Bah que dire ?
Je m'en voudrais presque de mettre une mauvaise note à la petite ( euh en fait non ! ) mais franchement...
Déja le dessin est moche et il évolue pas ( donc il reste moche ) et si certaines histoires peuvent être pas mal trouvées c'est comme "le Chat" il y a du bon comme du mauvais.
Il faut faire le tri.
Mais sur 12 albums avec des gags en une ligne, ça devient vite lourd.
Alors encore une fois, ça se lit dans le journal télé mais c'est tout !
Sans être un ratage, ce minuscule album n'offre tout de même qu'un intérêt très limité il faut bien le dire. Les dessins sont de qualité et servent une histoire certes basique et très courte mais pas plus tarte qu'une autre. Le problème, c'est que ça se finit en moins d'une minute. Tout l'album tiendrait en une ou deux planches grand format ; payer 3 euros pour ça, c'est un peu de l'arnaque. Ce genre de BD gagnerait à mon avis à être publiée dans des recueils, ce qui permettrait au passage de faire découvrir plusieurs auteurs d'un coup, plutôt que d'être publiée sous forme d'album de la collection Patte de Mouche qui, du coup, sont plutôt réservés aux fans qui connaissent déjà l'auteur et veulent à tout prix posséder tout ce qu'il a fait. Enfin bon, moi, c'que j'en dis, hein...
(Ciel, un manga érotique que Don Lope n'a pas lu ??)
J'ai récupéré les trois tomes de ce manga "par hasard", après avoir lu sur BDThèque que ce n'était pas mal dans le genre. Je le dis tout de suite, j'ai eu du mal à faire autre chose de plus qu'à le feuilleter assez négligemment. Je ne suis vraiment pas fan du tout des mangas érotiques, tant pour les dessins que pour les scénarios.
A la décharge de Hot Tails, il faut avouer que les petites histoires contenues là-dedans sont assez originales et diversifiées (ça va du fantasme presque simple de faire l'amour dans une cabine téléphonique à des histoires mêlées d'heroïc-fantasy et de démons). Mais franchement, ça manque de finesse et de quelque chose qui rendrait vraiment le tout excitant. Les intrigues sont sans finesse, ça fonce directement au cul, ça devient hard sans prendre le temps d'émoustiller un lecteur un tant soit peu adulte, et puis ensuite ça n'a plus rien de vraiment excitant, juste de l'exhibitionnisme mouillé et giclant.
Pas fantastique dans le genre, quoi, juste un peu original au niveau des différents scénarios, encore que...
Réédition d’un récit court paru en 1965 dans Spirou, ce petit album nous dévoile un à-côté de la série-star de Kiko (à l’époque), qui était Foufi. Toujours dans l’univers des Mille et une Nuits, cette petite histoire de fakir se révèle tout juste distrayante, malgré le talent (graphique) de Kiko, et les débuts de Lucien De Gieter (Papyrus).
"Che" est un bouquin formellement intéressant et très novateur pour l'époque (superposition de styles, des dessins presque photographiques parfois). Mais le tout est difficile à lire, presque sale parfois, un peu ennuyeux pour quelqu'un qui connait assez bien l'histoire du Che.
Le sujet fort mais hyper convenu: la part d'ombre du personnage est un peu absente et on parle peu de la déception et du fait que sa révolution s'est faite bouffer par le pouvoir. Je comprends que cette BD soit considérée comme culte vu le sujet, la date de parution, le sort tragique du scénariste et la portée politique du bouquin. Mais il y a quelque chose qui ne passe pas: je me suis ennuyé et je n'ai pas eu l'impression d'apprendre quoi que ce soit.
(Dessin : 3.5/5, Scénario : 1/5)
Je trouve le dessin de cette BD excellent et c'est pourquoi je ne peux me résoudre à vraiment casser sa note malgré son scénario que comme Patrick je trouve inexistant.
