Bof, moi qui d'habitude apprécie ce que fait Miller je n'ai pas été emballé par Liberty.
D'accord avec Ro pour ce qui est de l'univers de cette BD, c'est vraiment bien imaginé et il y a quelques idées originales. Même si parfois je trouve que ça tombe dans la caricature sans finesse ("Miller bourrin style"). Bien sûr le côté américain patriotique est tourné en dérision.
Au niveau des personnages, ils sont tous assez bruts et plutot manichéens, à commencer par Martha qui joue la gentille qui se sacrifie tout au long des quatres tomes. Sinon j'ai bien aimé la "poupée" télépathe.
Les dessins de Gibbons me plaisent bien mais les couleurs sont épouvantables, on passe du fade au flashy.
Voilà, même si je me suis pris d'affection pour la petite Martha, je met 2/5, ça peut paraître sévère et d'une certaine manière ça l'est, car j'estime qu'on était en droit d'en attendre plus du duo Miller/Gibbons...
Je n'ai pas aimé cette série.
Je ne peux pas dire que je ne l'ai "vraiment pas aimé" car différents points dans cette Bd m'ont intéressé mais globalement la lecture m'en a vraiment été pénible, au point que j'ai zappé quelques passages.
Pour commencer, je n'aime pas le dessin. Certaines planches emplies de dessins symboliques, animaux, combats, etc... sont plutôt jolies. Mais les autres, celles on l'on voit les personnages de l'histoire, bref la réalité, je les trouve moches. Ca ne me donne pas envie de lire.
Quant au scénario, il est intéressant par plusieurs points : la relation face à la maladie, le symbolisme, tout ce que les parents de David ont été capables de faire ou d'essayer pour guérir leur fils épileptique, les réactions de David face à la maladie de son frère. Ces points sont intéressants, certes, mais je n'ai pris aucun plaisir à les découvrir dans cette BD.
Je ne saurais pas définir précisément ce qui m'a déplu. La narration peut-être que j'ai trouvée :
- décousue
- allourdie par des biographies de telles ou telles personnes en cours d'histoire pour mieux situer les personnages
- racontée expressément par les yeux d'un enfant ce qui donne un côté naïf et égoïste voulu mais que je n'ai pas apprécié
- l'éloignement du narrateur, David, par rapport à son frère qui finalement fait en sorte que la BD s'intéresse nettement plus à ce que David ressent lui plutôt qu'à son frère tant et si bien que je n'ai réussi à m'attacher ni à l'un ni à l'autre
Et puis globalement, c'est aussi l'histoire en elle-même qui a beau être un témoignage véridique et une oeuvre originale et précurseur dans son genre, mais ça ne suffit pas à me donner l'envie de la lire. Certaines BDs ont su me donner envie de lire et d'en apprendre plus sur des sujets qui initialement ne m'intéressaient pas (Rural ou Maus par exemple). Mais j'ai trouvé que celle-ci n'apportait pas suffisamment par sa narration et son histoire pour me plonger dans l'histoire et me donner envie d'aller plus loin.
Lu en 5 min top chrono, "Game Over" est bien pauvre comparé à Kid Paddle. En effet, l’album, d’intérêt limité, se cantonne à des strips muets (forcément) représentant le petit barbare poursuivi par des blorks. Le succès aidant, l'apparition d'une série dérivée était plus que prévisible, tout comme la faible qualité intrinsèque de cette dernière. Quelques planches de Game Over pouvaient convenir pour égailler le mag de spirou mais de là à le sortir en album. Toutefois, le succès commercial fait peu de doute.
Quant aux dessins, ils sont de la même cuvée que ceux de Kid Paddle, rien à redire de ce côté donc . . .
J’ai acheté cette BD suite à une bonne critique dans le magazine bédéka. Pour ma part je n’en ferais pas une bonne critique et notamment le plus gros défaut de cette BD est le scénario : Ultra linéaire
De plus les 3/4 de l’album sont des monologues absolument inintéressants, mise à part peut-être les 6 premières pages lorsque Allan découvre la Fresque. Tout le reste de l’album, nous ne faisons que de lire les pensées du héros. C’est d’un ennui, c’est mou. Pour l’action et le suspens, il faudra revoir la copie. Je dois dire que pour la première fois je me suis vraiment ennuyé à lire un BD, il ne manque plus qu’une bulle ou deux ou notre héros nous informe de la couleur de ses calecons.
Le seul point fort de cet album, est le dessin qui se rapproche d’un style de Jacob ou Hergé, voilà pourquoi je mets un 2/5, ça rattrape un peu cet horrible scénar
C’est bien dommage parce que l’idée de base était pas mal.
