Voilà, j'ai lu les 3 tomes. On ne peut pas dire que j'en suis déçu, car je n'en attendais pas grand-chose. Mais je dois dire que ça aurait pu être mieux...
Je m'explique. La série commençait de manière originale, avec le héros, Toran, dans une drôle de situation. Ca interpelle quelque peu le lecteur lambda de SF/fantasy. Puis, au fil des pages, les situations s'enchaînent, sans réellement avoir un lien logique entre elles, et les éléments intéressants sont exposés, puis abandonnés. C'est dommage, car on sent qu'Isabelle Plongeon a de bonnes idées de base, mais qu'elle ne sait pas trop comment les exploiter.
Quant au dessin, il n'est pas désagréable, il est même pas mal par moments (comme la couverture du tome 1), mais manque un peu de maturité, ce qui fait que les personnages ont des traits changeants au fil des tomes. De plus, Peynet change de style de couleurs d'un tome à l'autre, ce qui est un peu déroutant quand on lit la série en continu.
Pas très original, un peu maladroit, on va dire que c'est un premier pas des auteurs. :)
Je vais décevoir du monde... mais franchement, certes cet album se laisse lire facilement, les dessins sont sympas, tout s'enchaîne de façon cohérente, certaines situations m'ont soutiré un sourire, le principe de base est intéressant (le destin de trois nanas)... mais sortis de là? Ben moi je me suis ennuyée, jusqu'au bout j'ai attendu une chute qui n'est jamais venue. Je l'offrirais peut être même pas à une adolescente...
Raaaaaah ben voilà c'est malin, maintenant on l'a dans notre bibliothèque ce nanar de série ZZZZ !!!
Bon, allez, j'avoue, je me suis franchement marrée à la lecture de cet opus.
... J'espère que dans le deuxième tome on aura droit aux aventures du cousin à la mode de Bretagne de Sophia, bel éphèbe épilé et tanné aimant à vivre nu sur son île déserte à cocotiers, que le lectorat féminin puisse lui aussi se rincer l'oeil ! ^___^
Bof, bof, bof.
Diablo est un bon jeu vidéo qui a su développer un background assez riche et recherché.
Cette BD si elle s'était appuyée sur ce point fort aurait pu être une véritable réussite, par exemple, en allant plus loin le long de certaines pistes/intrigues qui ne sont qu'évoquées dans le jeu.
Malheureusement, le format choisi ne le permet pas. Les historiettes ne permettent pas d'aller en profondeur dans le récit et le scénario est souvent très limité, centré autour d'une classe de personnage et passe complètement à côté de ce qu'on aurait pu espérer.
Le graphisme est d'une qualité très inégale (j'aime quand même bien celui qui est dans un style proche de celui de Mignolla) ce qui achève de rebuter les curieux qui se sont lancés dans la lecture de cet album.
Dommage, ça aurait pu être tellement sympa.
Adaptation d'un roman d'aventures qui semble proche de L'île au trésor par le même dessinateur que Fracasse, ce tome 1 n'est pour l'instant pas très convaincant.
En 40 pages il ne se passe pas grand-chose, et si des Corteggiani et Faure réussisent une adaptation concise et fidèle, "Moonfleet" semble devoir durer beaucoup plus.
L'ambiance, sombre, est tout de même bien posée (d'ailleurs tout se passe la nuit ou sous une pluie d'orage), mais le dessin très... hâtif disons, m'a franchement rebuté au bout d'un moment, le pompon étant le personnage de Barbe Noire, avec une barbe qui ne ressemble à strictement rien.
Dans la même collection, Fracasse semble meilleur.
Une fille vulgaire, grossière et crade est recrutée par un groupe de super héros dont les membres sont propres sur eux et ont un comportement pur et basique leur permettant d'être conforme aux codes de la lecture pour la jeunesse.
Le côté trash de la Pro est tellement exagéré qu'elle est du coup juste un personnage aussi grotesque et caricatural que le reste de la bande.
L'idée de l'opposition des genres: Héros vertueux du monde comic book et personnage dépravé sensé représenter la réalité tombe donc à plat tant c'est forcé.
Côté dessin rien à sauver, informatisé et insipide c'est sans ame ni saveur.