Les couleurs, les décors, les formes, tout me paraît franchement excellent dans le dessin de ces pages. Seuls les personnages me rebutent : le dessinateur a choisi de les faire délibérément enfantins, simplifiés, aux visages en forme de briques. Juste les personnages donnent un aspect presque amateur au dessin alors que le reste est presque parfait pour ce type de BD, du moins à mes yeux.
Par contre, maintenant côté scénario, ce n'est franchement pas ça. Non seulement l'histoire est inintéressante au possible : boum nos deux héros arrivent, boum ils combattent des zombies, une petite course, de nouveaux combats, une infiltration dans une lagune chez les méchants, nouveaux combats, et grâce aux pouvoirs infinis de la petite fille tout est gagné sans aucun suspense, les méchantes sorcières ont perdu. L'histoire est franchement nulle. Mais surtout en plus, le rythme et la narration sont vraiment ratées.
A vrai dire, j'ai plus regardé cette BD comme une suite d'images sympas, ne réussissant à aucun moment à entrer dans l'histoire, ni dans l'action, ni à apprécier quoi que ce soit de ses dialogues et personnages.
Le dessinateur de cette BD a cependant à mes yeux un bon avenir dans ce domaine.
Une étoile en bonus pour le dessin qui est souvent très beau tout au long de ces 3 tomes...
Mais c'est tout ce qu'il y a à garder dans cette série, le scénar est forcément primaire (du cul du cul du cul, et un semblant d'aventure) et proche de la débilité.
Et puis j'apprécie vraiment "très moyennement" les scènes d'inceste, et le scènes avec les monstres. Ca vous excite les nanas qui se transforment en streum en baisant leur mère ? Moi pas.
Mais ce dessin...
Kafkaïen, c'est exactement le mot. Cette gare forme un monde clos, absurde, fou, presque tout entier dirigé contre le personnage principal.
Au début de la BD, je partais sur un bon a priori : le dessin me plaisait bien, les perspectives, les personnages, les vues bancales, etc... Je trouvais ça sympa et puis la narration n'était pas désagréable.
L'histoire se comprend assez vite (et n'est finalement pas tellement originale dans son concept) mais aurait pu être pas mal. L'ennui, c'est que ça s'éternise : les péripéties s'accumulent, toujours le même absurde, toujours la même folie, et cette errance sans résultat du héros. Et au bout de la moitié de l'album, je m'ennuyais, attendant un dénouement, un changement, une fin. Et cette fin n'a pas eu grand chose d'étonnant, rien de palpitant ni de bouleversant.
Une BD qui m'a laissé froid et m'a même plutôt ennuyé.
Je me suis plutôt fait chier en lisant cette BD...
Passons assez vite sur le dessin : il est relativement sympa, j'aime bien la technique utilisée (encre ?) et les personnages et décors simples (quoique je trouve l'homme du couple assez moche mais ça ne vient pas spécifiquement du dessin, plus de son physique).
Maintenant, pour le reste, ce sont des discussions sur tout et rien, sur la vie, sur les gens, sur l'amour, etc... Les deux héros sont désabusés, regardent le monde, le jugent, se regardent, se jugent, se posent des questions... Au début, je ne pensais pas que ça allait être une suite d'histoires-"gags" en une planche : la chute des 2-3 premières pages m'avait laissé tellement de marbre que je n'imaginais pas que ce soit une fin en soi pour chacune de ces planches. Les discussions sont à mon goût rarement intéressantes, rarement prenantes, très rarement amusantes. J'ai dû sourire 2 ou 3 fois, voire me gausser une fois dans un grognement sarcastique, mais le reste du temps, j'ai lu les autres pages avec un certain ennui et un désintéressement pour les personnages et leurs visions de la vie.
Bref, une BD qui ne m'a pas franchement plu.