C’est une histoire qui sera complète en plusieurs albums, pour ma part je m’arrête au premier.
Il me semble que c'est le bon moment pour poster un avis sur l'oeuvre de Spiegelman. (60 ans...)
Cette oeuvre relate une période sombre de notre histoire: donc OK c'est prenant et c'est triste.
Cependant cette histoire il nous semble l'avoir déjà lu dans plusieurs bouquins, vu dans plusieurs films, entendu par plusieurs personnes.
Il est vrai que l'on ne doit jamais oublier, mais ce n'est pas pour autant que l'on doit glorifier tout les supports qui traitent de ce sujet.
Alors je dirai que c'est bien sans plus. Soyons franc pour une fois: l'histoire n'est pas nouvelle, et le dessin est horrible.
Cette BD date de 1976 (serait-elle moisie ?) mais garde un aspect visuel intérieur plutôt moderne. Jo-el Azara a un dessin plutôt bon, très teinté du style humour franco-belge façon journal Spirou tout en rondeur et en fraicheur. Ceci dit, personnellement, ce style, même si je trouve que les images prises une à une sont jolies, je m'en lasse très vite.
C'est au niveau humour que ça ne passe pas trop cette BD. Les histoires sont ultra-bateaux : nos deux héros se balladent, apprennent qu'il y a des méchants là-bas, vont les attaquer, la bataille tourne au grand-guignol et puis ils gagnent et recommencent. Et l'humour grand-guignol comme ça, ça ne me fait pas franchement rire, voire ça aurait même tendance à m'énerver.
Bof, quoi...
Pour moi, l'oeuvre la plus faible d'Andreas à ce jour. Ok, il s'agit plus d'une mise en images que d'une véritable création du maître allemand, mais il a prouvé dans le passé être aussi à l'aise dans les écrits des autres. En effet, je trouve ce recueil totalement bancal, ou plutôt, assez médiocre. Andreas montre qu'il est capable de changer son style graphique pour s'adapter, mais il ne le transcende pas. Au niveau de mon avis sur la plupart des nouvelles, je suis assez d'accord avec Ro : seules celle de Bézian et de Foerster valent le coup selon moi, celle de Cossu (si si, je l'ai placé) étant la plus hermétique.
Pour les inconditionnels d'Andreas uniquement.
Mon avis rejoindra sensiblement celui de Don Lope. C'est pas mal de vouloir faire une BD sur la vie d'un "grand" homme, ça permet à ceux qui ne s'instruisent que par ce biais d'en apprendre un peu plus. Mais malheureusement, concernant cet album-là, le courant n'est pas passé, je me suis très vite ennuyé. Déjà, le style graphique ne m'accroche pas du tout, et le reste m'a semblé vraiment anecdotique...
C'est Lax qui a dessiné cette BD ? Alors autant j'aime son style dans Azrayen', autant là, bof ! Trop réaliste d'une part, mais c'est surtout la colorisation que je n'aime pas.
Le scénario par contre est original. Les personnages assez attachants, l'histoire intéressante. Elle permet d'appréhender l'univers de travestis homosexuels sous le regard de quelqu'un qui leur est proche, qui parle avec eux, les comprend et finalement partage leur vie. C'est assez tendre tout en étant rude à la fois.
L'ennui, c'est la narration : franchement, c'est dur d'entrer dans l'histoire, de la suivre, de la comprendre totalement et surtout de la ressentir. Les cases se suivent sans qu'on comprenne bien tout ce qu'il se passe, tant et si bien que même si le thème est intéressant et que la trame de l'histoire est pas mal, la BD en elle-même s'en retrouve très moyenne.
Aussi déçu que Glorf par cette BD (je voulais d'ailleurs commencer par "déçu, déçu, déçu", mais ça aurais fait plagiat).
Je m'attendais à beaucoup mieux au vu de Requiem.
Mais là, on en est assez loin: l'ambiance n'y est pas, les dessins de Claudia sont vraiment pas terribles (drôle de bouche, en effet), les répliques ne sont pas vraiment marrantes, le scénar est loin d'être top. On est plus dans le lourd/léger que dans le subtil et le bien construit: ici, on tape et on voit après...
Pourquoi en conseiller l'achat? Ben, parce que j'adore quand on développe des univers dans différentes séries et parce que j'espère une meilleure suite...
