Bon, les mecs, 'faut arrêter de fréquenter Jodorowsky, hein. Ou alors il fume trop le jaja, le père Bess. Parce que, excusez-moi, mais cet album n'a aucun intérêt. Du moins sur le plan de l'histoire. Des délires métaphysiques voire éthyliques même pas drôles ; enfin si, j'ai souri avec l'histoire des pierres qui parlent. Mais pour le reste, circulez, il n'y a rien à voir. A part le dessin de Bess, qui reste très très bon, toujours fidèle à l'école Moebius.
Moui bof...
Je n'ai jamais beaucoup aimé, même plus jeune...
Je ne la conseillerais donc pas.
Toutefois il y avait parfois (rarement tout de même) de bonnes idées, mais la forme limitant les gags possibles, et l'univers se prêtant finalement assez mal à ce genre de bd, le résultat est plus que moyen.
Bizarre.
Tout d’abord je n’adhère pas du tout au dessin.
C’est vraiment pas mon truc.
Maintenant, tout en concédant l’originalité de l’histoire et le fait qu’elle soit aussi fouillée et que l’univers soit aussi bien décrit, c’est une série qui m’a globalement barbé.
Je veux bien reconnaître de bonne fois que c’est du bon boulot mais je m’y suis ennuyé.
De là à dire que j’ai même préféré Last….8-)
C'est clair que j'ai acheté cet album parce que JD Morvan est au scénar, sinon, je ne sais pas si j'aurais été très emballé.
C'est la première fois que je tombe sur un T1 de JDM que je n'aime pas, et qui ne me donne moyen envie de lire la suite. Alors bien sûr, c'est bien écrit, l'histoire est assez carrée, bien menée, mais c'est vraiment le fond de l'histoire qui m'a déplu. Je n'ai pas réussi à m'intéresser à ces Drôles de Dames du futur, tout me parait trop facile, trop simple.
Pourtant, je compte bien lire le tome suivant, JDM a suffisament de talent pour rendre cette série intéressante.
C'est un peu pareil pour le dessin. Si je voulais être concis, je dirais qu'il est "bien mais pas top". Les influences américaines ne sont pas cachées, mais ne me semblent pas encore digérées. Le résultat est plutôt agréable, mais clairement améliorable, donc là encore, à suivre...
Je n'ai rien contre les idées bateaux quand elles sont bien exploitées, mais ce n'est pas le cas ici je trouve.
C'est banal, et ça reste banal du début à la fin. Alors forcément, ça devient vite fatigant, sans être chiant pour autant.
Le dessin est assez quelconque, mais plutôt bien foutu, avec une mise en page et des cadrages qui n'ont pas de réels défauts (c'est même assez bon, soyons honnêtes) ;
mais vraiment, le coup de l'appareil photo miracle, j'ai du mal pour le moment. Faudra voir avec le 2e tome pour savoir si un intéret réel débarque à l'improviste dans cette série :)
Ben moi, je m'arrête au 2. Je ne vois rien d'autre qui puisse me pousser à continuer.
Côté scénario, c'est un empilement de gags pseudo-féministes plein de clichés et pas drôles, ou encore les problèmes existentiels d'une joli blonde amoureuse de sa meilleure copine, la brune, alors qu'un jeune homme charmant est amoureux d'elle. Alors là, dis donc, c'est pas de chance ! La brune, pour sa part, ne sait pas, si elle couche, si elle couche pas (à 25 ans quand même), si l'immonde salaud avec qui elle est l'aime pour ce qu'elle est ou pour son cul, pourquoi les hommes profitent-ils tous d'elle, comment le monde est-il aussi cruel avec les jeunes adolescentes attardées de son style... Saoulant.
Côté dessin, c'était pourtant pas mal, mais rapidement on retombe dans un style un peu niais, avec des caricatures usées jusqu'au cordon.
Donc, pour finir, un gros bof. Ca reste sans prétention, de la lecture détente, sans plus.
