Je serais pas aussi enthousiaste que Thanos, on passe un moment agréable à la lecture de cet album mais cette lecture est fastidieuse, les dessin font parfois un peu brouillons et on a un peu de mal à rentrer dans l'histoire.
Delestret peut nous donner des très belles planches et d'autres beaucoup moins belles où on a du mal à reconnaitre les différents personnages sinon les couleurs sont bien choisies et rendent le tout plutot sympatosche.
Pour l'histoire, faut attendre la suite, je pense, car là en 46 pages on sait pas grand chose.
Je ne conseille pas l'achat pour le moment, mieux vaut attendre le tome 2.
Brüno nous offre là une petite BD muette avec parfois des phylactères qui se résument à de simples onomatopées codées (à la façon de ce que l'auteur a si bien fait avec "Nemo").
Le dessin est toujours aussi sympathique chez Brüno avec des visages fermés, des silhouettes rondes et des dégradés de gris qui se marient parfaitement bien à cette ambiance de western façon sergio leone et ses scènes sans dialogue.
Le scénario se suit sans grande révolution, et les personnages se succèdent jusqu'à la fin hélas décevante… Même si son issue est en accord complet avec toute l'histoire …
Je n'ai lu que le tome 2 signé par Brüno mais je ne pense pas en lire d'autre tant le seul intérêt que j'ai trouvé dans cette lecture concernait justement le dessin...
Une lecture sans prétention, pas foncièrement une mauvaise BD mais pas beaucoup d'humour, pas de 2° degré, bref, vraiment pas un album indispensable, loin de là même...
Le talent de Brüno méritait peut être un plus grand format et une plus grande liberté de ton...
Mouais... d'un aire libre par Conrad, j'attendais plus que ça. L'histoire est étrange, un peu délirante, pas dans le sens où ca fait rire, non, plutôt genre on sait plus trop ce qui se passe. Les personnages ne sont pas très sympathiques, on ne sais pas trop où on va.
Il reste le dessin, bien sûr, mais il ne suffit pas lorsqu'on n'accroche pas avec le récit.
Je ne ferai pas long sur cette série parce que je n'en ai lu qu'1 (la 1ère fois) et franchement, je n'ai pas ri une seule fois. Même pas un petit sourire ou quoique ce soit du genre, rien!
Le néant.
Bon les dessins, c'est du Tronchet moche, mais fidèle à lui-même (je m'excuse, monsieur Tronchet, mais là, j'aime pas. Pourtant j'aime beaucoup Raymond Calbuth et Houppeland mais là, non, j'aime pas...).
Les "gags" ne sont vraiment pas marrants du tout, souvent vulgaires, et les rares chutes qu'on trouve parmi ces histoires entremêlées, et ben c'est du déjà vu.
Bon, étant donné que j'ai vu, je crois, 3 ou 4 trucs pas mal dans l'albums qui remonte un peu la cote, je ne mets pas 1/5.
Mais franchement, c'est du Tronchet que je n’aime pas.
Autant le premier tome était pas mal autant le second est plutôt chiant !! L'idée de base était franchement marrante, mais dans le second il part beaucoup trop dans des considérations politico-philosophiques. C'est finalement un peu répétitif et je me demandais quand j'allais pouvoir refermer cette bd ( oui je suis de nature acharnée, je vais jusqu'au bout même quand ça fait chier). Et puis repasser le programme d'histoire que je bosse comme un fou depuis 3-4 ans ça ne m'enchante pas des masses, surtout que c'est un peu facile et très gentil, finalement on dénonce et c'est tout. Bon bien sûr il y plein de trucs drôles à droite à gauche mais dans le tome 2 c'est beaucoup plus rare. Ca s'épuise un peu... Le dessin est égal à lui même, rien à en dire. Enfin voila, j'ai été déçu d'où ma sévérité peut-être. J'adore les pacush blues et le premier tome de la foire aux cochons m'avait laissé un bon souvenir, mais je me suis vraiment ennuyé en lisant le deuxième, j'avais l'impression de lire le livre noir de toutes les célébrités historiques sans plus. Dommage, vraiment dommage...