Il reste quelques passages humoristiques réussis et la parodie de la ligue de justice.
La Pro c'est du trash politiquement correct, c'est vite lu, ce n'est pas franchement marquant donc c'est dispensable.
J’apprécie toujours autant Clarke en tant que dessinateur mais pas lorsqu’il s’improvise scénariste. Certes, cet album est à lire au troisième degré mais j’ai du mal malgré tout. Cette parodie fait parfois sourire (ou grincer des dents) en se disant que tout y est à peine exagéré. Toutefois, je trouve que Clarke s’est un peu trop reposé sur les pitreries pitoyables de "Mister President" en omettant de donner plus de consistance aux mini-récits. Quand on privilégie la facilité ...
Ceci dit, c’est (de loin) le meilleur scénario que Clarke nous ait concocté. Ce n’était pas bien difficile, j’en conviens.
A lire, oui . . . mais rien d’exceptionnel
Après qu'un vendeur me l'aie conseillé en même temps que Top 10 et The Authority, j'ai acheté les 3 tomes de cette série parus chez Semic.
Ca commence pas trop mal avec le premier tome. Je n'aime guère le dessin qui est trop dans le style comics moderne (dessinateur de Witchblade et Fathom) avec des filles canons et des mecs façon mannequins ténébreux. Mais techniquement il est très correct. Quant au scénario, il a une touche d'un Watchmen de bas étage avec des meurtres dans une communauté de Super Héros et des flash-backs sur le passé de la plupart de ces super-héros. En définitive même s'il ne se passe pas grand chose de plus qu'une introduction aux personnages et au background dans ce tome 1, il laissait espérer quelque chose d'intéressant ensuite.
Mais les tomes 2 et 3 m'ont carrément déçu.
Le dessinateur laisse la main à un gars largement moins doué, qui réussit déjà à peine les visages de ses persos mais trace surtout ses décors à la règle, vides et moches. Bref, le dessin est moche mais dissimulé derrière une colorisation informatique qui n'est pas mauvaise.
Et puis côté scénario, on délaisse assez rapidement la semi-originalité du début pour sombrer dans des affrontements de super-héros ou de militaires pour finir dans le tome 3 dans une sorte de mauvais X-Men où les humains et les super-héros cohabitent dans la douleur et où il y a des gentils et des méchants super-héros qui se bastonnent pour des raisons pseudo-complexes. Les personnages deviennent caricaturaux, les rebondissements futiles, l'intrigue totalement déjà-vue, le dessin moche.
Bref, ça devient mauvais.
Disons que l'idée de base n'est pas mauvaise: Un éminent chercheur à la solde des nazis pendant la période faste du troisième reich est envoyé dans le futur par une entité divine pour faire le bien, et du coup compenser ses mauvaises actions passées. Oh j'ai sommeil d'un coup là!
Alors le futur c'est en 2147 et c'est aux états unis que ça se passe. Un politicien extrémiste tente de prendre le pouvoir. Steinholtz (le chercheur) débarque sous la forme d'Obergeist un ange de la mort invincible.
Ca a du être balèze de créer le futur, c'est exactement pareil que de nos jours, ça c'est de l'anticipation!
En plus les dessins ne sont pas mauvais mais un peu trop "gentil cartoon" pour ce genre d'histoire, et puis même si on aime bien le noir et blanc, c'est souvent sur du fond gris, c'est pénible et lourd à suivre.
Pour finir avec la liste des « qualités », il faut voir l'homme de main vedette du club des méchants: Ridicule le mec! C'est un cerveau sur un corps humanoïde avec un bras plein d'armes fatales...
Seule les dernières pages relèvent un peu le niveau, et encore, la toute fin est aussi fatigante que creuse.
2/5 Parce que quelques passages sont quand même sympas et que la mise en case est originale.
Quandt à l'acheter pour ça...
Pour commencer je n'aime vraiment pas ce style de dessin et ces couleurs assez affreuses à mon sens. Pour continuer l'histoire n'est vraiment pas recherchée avec un espèce de mélange d'esprits maléfiques issus d'un monde de cauchemars que tente de contrer un docteur qui a le don de les démasquer.
Bof.
