Albums de gags muets en une image, cette série humoristique ne m'a pas franchement fait rire. Ca ne vole jamais haut, ça tourne parfois au simple exhibitionnisme animal ou à la "franche enc... empoignade entre amis", bref ce n'est pas très drôle. Bon, globalement, ce n'est pas détestable, l'auteur est sincère et a sincèrement cherché à faire rire. On sourit quelque fois mais ça ne suffit pas à me faire vous conseiller la lecture de cette BD.
En 70 pages, je dois admettre que certains gags m'ont fait sourire et 1 m'a fait rigoler (je l'ai d'ailleurs mis dans la galerie : c'est celui avec la girafe).
Mais pour le reste, c'est du style typique de Reiser : un peu cynique, pas mal d'humour noir, un peu de trash et... et ici, pas franchement d'humour j'ai trouvé. Ce n'est pas vraiment drôle, pas vraiment percutant : rien d'exceptionnel, donc, sans être déplaisant pour autant.
Dès le premier coup d'oeil, on voit que Crepax est plus un habitué de l'érotisme pur qu'autre chose : ses femmes sont tout en finesse, tout en jambes, souvent dénudées, lassives. Et Valentina, c'est tout du long une douce sinusoïde entre érotisme, sensualité, fantastique, onirique, roman graphique : totalement inclassable, donc.
Mais je dois avouer ne pas avoir franchement aimé.
Déjà, le côté érotique, ce n'est pas ma tasse de thé.
Mais en outre, toute la BD est complètement teintée de style soixante-huitard, psychédélique, sensuel et délirant. Les planches en sont le reflet, fouillis, tordues, ultra-denses. C'est une esthétique particulière, une esthétique que je n'aime pas. Je n'arrive pas à déchiffrer le tout : trop fouillis, partant trop dans tous les sens, tant au niveau du dessin que du scénario.
Car oui, le scénario est tout aussi fou, un peu provocateur, délirant, parfois ouvertement fantastique ou SF.
C'est... c'est une curiosité, une BD référence des années 70.
Feuilletez-la si vous la trouvez, mais je n'en conseille ni la lecture prolongée ni l'achat.
Cette série est faite par un informaticien pour les informaticiens. Les gags ne vous toucheront pas du tout si vous n'y connaissez rien en informatique (ce qui ne devrait pas être le cas si vous lisez ceci sur le net). Ca date un peu (première moitié des années 90) mais la plupart des gags n'ont pas trop vieilli, informatiquement parlant.
L'auteur est un illustrateur humoristique dans plusieurs magazines informatiques et journaux. Et il a également sorti avec cette série-là (mais il a fait édité d'autres BDs du même style) un recueil de gags sans doute publiés dans un de ces journaux (le Monde Informatique, je crois).
Le dessin est tout simple, le style classique de strips ou de petites BDs d'humour sans prétention.
Maintenant, l'ennui, c'est que moi aussi, je touche un peu en informatique et... franchement je n'ai pas rigolé du tout. Non pas que je me sente visé ou quoi que ce soit, mais au contraire, je n'ai pas été touché du tout. Je n'ai tout simplement pas trouvé ça drôle. Enfin si, j'ai bien souri quelques fois quand même, n'exagérons rien : l'auteur a de l'humour et ça se ressent. Mais il n'a pas su pour moi vraiment mettre en forme son humour de manière universelle et intemporelle, quelque chose qui me ferait rire moi, maintenant, 10 ans après la publication de ces BDs. Ou alors, je pense que ce n'est tout simplement pas mon genre d'humour.
Et comme le dessin n'a rien d'exceptionnel, ben j'ai trouvé cette série très dispensable, hélas.
Bof bof bof...
Bon, l'idée de base est assez originale (quoiqu'évidemment, ça rappelle à fond Pierre Tombal), les dessins de Hardy collent bien avec ça, c'est assez délirant et... et c'est de l'humour noir la plupart du temps donc ça devrait me plaire...
Mais pourtant non. Franchement, pas la moindre planche ne m'a fait rire, ni même sourire. Je ne sais pas pourquoi (d'habitude, Yann est un auteur que j'aime beaucoup) mais je n'ai pas du tout accroché à cette série.
Enfin je l'ai lu !
Après m'être cassé les dents sur From Hell et V pour Vendetta, j'avais quand même envie de lire ce que tout le monde s'accorde à appeler un véritable chef-d'oeuvre.
