Je vais être plus sévère que les autres posteurs, je trouve cette bd "presque" nulle à ch... Une réelle déception donc. On est loin de Jeremy, très loin même. Ses personnages ne sont pas crédibles, limite creux, donc forcément construire une histoire avec cela, cela devient très difficile. On sourit à peine et l'on s'ennuie beaucoup. Poisson Pilote s'en serai tenu au 48 pages habituelles, on les aurai presque remercié ! Désolée d'être aussi dur, mais cette bd c'est limite foutage de gueule et prendre les gens pour des idiots.
Donc je ne conseille pas l'achat, en bibliothèque vous serez sûr de la trouver puisque Riad Sattouf fait parti des auteurs à la mode que l'on achète...
Ce comics bénéficie d’un dessin agréable, vaguement rétro, malheureusement alliée avec des couleurs informatiques un peu trop froides. Cette histoire de prise d’otage et de naufragés projetés dans une dimension mythologique est un brin trop classique à mon goût pour l’instant... Il faudrait lire le second et dernier tome avant de se faire une idée précise de l’intérêt de l’intrigue, mais pour l’instant, rien que de l’ordinaire : on retrouve les personnages types de ce genre de scénario : le méchant vraiment méchant, le méchant un peu gentil quand même, la tête-brûlée, la fille idéaliste, la fille qui s'en fout...
Apres avoir été ébloui par Cercle vicieux du même auteur, c’est avec impatience et excitation que je me suis procuré « Le cycle », autre œuvre oubapienne de Etienne Lécroart. Et je suis vraiment déçu.
Coté innovation et OuBaPo, c’est toujours un émerveillement. Les différentes techniques et astuces employées par l’auteur sont vraiment ingénieuses et remarquablement mises en scène. Le coup de la page pliée est à ce titre très fort. Les insertions de pages d’autres BDs sont bien trouvées, mais comme d’autres posteurs ci-dessous, je ne connais pratiquement aucune des BDs dont les planches en question sont tirées… forcement ça limite l’intérêt de la chose.
Donc contrairement à « Cercle vicieux », ou même à ce que fait MAM, je me suis ici fortement ennuyé. L’histoire est soporifique au possible, et la pourtant courte lecture a été un vrai calvaire. Bref, l’OuBaPo et les prouesses techniques, j’aime bien, mais à condition que le scénario suive… sinon je ne vois pas trop l’intérêt.
Histoire d'O est une histoire franchement surprenante pour qui n'est pas adepte du Sado-Masochisme et qui n'y connaît rien : c'est en gros l'histoire d'une femme qui choisit de son plein gré de devenir une esclave sexuelle totalement soumise à de nombreux maîtres et maîtresses, acceptant les ordres, les dégradations sexuelles, les tortures et les coups de fouet sans jamais sourciller et même en appréciant cela.
Côté dessin, Crepax a un style bien à lui. Les planches de cette BD ont une mise en page et un dessin très teintés années 70, presque psychédéliques parfois. Crepax dessine plutôt bien les corps de femmes, mais c'est à peu près tout ce qu'il dessine bien à mes yeux. Les visages sont déformés, les décors vides, les hommes difformes.
Je n'aime guère l'aspect visuel de la BD, donc.
Quant au scénario, déjà il faut voir que l'histoire est très longue (presque 200 pages). Et tout au long de ces pages, ce sont sans arrêt des soumissions, des tortures, des rabaissements de la femme au rang d'objet dont on use et abuse. Franchement, cela aurait plutôt tendance à révolter ma part féministe (je suis un mec féministe), mais c'est la réaction typique à cette oeuvre. Alors on peut essayer d'aller au delà, essayer de comprendre que O agit ainsi pour prouver l'amour profond qu'elle voue d'abord à son amant, ensuite à ses maîtres et maîtresses successifs, essayer d'imaginer que c'est un peu comme un amour religieux où les fervents croyants sont prêts à s'abaisser plus bas que terre pour prouver leur amour devant Dieu et les hommes. Mais non ! Vraiment pas ! Je n'arrive absolument pas à comprendre la pratique sado-masochiste et le plaisir qu'on peut trouver aussi bien à dominer qu'à être totalement soumis.
Résultat, le début de cette BD (comme pour le livre) est teinté d'un peu de curiosité pour comprendre pourquoi O s'abandonne ainsi, comment des gens peuvent-ils ainsi abuser de femmes soumises, etc... Mais très vite, je me suis vraiment lassé et tout au long de cette très longue histoire, j'ai peiné de plus en plus tandis que je perdais très vite mon envie de lire la suite.
Et puis côté érotisme, ben, il faut apprécier le SM pour apprécier cette histoire, donc moi ça ne colle pas.