Mouairf... Alors pour une fois, cette oeuvre de Reiser n'est pas particulièrement crade. Elle est juste emplie d'un peu d'humour noir. Mais ce n'est pas franchement percutant à mon goût. J'ai à peine souri.
En outre, il y a dans cet album trop de gags en rapport avec l'actualité des années 70 qui m'ont laissé perplexe car, s'agissant de sujets et de noms qui n'ont bien souvent plus cours aujourd'hui, je n'ai pas vraiment vu le côté comique de ces gags sortis de leur contexte.
Franchement moyen.
Eisner nous présente ici la guerre du Vietnam telle qu'il l'a vue lui même. Mais au-delà de l'intérêt de ce témoignage, je n'ai pas trouvé cet album extroardinaire. Certes, ce sont des histoires vraies, bien racontées.
Et si l'horreur de la guerre ne nous est pas présentée de manière directe (comme par exemple dans la Guerre éternelle, autre "témoignage" d'un américain qui a connu la guerre du vietnam), elle est quand même présente à travers certains regards. Mais probablement pas assez pour qu'on se laisse prendre au jeu, et contrairement à ses récits de quartier new-yorkais où l'ambiance est parfaitement reconstruite, on a un peu l'impression d'être comme ce soldat dont c'est le dernier jour là-bas : on visite, de façon un peu détachée, quelques souvenirs auxquels on ne croit pas vraiment.
Voilà une oeuvre de jeunesse de Froideval au scénario et Manini au dessin.
Côté dessin, ce n'est pas moche mais loin d'être fameux. Et surtout la colorisation rend le tout plutôt immonde.
Et côté scénario... Quand j'ai ouvert cette BD sans savoir à quoi m'attendre, j'avoue que j'ai bien rigolé sur le premier gag qui m'a surpris. Et je me suis dit que finalement, ça allait peut-être être une bonne BD d'humour délirant que j'avais là... Mais non. Dès le deuxième gag, je ne rigolais plus. Ca devient très rapidement non seulement ultra-répétitif mais en plus la narration est assez ennuyeuse et la mise en page ratée. Ok, on a compris, Lucifer est à la botte de Robert qui en profite pour lui faire faire les plus basses besognes (déboucher les toilettes, rester le doigt plaqué sur une fuite d'eau tout un week-end, sortir le chien, etc...) mais cette idée, ça devrait occuper un gag ou deux, pas plus : pas tout un album où l'idée est reprise de manière de plus en plus alambiquée ! Enfin non, il n'y a pas que ça, mais franchement les autres gags, je ne les ai pas trouvés drôles.
Dommage : une BD d'humour dérision sur le petit monde sympathique du satanisme, ça aurait pu me plaire mais là, ça fait franchement humour potache et à peine drôle.
Le bon côté de cet album, c'est qu'il est beau.
Sa construction est originale : une image par page, et ainsi alternativement, une image narrative sur une page et une planche muette sur la seconde. Et le dessin y est soigné, excellent, superbe. C'est du grand Moebius, même si certains peuvent regretter un travail trop soigné qui rejette alors la spontanéité et la souplesse si typique du dessin de ce maître. Oui, le dessin est un peu froid par rapport aux BDs plus "libérées" que Moebius fait plus souvent.
Concernant l'histoire, elle est... hermétique. Elle se comprend très facilement mais je n'ai pas su en saisir d'émotion, ni de curiosité, ni d'intérêt. Assez moyen sur ce plan-là.
Et puis, il y a le fait que ce soit une image par planche, et quelques mots à peine de texte en gros toutes les deux pages. Ca donne un album de 50 pages qui se lit en deux minutes à peine. Alors oui, on peut ensuite revenir admirer le détail des dessins de Moebius, mais franchement, payer ce prix pour une lecture si rapide, je ne suis pas pour.