Bizarrement, le côté figé des dessins ne m'a posé aucun problème, alors que c'est le premier argument que j'avance pour expliquer que je suis incapable de lire une bd de Bilal (pas taper)...
Par contre, niveau scénario, ça ne casse pas des briques...
Déjà, originalité discutable... Mais ce n'est qu'un premier tome... Donc, admettons.
Ensuite, les péripéties s'enchaînent sans transition et, par moment, on décroche...
Mais en fait ce sont les dialogues qui m'ont posé le plus de problèmes... Je les trouve très clichés, faciles... On dirait des discours de blockbuster d'aventure, et ça ne colle pas avec l'atmosphère douce et feutrée des dessins, et le mystère des légendes celtiques... La petite fille parle comme une adulte... Et que dire de son comportement ?! C'est une surdouée, pas possible autrement !
Bref, ma note évolura peut être après lecture du tome 2 mais, pour l'instant, je me limite à un petit 2/5.
Je ne suis, à la base, pas très fan du graphisme de De Crécy. Pas évident dès lors d'apprécier ce one-shot muet au scénario complexe. C'est pas compliqué, je l'ai lu deux fois à la suite afin de commencer à comprendre quelque chose.
Techniquement, c'est très fort: De Crécy joue sur la temporalité sans que l'on sache vraiment si c'est un flash-back inséré à l'histoire ou si le temps est cyclique à la manière d'un David Lynch dans Lost Highway. L'intrigue elle-même est intéressante: un "gangster" cherche à s'emparer du doigt d'une peintre, son empreinte digitale étant le seul garant de l'authenticité des tableaux qu'elle peint.
Ce qui pèche, finalement, c'est le coeur de l'histoire et ce gigantesque ectoplasme dont je n'ai compris ni le sens ni le rôle réel. Quand De Crécy menait son "intrigue policière", aussi tordue soit-elle, j'accrochais carrément mais aussitôt parti dans cette veine plus fantastique je me suis senti perdu et désintéressé. Dommage.
Il existe une espèce de BD qui se multiplie : le scénariste pense à un métier ou à une classe sociale (prof, flic, psy, ...), à deux ou trois travers de ce métier, il crée quelques personnages biens caricaturaux, et voilà, la série est lancée.
Donc celle-ci traite des fonctionnaires. Bon, c'est pas mauvais, non. Le dessin est simple, lisible sans rien d'exceptionnel, et les gags aussi. On rit même parfois, la première fois qu'un gag apparaît. Mais à la longue, ça devient lassant...
Malgré quelques traits d'humour bien trouvés, et un dessin très adapté au propos, le premier qualificatif de cette bande dessinée est, à mon sens : cynisme imbécile.
Bon, il écrit bien Begbeider ... Très bien même, personne n'en doutait... Mais si on veut dénoncer quelque chose, il vaut mieux éviter de tomber dans l'outrancier... Le message passe nettement mieux.
Là, franchement, c'est trop... Trop blasé, trop cynique, trop démesuré pour vraiment toucher... C'est le cynisme parisianiste dans l'air du temps... Pour une bd qui s'attaque justement au cynisme parisianiste dans l'air du temps, ça fait tache... Et écrit PAR un cynique parisianiste dans l'air du temps... Bon, j'arrête !
J'ajouterai quand même que, en lisant ce livre, on ne PEUT PAS s'ôter de l'esprit que Begbeider est un maillon bien connu de cette société qu'il dénonce et que, au quotidien, ça n'a pas l'air de l'empêcher de dormir... Donc la critique fait plus penser à un coup de pub à la mode qu'à une réelle tentative de dénonciation.
2/5 pour l'originalité et les 2-3 gags qui m'ont fait sourire.