Intéressant car c'est quand même une oeuvre à part et un manifeste sincère du Sado-Masochisme, mais hormis cela je n'aime ni le dessin ni le contenu de l'histoire.
Voila ce qui arrive lorsque l'on fait des achats par correspondance sans avoir préalablement visualisé la BD.
On ne peut pas dire que ce soit moche... Les dessins sont plutôt corrects bien que un peu trop statiques et des proportions parfois un peu hasardeuses...
L'histoire n'a en soit pas beaucoup d'intérêt. De l'espionnage à la James Bond (en moins bien) avec un peu d'ésotérisme par dessus. Eh oui! Pharaon n'est pas un espion ordinaire il a un pouvoir psy qui lui permet de voir les gens qui vont mourir... géniale!
En gros ça ne casse pas des briques.
Mais ça pourra ravir des fans de James Bond, amoureux des histoires d'espionnage.
Bon eh bien moi, j'ai pas lu Houppeland, je ne vous aime pas et vous êtes laids ! :P
Plus sérieusement, je ne vais pas faire de comparaison, juste parler de l'album que j'ai eu entre les mains, en l'occurrence La semaine des 7 noël. je ne connais pas O'Groj, à part au travers de quelques strips parus dans Spirou il y a quelques temps, qui ne m'ont pas laissé un grand souvenir... Mais j'ai eu un peu de mal à rentrer dans cet album : qu'est-ce que c'est ? un conte , un roman policier ? du fantastique ? Peut-être bien un cauchemar, ou une dystopie, de la part d'un mec un peu bizarre... Car je n'y ai pas cru une seule seconde, hélas... Ca ne me semblait pas cohérent, tout simplement. oui, je sais, c'est burlesque, mais bof... Je n'ai pas détesté le dessin, mais celui-ci m'a procuré un certain malaise...
Attention, Tayyar Ozkan est d’origine turque, mais il vit depuis de nombreuses années à New York. Et c’est dans la presse étasunienne qu’il a fait ses premières armes, en tant que caricaturiste. Cette expérience se voit fortement dans Caveman, BD muette au trait typique. Celle-ci se veut fataliste, moraliste, éducative ? Le soufflé tombe très rapidement, et l’on a même du mal à finir cet album d’une quarantaine de pages. Le gars a un talent graphique certain, très underground, mais ses histoires manquent cruellement d’intérêt et/ou d’originalité.
Mon avis penche un peu plus vers celui d'ArzaK que vers celui de Cassidy.
En effet, l'histoire manque un peu d'épaisseur, surtout à cause de ses personnages, légèrement dérangés, mais mal exploités. Franck, par exemple, aurait pu être mieux exploité. Mais Elsie, ah Elsie... Ses tee-shirts ras-la-touffe (excusez-moi Mesdames et demoiselles), ses passages inoubliables sur les sièges... C'est un peu elle qui sauve l'album, malgré le style très "ligne claire" (encore plus que d'habitude ?) qu'utilise JC Denis...
Un album tout juste lisible, sans grosse prise de tête.
Je suis de plus en plus déçu par les mangas édités chez génération comics, j'ai acheté le premier volume de Angel heart et ce sera le dernier.
Je n'ai pas lu City Hunter, c'est donc sans attente particulière que j'ai abordé ce manga. Et bien j'ai trouvé l'histoire pas crédible, le Ryo a l'air d'être un benêt, seul point positif les filles sont bien dessinées.
Je met 2/5 alors que pour moi ça mérite 1 mais je pense que cet achat est une erreur de ma part, à l'évidence je ne correspond pas au public visé.
Si vous voulez voir des filles sexy dans des combinaisons moulantes et équipées de gros flingues et de gros seins vous pouvez vous laisser tenter.
C'est pour moi aussi la première BD de Will Eisner que je lis. Mais autant je réalise que j'aime beaucoup son graphisme que je trouve très moderne, autant je n'ai guère apprécié les histoires de cette Bd précise.
Le côté positif, c'est que j'en ai appris un peu plus sur la vie dans le Bronx dans les années 30, ses anecdotes, ses habitants, etc...
Chaque histoire de cette BD ressemble soit à une fable urbaine soit à une tranche de vie d'un quartier ou de ses habitants. Ces histoires mélange le drame avec un humour assez discret et relativement incisif. J'en ai trouvé la narration plutôt bonne. Mais franchement je me suis ennuyé à la lecture de cet album. Aucune histoire ne m'a captivé, aucune ne m'a réellement plu, j'ai presque lu le tout avec un peu de peine. C'est pas le genre d'histoires et de Bd qui m'intéressent.