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Escondida
Bon, les mecs, 'faut arrêter de fréquenter Jodorowsky, hein. Ou alors il fume trop le jaja, le père Bess. Parce que, excusez-moi, mais cet album n'a aucun intérêt. Du moins sur le plan de l'histoire. Des délires métaphysiques voire éthyliques même pas drôles ; enfin si, j'ai souri avec l'histoire des pierres qui parlent. Mais pour le reste, circulez, il n'y a rien à voir. A part le dessin de Bess, qui reste très très bon, toujours fidèle à l'école Moebius.
Smith et Wesson
Moui bof... Je n'ai jamais beaucoup aimé, même plus jeune... Je ne la conseillerais donc pas. Toutefois il y avait parfois (rarement tout de même) de bonnes idées, mais la forme limitant les gags possibles, et l'univers se prêtant finalement assez mal à ce genre de bd, le résultat est plus que moyen.
Finkel
Bizarre. Tout d’abord je n’adhère pas du tout au dessin. C’est vraiment pas mon truc. Maintenant, tout en concédant l’originalité de l’histoire et le fait qu’elle soit aussi fouillée et que l’univers soit aussi bien décrit, c’est une série qui m’a globalement barbé. Je veux bien reconnaître de bonne fois que c’est du bon boulot mais je m’y suis ennuyé. De là à dire que j’ai même préféré Last….8-)
Clones en série (Nirta Omirli)
C'est clair que j'ai acheté cet album parce que JD Morvan est au scénar, sinon, je ne sais pas si j'aurais été très emballé. C'est la première fois que je tombe sur un T1 de JDM que je n'aime pas, et qui ne me donne moyen envie de lire la suite. Alors bien sûr, c'est bien écrit, l'histoire est assez carrée, bien menée, mais c'est vraiment le fond de l'histoire qui m'a déplu. Je n'ai pas réussi à m'intéresser à ces Drôles de Dames du futur, tout me parait trop facile, trop simple. Pourtant, je compte bien lire le tome suivant, JDM a suffisament de talent pour rendre cette série intéressante. C'est un peu pareil pour le dessin. Si je voulais être concis, je dirais qu'il est "bien mais pas top". Les influences américaines ne sont pas cachées, mais ne me semblent pas encore digérées. Le résultat est plutôt agréable, mais clairement améliorable, donc là encore, à suivre...
Thomas Silane
Je n'ai rien contre les idées bateaux quand elles sont bien exploitées, mais ce n'est pas le cas ici je trouve. C'est banal, et ça reste banal du début à la fin. Alors forcément, ça devient vite fatigant, sans être chiant pour autant. Le dessin est assez quelconque, mais plutôt bien foutu, avec une mise en page et des cadrages qui n'ont pas de réels défauts (c'est même assez bon, soyons honnêtes) ; mais vraiment, le coup de l'appareil photo miracle, j'ai du mal pour le moment. Faudra voir avec le 2e tome pour savoir si un intéret réel débarque à l'improviste dans cette série :)
Strangers in Paradise
Ben moi, je m'arrête au 2. Je ne vois rien d'autre qui puisse me pousser à continuer. Côté scénario, c'est un empilement de gags pseudo-féministes plein de clichés et pas drôles, ou encore les problèmes existentiels d'une joli blonde amoureuse de sa meilleure copine, la brune, alors qu'un jeune homme charmant est amoureux d'elle. Alors là, dis donc, c'est pas de chance ! La brune, pour sa part, ne sait pas, si elle couche, si elle couche pas (à 25 ans quand même), si l'immonde salaud avec qui elle est l'aime pour ce qu'elle est ou pour son cul, pourquoi les hommes profitent-ils tous d'elle, comment le monde est-il aussi cruel avec les jeunes adolescentes attardées de son style... Saoulant. Côté dessin, c'était pourtant pas mal, mais rapidement on retombe dans un style un peu niais, avec des caricatures usées jusqu'au cordon. Donc, pour finir, un gros bof. Ca reste sans prétention, de la lecture détente, sans plus.