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L'Homme qui rit (Lord Clancharlie)
Je serais pas aussi enthousiaste que Thanos, on passe un moment agréable à la lecture de cet album mais cette lecture est fastidieuse, les dessin font parfois un peu brouillons et on a un peu de mal à rentrer dans l'histoire. Delestret peut nous donner des très belles planches et d'autres beaucoup moins belles où on a du mal à reconnaitre les différents personnages sinon les couleurs sont bien choisies et rendent le tout plutot sympatosche. Pour l'histoire, faut attendre la suite, je pense, car là en 46 pages on sait pas grand chose. Je ne conseille pas l'achat pour le moment, mieux vaut attendre le tome 2.
Wanted
Brüno nous offre là une petite BD muette avec parfois des phylactères qui se résument à de simples onomatopées codées (à la façon de ce que l'auteur a si bien fait avec "Nemo"). Le dessin est toujours aussi sympathique chez Brüno avec des visages fermés, des silhouettes rondes et des dégradés de gris qui se marient parfaitement bien à cette ambiance de western façon sergio leone et ses scènes sans dialogue. Le scénario se suit sans grande révolution, et les personnages se succèdent jusqu'à la fin hélas décevante… Même si son issue est en accord complet avec toute l'histoire …
Voltige et Ratatouille
Je n'ai lu que le tome 2 signé par Brüno mais je ne pense pas en lire d'autre tant le seul intérêt que j'ai trouvé dans cette lecture concernait justement le dessin... Une lecture sans prétention, pas foncièrement une mauvaise BD mais pas beaucoup d'humour, pas de 2° degré, bref, vraiment pas un album indispensable, loin de là même... Le talent de Brüno méritait peut être un plus grand format et une plus grande liberté de ton...
Le Piège Malais
Mouais... d'un aire libre par Conrad, j'attendais plus que ça. L'histoire est étrange, un peu délirante, pas dans le sens où ca fait rire, non, plutôt genre on sait plus trop ce qui se passe. Les personnages ne sont pas très sympathiques, on ne sais pas trop où on va. Il reste le dessin, bien sûr, mais il ne suffit pas lorsqu'on n'accroche pas avec le récit.
Jean-Claude Tergal
Je ne ferai pas long sur cette série parce que je n'en ai lu qu'1 (la 1ère fois) et franchement, je n'ai pas ri une seule fois. Même pas un petit sourire ou quoique ce soit du genre, rien! Le néant. Bon les dessins, c'est du Tronchet moche, mais fidèle à lui-même (je m'excuse, monsieur Tronchet, mais là, j'aime pas. Pourtant j'aime beaucoup Raymond Calbuth et Houppeland mais là, non, j'aime pas...). Les "gags" ne sont vraiment pas marrants du tout, souvent vulgaires, et les rares chutes qu'on trouve parmi ces histoires entremêlées, et ben c'est du déjà vu. Bon, étant donné que j'ai vu, je crois, 3 ou 4 trucs pas mal dans l'albums qui remonte un peu la cote, je ne mets pas 1/5. Mais franchement, c'est du Tronchet que je n’aime pas.
La Foire aux Cochons
Autant le premier tome était pas mal autant le second est plutôt chiant !! L'idée de base était franchement marrante, mais dans le second il part beaucoup trop dans des considérations politico-philosophiques. C'est finalement un peu répétitif et je me demandais quand j'allais pouvoir refermer cette bd ( oui je suis de nature acharnée, je vais jusqu'au bout même quand ça fait chier). Et puis repasser le programme d'histoire que je bosse comme un fou depuis 3-4 ans ça ne m'enchante pas des masses, surtout que c'est un peu facile et très gentil, finalement on dénonce et c'est tout. Bon bien sûr il y plein de trucs drôles à droite à gauche mais dans le tome 2 c'est beaucoup plus rare. Ca s'épuise un peu... Le dessin est égal à lui même, rien à en dire. Enfin voila, j'ai été déçu d'où ma sévérité peut-être. J'adore les pacush blues et le premier tome de la foire aux cochons m'avait laissé un bon souvenir, mais je me suis vraiment ennuyé en lisant le deuxième, j'avais l'impression de lire le livre noir de toutes les célébrités historiques sans plus. Dommage, vraiment dommage...