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No Sex in New York
Je vais être plus sévère que les autres posteurs, je trouve cette bd "presque" nulle à ch... Une réelle déception donc. On est loin de Jeremy, très loin même. Ses personnages ne sont pas crédibles, limite creux, donc forcément construire une histoire avec cela, cela devient très difficile. On sourit à peine et l'on s'ennuie beaucoup. Poisson Pilote s'en serai tenu au 48 pages habituelles, on les aurai presque remercié ! Désolée d'être aussi dur, mais cette bd c'est limite foutage de gueule et prendre les gens pour des idiots. Donc je ne conseille pas l'achat, en bibliothèque vous serez sûr de la trouver puisque Riad Sattouf fait parti des auteurs à la mode que l'on achète...
Olympus
Ce comics bénéficie d’un dessin agréable, vaguement rétro, malheureusement alliée avec des couleurs informatiques un peu trop froides. Cette histoire de prise d’otage et de naufragés projetés dans une dimension mythologique est un brin trop classique à mon goût pour l’instant... Il faudrait lire le second et dernier tome avant de se faire une idée précise de l’intérêt de l’intrigue, mais pour l’instant, rien que de l’ordinaire : on retrouve les personnages types de ce genre de scénario : le méchant vraiment méchant, le méchant un peu gentil quand même, la tête-brûlée, la fille idéaliste, la fille qui s'en fout...
Le Cycle
Apres avoir été ébloui par Cercle vicieux du même auteur, c’est avec impatience et excitation que je me suis procuré « Le cycle », autre œuvre oubapienne de Etienne Lécroart. Et je suis vraiment déçu. Coté innovation et OuBaPo, c’est toujours un émerveillement. Les différentes techniques et astuces employées par l’auteur sont vraiment ingénieuses et remarquablement mises en scène. Le coup de la page pliée est à ce titre très fort. Les insertions de pages d’autres BDs sont bien trouvées, mais comme d’autres posteurs ci-dessous, je ne connais pratiquement aucune des BDs dont les planches en question sont tirées… forcement ça limite l’intérêt de la chose. Donc contrairement à « Cercle vicieux », ou même à ce que fait MAM, je me suis ici fortement ennuyé. L’histoire est soporifique au possible, et la pourtant courte lecture a été un vrai calvaire. Bref, l’OuBaPo et les prouesses techniques, j’aime bien, mais à condition que le scénario suive… sinon je ne vois pas trop l’intérêt.
Histoire d'O
Histoire d'O est une histoire franchement surprenante pour qui n'est pas adepte du Sado-Masochisme et qui n'y connaît rien : c'est en gros l'histoire d'une femme qui choisit de son plein gré de devenir une esclave sexuelle totalement soumise à de nombreux maîtres et maîtresses, acceptant les ordres, les dégradations sexuelles, les tortures et les coups de fouet sans jamais sourciller et même en appréciant cela. Côté dessin, Crepax a un style bien à lui. Les planches de cette BD ont une mise en page et un dessin très teintés années 70, presque psychédéliques parfois. Crepax dessine plutôt bien les corps de femmes, mais c'est à peu près tout ce qu'il dessine bien à mes yeux. Les visages sont déformés, les décors vides, les hommes difformes. Je n'aime guère l'aspect visuel de la BD, donc. Quant au scénario, déjà il faut voir que l'histoire est très longue (presque 200 pages). Et tout au long de ces pages, ce sont sans arrêt des soumissions, des tortures, des rabaissements de la femme au rang d'objet dont on use et abuse. Franchement, cela aurait plutôt tendance à révolter ma part féministe (je suis un mec féministe), mais c'est la réaction typique à cette oeuvre. Alors on peut essayer d'aller au delà, essayer de comprendre que O agit ainsi pour prouver l'amour profond qu'elle voue d'abord à son amant, ensuite à ses maîtres et maîtresses successifs, essayer d'imaginer que c'est un peu comme un amour religieux où les fervents croyants sont prêts à s'abaisser plus bas que terre pour prouver leur amour devant Dieu et les hommes. Mais non ! Vraiment pas ! Je n'arrive absolument pas à comprendre la pratique sado-masochiste et le plaisir qu'on peut trouver aussi bien à dominer qu'à être totalement soumis. Résultat, le début de cette BD (comme pour le livre) est teinté d'un peu de curiosité pour comprendre pourquoi O s'abandonne ainsi, comment des gens peuvent-ils ainsi abuser de femmes soumises, etc... Mais très vite, je me suis vraiment lassé et tout au long de cette très longue histoire, j'ai peiné de plus en plus tandis que je perdais très vite mon envie de lire la suite. Et puis côté érotisme, ben, il faut apprécier le SM pour apprécier cette histoire, donc moi ça ne colle pas. Intéressant car c'est quand même une oeuvre à part et un manifeste sincère du Sado-Masochisme, mais hormis cela je n'aime ni le dessin ni le contenu de l'histoire.