Quasar fut l'une des premières séries (créée en 1982) de Chris Lamquet. On y voit beaucoup de maladresses, mais aussi la quintessence de ce qui fera l'essentiel de son oeuvre plus tard : de nouvelles formes de vie, les nouvelles technologies... Son dessin était déjà affirmé, mais ses scénarios manquaient alors cruellement de mordant.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Mafalda
Bah que dire ? Je m'en voudrais presque de mettre une mauvaise note à la petite ( euh en fait non ! ) mais franchement... Déja le dessin est moche et il évolue pas ( donc il reste moche ) et si certaines histoires peuvent être pas mal trouvées c'est comme "le Chat" il y a du bon comme du mauvais. Il faut faire le tri. Mais sur 12 albums avec des gags en une ligne, ça devient vite lourd. Alors encore une fois, ça se lit dans le journal télé mais c'est tout !
La douane
Sans être un ratage, ce minuscule album n'offre tout de même qu'un intérêt très limité il faut bien le dire. Les dessins sont de qualité et servent une histoire certes basique et très courte mais pas plus tarte qu'une autre. Le problème, c'est que ça se finit en moins d'une minute. Tout l'album tiendrait en une ou deux planches grand format ; payer 3 euros pour ça, c'est un peu de l'arnaque. Ce genre de BD gagnerait à mon avis à être publiée dans des recueils, ce qui permettrait au passage de faire découvrir plusieurs auteurs d'un coup, plutôt que d'être publiée sous forme d'album de la collection Patte de Mouche qui, du coup, sont plutôt réservés aux fans qui connaissent déjà l'auteur et veulent à tout prix posséder tout ce qu'il a fait. Enfin bon, moi, c'que j'en dis, hein...
Hot Tails
(Ciel, un manga érotique que Don Lope n'a pas lu ??) J'ai récupéré les trois tomes de ce manga "par hasard", après avoir lu sur BDThèque que ce n'était pas mal dans le genre. Je le dis tout de suite, j'ai eu du mal à faire autre chose de plus qu'à le feuilleter assez négligemment. Je ne suis vraiment pas fan du tout des mangas érotiques, tant pour les dessins que pour les scénarios. A la décharge de Hot Tails, il faut avouer que les petites histoires contenues là-dedans sont assez originales et diversifiées (ça va du fantasme presque simple de faire l'amour dans une cabine téléphonique à des histoires mêlées d'heroïc-fantasy et de démons). Mais franchement, ça manque de finesse et de quelque chose qui rendrait vraiment le tout excitant. Les intrigues sont sans finesse, ça fonce directement au cul, ça devient hard sans prendre le temps d'émoustiller un lecteur un tant soit peu adulte, et puis ensuite ça n'a plus rien de vraiment excitant, juste de l'exhibitionnisme mouillé et giclant. Pas fantastique dans le genre, quoi, juste un peu original au niveau des différents scénarios, encore que...
Ali-Bibi le petit fakir
Réédition d’un récit court paru en 1965 dans Spirou, ce petit album nous dévoile un à-côté de la série-star de Kiko (à l’époque), qui était Foufi. Toujours dans l’univers des Mille et une Nuits, cette petite histoire de fakir se révèle tout juste distrayante, malgré le talent (graphique) de Kiko, et les débuts de Lucien De Gieter (Papyrus).
Che
"Che" est un bouquin formellement intéressant et très novateur pour l'époque (superposition de styles, des dessins presque photographiques parfois). Mais le tout est difficile à lire, presque sale parfois, un peu ennuyeux pour quelqu'un qui connait assez bien l'histoire du Che. Le sujet fort mais hyper convenu: la part d'ombre du personnage est un peu absente et on parle peu de la déception et du fait que sa révolution s'est faite bouffer par le pouvoir. Je comprends que cette BD soit considérée comme culte vu le sujet, la date de parution, le sort tragique du scénariste et la portée politique du bouquin. Mais il y a quelque chose qui ne passe pas: je me suis ennuyé et je n'ai pas eu l'impression d'apprendre quoi que ce soit.