Korrigans
Bizarrement, le côté figé des dessins ne m'a posé aucun problème, alors que c'est le premier argument que j'avance pour expliquer que je suis incapable de lire une bd de Bilal (pas taper)... Par contre, niveau scénario, ça ne casse pas des briques... Déjà, originalité discutable... Mais ce n'est qu'un premier tome... Donc, admettons. Ensuite, les péripéties s'enchaînent sans transition et, par moment, on décroche... Mais en fait ce sont les dialogues qui m'ont posé le plus de problèmes... Je les trouve très clichés, faciles... On dirait des discours de blockbuster d'aventure, et ça ne colle pas avec l'atmosphère douce et feutrée des dessins, et le mystère des légendes celtiques... La petite fille parle comme une adulte... Et que dire de son comportement ?! C'est une surdouée, pas possible autrement ! Bref, ma note évolura peut être après lecture du tome 2 mais, pour l'instant, je me limite à un petit 2/5.
Prosopopus
Je ne suis, à la base, pas très fan du graphisme de De Crécy. Pas évident dès lors d'apprécier ce one-shot muet au scénario complexe. C'est pas compliqué, je l'ai lu deux fois à la suite afin de commencer à comprendre quelque chose. Techniquement, c'est très fort: De Crécy joue sur la temporalité sans que l'on sache vraiment si c'est un flash-back inséré à l'histoire ou si le temps est cyclique à la manière d'un David Lynch dans Lost Highway. L'intrigue elle-même est intéressante: un "gangster" cherche à s'emparer du doigt d'une peintre, son empreinte digitale étant le seul garant de l'authenticité des tableaux qu'elle peint. Ce qui pèche, finalement, c'est le coeur de l'histoire et ce gigantesque ectoplasme dont je n'ai compris ni le sens ni le rôle réel. Quand De Crécy menait son "intrigue policière", aussi tordue soit-elle, j'accrochais carrément mais aussitôt parti dans cette veine plus fantastique je me suis senti perdu et désintéressé. Dommage.
Les Fonctionnaires
Il existe une espèce de BD qui se multiplie : le scénariste pense à un métier ou à une classe sociale (prof, flic, psy, ...), à deux ou trois travers de ce métier, il crée quelques personnages biens caricaturaux, et voilà, la série est lancée. Donc celle-ci traite des fonctionnaires. Bon, c'est pas mauvais, non. Le dessin est simple, lisible sans rien d'exceptionnel, et les gags aussi. On rit même parfois, la première fois qu'un gag apparaît. Mais à la longue, ça devient lassant...
Rester Normal
Malgré quelques traits d'humour bien trouvés, et un dessin très adapté au propos, le premier qualificatif de cette bande dessinée est, à mon sens : cynisme imbécile. Bon, il écrit bien Begbeider ... Très bien même, personne n'en doutait... Mais si on veut dénoncer quelque chose, il vaut mieux éviter de tomber dans l'outrancier... Le message passe nettement mieux. Là, franchement, c'est trop... Trop blasé, trop cynique, trop démesuré pour vraiment toucher... C'est le cynisme parisianiste dans l'air du temps... Pour une bd qui s'attaque justement au cynisme parisianiste dans l'air du temps, ça fait tache... Et écrit PAR un cynique parisianiste dans l'air du temps... Bon, j'arrête ! J'ajouterai quand même que, en lisant ce livre, on ne PEUT PAS s'ôter de l'esprit que Begbeider est un maillon bien connu de cette société qu'il dénonce et que, au quotidien, ça n'a pas l'air de l'empêcher de dormir... Donc la critique fait plus penser à un coup de pub à la mode qu'à une réelle tentative de dénonciation. 2/5 pour l'originalité et les 2-3 gags qui m'ont fait sourire.