Ma déception a une fois encore été de taille !
Alors non, ce n'est pas nul, non non, certains passages sont même assez sympas, mais ces passages baignent dans un océan de blabla à la noix, plus soporifique qu'intéressant.
Je ne compte pas les soupirs d'impatience pendant la lecture de cette énorme intégrale, j'attendais que ça démarre enfin ! Mais non, j'ai vite compris que ce rythme mou était la vitesse de croisière de cette série.
Les (super)héros sont assez kitch dans l'ensemble. Ya bien Rorschach qui a une personnalité assez travaillée, mais sinon, le hibou, Jon, le comédien et les autres me font penser à JF Hollande et son charisme de flan. Moui ok, c'est vieux comme BD, c'est une simple explication de ce kitch, pas une excuse...
Allez, je ne parle même pas du dessin et des couleurs, l'intérêt de la BD n'est pas là.
Je trouve que cet album n'est ni très bon ni très mauvais. Il plante juste le décor pour une série qui peut bien partir.
Je trouve le dessin sympathique, mais les couleurs sont un peu froides.
Pour l'histoire, une enfant perdue qui rejoint l’équipage du Capitaine Crochet pour apprendre la piraterie et en savoir plus sur son père, c'est un sujet bateau (AHA ! Non je n'ai pas honte de ce calembour minable). C'est un sujet bateau, donc, mais qui laisse présager une série intéressante pour quiconque apprécie le genre de la piraterie.
Attendez quand même la suite avant de l'acheter, la série peut quand même mal tourner (pourvu que non...).
poum poum, le deuxième tome est sorti et .......heuuuuu, bon, le niveau baisse dangereusement, là.
Tout la magie qui émanait du thème de la piraterie est belle et bien envolée, le scénario est de moins en moins crédible surtout en ce qui concerne les sentiments d'"oreilles pointues" envers le méchant-gentil capitaine.
Rêves-je (ça se dit?) ou les seins de la petite grossissent de page en page? Non, pasque moi je veu bien me rincer l'oeil mais faut pas exagérer, avec des seins comme ça j'en perd l'envie!
Bah. J'aime plutôt bien les Requins Marteaux, mais là je ne comprends tout simplement pas l'intérêt de cet album. Il raconte très platement la vie de deux soeurs siamoises... Je suppose que c'est de l'humour sauf que non seulement à aucun moment je n'ai ri, mais en plus je n'ai même pas vu où on était supposés rire... Le seul passage vaguement amusant, c'est le tigre qui a pris une potion aphrodisiaque et dont le dompteur va faire les frais, mais cette scène ne fonctionne pas plus que le reste de l'album.
Reste le dessin de Witko, parfois savoureux et drôle dans ses expressions et attitudes, mais c'est vraiment tout...
Cet album a un petit intérêt historique en regard de l'auteur (voir la postface à ce sujet), mais c'est à peu près tout. L'humour est assez irrévérencieux, comme à l'habitude de Reiser, mais il n'en est pas pour autant savoureux. La plupart des "gags" tombent à plat, soit que leur fin ne soit pas percutante, soit tout simplement que le sujet choisi ne soit vraiment pas drôle...
Bref, dans les autres Reiser il y a bien mieux.
Je ne connaissais pas Toppi, aussi mon avis en sera-t-il forcément influencé.
Le dessin de Toppi fait montre d'une qualité appréciable, c'est certain. Une sorte de charme s'en dégage, les couleurs sont très belles à leur manière, et la mise en page est parfois vraiment plaisante, originale juste ce qu'il faut pour surprendre agréablement sans dérouter ou être pesante. Mais de même que pour Battaglia, ce dessin me semble tout de même mieux convenir à de l'illustration qu'à de la bande dessinée...
Là où le bât blesse, c'est l'histoire. Bien sûr on peut s'amuser à dégager le thème du destin et du libre arbitre, dire que Potosi en voulant suivre sa destinée qui lui avait été annoncée a manqué de belles opportunités et par extension une autre vie...
Mais la lecture en tant que telle révèle surtout un album d'aventure qui me paraît peu développé (tout est très rapide, résumé au maximum ou presque) et assez convenu dans son propos...