On vit une époque formidable
Mouairf... Alors pour une fois, cette oeuvre de Reiser n'est pas particulièrement crade. Elle est juste emplie d'un peu d'humour noir. Mais ce n'est pas franchement percutant à mon goût. J'ai à peine souri. En outre, il y a dans cet album trop de gags en rapport avec l'actualité des années 70 qui m'ont laissé perplexe car, s'agissant de sujets et de noms qui n'ont bien souvent plus cours aujourd'hui, je n'ai pas vraiment vu le côté comique de ces gags sortis de leur contexte. Franchement moyen.
Mon dernier jour au Vietnam
Eisner nous présente ici la guerre du Vietnam telle qu'il l'a vue lui même. Mais au-delà de l'intérêt de ce témoignage, je n'ai pas trouvé cet album extroardinaire. Certes, ce sont des histoires vraies, bien racontées. Et si l'horreur de la guerre ne nous est pas présentée de manière directe (comme par exemple dans la Guerre éternelle, autre "témoignage" d'un américain qui a connu la guerre du vietnam), elle est quand même présente à travers certains regards. Mais probablement pas assez pour qu'on se laisse prendre au jeu, et contrairement à ses récits de quartier new-yorkais où l'ambiance est parfaitement reconstruite, on a un peu l'impression d'être comme ce soldat dont c'est le dernier jour là-bas : on visite, de façon un peu détachée, quelques souvenirs auxquels on ne croit pas vraiment.
L'Archimage Robert
Voilà une oeuvre de jeunesse de Froideval au scénario et Manini au dessin. Côté dessin, ce n'est pas moche mais loin d'être fameux. Et surtout la colorisation rend le tout plutôt immonde. Et côté scénario... Quand j'ai ouvert cette BD sans savoir à quoi m'attendre, j'avoue que j'ai bien rigolé sur le premier gag qui m'a surpris. Et je me suis dit que finalement, ça allait peut-être être une bonne BD d'humour délirant que j'avais là... Mais non. Dès le deuxième gag, je ne rigolais plus. Ca devient très rapidement non seulement ultra-répétitif mais en plus la narration est assez ennuyeuse et la mise en page ratée. Ok, on a compris, Lucifer est à la botte de Robert qui en profite pour lui faire faire les plus basses besognes (déboucher les toilettes, rester le doigt plaqué sur une fuite d'eau tout un week-end, sortir le chien, etc...) mais cette idée, ça devrait occuper un gag ou deux, pas plus : pas tout un album où l'idée est reprise de manière de plus en plus alambiquée ! Enfin non, il n'y a pas que ça, mais franchement les autres gags, je ne les ai pas trouvés drôles. Dommage : une BD d'humour dérision sur le petit monde sympathique du satanisme, ça aurait pu me plaire mais là, ça fait franchement humour potache et à peine drôle.
Les Yeux du Chat
Le bon côté de cet album, c'est qu'il est beau. Sa construction est originale : une image par page, et ainsi alternativement, une image narrative sur une page et une planche muette sur la seconde. Et le dessin y est soigné, excellent, superbe. C'est du grand Moebius, même si certains peuvent regretter un travail trop soigné qui rejette alors la spontanéité et la souplesse si typique du dessin de ce maître. Oui, le dessin est un peu froid par rapport aux BDs plus "libérées" que Moebius fait plus souvent. Concernant l'histoire, elle est... hermétique. Elle se comprend très facilement mais je n'ai pas su en saisir d'émotion, ni de curiosité, ni d'intérêt. Assez moyen sur ce plan-là. Et puis, il y a le fait que ce soit une image par planche, et quelques mots à peine de texte en gros toutes les deux pages. Ca donne un album de 50 pages qui se lit en deux minutes à peine. Alors oui, on peut ensuite revenir admirer le détail des dessins de Moebius, mais franchement, payer ce prix pour une lecture si rapide, je ne suis pas pour.