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Martha Washington - Le Rêve américain (Liberty, un rêve américain)
Bof, moi qui d'habitude apprécie ce que fait Miller je n'ai pas été emballé par Liberty. D'accord avec Ro pour ce qui est de l'univers de cette BD, c'est vraiment bien imaginé et il y a quelques idées originales. Même si parfois je trouve que ça tombe dans la caricature sans finesse ("Miller bourrin style"). Bien sûr le côté américain patriotique est tourné en dérision. Au niveau des personnages, ils sont tous assez bruts et plutot manichéens, à commencer par Martha qui joue la gentille qui se sacrifie tout au long des quatres tomes. Sinon j'ai bien aimé la "poupée" télépathe. Les dessins de Gibbons me plaisent bien mais les couleurs sont épouvantables, on passe du fade au flashy. Voilà, même si je me suis pris d'affection pour la petite Martha, je met 2/5, ça peut paraître sévère et d'une certaine manière ça l'est, car j'estime qu'on était en droit d'en attendre plus du duo Miller/Gibbons...
L'Ascension du Haut Mal
Je n'ai pas aimé cette série. Je ne peux pas dire que je ne l'ai "vraiment pas aimé" car différents points dans cette Bd m'ont intéressé mais globalement la lecture m'en a vraiment été pénible, au point que j'ai zappé quelques passages. Pour commencer, je n'aime pas le dessin. Certaines planches emplies de dessins symboliques, animaux, combats, etc... sont plutôt jolies. Mais les autres, celles on l'on voit les personnages de l'histoire, bref la réalité, je les trouve moches. Ca ne me donne pas envie de lire. Quant au scénario, il est intéressant par plusieurs points : la relation face à la maladie, le symbolisme, tout ce que les parents de David ont été capables de faire ou d'essayer pour guérir leur fils épileptique, les réactions de David face à la maladie de son frère. Ces points sont intéressants, certes, mais je n'ai pris aucun plaisir à les découvrir dans cette BD. Je ne saurais pas définir précisément ce qui m'a déplu. La narration peut-être que j'ai trouvée : - décousue - allourdie par des biographies de telles ou telles personnes en cours d'histoire pour mieux situer les personnages - racontée expressément par les yeux d'un enfant ce qui donne un côté naïf et égoïste voulu mais que je n'ai pas apprécié - l'éloignement du narrateur, David, par rapport à son frère qui finalement fait en sorte que la BD s'intéresse nettement plus à ce que David ressent lui plutôt qu'à son frère tant et si bien que je n'ai réussi à m'attacher ni à l'un ni à l'autre Et puis globalement, c'est aussi l'histoire en elle-même qui a beau être un témoignage véridique et une oeuvre originale et précurseur dans son genre, mais ça ne suffit pas à me donner l'envie de la lire. Certaines BDs ont su me donner envie de lire et d'en apprendre plus sur des sujets qui initialement ne m'intéressaient pas (Rural ou Maus par exemple). Mais j'ai trouvé que celle-ci n'apportait pas suffisamment par sa narration et son histoire pour me plonger dans l'histoire et me donner envie d'aller plus loin.
Game Over
Lu en 5 min top chrono, "Game Over" est bien pauvre comparé à Kid Paddle. En effet, l’album, d’intérêt limité, se cantonne à des strips muets (forcément) représentant le petit barbare poursuivi par des blorks. Le succès aidant, l'apparition d'une série dérivée était plus que prévisible, tout comme la faible qualité intrinsèque de cette dernière. Quelques planches de Game Over pouvaient convenir pour égailler le mag de spirou mais de là à le sortir en album. Toutefois, le succès commercial fait peu de doute. Quant aux dessins, ils sont de la même cuvée que ceux de Kid Paddle, rien à redire de ce côté donc . . .
Allan Mac Bride
J’ai acheté cette BD suite à une bonne critique dans le magazine bédéka. Pour ma part je n’en ferais pas une bonne critique et notamment le plus gros défaut de cette BD est le scénario : Ultra linéaire De plus les 3/4 de l’album sont des monologues absolument inintéressants, mise à part peut-être les 6 premières pages lorsque Allan découvre la Fresque. Tout le reste de l’album, nous ne faisons que de lire les pensées du héros. C’est d’un ennui, c’est mou. Pour l’action et le suspens, il faudra revoir la copie. Je dois dire que pour la première fois je me suis vraiment ennuyé à lire un BD, il ne manque plus qu’une bulle ou deux ou notre héros nous informe de la couleur de ses calecons. Le seul point fort de cet album, est le dessin qui se rapproche d’un style de Jacob ou Hergé, voilà pourquoi je mets un 2/5, ça rattrape un peu cet horrible scénar C’est bien dommage parce que l’idée de base était pas mal. C’est une histoire qui sera complète en plusieurs albums, pour ma part je m’arrête au premier.