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La Saison des Amours
Albums de gags muets en une image, cette série humoristique ne m'a pas franchement fait rire. Ca ne vole jamais haut, ça tourne parfois au simple exhibitionnisme animal ou à la "franche enc... empoignade entre amis", bref ce n'est pas très drôle. Bon, globalement, ce n'est pas détestable, l'auteur est sincère et a sincèrement cherché à faire rire. On sourit quelque fois mais ça ne suffit pas à me faire vous conseiller la lecture de cette BD.
Saison des amours
En 70 pages, je dois admettre que certains gags m'ont fait sourire et 1 m'a fait rigoler (je l'ai d'ailleurs mis dans la galerie : c'est celui avec la girafe). Mais pour le reste, c'est du style typique de Reiser : un peu cynique, pas mal d'humour noir, un peu de trash et... et ici, pas franchement d'humour j'ai trouvé. Ce n'est pas vraiment drôle, pas vraiment percutant : rien d'exceptionnel, donc, sans être déplaisant pour autant.
Valentina
Dès le premier coup d'oeil, on voit que Crepax est plus un habitué de l'érotisme pur qu'autre chose : ses femmes sont tout en finesse, tout en jambes, souvent dénudées, lassives. Et Valentina, c'est tout du long une douce sinusoïde entre érotisme, sensualité, fantastique, onirique, roman graphique : totalement inclassable, donc. Mais je dois avouer ne pas avoir franchement aimé. Déjà, le côté érotique, ce n'est pas ma tasse de thé. Mais en outre, toute la BD est complètement teintée de style soixante-huitard, psychédélique, sensuel et délirant. Les planches en sont le reflet, fouillis, tordues, ultra-denses. C'est une esthétique particulière, une esthétique que je n'aime pas. Je n'arrive pas à déchiffrer le tout : trop fouillis, partant trop dans tous les sens, tant au niveau du dessin que du scénario. Car oui, le scénario est tout aussi fou, un peu provocateur, délirant, parfois ouvertement fantastique ou SF. C'est... c'est une curiosité, une BD référence des années 70. Feuilletez-la si vous la trouvez, mais je n'en conseille ni la lecture prolongée ni l'achat.
Y a un bug !
Cette série est faite par un informaticien pour les informaticiens. Les gags ne vous toucheront pas du tout si vous n'y connaissez rien en informatique (ce qui ne devrait pas être le cas si vous lisez ceci sur le net). Ca date un peu (première moitié des années 90) mais la plupart des gags n'ont pas trop vieilli, informatiquement parlant. L'auteur est un illustrateur humoristique dans plusieurs magazines informatiques et journaux. Et il a également sorti avec cette série-là (mais il a fait édité d'autres BDs du même style) un recueil de gags sans doute publiés dans un de ces journaux (le Monde Informatique, je crois). Le dessin est tout simple, le style classique de strips ou de petites BDs d'humour sans prétention. Maintenant, l'ennui, c'est que moi aussi, je touche un peu en informatique et... franchement je n'ai pas rigolé du tout. Non pas que je me sente visé ou quoi que ce soit, mais au contraire, je n'ai pas été touché du tout. Je n'ai tout simplement pas trouvé ça drôle. Enfin si, j'ai bien souri quelques fois quand même, n'exagérons rien : l'auteur a de l'humour et ça se ressent. Mais il n'a pas su pour moi vraiment mettre en forme son humour de manière universelle et intemporelle, quelque chose qui me ferait rire moi, maintenant, 10 ans après la publication de ces BDs. Ou alors, je pense que ce n'est tout simplement pas mon genre d'humour. Et comme le dessin n'a rien d'exceptionnel, ben j'ai trouvé cette série très dispensable, hélas.
Croqu' la vie
Bof bof bof... Bon, l'idée de base est assez originale (quoiqu'évidemment, ça rappelle à fond Pierre Tombal), les dessins de Hardy collent bien avec ça, c'est assez délirant et... et c'est de l'humour noir la plupart du temps donc ça devrait me plaire... Mais pourtant non. Franchement, pas la moindre planche ne m'a fait rire, ni même sourire. Je ne sais pas pourquoi (d'habitude, Yann est un auteur que j'aime beaucoup) mais je n'ai pas du tout accroché à cette série.
