre des choses. Mais même au bout de 3 relectures, le mystère reste un peu trop grand : j'ai à peu près déchiffré l'intrigue globale, mais pas véritablement les détails importants (le pourquoi de ce qui s'est passé, le rapport entre le voyage du héros et tout ça et pourquoi on l'a envoyé là et pourquoi il vit tout ça...).
Alors soit l'intrigue est vraiment encore plus complexe et je ne l'ai pas comprise, soit il manque véritablement ce qui permet de déchiffrer la totalité de l'intrigue et alors on reste sur sa faim avec cette histoire. On peut imaginer plein de solutions possibles, mais en fait très vite, on n'en voit plus vraiment l'intérêt. Et on préfère oublier le tout car on sait qu'on n'arrivera à rien.
Bref, une BD spéciale dont il est difficile de sortir du bon.
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La gloire d'Albert
Probablement le plus mauvais Davodeau que j'aie lu. Voilà pourquoi : son histoire sent le réchauffé, avec son beauf un peu trop neuneu et ses gauchistes trop typés. on n'arrive pas vraiment à accrocher à cette histoire, sans rythme, sans intérêt réel... Quant au dessin, j'ai un peu de mal avec le style graphique de Davodeau (fade, inconstant), ce qui n'arrange pas vraiment mon avis.
Hard Boiled
Alors oui, c'est clair, j'ai été impressionné par le dessin de Darrow. Je n'ai jamais vu ça en bande dessinée! Il enchaîne des cases immenses qui fourmillent de détails en arrivant à maintenir un rythme constant dans cette histoire de course poursuite qui en a bien besoin. Car le rythme, c'est finalement la seule chose que je retiens de cette histoire (avec le dessin donc). Je suis loin d'être allergique à l'action pure et dure, à l'humour noir et au massacre gratuit, mais là j'ai trouvé l'ensemble un peu vain. Plus de 100 pages à écraser des gens, à massacrer le chaland et à se bastonner avec une mamie, j'ai trouvé ça longuet. Au moins Miller va t-il au bout de son idée (comme Lemerre) mais il y va sans moi. Je suis assez étonné qu'on puisse considérer ce diptyque comme culte, je le reconnais.
Sri-Raoul le petit yogi
Bof bof. L'humour de cette BD ne m'a carrément pas touché. Le personnage de Sri Raoul, le petit gamin adepte de doctrine bouddhiste ne m'a pas intéressé déjà à la base, pas plus que ses nombreuses réflexions par rapport à la vie moderne et à son entourage. Alors de le voir avec son frère simple d'esprit faire subir à celui-ci (parfois par accident évidemment) des sévices qui en principe devraient réveiller ma fibre d'humour noir, eh bien ça n'a pas marché du tout. Idem quand c'est le chat de la maison qui trinque. Voilà une série en principe humoristique qui ne m'a fait ni rire ni sourire.
Sir Pyle
Je n'accroche pas à cette BD. Le dessin et la colorisation sont bons, il n'y a pas de soucis de ce côté là. Mais c'est l'histoire elle-même. Déjà, elle surfe sur cette mode des monstres gentils (loups-garous, vampires, etc...) avec un héros gamin d'apparence mais en fait super puissant et intelligent qui domine tout le monde du haut de son piédestal de jeune ado (qui n'en est en fait pas un) super cool. Et personnellement, ce type de thème ne m'intéresse pas. Ensuite, je trouve les histoires courtes de cette série assez inintéressantes, et surtout je suis totalement insensible à cet humour. Ca ne me fait même pas sourire. C'est à peine si les agissements et paroles de Sir Pyle lui-même ne m'agacent pas au plus haut point. Je trouve d'ailleurs ma réaction assez surprenante car par ailleurs j'apprécie assez bien Morvan et comme ici le dessin est vraiment réussi, je ne vois pas le mal. Il faudra sans doute que j'en relise un tome ou deux pour me refaire un avis.
Batman - Harvest Breed
Faut que je relise cette BD, je m'étais pas aperçu que des planches était mélangées! Je suis un peu dubitatif quand même quoique la fluidité narrative très pauvre de l'ensemble pourait bien corroborer ce que dit Cassidy. L'histoire n'étant pas vraiment passionnante (Batman mène une enquête policière à la Sherlock Holmes en dressant des points rouges sur une carte, sous fond de rituels Vaudous), le dessin reste le seul intérêt de cet opus. Il est disons, particulier mais ne manque pas d'une certaine classe, même s'il rajoute à la confusion de l'ensemble. Un Batman original donc mais pas toujours dans le bon sens.