Maus
Il me semble que c'est le bon moment pour poster un avis sur l'oeuvre de Spiegelman. (60 ans...) Cette oeuvre relate une période sombre de notre histoire: donc OK c'est prenant et c'est triste. Cependant cette histoire il nous semble l'avoir déjà lu dans plusieurs bouquins, vu dans plusieurs films, entendu par plusieurs personnes. Il est vrai que l'on ne doit jamais oublier, mais ce n'est pas pour autant que l'on doit glorifier tout les supports qui traitent de ce sujet. Alors je dirai que c'est bien sans plus. Soyons franc pour une fois: l'histoire n'est pas nouvelle, et le dessin est horrible.
Haddada Surmamoto
Cette BD date de 1976 (serait-elle moisie ?) mais garde un aspect visuel intérieur plutôt moderne. Jo-el Azara a un dessin plutôt bon, très teinté du style humour franco-belge façon journal Spirou tout en rondeur et en fraicheur. Ceci dit, personnellement, ce style, même si je trouve que les images prises une à une sont jolies, je m'en lasse très vite. C'est au niveau humour que ça ne passe pas trop cette BD. Les histoires sont ultra-bateaux : nos deux héros se balladent, apprennent qu'il y a des méchants là-bas, vont les attaquer, la bataille tourne au grand-guignol et puis ils gagnent et recommencent. Et l'humour grand-guignol comme ça, ça ne me fait pas franchement rire, voire ça aurait même tendance à m'énerver. Bof, quoi...
Dérives
Pour moi, l'oeuvre la plus faible d'Andreas à ce jour. Ok, il s'agit plus d'une mise en images que d'une véritable création du maître allemand, mais il a prouvé dans le passé être aussi à l'aise dans les écrits des autres. En effet, je trouve ce recueil totalement bancal, ou plutôt, assez médiocre. Andreas montre qu'il est capable de changer son style graphique pour s'adapter, mais il ne le transcende pas. Au niveau de mon avis sur la plupart des nouvelles, je suis assez d'accord avec Ro : seules celle de Bézian et de Foerster valent le coup selon moi, celle de Cossu (si si, je l'ai placé) étant la plus hermétique. Pour les inconditionnels d'Andreas uniquement.
Che
Mon avis rejoindra sensiblement celui de Don Lope. C'est pas mal de vouloir faire une BD sur la vie d'un "grand" homme, ça permet à ceux qui ne s'instruisent que par ce biais d'en apprendre un peu plus. Mais malheureusement, concernant cet album-là, le courant n'est pas passé, je me suis très vite ennuyé. Déjà, le style graphique ne m'accroche pas du tout, et le reste m'a semblé vraiment anecdotique...
Soleil Cou Coupé
C'est Lax qui a dessiné cette BD ? Alors autant j'aime son style dans Azrayen', autant là, bof ! Trop réaliste d'une part, mais c'est surtout la colorisation que je n'aime pas. Le scénario par contre est original. Les personnages assez attachants, l'histoire intéressante. Elle permet d'appréhender l'univers de travestis homosexuels sous le regard de quelqu'un qui leur est proche, qui parle avec eux, les comprend et finalement partage leur vie. C'est assez tendre tout en étant rude à la fois. L'ennui, c'est la narration : franchement, c'est dur d'entrer dans l'histoire, de la suivre, de la comprendre totalement et surtout de la ressentir. Les cases se suivent sans qu'on comprenne bien tout ce qu'il se passe, tant et si bien que même si le thème est intéressant et que la trame de l'histoire est pas mal, la BD en elle-même s'en retrouve très moyenne.
Claudia - Chevalier Vampire
Aussi déçu que Glorf par cette BD (je voulais d'ailleurs commencer par "déçu, déçu, déçu", mais ça aurais fait plagiat). Je m'attendais à beaucoup mieux au vu de Requiem. Mais là, on en est assez loin: l'ambiance n'y est pas, les dessins de Claudia sont vraiment pas terribles (drôle de bouche, en effet), les répliques ne sont pas vraiment marrantes, le scénar est loin d'être top. On est plus dans le lourd/léger que dans le subtil et le bien construit: ici, on tape et on voit après... Pourquoi en conseiller l'achat? Ben, parce que j'adore quand on développe des univers dans différentes séries et parce que j'espère une meilleure suite...