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Toran
Voilà, j'ai lu les 3 tomes. On ne peut pas dire que j'en suis déçu, car je n'en attendais pas grand-chose. Mais je dois dire que ça aurait pu être mieux... Je m'explique. La série commençait de manière originale, avec le héros, Toran, dans une drôle de situation. Ca interpelle quelque peu le lecteur lambda de SF/fantasy. Puis, au fil des pages, les situations s'enchaînent, sans réellement avoir un lien logique entre elles, et les éléments intéressants sont exposés, puis abandonnés. C'est dommage, car on sent qu'Isabelle Plongeon a de bonnes idées de base, mais qu'elle ne sait pas trop comment les exploiter. Quant au dessin, il n'est pas désagréable, il est même pas mal par moments (comme la couverture du tome 1), mais manque un peu de maturité, ce qui fait que les personnages ont des traits changeants au fil des tomes. De plus, Peynet change de style de couleurs d'un tome à l'autre, ce qui est un peu déroutant quand on lit la série en continu. Pas très original, un peu maladroit, on va dire que c'est un premier pas des auteurs. :)
Souvenirs
Je vais décevoir du monde... mais franchement, certes cet album se laisse lire facilement, les dessins sont sympas, tout s'enchaîne de façon cohérente, certaines situations m'ont soutiré un sourire, le principe de base est intéressant (le destin de trois nanas)... mais sortis de là? Ben moi je me suis ennuyée, jusqu'au bout j'ai attendu une chute qui n'est jamais venue. Je l'offrirais peut être même pas à une adolescente...
Sophia
Raaaaaah ben voilà c'est malin, maintenant on l'a dans notre bibliothèque ce nanar de série ZZZZ !!! Bon, allez, j'avoue, je me suis franchement marrée à la lecture de cet opus. ... J'espère que dans le deuxième tome on aura droit aux aventures du cousin à la mode de Bretagne de Sophia, bel éphèbe épilé et tanné aimant à vivre nu sur son île déserte à cocotiers, que le lectorat féminin puisse lui aussi se rincer l'oeil ! ^___^
Diablo - Le Sanctuaire
Bof, bof, bof. Diablo est un bon jeu vidéo qui a su développer un background assez riche et recherché. Cette BD si elle s'était appuyée sur ce point fort aurait pu être une véritable réussite, par exemple, en allant plus loin le long de certaines pistes/intrigues qui ne sont qu'évoquées dans le jeu. Malheureusement, le format choisi ne le permet pas. Les historiettes ne permettent pas d'aller en profondeur dans le récit et le scénario est souvent très limité, centré autour d'une classe de personnage et passe complètement à côté de ce qu'on aurait pu espérer. Le graphisme est d'une qualité très inégale (j'aime quand même bien celui qui est dans un style proche de celui de Mignolla) ce qui achève de rebuter les curieux qui se sont lancés dans la lecture de cet album. Dommage, ça aurait pu être tellement sympa.
Les Contrebandiers de Moonfleet (Moonfleet)
Adaptation d'un roman d'aventures qui semble proche de L'île au trésor par le même dessinateur que Fracasse, ce tome 1 n'est pour l'instant pas très convaincant. En 40 pages il ne se passe pas grand-chose, et si des Corteggiani et Faure réussisent une adaptation concise et fidèle, "Moonfleet" semble devoir durer beaucoup plus. L'ambiance, sombre, est tout de même bien posée (d'ailleurs tout se passe la nuit ou sous une pluie d'orage), mais le dessin très... hâtif disons, m'a franchement rebuté au bout d'un moment, le pompon étant le personnage de Barbe Noire, avec une barbe qui ne ressemble à strictement rien. Dans la même collection, Fracasse semble meilleur.
The Pro (La Pro)
Une fille vulgaire, grossière et crade est recrutée par un groupe de super héros dont les membres sont propres sur eux et ont un comportement pur et basique leur permettant d'être conforme aux codes de la lecture pour la jeunesse. Le côté trash de la Pro est tellement exagéré qu'elle est du coup juste un personnage aussi grotesque et caricatural que le reste de la bande. L'idée de l'opposition des genres: Héros vertueux du monde comic book et personnage dépravé sensé représenter la réalité tombe donc à plat tant c'est forcé. Côté dessin rien à sauver, informatisé et insipide c'est sans ame ni saveur. Il reste quelques passages humoristiques réussis et la parodie de la ligue de justice. La Pro c'est du trash politiquement correct, c'est vite lu, ce n'est pas franchement marquant donc c'est dispensable.