Watchmen
Enfin je l'ai lu ! Après m'être cassé les dents sur From Hell et V pour Vendetta, j'avais quand même envie de lire ce que tout le monde s'accorde à appeler un véritable chef-d'oeuvre. Ma déception a une fois encore été de taille ! Alors non, ce n'est pas nul, non non, certains passages sont même assez sympas, mais ces passages baignent dans un océan de blabla à la noix, plus soporifique qu'intéressant. Je ne compte pas les soupirs d'impatience pendant la lecture de cette énorme intégrale, j'attendais que ça démarre enfin ! Mais non, j'ai vite compris que ce rythme mou était la vitesse de croisière de cette série. Les (super)héros sont assez kitch dans l'ensemble. Ya bien Rorschach qui a une personnalité assez travaillée, mais sinon, le hibou, Jon, le comédien et les autres me font penser à JF Hollande et son charisme de flan. Moui ok, c'est vieux comme BD, c'est une simple explication de ce kitch, pas une excuse... Allez, je ne parle même pas du dessin et des couleurs, l'intérêt de la BD n'est pas là.
Dread Mac Farlane
Je trouve que cet album n'est ni très bon ni très mauvais. Il plante juste le décor pour une série qui peut bien partir. Je trouve le dessin sympathique, mais les couleurs sont un peu froides. Pour l'histoire, une enfant perdue qui rejoint l’équipage du Capitaine Crochet pour apprendre la piraterie et en savoir plus sur son père, c'est un sujet bateau (AHA ! Non je n'ai pas honte de ce calembour minable). C'est un sujet bateau, donc, mais qui laisse présager une série intéressante pour quiconque apprécie le genre de la piraterie. Attendez quand même la suite avant de l'acheter, la série peut quand même mal tourner (pourvu que non...). poum poum, le deuxième tome est sorti et .......heuuuuu, bon, le niveau baisse dangereusement, là. Tout la magie qui émanait du thème de la piraterie est belle et bien envolée, le scénario est de moins en moins crédible surtout en ce qui concerne les sentiments d'"oreilles pointues" envers le méchant-gentil capitaine. Rêves-je (ça se dit?) ou les seins de la petite grossissent de page en page? Non, pasque moi je veu bien me rincer l'oeil mais faut pas exagérer, avec des seins comme ça j'en perd l'envie!
Le Procès des soeurs March
Bah. J'aime plutôt bien les Requins Marteaux, mais là je ne comprends tout simplement pas l'intérêt de cet album. Il raconte très platement la vie de deux soeurs siamoises... Je suppose que c'est de l'humour sauf que non seulement à aucun moment je n'ai ri, mais en plus je n'ai même pas vu où on était supposés rire... Le seul passage vaguement amusant, c'est le tigre qui a pris une potion aphrodisiaque et dont le dompteur va faire les frais, mais cette scène ne fonctionne pas plus que le reste de l'album. Reste le dessin de Witko, parfois savoureux et drôle dans ses expressions et attitudes, mais c'est vraiment tout...
La Famille Oboulot en vacances
Cet album a un petit intérêt historique en regard de l'auteur (voir la postface à ce sujet), mais c'est à peu près tout. L'humour est assez irrévérencieux, comme à l'habitude de Reiser, mais il n'en est pas pour autant savoureux. La plupart des "gags" tombent à plat, soit que leur fin ne soit pas percutante, soit tout simplement que le sujet choisi ne soit vraiment pas drôle... Bref, dans les autres Reiser il y a bien mieux.
La légende de Potosi
Je ne connaissais pas Toppi, aussi mon avis en sera-t-il forcément influencé. Le dessin de Toppi fait montre d'une qualité appréciable, c'est certain. Une sorte de charme s'en dégage, les couleurs sont très belles à leur manière, et la mise en page est parfois vraiment plaisante, originale juste ce qu'il faut pour surprendre agréablement sans dérouter ou être pesante. Mais de même que pour Battaglia, ce dessin me semble tout de même mieux convenir à de l'illustration qu'à de la bande dessinée... Là où le bât blesse, c'est l'histoire. Bien sûr on peut s'amuser à dégager le thème du destin et du libre arbitre, dire que Potosi en voulant suivre sa destinée qui lui avait été annoncée a manqué de belles opportunités et par extension une autre vie... Mais la lecture en tant que telle révèle surtout un album d'aventure qui me paraît peu développé (tout est très rapide, résumé au maximum ou presque) et assez convenu dans son propos...