Attends
Il y a visiblement quelque chose qui m'a échappé dans cette BD, compte tenu des avis dithyrambiques ici-bas. Cette histoire ne m'a à aucun moment bouleversé, j'ai lu l'ensemble avec une grande indifférence. A vrai dire ça m'a plus ennuyé qu'autre chose, le dessin minimaliste ne m'ayant pas beaucoup plus plu que la trame et le déroulement de l'histoire. Je trouve le prix de plus excessif vu la taille de cette BD (oui, je sais on est pas au supermarché mais quand même). Un livre à réserver probablement à ceux ayant une capacité d'abstraction supérieure à la mienne ou dont le coeur n'est pas de pierre. Ca me fait flipper de faire un tel avis après les trois précédents, j'ai l'impression de tomber du côté obscur de ThePat
Le Sommeil du Monstre
C'est noir, mais noir! Bigre que c'est noir! Mais c'est tout à fait le style de Bilal. Moi pour ma part, c'est le genre que je n'aime pas. Je vais donc dire que Bilal est vraiment un génie, un artiste hors pair. Mais j'ai lu le premier tome et je ne pense pas lire le second, je préfère garder un peu de moral pour les mois à venir.
Déogratias
Je suis plutôt BD détente que BD témoignage. Je ne saisis pas vraiment l'intérêt de décrire une horreur comme un génocide sur des planches de BD. Les images ou les reportages que l'on a pu voir à la télé (même si ce média à tendance à déformer les choses) sont suffisament éloquentes pour ne pas en plus se "faire du mal" en revisitant l'histoire, même à travers un travail artistique évident. Ce n'est pas la réalisation qui me dérange, mais plutôt le coté BHL de cette BD.
Super catho
Soi-disant une BD "aux parfums de l'enfance", en fait une succession de clichés, qui peuvent parfois tomber juste et sont bien racontés, mais sans grand intérêt. L'histoire de fond ne semble être là que pour en justifier l'énumération (c'est flagrant quand le gamin détaille les activités que ses parents voudraient qu'il fasse : enfant de choeur, chorale, foot, scoutisme, pour chaque activité on case un gag puis on passe à la suivante). Le rythme du récit est assez décousu, je pense que c'est pour donner l'impression que c'est vraiment un enfant qui raconte, mais le résultat n'est pas très agréable à lire. Mais ce qui à mes yeux fait le plus échouer le récit, c'est que les personnages ne sont ni crédibles ni attachants, à peine pathétiques, et donc qu'on suit toute l'histoire sans jamais vraiment s'y intéresser. Pour le dessin, bon ben Florence Cestac reste dans son style, un coup d'oeil à la galerie vous suffira pour savoir si vous aimez ou pas, ou bien si comme moi il vous laisse indifférent.
Missié Vandisandi
Quel étrange one-shot... Ca débute assez normalement. L'histoire est originale : un ancien de l'Afrique, devenu vieux bedonnant à lunettes, est invité à y retourner tenter de retrouver des oeuvres d'art locales. Alors il redécouvrira des lieux qu'il a quitté longtemps auparavant, quelques amis qui ont beaucoup changé, il ne sentira plus à sa place, bref une histoire de retour raté aux sources comme on peut assez bien la comprendre. Mais c'est alors qu'apparaît dans le scénario cette idée de complot, de confrontation entre des sortes d'agents secrets qui manipulent le héros et les forces de l'ordre locales qui l'empêchent d'évoluer dans sa recherche d'objets d'art. Mais, et c'est là que c'est spécial, toute l'intrigue se fait par ellipses : dès que le héros rencontre quelqu'un qui va lui expliquer ce qu'il sait des évènements, on n'aura pas droit au dialogue, mais à une scène d'autre chose qui n'a rien à voir. Tant et si bien qu'on suit une enquête dont en fait on ne sait rien des tenants et aboutissants car à chaque fois nous n'avons pas droit aux explications et indices qui pourraient nous aider à comprendre, ou alors très peu. Et ça continue jusqu'à la fin : jusqu'à la fin, on sait que le héros a discuté de choses importantes avec des gens, mais on n'a aucune idée de quoi exactement. Alors, j'ai relu la BD 3 fois de suite pour essayer de bien tout comprendre. Certains détails, certains mots permettent peu à peu d'élaborer des hypothèses, de comprendre des choses. Mais même au bout de 3 relectures, le mystère reste un peu trop grand : j'ai à peu près déchiffré l'intrigue globale, mais pas véritablement les détails importants (le pourquoi de ce qui s'est passé, le rapport entre le voyage du héros et tout ça et pourquoi on l'a envoyé là et pourquoi il vit tout ça...). Alors soit l'intrigue est vraiment encore plus complexe et je ne l'ai pas comprise, soit il manque véritablement ce qui permet de déchiffrer la totalité de l'intrigue et alors on reste sur sa faim avec cette histoire. On peut imaginer plein de solutions possibles, mais en fait très vite, on n'en voit plus vraiment l'intérêt. Et on préfère oublier le tout car on sait qu'on n'arrivera à rien. Bref, une BD spéciale dont il est difficile de sortir du bon.