Pharaon
Voila ce qui arrive lorsque l'on fait des achats par correspondance sans avoir préalablement visualisé la BD. On ne peut pas dire que ce soit moche... Les dessins sont plutôt corrects bien que un peu trop statiques et des proportions parfois un peu hasardeuses... L'histoire n'a en soit pas beaucoup d'intérêt. De l'espionnage à la James Bond (en moins bien) avec un peu d'ésotérisme par dessus. Eh oui! Pharaon n'est pas un espion ordinaire il a un pouvoir psy qui lui permet de voir les gens qui vont mourir... géniale! En gros ça ne casse pas des briques. Mais ça pourra ravir des fans de James Bond, amoureux des histoires d'espionnage.
La Semaine des 7 Noël
Bon eh bien moi, j'ai pas lu Houppeland, je ne vous aime pas et vous êtes laids ! :P Plus sérieusement, je ne vais pas faire de comparaison, juste parler de l'album que j'ai eu entre les mains, en l'occurrence La semaine des 7 noël. je ne connais pas O'Groj, à part au travers de quelques strips parus dans Spirou il y a quelques temps, qui ne m'ont pas laissé un grand souvenir... Mais j'ai eu un peu de mal à rentrer dans cet album : qu'est-ce que c'est ? un conte , un roman policier ? du fantastique ? Peut-être bien un cauchemar, ou une dystopie, de la part d'un mec un peu bizarre... Car je n'y ai pas cru une seule seconde, hélas... Ca ne me semblait pas cohérent, tout simplement. oui, je sais, c'est burlesque, mais bof... Je n'ai pas détesté le dessin, mais celui-ci m'a procuré un certain malaise...
Caveman
Attention, Tayyar Ozkan est d’origine turque, mais il vit depuis de nombreuses années à New York. Et c’est dans la presse étasunienne qu’il a fait ses premières armes, en tant que caricaturiste. Cette expérience se voit fortement dans Caveman, BD muette au trait typique. Celle-ci se veut fataliste, moraliste, éducative ? Le soufflé tombe très rapidement, et l’on a même du mal à finir cet album d’une quarantaine de pages. Le gars a un talent graphique certain, très underground, mais ses histoires manquent cruellement d’intérêt et/ou d’originalité.
Le Pélican
Mon avis penche un peu plus vers celui d'ArzaK que vers celui de Cassidy. En effet, l'histoire manque un peu d'épaisseur, surtout à cause de ses personnages, légèrement dérangés, mais mal exploités. Franck, par exemple, aurait pu être mieux exploité. Mais Elsie, ah Elsie... Ses tee-shirts ras-la-touffe (excusez-moi Mesdames et demoiselles), ses passages inoubliables sur les sièges... C'est un peu elle qui sauve l'album, malgré le style très "ligne claire" (encore plus que d'habitude ?) qu'utilise JC Denis... Un album tout juste lisible, sans grosse prise de tête.
Angel Heart
Je suis de plus en plus déçu par les mangas édités chez génération comics, j'ai acheté le premier volume de Angel heart et ce sera le dernier. Je n'ai pas lu City Hunter, c'est donc sans attente particulière que j'ai abordé ce manga. Et bien j'ai trouvé l'histoire pas crédible, le Ryo a l'air d'être un benêt, seul point positif les filles sont bien dessinées. Je met 2/5 alors que pour moi ça mérite 1 mais je pense que cet achat est une erreur de ma part, à l'évidence je ne correspond pas au public visé. Si vous voulez voir des filles sexy dans des combinaisons moulantes et équipées de gros flingues et de gros seins vous pouvez vous laisser tenter.
Un Pacte avec Dieu (Un bail avec Dieu / Le Contrat)
C'est pour moi aussi la première BD de Will Eisner que je lis. Mais autant je réalise que j'aime beaucoup son graphisme que je trouve très moderne, autant je n'ai guère apprécié les histoires de cette Bd précise. Le côté positif, c'est que j'en ai appris un peu plus sur la vie dans le Bronx dans les années 30, ses anecdotes, ses habitants, etc... Chaque histoire de cette BD ressemble soit à une fable urbaine soit à une tranche de vie d'un quartier ou de ses habitants. Ces histoires mélange le drame avec un humour assez discret et relativement incisif. J'en ai trouvé la narration plutôt bonne. Mais franchement je me suis ennuyé à la lecture de cet album. Aucune histoire ne m'a captivé, aucune ne m'a réellement plu, j'ai presque lu le tout avec un peu de peine. C'est pas le genre d'histoires et de Bd qui m'intéressent.