Mister President
J’apprécie toujours autant Clarke en tant que dessinateur mais pas lorsqu’il s’improvise scénariste. Certes, cet album est à lire au troisième degré mais j’ai du mal malgré tout. Cette parodie fait parfois sourire (ou grincer des dents) en se disant que tout y est à peine exagéré. Toutefois, je trouve que Clarke s’est un peu trop reposé sur les pitreries pitoyables de "Mister President" en omettant de donner plus de consistance aux mini-récits. Quand on privilégie la facilité ... Ceci dit, c’est (de loin) le meilleur scénario que Clarke nous ait concocté. Ce n’était pas bien difficile, j’en conviens. A lire, oui . . . mais rien d’exceptionnel
Rising Stars
Après qu'un vendeur me l'aie conseillé en même temps que Top 10 et The Authority, j'ai acheté les 3 tomes de cette série parus chez Semic. Ca commence pas trop mal avec le premier tome. Je n'aime guère le dessin qui est trop dans le style comics moderne (dessinateur de Witchblade et Fathom) avec des filles canons et des mecs façon mannequins ténébreux. Mais techniquement il est très correct. Quant au scénario, il a une touche d'un Watchmen de bas étage avec des meurtres dans une communauté de Super Héros et des flash-backs sur le passé de la plupart de ces super-héros. En définitive même s'il ne se passe pas grand chose de plus qu'une introduction aux personnages et au background dans ce tome 1, il laissait espérer quelque chose d'intéressant ensuite. Mais les tomes 2 et 3 m'ont carrément déçu. Le dessinateur laisse la main à un gars largement moins doué, qui réussit déjà à peine les visages de ses persos mais trace surtout ses décors à la règle, vides et moches. Bref, le dessin est moche mais dissimulé derrière une colorisation informatique qui n'est pas mauvaise. Et puis côté scénario, on délaisse assez rapidement la semi-originalité du début pour sombrer dans des affrontements de super-héros ou de militaires pour finir dans le tome 3 dans une sorte de mauvais X-Men où les humains et les super-héros cohabitent dans la douleur et où il y a des gentils et des méchants super-héros qui se bastonnent pour des raisons pseudo-complexes. Les personnages deviennent caricaturaux, les rebondissements futiles, l'intrigue totalement déjà-vue, le dessin moche. Bref, ça devient mauvais.
Obergeist
Disons que l'idée de base n'est pas mauvaise: Un éminent chercheur à la solde des nazis pendant la période faste du troisième reich est envoyé dans le futur par une entité divine pour faire le bien, et du coup compenser ses mauvaises actions passées. Oh j'ai sommeil d'un coup là! Alors le futur c'est en 2147 et c'est aux états unis que ça se passe. Un politicien extrémiste tente de prendre le pouvoir. Steinholtz (le chercheur) débarque sous la forme d'Obergeist un ange de la mort invincible. Ca a du être balèze de créer le futur, c'est exactement pareil que de nos jours, ça c'est de l'anticipation! En plus les dessins ne sont pas mauvais mais un peu trop "gentil cartoon" pour ce genre d'histoire, et puis même si on aime bien le noir et blanc, c'est souvent sur du fond gris, c'est pénible et lourd à suivre. Pour finir avec la liste des « qualités », il faut voir l'homme de main vedette du club des méchants: Ridicule le mec! C'est un cerveau sur un corps humanoïde avec un bras plein d'armes fatales... Seule les dernières pages relèvent un peu le niveau, et encore, la toute fin est aussi fatigante que creuse. 2/5 Parce que quelques passages sont quand même sympas et que la mise en case est originale. Quandt à l'acheter pour ça...
Shadowslayer
Pour commencer je n'aime vraiment pas ce style de dessin et ces couleurs assez affreuses à mon sens. Pour continuer l'histoire n'est vraiment pas recherchée avec un espèce de mélange d'esprits maléfiques issus d'un monde de cauchemars que tente de contrer un docteur qui a le don de les démasquer. Bof.