Professeur Stigmatus
(Dessin : 3.5/5, Scénario : 1/5) Je trouve le dessin de cette BD excellent et c'est pourquoi je ne peux me résoudre à vraiment casser sa note malgré son scénario que comme Patrick je trouve inexistant. Les couleurs, les décors, les formes, tout me paraît franchement excellent dans le dessin de ces pages. Seuls les personnages me rebutent : le dessinateur a choisi de les faire délibérément enfantins, simplifiés, aux visages en forme de briques. Juste les personnages donnent un aspect presque amateur au dessin alors que le reste est presque parfait pour ce type de BD, du moins à mes yeux. Par contre, maintenant côté scénario, ce n'est franchement pas ça. Non seulement l'histoire est inintéressante au possible : boum nos deux héros arrivent, boum ils combattent des zombies, une petite course, de nouveaux combats, une infiltration dans une lagune chez les méchants, nouveaux combats, et grâce aux pouvoirs infinis de la petite fille tout est gagné sans aucun suspense, les méchantes sorcières ont perdu. L'histoire est franchement nulle. Mais surtout en plus, le rythme et la narration sont vraiment ratées. A vrai dire, j'ai plus regardé cette BD comme une suite d'images sympas, ne réussissant à aucun moment à entrer dans l'histoire, ni dans l'action, ni à apprécier quoi que ce soit de ses dialogues et personnages. Le dessinateur de cette BD a cependant à mes yeux un bon avenir dans ce domaine.
Hilda
Une étoile en bonus pour le dessin qui est souvent très beau tout au long de ces 3 tomes... Mais c'est tout ce qu'il y a à garder dans cette série, le scénar est forcément primaire (du cul du cul du cul, et un semblant d'aventure) et proche de la débilité. Et puis j'apprécie vraiment "très moyennement" les scènes d'inceste, et le scènes avec les monstres. Ca vous excite les nanas qui se transforment en streum en baisant leur mère ? Moi pas. Mais ce dessin...
Gare centrale
Kafkaïen, c'est exactement le mot. Cette gare forme un monde clos, absurde, fou, presque tout entier dirigé contre le personnage principal. Au début de la BD, je partais sur un bon a priori : le dessin me plaisait bien, les perspectives, les personnages, les vues bancales, etc... Je trouvais ça sympa et puis la narration n'était pas désagréable. L'histoire se comprend assez vite (et n'est finalement pas tellement originale dans son concept) mais aurait pu être pas mal. L'ennui, c'est que ça s'éternise : les péripéties s'accumulent, toujours le même absurde, toujours la même folie, et cette errance sans résultat du héros. Et au bout de la moitié de l'album, je m'ennuyais, attendant un dénouement, un changement, une fin. Et cette fin n'a pas eu grand chose d'étonnant, rien de palpitant ni de bouleversant. Une BD qui m'a laissé froid et m'a même plutôt ennuyé.
Farniente
Je me suis plutôt fait chier en lisant cette BD... Passons assez vite sur le dessin : il est relativement sympa, j'aime bien la technique utilisée (encre ?) et les personnages et décors simples (quoique je trouve l'homme du couple assez moche mais ça ne vient pas spécifiquement du dessin, plus de son physique). Maintenant, pour le reste, ce sont des discussions sur tout et rien, sur la vie, sur les gens, sur l'amour, etc... Les deux héros sont désabusés, regardent le monde, le jugent, se regardent, se jugent, se posent des questions... Au début, je ne pensais pas que ça allait être une suite d'histoires-"gags" en une planche : la chute des 2-3 premières pages m'avait laissé tellement de marbre que je n'imaginais pas que ce soit une fin en soi pour chacune de ces planches. Les discussions sont à mon goût rarement intéressantes, rarement prenantes, très rarement amusantes. J'ai dû sourire 2 ou 3 fois, voire me gausser une fois dans un grognement sarcastique, mais le reste du temps, j'ai lu les autres pages avec un certain ennui et un désintéressement pour les personnages et leurs visions de la vie. Bref, une BD qui ne m'a pas franchement plu.
Quasar
Quasar fut l'une des premières séries (créée en 1982) de Chris Lamquet. On y voit beaucoup de maladresses, mais aussi la quintessence de ce qui fera l'essentiel de son oeuvre plus tard : de nouvelles formes de vie, les nouvelles technologies... Son dessin était déjà affirmé, mais ses scénarios manquaient alors cruellement de mordant.